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Matthieu 4.3

L’esprit du mal s’approche de JĂ©sus pour le tenter et il lui dit : « Si tu es le Fils de Dieu, dis Ă  ces pierres : “Changez-vous en pains !” »

Alors, le tentateur s’approcha et lui suggĂ©ra ceci : — Si, rĂ©ellement, tu es le Fils de Dieu, commande Ă  ces pierres de se changer en pains.
Et le tentateur, s'approchant de lui, dit : Si tu es Fils de Dieu, dis que ces pierres deviennent des pains.
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      GenĂšse 3

      1

      Le serpent trompe Ève. (GenÚse 3:1-5)
      Adam et Ève transgressent l'ordre Divin, et sombrent dans le péché et la misÚre. (GenÚse 3:6-8)
      Dieu cherche à dialoguer avec Adam et Ève. (GenÚse 3:9-13)
      Le serpent est maudit, la Semence promise. (GenĂšse 3:14,15)
      La punition de la race humaine. (GenĂšse 3:16-19)
      Le premier vĂȘtement de l'homme. (GenĂšse 3:20,21)
      Adam et Ève sont exclus du paradis. (GenÚse 3:22-24)

      Satan a assailli nos premiers parents, pour les entraĂźner dans le pĂ©chĂ©, la tentation leur a Ă©tĂ© fatale. Le tentateur n'Ă©tait, en fait, que le diable, sous l'apparence d'un serpent. Le plan satanique consistait Ă  attirer nos premiers parents vers le pĂ©chĂ©, afin ensuite, de les sĂ©parer de Dieu. Le diable fut ainsi, au tout dĂ©but, un meurtrier, le Prince des dĂ©mons. La victime de cette tentation fut la femme : la tactique de l'ennemi a consistĂ© Ă  entrer en contact avec elle, pendant qu'elle Ă©tait seule. Beaucoup de tentations sont fatales lorsque la personne visĂ©e est seule ; mais la rĂ©union et la communion des saints augmentent infiniment leur force et leur sĂ©curitĂ©. Satan Ă©tait dans une position d'avantage en trouvant Ève prĂšs de l'arbre dĂ©fendu. L'ennemi l'a tentĂ©e, de façon Ă  atteindre ensuite Adam. Une des grandes stratĂ©gies de l'ennemi consiste Ă  nous envoyer des tentations par le moyen de mains innocentes, mais qui ont toutefois une influence certaine sur nous. Satan a posĂ© la question si le fait de manger de cet arbre constituait un pĂ©chĂ©. Il n'a pas, au dĂ©but, dissimulĂ© son plan, mais il a posĂ© une question qui semblait, au premier abord, pleine d'innocence. Ceux qui se sentiraient trop sĂ»rs d'eux, devraient observer une sage prudence avant d'entamer le dialogue avec le tentateur. Ce qu'Il a citĂ© n'Ă©tait que fausseté ; Il a employĂ© un ton de moquerie. Le diable, ce menteur, est aussi un moqueur et ce, dĂšs le dĂ©but des temps ; ses adeptes sont Ă©galement des trompeurs. Satan est trĂšs habile pour tourner le loi divine en dĂ©rision, attirant de ce fait, les Ăąmes vers le pĂ©ché ; c'est une grande sagesse de notre part de nous appuyer fermement sur les commandements divins et de les respecter de notre mieux. Dieu a-t-Il bien dit : « Tu ne mentiras pas, tu ne prendras pas Mon Nom en vain, tu ne sombreras pas dans l'ivresse » ? Toutes ces paroles prononcĂ©es sont certaines et bonnes ; avec l'aide de Sa grĂące, il faut nous y soumettre. Ève a eu la faiblesse d'entamer la conversation avec le serpent : elle aurait dĂ» percevoir le cĂŽtĂ© sournois des questions qui lui ont Ă©tĂ© posĂ©es et cela aurait dĂ» la faire fuir. Satan a commencĂ© Ă  sĂ©duire l'homme par le doute, puis il l'a conduit Ă  lui faire refuser ce qui a Ă©tĂ© Ă©tabli par Dieu. L'ennemi a promis quantitĂ© d'avantages du fait de manger de ce fruit. Le but satanique a consistĂ© Ă  provoquer de l'insatisfaction dans le cƓur de l'homme, comme si tout le contexte dans lequel il se trouvait n'Ă©tait pas aussi bon qu'il le semblait, et devrait ĂȘtre. Aucune amĂ©lioration de condition n'Ă©tait envisageable, Ă  moins que l'esprit de l'homme ne remĂ©die Ă  cette situation. Satan a toujours poussĂ© les hommes dans la recherche d'une amĂ©lioration, les persuadant de se prendre pour des dieux. L'ennemi a couru Ă  sa perte en voulant ĂȘtre comme le TrĂšs Haut ; il est donc normal qu'il ait procĂ©dĂ© de maniĂšre identique avec nos premiers parents en les animant du mĂȘme dĂ©sir, afin qu'ils courent aussi Ă  leur ruine.

      Le diable manipule toujours des personnes pour son propre intĂ©rĂȘt, en leur suggĂ©rant de fausses pensĂ©es Ă  l'Ă©gard de Dieu et en leur faisant miroiter de faux espoirs pour les conduire au pĂ©chĂ©.

      Ayons donc toujours une excellente opinion de notre Dieu et rejetons le péché, comme le pire des maux : résistons au diable et il fuira loin de nous.

      GenĂšse 25

      29 Ce texte nous dĂ©crit l'histoire entre Jacob et son frĂšre, au sujet du droit d'aĂźnesse, qui revenait Ă  ÉsaĂŒ, par sa naissance, mais aussi Ă  Jacob selon la Promesse. Il s'agissait d'un privilĂšge spirituel ; nous voyons ici Jacob en quĂȘte d'obtenir ce droit d'aĂźnesse, mais en fait, il a cherchĂ© Ă  l'obtenir par la ruse, ce qui n'Ă©tait pas dans son habitude. Il avait raison de rechercher sincĂšrement la meilleure part, cependant, il avait tort de vouloir lĂ©ser son frĂšre. L'hĂ©ritage de leur pĂšre ne revenait pas, en premier lieu Ă  Jacob, Ă  cause de son ordre de naissance, et cela n'a pas Ă©tĂ© mentionnĂ© dans ce texte. Cette histoire prĂ©figure la future possession du pays de Canaan par la descendance du patriarche, et Ă©galement l'alliance faite avec Abraham quant Ă  Christ, la Semence promise. Jacob gardait toutes ces promesses en son cƓur, alors qu'ÉsaĂŒ les mĂ©prisait, par incrĂ©dulitĂ©.

      Bien que nous devrions ĂȘtre comme Jacob, en recherchant ce droit d'aĂźnesse spirituel, Ă©vitons soigneusement tout genre de ruse, devant l'attrait que pourraient nous offrir les plus grands gains.

      Le plat de lentilles de Jacob a excitĂ© l'appĂ©tit d'ÉsaĂŒ. « Laisse-moi, je te prie, manger de ce roux » ; C'est pour cela qu'on a donnĂ© Ă  ÉsaĂŒ le nom d'Édom. Assouvir l'appĂ©tit sensuel cause la ruine de milliers d'Ăąmes.

      Quand le cƓur des hommes succombe Ă  la convoitise de leurs yeux, Job 31:7, et quand ils servent leurs propres ventres, ils sont sĂ»rs d'ĂȘtre punis. Si nous refusons de cĂ©der au pĂ©chĂ©, nous brisons Ă  la base la plupart des tentations. On peut supposer qu'ÉsaĂŒ ne mourait pas de faim dans la maison d'Isaac. Le texte nous rapporte, « Voici, je m'en vais mourir » ; cela semble vouloir signifier, « je ne vivrai jamais assez pour hĂ©riter de Canaan, ou d'aucune de ces futures bĂ©nĂ©dictions promises par Dieu » ; « et quand bien mĂȘme elles seraient Ă  moi, je serai mort et loin de ce monde ».

      Ce sont là les propos d'un profane, cités par l'apÎtre en, Hébreux 12:16 ; ce mépris du droit d'aßnesse est blùmé, verset \\#34\\.

      Il n’y a pas de plus grande folie que de vouloir essayer de gĂ©rer nos intĂ©rĂȘts sans Dieu, sans Christ, et loin du ciel, en cĂŽtoyant les riches, les honneurs, et plaisirs de ce monde ; quelle mauvaise affaire d'avoir ainsi vendu son droit d'aĂźnesse pour un plat de lentilles ! ÉsaĂŒ a mangĂ© et a bu ; il a satisfait son palais et son appĂ©tit, puis, nĂ©gligemment, il s'est levĂ© et s'en est allĂ©, sans songer sĂ©rieusement Ă  la mauvaise transaction qu'il avait faite, sans la regretter. Il a dĂ©daignĂ© son droit d'aĂźnesse. Par sa nĂ©gligence, suivie de son mĂ©pris, pleinement satisfait de son acte, il a clos cette affaire. Les gens sont perdus, non seulement par leur faute, mais aussi par leur manque de repentance.

      Exode 16

      Nombres 11

      4 L'homme qui ne se repose jamais, finit par se sentir las et dĂ©pressif, malgrĂ© sa situation parfois aisĂ©e. Les enfants d'IsraĂ«l Ă©taient las de tout ce que Dieu leur fournissait, en particulier leur nĂ©cessaire et leur nourriture. Toutes ces choses Ă©taient gratuites et ne nĂ©cessitaient guĂšre de fatigue pour en profiter ! Le peuple se rappelait de la nourriture d'Égypte : les poissons, les divers lĂ©gumes, qu'il pouvait consommer Ă  volonté ; IsraĂ«l avait l'impression que tout cela Ă©tait gratuit, alors qu'en fait, c'Ă©tait le juste salaire d'une difficile servitude ! Alors qu'il mangeait la manne, il semblait exemptĂ© de la malĂ©diction que le pĂ©chĂ© avait amenĂ©e, lors de la chute de l'homme, au temps de la GenĂšse : « c'est Ă  la sueur de ton visage que tu mangeras du pain » ; en fait IsraĂ«l mĂ©prisait la manne. Il avait l'esprit maussade...

      Tout ce qu'envoyait l'Éternel avait des dĂ©fauts, malgrĂ© les bontĂ©s que lui manifestait ce Dernier. Ceux qui ont tout pour ĂȘtre heureux gĂąchent leur existence par leur insatisfaction permanente. Le peuple voulait Ă  tout prix de la viande. Ce dĂ©sir rĂ©vĂšle bien la domination qu'exerce le cĂŽtĂ© charnel sur notre vie : nous ne cherchons en fait que les dĂ©lices et la satisfactions des sens ! Nous ne devrions avoir aucune faiblesse, face aux dĂ©sirs qui ne seraient pas animĂ©s par la foi, dans la priĂšre : ne cherchons pas, comme nous pouvons le voir dans ce texte, Ă  avoir de la « viande », l'objet de notre convoitise. Si nous persistons dans cette envie, malgrĂ© le cĂŽtĂ© lĂ©gal et normal que cela pourrait avoir, alors que Dieu ne nous permet pas de l'obtenir, c'est commettre le mal !

      Job 1

      Job 2

      7 Le diable tente ses propres enfants et les mĂšne au pĂ©chĂ©, Il les Ă©prouve et les conduit Ă  la ruine ; dans notre passage, le serviteur de Dieu est affligĂ© et est alors tentĂ© de maudire cette affliction. Le diable a provoquĂ© Job pour que ce dernier maudisse Dieu. Cette souffrance Ă©tait trĂšs dure Ă  supporter. Si, Ă  tout moment, nous pouvons ĂȘtre Ă©prouvĂ©s par des maladies douloureuses et pĂ©nibles, ne pensons pas ĂȘtre traitĂ©s injustement, car Dieu peut parfois agir ainsi envers certains de Ses saints ou de Ses serviteurs les plus zĂ©lĂ©s. Job s'est humiliĂ© sous la puissante main de Dieu, il Lui a confiĂ© son esprit. Son Ă©pouse l'a incitĂ© Ă  maudire Dieu, pour mourir ensuite. Satan fait toujours des efforts pour Ă©loigner les hommes de Dieu, comme il l'a dĂ©jĂ  fait avec nos premiers parents, en leur suggĂ©rant de se rebeller contre le Seigneur ; rien n'est finalement plus mauvais pour l'homme. Mais Job a rĂ©sistĂ© et a surmontĂ© la tentation. Recevrions-nous, crĂ©atures sans valeur, fautives et souillĂ©es que nous sommes, beaucoup de bĂ©nĂ©dictions, d'un Dieu juste et saint, tout en refusant d'accepter la punition due Ă  nos pĂ©chĂ©s ? Nous sommes punis, en fait, tellement moins que nous ne le mĂ©ritons ! Que nos murmures, aussi bien que nos vantardises, s'Ă©loignent de nous Ă  jamais ! Jusqu'ici Job a rĂ©sistĂ© Ă  l'Ă©preuve, ce qui l'a affermi pour le tourment de l'affliction suivante. Il aurait pu naĂźtre en son cƓur des sentiments nĂ©gatifs, mais la GrĂące a eu finalement le dessus.

      Psaumes 78

      Matthieu 3

      Matthieu 4

      Matthieu 14

      Luc 4

      Luc 22

      Actes 9

      1 Thessaloniciens 3

      Hébreux 12

      Apocalypse 2

      Apocalypse 12

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