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Matthieu 28.20

leur enseignant à garder toutes les choses que je vous ai commandées. Et voici, moi je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la consommation du siècle.
Et leur apprenant à garder tout ce que je vous ai commandé ; et voici, je suis avec vous tous les jours jusqu'à la fin du monde. Amen !
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      Genèse 39

      Exode 3

      Deutéronome 5

      Deutéronome 12

      Josué 1

      5 Josué compte bien utiliser la Loi, comme règle de vie. Il est chargé par Dieu de la méditer jour et nuit, afin de « prendre garde à faire selon tout ce qui est écrit ». Quelles que soient les affaires que nous avons à traiter en ce monde, nous ne devons pas négliger cette lecture de la Parole, si utile. Tous les ordres et tous les jugements que Josué allait donner, devaient s'appuyer sur la Loi. Même le patriarche y était lui-même soumis ; aucune dignité humaine, aucune domination ne peut se placer au dessus de la Parole de Dieu.

      Josué devait s'encourager par les Promesses et par la Présence divines. Le patriarche ne devait pas être découragé par le constat d'éventuelles faiblesses personnelles ; Dieu est tout suffisant ! C'est Lui-même qui a appelé Josué, pour lui commander d'accomplir cette tâche, étant sûr qu'il était capable d'en supporter les difficultés. Quand nous accomplissons notre devoir, nous avons de bonnes raisons d'être forts et très audacieux. Notre Seigneur Jésus, comme Josué dans le cas présent, est né dans la perspective de subir plus tard la souffrance, par la volonté et l'ordre de Dieu, Son Père.

      1 Rois 1

      1 Chroniques 16

      Psaumes 46

      Psaumes 72

      Esaïe 8

      9 Le prophète défie les ennemis des juifs : leurs efforts seront vains, et eux-mêmes réduits en pièces !

      Il nous incombe, quand nous traversons l'épreuve, de veiller à ne pas emprunter des voies douteuses, en vue de rester en sécurité. La crainte fervente de Dieu, préserve de l'inquiétude que nous pourrions éprouver devant l'agressivité des hommes. Si nous savions évaluer à sa juste mesure, la Grandeur et la Gloire de Dieu, nous pourrions voir toute la puissance de nos ennemis s'anéantir. Le Seigneur est un véritable « sanctuaire spirituel » pour ceux qui Lui font confiance, qui Le craignent, et qui placent leur espérance en Lui, mais Il est aussi une pierre d'achoppement pour Ses ennemis. Si nous nous heurtons à la Parole de Dieu, cette dernière sera pour nous une occasion de chute. L'apôtre Pierre rappelle cette pensée à tous ceux qui persistent dans leur incrédulité vis-à-vis de l'évangile de Christ, 1Pierre 2:8.

      « L'Emmanuel crucifié », qui était une Pierre d'achoppement et un Rocher de chute pour les juifs incrédules, l'est également pour les milliers de personnes qui se disent « Chrétiens », alors que la prédication de la croix est pour eux, une folie ; les doctrines et les préceptes divins les scandalisent !

      Esaïe 41

      10 Dieu s'exprime ici avec tendresse : « ne crains rien, car je suis avec toi ». Il s'agit non seulement d'un encouragement, mais aussi d'une promesse de Sa présence : « es-tu faible ? Je te donnerai de la force. Désires-tu être épaulé par un Ami ? Je t'aiderai, quand tu seras dans le besoin. Es-tu sur le point de tomber ? Je te soutiendrai de Ma main droite, Celle de la Justice, Celle qui, à la fois, récompense ou punit ».

      Certains s'acharnent contre les enfants de Dieu, ne recherchant que leur ruine. En de tels cas, ces derniers ne doivent pas vouloir se venger, mais savoir attendre « l'heure » que Dieu a prévue.

      « Ne crains-pas, vermisseau de Jacob », (verset Esaïe 41:14*) ; le peuple d'Israël était alors peu représentatif, bien faible, dédaigné et méprisé par tous. Les véritables enfants de Dieu sont comme ces « vermisseaux », animés d'humbles pensées, constatant le mépris que leur témoignent leurs ennemis ; par cette image, on ne doit pas les assimiler à ces derniers, qui ne sont que des « vipères », de la famille du serpent !

      La Parole de Dieu, dans son ensemble, vise à abaisser l'orgueil de l'homme, elle tend à diminuer ce dernier à ses propres yeux.

      L'Éternel aidera Son peuple, Il est son Rédempteur ! Il incitera Jacob à devenir « l'instrument zélé », qui témoignera de l'existence de Sa Personne. Dieu lui donnera les capacités d'accomplir cette tâche, avec un esprit nouveau, actif. Tout cela sera manifesté par l'accomplissement du triomphe de l'évangile de Christ, avec tous Ses fidèles serviteurs, luttant contre la puissance des ténèbres.

      Dieu a accordé tout Son soutien aux enfants d'Israël, Il a répondu à toutes leurs prières. Notre cheminement vers le ciel passe par le désert de ce monde. L'âme de l'homme est en perpétuelle recherche de satisfaction : en fait elle se lasse de ne rien trouver de valable ici-bas, rien qui ne puisse vraiment la contenter. Il existe pourtant une source sûre, capable de « restaurer » cette âme : « celui qui croit en moi, des fleuves d'eau vive couleront de son sein », nous annonce Christ, mentionnant l'Esprit, Jean 7:38,39.

      Quand Dieu établit son église ici-bas, dans le « désert », parmi les « Gentils », il y eut un changement remarquable : les épines et les ronces se transformèrent en cèdres, en sapins, et en myrtes ! Toutes ces bénédictions s'adressent aux « pauvres en esprit », à tous ceux qui désirent humblement et ardemment la Lumière, le pardon et la sainteté célestes.

      Dieu, dans Sa Grâce et par Son Esprit, transforme l'âme stérile : il la rend vivante et fructueuse, afin, qu'en retour, elle puisse Le glorifier !

      *Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Matthieu 1

      Matthieu 6

      Matthieu 7

      Matthieu 13

      Matthieu 18

      Matthieu 24

      Matthieu 28

      Marc 16

      Jean 14

      18 Dans ce texte, Christ promet qu'Il continuera à prendre soin de Ses disciples : « Je ne vous laisserai pas orphelins » ; « bien que je vous quitte, je vous laisse cependant avec cette espérance : « je viens vers vous. Je viendrai rapidement, dès ma résurrection. Je viendrai quotidiennement, en Esprit, avec les manifestations de mon Amour, et ma Grâce. Je viendrai vous chercher à la fin des temps ».

      Seuls ceux qui discernent Christ par la foi, pourront Le voir éternellement ; le monde ne le verra plus avant Sa seconde venue ; Ses disciples sont en communion avec Lui, même durant Son absence. Tous ces mystères seront pleinement clairs dans les lieux célestes. Par la Grâce, les enfants de Dieu peuvent déjà en avoir avoir une pré connaissance, avec tout l’encouragement spirituel qui en découle !

      Nous devons garder et mettre en pratique les commandements de Christ. Rien ne peut mieux témoigner de notre amour pour Christ que notre obéissance à Ses ordonnances. Les manifestations spirituelles de l’amour de Christ sont données à tous les croyants. Dans le cœur où l’on trouve un amour sincère pour le Seigneur, se trouve aussi l’obéissance. L'amour est en fait un commandement, pas toujours facile à mettre en œuvre mais là où il se trouve, l’enfant de Dieu est enclin, par gratitude envers Son Sauveur, à accomplir son devoir.

      Non seulement Dieu aime les croyants obéissants, mais Il prend plaisir en cet Amour ! Il « demeure » spirituellement en eux. Ces différents privilèges sont réservés à ceux qui vivent par la foi, qui œuvrent pour le Seigneur par amour, et qui gardent ses commandements. Telles sont les joies de ceux qui partagent la Grâce du Saint-Esprit, une Grâce qui régénère le cœur !

      Actes 2

      42 Dans ce texte, nous voyons les débuts de la véritable église primitive : elle était certes dans son état originel, mais dans la plus grande innocence. Ces premiers chrétiens respectaient scrupuleusement les saintes ordonnances, ils abondaient dans la piété et la dévotion ; lorsque nous reconnaissons la puissance d’une telle vie, « en Christ », ce Dernier dispose notre âme à la communion avec Dieu, quel que soit le chemin dans lequel Il a décidé de nous rencontrer, selon Sa promesse.

      L’importance des événements relatés dans ce texte a élevé ces âmes « au-dessus » de ce monde, le Saint-Esprit les a remplies d'un amour qui leur faisait voir leur prochain comme eux-mêmes, leur permettant ainsi de faire toutes choses en commun ; ces frères en Christ n’ont pas détruit leurs biens, mais, pour écarter tout égoïsme, ils mirent en pratique la charité. Dieu, Celui qui les a amenés à un tel état d’esprit, savait de toute façon qu'ils seraient, par la persécution, rapidement dépossédés de leurs biens en Judée...

      Le Seigneur, de jour en jour, prédispose les cœurs à accepter l'évangile ; non pas pour professer ce dernier, mais pour être d’abord vraiment amenés à être acceptés par Dieu, étant faits « participants de la Grâce qui régénère ». Ceux que Dieu a admis pour le salut éternel seront amenés à Christ, jusqu'à ce que la terre soit remplie de la connaissance de Sa gloire !

      Actes 18

      Actes 20

      1 Corinthiens 11

      2 Dans ce texte, jusqu’au chapitre 1Co 14, nous découvrons les détails relatifs à la tenue et à la conduite que l’on doit avoir dans l’assemblée.

      Parmi l'abondance de dons spirituels octroyés aux Corinthiens, quelques abus étaient néanmoins remarquables ; de même que Christ accomplissait la volonté de Dieu, tout en Le glorifiant, le chrétien doit reconnaître sa soumission à Christ, faire Sa volonté et rechercher Sa gloire.

      Nous devons, dans notre tenue vestimentaire, comme dans nos habitudes, éviter tout ce qui pourrait déshonorer Christ. La femme a été assujettie à l'homme, pour l'aider et le réconforter. Elle ne doit rien faire, dans l’assemblée, qui puisse ressembler à une revendication de l'égalité des sexes. Elle doit porter une « marque de l'autorité », un voile sur sa tête, à cause des anges, (verset 1 Corinthiens 11:10*) : leur présence doit préserver les chrétiens de tout mauvais pas, durant le culte d'adoration à Dieu.

      L'homme et la femme ont été faits l'un pour l'autre. Ils devaient se réconforter et s’entraider mutuellement, sans être l’esclave, ni le tyran de l’autre. Dieu a institué ces préceptes, à la fois dans le domaine de la Providence et celui de la Grâce, pour que l'autorité ou la soumission de chacun puisse être une aide à son conjoint.

      Il était d’usage dans les églises, que les femmes se montrent voilées en public, pour se joindre au culte d'adoration ; Paul estime que c’est tout à fait convenable. La religion chrétienne est en accord avec les usages d’un pays, là où ceux-ci ne sont pas opposés aux grands principes de vérité et de sainteté enseignés par la Parole ; toute déviation ou singularité quant au respect des ordonnances de la Bible, doit être évitée.

      * Référence ajoutée par le traducteur, pour faciliter la compréhension du texte.

      23 L'apôtre décrit l'ordonnance sacrée de la cène, qui lui avait été révélée par le Seigneur. Les éléments visibles de la cène sont le pain et le vin. Quand on participe à ce repas, on mange du pain ; ce dernier « représente » le corps du Seigneur. Ceci expose clairement la pensée de l'apôtre, qui excluait toute transformation de cette nourriture en chair.

      Matthieu nous rapporte que notre Seigneur a invité tous Ses disciples à boire de la coupe, Matthieu 26:27, mentionnant par ce verset, qu'aucun croyant ne devait être privé de la coupe. Ces éléments, le pain et le vin, représentent le corps brisé et le sang versé de Christ, avec tous les bienfaits qui découlent pour nous, de Sa mort et de Son sacrifice.

      Notre Sauveur prit le pain et la coupe, rendit grâces et présenta ces éléments à Ses disciples. Ces derniers n’avaient ensuite qu’à manger de ce pain et boire de cette coupe, en mémoire de Christ. Ces actes visibles ne sont pas les plus importants, ils ne représentent pas toute la signification de cette sainte ordonnance. Ceux qui y participent, doivent considérer Jésus en tant que Seigneur et Maître de leur Vie : ils peuvent s’approcher de Lui et vivre « en » Lui. Tels sont ici décrits, les buts de cette ordonnance.

      La cène doit être prise en mémoire de Christ, pour que nous gardions à l’esprit qu'Il est mort pour nous et qu’Il intercède pour nous, en vertu de Sa mort, à la droite de Dieu. Il ne s’agit pas simplement de se souvenir de Christ, de Son œuvre et de toutes Ses souffrances, mais de célébrer également Sa Grâce, nécessaire à notre rédemption.

      Nous déclarons par ce repas que la mort du Seigneur est à la base de notre vie spirituelle, qu’elle est la source de tous nos réconforts et de notre espérance. Dans une telle déclaration, nous glorifions Christ et témoignons de Sa mort, acceptant Son sacrifice comme rançon de nos péchés.

      Le repas du Seigneur n'est pas une ordonnance épisodique, il doit être pratiqué régulièrement. L'apôtre souligne devant les Corinthiens, le danger de prendre ce repas de manière inconsidérée, ou en étant dans une situation de péché, tout en déclarant confirmer et renouveler l'alliance avec Dieu. Il n'y a aucun doute : cela engendre une grande culpabilité, et rend ceux qui agissent ainsi, redevables de jugements spirituels.

      Cela ne doit pas décourager les croyants « timides » de participer à cette sainte ordonnance. Le Saint-Esprit n’a jamais voulu que ce texte soit transmis pour dissuader les véritables chrétiens d’accomplir leur devoir en ce sens, bien que le diable les en ait parfois dissuadés.

      L'apôtre s'adressait aux chrétiens, les avertissant de se méfier des jugements par lesquels Dieu punissait Ses serviteurs qui l'offensaient. Mais malgré ces châtiments, Dieu rappelle Sa Miséricorde : Il punit souvent ceux qu'Il aime. Il vaut mieux subir l’épreuve ici-bas, plutôt que d'être spirituellement misérable, à jamais...

      L'apôtre indique quel est le devoir de ceux qui s’approchent de la table du Seigneur : un examen de conscience est essentiel pour participer correctement à cette sainte ordonnance. Si nous prenons la peine de chercher au fond de nous-mêmes tous nos manquements, pour les confesser à Dieu, nous pourrons ainsi éviter Ses jugements.

      L'apôtre termine par une mise en garde relative aux irrégularités dont les Corinthiens étaient coupables, devant la table du Seigneur. Que chacun puisse considérer cet avertissement, de façon à ne pas venir présenter un culte provocant devant Dieu, ce qui ne pourrait qu’attirer un jugement sévère.

      1 Corinthiens 14

      Ephésiens 4

      17 L'apôtre exhorte les chrétiens d’Éphèse, au Nom et par l'autorité du Seigneur, à ne pas continuer à vivre comme les impies, qui marchent dans de vaines convoitises et diverses affections charnelles.

      Les Païens, de tous côtés, ne marchent-ils pas dans la vanité de leur esprit ? Ne devons-nous pas faire la distinction entre les véritables chrétiens et ceux qui ne le sont « que de nom » ?

      Ceux qui se livrent au péché ne possèdent aucune connaissance du salut ; ils sont assis dans les ténèbres, les préférant à la lumière. Ils ont une aversion et de la haine pour la sainteté : elle ne représente par pour eux le chemin de vie que Dieu exige et approuve, et par lequel nous vivons pour Lui ; cette sainteté est aussi la ressemblance à Dieu Lui-même, dans Sa pureté, Sa justice, Sa vérité et Sa bonté.

      La Vérité de Jésus-Christ se manifeste dans Sa magnificence et Sa puissance.

      L’homme, par nature, est corrompu ; sa nature est composée de divers éléments, se soutenant et s’activant tous ensemble : les désirs coupables ne sont que des convoitises trompeuses ; ils promettent le bonheur, mais en fait, rendent plus misérable ; ils conduisent à la destruction, s'ils ne sont pas combattus ni mortifiés. Ces mauvais penchants doivent être abandonnés, tels de vieux vêtements souillés ; ils doivent être éradiqués.

      Il n'est pas suffisant d’abandonner la corruption ; nous devons également posséder les principes de la Grâce. Par « l'homme nouveau » il faut comprendre la « nouvelle nature », la « nouvelle créature », dirigée par un nouveau principe : la Grâce qui régénère, incitant le racheté à mener une nouvelle vie, de justice et de sainteté. Toute cette « marche spirituelle » est générée par le pouvoir tout-puissant de Dieu !

      25 Notons dans ce texte les détails qui doivent orner notre vie chrétienne : - Veiller à fuir tout ce qui est contraire à la vérité. - Éviter la tendance qui consiste à flatter ou à tromper les autres.

      Les enfants de Dieu ne trichent pas, ils n'osent même pas mentir, d’ailleurs, ils détestent le mensonge. Prenons garde à ne pas céder ni à la colère, ni aux passions de ce monde. Si éventuellement nous devons exprimer notre désaccord, voire blâmer notre prochain, veillons à ce que ce soit fait avec douceur.

      Quand les premières manifestations du péché nous laissent insensibles, nous donnons alors le champ libre au diable ; quand nous succombons à la tentation, de manière répétitive, nous consentons à accepter ouvertement le péché...

      Ces réflexions nous montrent que « céder au péché » est similaire à laisser entrer le diable en nous : nous devons alors résister et nous garder de toute pratique du mal.

      L'oisiveté fait le voleur : ceux qui ne travaillent pas, s'exposent à la tentation de voler. Les hommes doivent travailler, afin de pouvoir pratiquer le bien, et d’être gardés de la tentation. Ils doivent travailler, non seulement pour pouvoir vivre, mais également dans le but d’aider les autres.

      Que devons-nous penser de ceux qui, soi-disant chrétiens, s’enrichissent par la fraude, l'oppression, et les pratiques douteuses ! Les aumônes, pour être acceptées de Dieu, ne doivent pas provenir de la perversité ni du vol, mais de l'honnêteté et du travail.

      Dieu déteste que les holocaustes qui Lui sont offerts, soient le produit du vol...

      29 Les mauvaises paroles proviennent de la corruption du cœur, de plus, elles dégradent l’esprit et la conduite de ceux qui les entendent : les chrétiens doivent prendre garde à ne pas tenir de tels discours.

      Chaque enfant de Dieu a le devoir de chercher, sous le regard du Seigneur, à amener chacun à songer sérieusement à son éternité, et à l’encourager par de sains propos.

      « Soyez bons les uns envers les autres », nous dit ce texte. Ceci implique la présence et la manifestation de l'amour dans le cœur, suivi d’un comportement humble et courtois. Remarquons comment le pardon divin nous pousse à pardonner nous-mêmes ! Dieu nous pardonne, alors que nous lui avons désobéi, par notre péché. Nous devons pardonner, comme Lui nous a pardonnés.

      Tout mensonge, toute corruption qui éveille les mauvais désirs et les convoitises, chagrine le Saint-Esprit. Les vaines passions, celles qui produisent l'amertume, la colère, les mauvaises paroles et la malveillance, chagrinent le Saint-Esprit. Ne provoquons pas l'Esprit qui, en de tels cas, s’éloignerait de nous, nous privant ainsi de Son influence, pleine de Grâce. Le corps sera « arraché » du pouvoir de la tombe, au jour de la résurrection.

      Où que puisse demeurer le Saint-Esprit, Il accorde Sa bénédiction et la sanctification ; Il est à l’origine de toutes les joies spirituelles, en particulier, quand nous bénéficions de la rédemption offerte par Christ ; si Dieu retire de nous Son Esprit, nous courrons à notre perte...

      Colossiens 1

      1 Thessaloniciens 4

      1

      Exhortations à la pureté et la sainteté. (1 Thessaloniciens 4:1-8)
      À l'amour fraternel, à une conduite pacifique et à la diligence dans la piété. (1 Thessaloniciens 4:9-12)
      Ne pas être affligé par la disparition des frères dans la foi, compte tenu de la résurrection glorieuse de leurs corps, lors de la seconde venue de Christ. (1 Thessaloniciens 4:13-18)

      Le fait de suivre la doctrine de l'Évangile n'est pas suffisant, nous devons en plus, progresser dans la foi. C’est pour chacun une règle, qui consiste à marcher et agir selon les commandements donnés par le Seigneur Jésus-Christ.

      La sanctification dans le renouvellement spirituel des Thessaloniciens, sous l’influence du Saint-Esprit, et dans le respect de leurs devoirs attitrés, représentait vraiment la Volonté divine, à leur égard. En aspirant à ce renouvellement de l'âme, dans la sainteté, une stricte retenue doit être appliquée envers nos mauvais penchants charnels et nos vaines pensées, qui ne peuvent nous conduire qu’à mal utiliser nos dons.

      Le Seigneur n'appelle personne dans « Sa famille », pour vivre une vie profane ; Il désire au contraire voir les Siens garder Son enseignement, afin qu’ils marchent dans la sainteté.

      Certains ne perçoivent que les « lueurs » des préceptes de cette sainteté, parce qu'ils n’entendent que l’enseignement des hommes ; mais ils doivent en fait suivre les commandements de Dieu ; les contourner, c'est mépriser Dieu...

      2 Thessaloniciens 3

      6 Ceux qui ont reçu l'Évangile dans leur cœur, doivent vivre selon Ses préceptes.

      Ceux qui sont aptes à travailler et qui refusent de le faire, ne doivent pas cependant rester inactifs. Le christianisme n'approuve pas la paresse, car cela découragerait toute bonne volonté, tout soutien aux malades et aux affligés. Le travail est un devoir, exigé par notre vocation de chrétiens.

      Certains, parmi les Thessaloniciens, prétendaient pouvoir rester inactifs, ce qui révélait leur tempérament vaniteux et leurs vaines recherches philosophiques. Ils se mêlaient des divers problèmes des autres, générant ainsi beaucoup de mal.

      Quelle erreur que de se servir de la piété pour couvrir différents abus, inactions ou tout autre péché ! Le serviteur qui, le cœur en paix, attend la venue de son maître, doit travailler comme le Seigneur le recommande. Si nous restons oisifs, le diable et notre cœur corrompu trouveront bien vite de quoi nous occuper ! L'esprit de l'homme ne reste pas inactif ; s'il n'est pas consacré à la pratique du bien, il se tournera vers le mal. Il est excellent de rester actif dans notre travail, tout en restant en paix avec ceux notre entourage !

      Si, parmi les Thessaloniciens, quelqu'un refusait de travailler, il devait être censuré et se séparer de son groupe, après avoir cependant subi différents avertissements (amicaux.)

      Le Seigneur vous soutient lorsque vous êtes en communion avec Lui. Il veille sur vos voies, et ce, jusqu'à la fin de votre périple ici-bas. Ne nous lassons jamais d’effectuer notre travail, nous aurons assez de temps pour nous reposer, lorsque nous serons dans les cieux !

      1 Timothée 6

      1

      Le devoir des chrétiens envers leurs maîtres, croyants ou non. (1 Timothée 6:1-5)
      L'avantage du contentement dans la piété. (1 Timothée 6:6-10)
      Une exhortation solennelle à Timothée, d'être fidèle. (1 Timothée 6:11-16)
      L'apôtre répète son avertissement envers les riches ; il termine par une bénédiction pour tous. (1 Timothée 6:17-21)

      Les chrétiens mentionnés dans cette épitre ne devaient pas estimer que leur connaissance des Écritures ou leurs bénédictions spirituelles leurs donnaient le moindre droit de mépriser leurs maîtres païens ; ils ne devaient pas supposer qu’il soit possible de désobéir à leurs ordres, ni de les dénigrer, en soulignant leurs manquements éventuels.

      Les chrétiens de l’époque de Paul, ayant le privilège de servir des maîtres croyants, ne devaient pas se permettre de les priver du respect qui leur était dû, même s'ils étaient sur un pied d’égalité vis-à-vis de leurs privilèges religieux. Ils devaient toutefois les servir avec une grande assiduité, avec bonne humeur, à cause de leur foi en Christ, et en tant que « participants » de Son salut gratuit.

      Nous devons rester prudents, face aux diverses insanités de ce monde, accordons par contre toute notre confiance en la Parole de notre Seigneur Jésus-Christ ; sachons Lui accorder notre adhésion totale. D'une façon générale, ce sont les prétentieux qui possèdent le moins de connaissances, en fait, ils se surestiment eux-mêmes !

      De l’orgueil proviennent les convoitises, les conflits, les railleries, les mauvais soupçons, les différends, avec toutes sortes de vaines subtilités ; ces personnes orgueilleuses, aux esprits corrompus et charnels, ignorent tout de la Vérité divine et du pouvoir de la Rédemption du Seigneur. Ces âmes ne recherchent en fait que les plaisirs et les privilèges de ce monde...

      2 Timothée 4

      Tite 2

      1 Les devoirs qui traduisent la saine doctrine. (Tite 2:1-8) Les hommes pieux doivent être obéissants. (Tite 2:9-10) Tout émane du parfait dessein de l'Évangile, lequel concerne tous les croyants. (Tite 2:11-15).

      Tite 2:1-8 Les disciples que Jésus-Christ aime, doivent se conduire en tous points, conformément à la doctrine chrétienne.

      Que les personnes âgées soient sobres, ne s'imaginant pas que leur déclin physique puisse justifier de quelconques excès de conduite ; elles doivent rechercher le bénéfice d’une communion plus étroite avec Dieu, n'accordant aucune indulgence à la pratique du péché. Leur foi doit être active et doit se démontrer dans l'amour qu’elles éprouvent, d’abord pour Dieu, mais aussi pour les hommes. Les personnes âgées sont parfois susceptibles, irritables et tristes : elles doivent donc, à ce sujet, se tenir sur leurs gardes.

      Bien qu'on ne puisse trouver dans l’Écriture aucune recommandation précise pour chaque écart de parole ou d’attitude spécifique, il existe néanmoins de nombreuses ordonnances, auxquelles chacun doit se conformer.

      Les jeunes femmes doivent être sobres et discrètes, (pouvant être, étant donné leur âge, exposées à dériver vers de fatales tentations). La raison d’une telle conduite est donnée dans ce texte : que la Parole de Dieu ne soit pas blasphémée.

      Les défaillances dans nos divers devoirs constituent un grand blâme pour la chrétienté. Les jeunes gens sont parfois ardents, mais néanmoins étourdis : il sont donc priés instamment d'être sobres à tous points de vue. On trouve davantage de jeunes ruinés par l'orgueil que par n'importe quel autre péché.

      Tout effort de l'homme pieux doit concourir à faire taire ses adversaires. Que ta conscience soit en phase avec ta droiture. Quelle gloire pour un chrétien, de pouvoir constater que ses adversaires, ne peuvent trouver aucun mal à lui reprocher !

      9 Les serviteurs doivent connaître et accomplir leur devoir à l'égard de leurs maîtres, ici-bas, mettant ainsi à l’honneur leur Maître Céleste.

      Quand un serviteur sert son maître, conformément à la volonté de Christ, il sert en fait ce Dernier, et bénéficiera des récompenses promises. Le serviteur ne doit pas tenir un langage irrespectueux ni provoquant, mais doit savoir accepter toute remarque et réprimande en silence, sans formuler de répliques impertinentes.

      Lorsque l'on est conscient d'avoir commis une faute, le fait de vouloir l'excuser ou la justifier ne fait que l’amplifier.

      Un serviteur ne doit jamais mettre à profit ce qui appartient à son maître, ni gaspiller les biens dont on il a la responsabilité. Il doit être fidèle, faire prospérer les biens de son maître, veiller à sa prospérité.

      Si vous n'avez pas été fidèle dans la gestion des biens des autres, qui vous récompensera ? Luc 16:12

      La véritable piété est un honneur pour ceux qui la professent ; ils doivent la mettre en valeur dans toutes leurs tâches !

      1 Pierre 2

      11 Même les meilleurs des hommes pieux, « la génération choisie », « le peuple de Dieu », ont besoin d'être exhortés pour se garder des pires iniquités. Les convoitises charnelles sont les plus destructrices de l'âme. Un Jugement fâcheux les attend...

      Dieu s’approche des âmes, pour les appeler à la repentance, par Sa Parole et par Sa Grâce ; beaucoup Le glorifieront, et Son peuple, dans la voie de la sainteté, connaîtra un heureux changement !

      13 Une conduite chrétienne doit être synonyme d’honnêteté ; ceci ne peut prendre effet, sans une considération prudente de tous nos devoirs civiques ici-bas : l'apôtre traite clairement ce sujet dans ce texte.

      Bien considérer ces devoirs est conforme à la Volonté divine ; la sainte conduite du chrétien consiste par conséquent, à faire taire les calomnies des gens ignorants et des insensés. Les chrétiens doivent s'efforcer, dans tout leur entourage, de tenir une conduite pleine de droiture et de ne pas faire de leur liberté, un prétexte de négligence de leur devoir ; ils doivent se souvenir qu'en fait, ils sont « serviteurs de Dieu ».

      18 À l’époque de la rédaction de cette lettre, les serviteurs, étaient généralement des esclaves, sous l’autorité souvent cruelle de maîtres païens ; l'apôtre Pierre, exhorte cependant ces serviteurs, à être soumis à leurs maîtres, placés au dessus d’eux par la Providence, dans le soucis de ne pas déshonorer, ni d'offenser Dieu.

      Ces serviteurs devaient rester soumis, non seulement envers les maîtres qui manifestaient une autorité raisonnable, mais également envers ceux qui étaient durs et sévères, se fâchant injustement.

      La sévérité coupable d'un maître, vis-à-vis de son serviteur, ne justifie pas un mauvais comportement de la part de ce dernier ; un serviteur est destiné à accomplir son devoir, même si le maître est « pointilleux » et pervers. De leur côté, les maîtres doivent être bons et doux envers leurs domestiques et leurs subordonnés.

      Quelle gloire, ou quelle distinction y a-t-il, pour ceux qui professent être chrétiens, d'être patients quand ils sont corrigés pour leurs fautes ? Mais lorsqu'ils se sont bien conduits, tout en ayant été maltraités par des maîtres païens orgueilleux et emportés, ayant tout supporté, sans plaintes, ni pensées de vengeance, tout en persévérant dans leur devoir, ceci sera accepté favorablement par Dieu, dans Sa Grâce.

      La mort de Christ a été considérée par Dieu, non seulement comme un exemple de patience et de souffrance, mais par elle, Il a porté nos péchés ; Il en a subi le châtiment, et a de cette façon, satisfait la Justice divine. Par cet acte, Christ a « effacé » nos fautes. Les « fruits » des souffrances de Christ sont la mort au péché, et une nouvelle vie, dans la sainteté et la justice ; ces deux derniers éléments témoignent de la puissance de la mort et la résurrection de Christ, pour notre justification ; Christ a été meurtri et crucifié pour nos péchés ; par les marques des coups de fouet, lors de Son arrestation, les maladies de notre âme ont été guéries !

      L’homme, dans son péché et sa misère, avance délibérément vers l'égarement ; il erre, loin du pâturage, du Berger, et du troupeau, s'exposant à des dangers sans nombre. La conversion lui permet de retrouver le bon chemin et de bénéficier de la Grâce divine. Le pécheur repenti retourne ainsi à vers le bon Berger, vers Christ. Les impies, avant leur conversion, sont égarés en permanence ; leur vie est une constante erreur.

      2 Pierre 1

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