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Matthieu 8.5

Comme JĂ©sus entrait dans CapernaĂŒm, un centenier l'aborda,
Alors que JĂ©sus entrait dans CapernaĂŒm, un officier romain l'aborda et le supplia
Et comme il entrait dans CapernaĂŒm, un centurion vint Ă  lui, le suppliant,
When he came into Capernaum, a centurion came to him, asking him,
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      Matthieu 4

      Matthieu 8

      5 Ce centurion, mentionnĂ© dans ce texte, Ă©tait un paĂŻen, un soldat romain. Bien qu'il soit militaire, c’était cependant un homme pieux.

      Aucune vocation, ni le fait de se trouver en un lieu hostile, ne peuvent ĂȘtre une excuse Ă  l'incrĂ©dulitĂ© et au pĂ©chĂ©. Remarquez comment ce centurion exposa le cas de son serviteur : nous devons, de mĂȘme, nous sentir concernĂ©s par le sort des Ăąmes de nos enfants et de nos serviteurs, qui peuvent se trouver spirituellement malades, sans toutefois en ĂȘtre vraiment conscients, ou qui ne savent pas discerner le bien inhĂ©rent Ă  la piĂ©té ; nous devons les « apporter » Ă  Christ, par la foi et dans la priĂšre.

      Remarquez Ă©galement l’humilitĂ© de ce centurion : une Ăąme remplie de modestie est rendue encore plus humble, par l'action de la GrĂące de Christ.

      Observez la grande foi de ce Romain. Plus nous manquons d'assurance en nous-mĂȘmes, plus notre confiance sera affermie en Christ. Le centurion attribuait Ă  JĂ©sus, le pouvoir divin, et la pleine autoritĂ© sur toute crĂ©ature et puissance de la nature, tel un maĂźtre sur ses serviteurs. Nous devrions ĂȘtre ainsi, vouĂ©s au service de Dieu ; nous devrions aller et venir, selon les directives de Sa Parole et les dispositions de Sa Providence.

      Quand le Fils de l'homme viendra de nouveau ici-bas, Il ne trouvera, hĂ©las, qu’une petite foi, avec, comme consĂ©quence de modestes « fruits spirituels »... Une profession de foi n’étant que parure extĂ©rieure peut nous faire appeler « enfants de Dieu » ; mais si nous nous satisfaisons de cet Ă©tat, sans avoir rien d'autre Ă  tĂ©moigner, nous serons alors jetĂ©s dehors.

      Le serviteur du centurion fut guĂ©ri de sa maladie, son maĂźtre ayant obtenu l'approbation de sa foi. Le message adressĂ© Ă  ce militaire l’est Ă©galement Ă  tous : « crois, et tu recevras ; crois seulement ».

      Remarquez au passage, la Puissance de Christ, et le pouvoir de la foi. La guĂ©rison de notre Ăąme est subordonnĂ©e Ă  l’intĂ©rĂȘt manifeste que nous pouvons avoir, pour le sacrifice de Christ !

      Matthieu 9

      1

      JĂ©sus retourne Ă  CapernaĂŒm, et guĂ©rit un paralytique. (Matthieu 9:1-8)
      L’appel de Matthieu. (Matthieu 9:9)
      La fĂȘte chez Matthieu, (ou LĂ©vi). (Matthieu 9:10-13)
      Les objections des disciples de Jean. (Matthieu 9:14-17)
      Christ guérit la fille de Jaïrus, Il guérit la femme, à la perte de sang. (Matthieu 9:18-26)
      Il guérit deux aveugles. (Matthieu 9:27-31)
      Christ chasse un démon, d'un muet. (Matthieu 9:32-34)
      Il envoie les apĂŽtres en mission. (Matthieu 9:35-38)

      La foi des amis du paralytique qui l'amenÚrent à Christ, était grande ; ils croyaient fermement que Jésus-Christ pouvait le guérir, et qu'Il allait le faire.

      Une foi solide ne considùre aucun obstacle, pour se diriger vers Christ. Ces hommes disposaient d’une telle foi ; ils amenùrent le paralytique à Christ, convaincus de Sa Puissance. Il s’agissait d’une une foi active.

      Le pĂ©chĂ© peut ĂȘtre pardonnĂ©, alors que la maladie peut subsister, par contre la maladie peut ĂȘtre ĂŽtĂ©e, sans que le pĂ©chĂ© ne soit pardonné : si nous disposons du rĂ©confort de la Paix divine, avec en plus, la joie d’ĂȘtre guĂ©ri d'une maladie, cette guĂ©rison est alors rĂ©ellement une misĂ©ricorde. Cela ne doit surtout pas nous encourager Ă  pĂ©cher !

      Si l’on apporte son pĂ©chĂ© Ă  JĂ©sus-Christ, en tant que « maladie et misĂšre » dont on veut ĂȘtre guĂ©ri et dĂ©livrĂ©, c'est une bonne dĂ©marche ; mais si l’on veut venir Ă  Lui, sans vouloir renoncer Ă  ces pĂ©chĂ©s, nous commettons alors une grossiĂšre erreur, nous sommes victimes d’une misĂ©rable illusion. La grande intention de JĂ©sus, dans la RĂ©demption qu'Il offre, consiste Ă  sĂ©parer notre cƓur du pĂ©chĂ©. Notre Seigneur JĂ©sus a une parfaite connaissance de tout ce que nous pensons.

      Il y a une grande quantitĂ© de maux, dans les pensĂ©es coupables ; ils sont trĂšs offensifs pour le Seigneur. Christ a choisi de montrer que Sa grande mission dans le monde, Ă©tait de sauver Son peuple de ses pĂ©chĂ©s. Dans ce texte, Il a Ă©vitĂ© de dĂ©battre longuement avec les scribes : Il a parlĂ© de la guĂ©rison de l'homme malade. Non seulement ce dernier n'avait plus besoin d'ĂȘtre portĂ© sur son lit, mais il avait la force de porter sa couche !

      Dieu doit ĂȘtre glorifiĂ© pour toute Sa Puissance qu'Il nous accorde, pour accomplir le bien !

      Matthieu 11

      Matthieu 27

      Marc 2

      1

      Christ guĂ©rit un paralytique. (Marc 2:1-12). L'appel de LĂ©vi, et l'invitation faite Ă  JĂ©sus. (Marc 2:13-17). Pourquoi les disciples ne jeĂ»nĂšrent pas. (Marc 2:18-22). Il justifie Ses disciples d’avoir arrachĂ© des Ă©pis, le jour du Sabbat. (Marc 2:23-28)

      L’état misĂ©rable de ce paralytique Ă©tait tel, qu’il avait besoin d’ĂȘtre porté : c’est en quelque sorte, une image de la souffrance de l’humanitĂ©... Les quatre personnes qui le portĂšrent Ă©taient vraiment serviables : cela nous enseigne la compassion que devraient avoir les hommes envers leurs semblables, lors de l’épreuve. Une foi fervente et sincĂšre peut Ɠuvrer en divers domaines : ce n’est qu’à ce stade qu’elle sera acceptĂ©e et approuvĂ©e par JĂ©sus-Christ !

      Le pĂ©chĂ© est la cause de toutes nos douleurs et de nos maladies : le seul moyen d’en annuler les effets, est d'Ă©viter de le commettre. Le pardon des pĂ©chĂ©s « s’infiltre » jusqu'Ă  la racine de toutes les maladies. Christ a prouvĂ© Son pouvoir de pardonner le pĂ©chĂ©, en guĂ©rissant ce paralytique. La guĂ©rison de cette maladie Ă©tait en quelque sorte, une image de son pĂ©chĂ© pardonné : ce dernier est en effet la maladie de l'Ăąme ; quand il est pardonnĂ©, elle est guĂ©rie !

      Quand nous voyons Christ opĂ©rer ainsi pour la guĂ©rison des Ăąmes, nous devons reconnaĂźtre que nous n'avons jamais vu pareille chose ! La plupart des hommes pensent qu'ils sont en bonne santé : ils ne ressentent aucunement le besoin d’aller consulter un mĂ©decin ; de mĂȘme, sur le plan spirituel, ils dĂ©daignent ou nĂ©gligent Christ et Son Ă©vangile. Mais le pĂ©cheur humble et convaincu, celui qui dĂ©sespĂšre de recevoir toute aide, exceptĂ© celle du Sauveur, montrera sa foi, en ayant immĂ©diatement recours Ă  Lui !

      Marc 15

      Luc 7

      1

      Guérison du serviteur du centurion. (Luc 7:1-10)
      Le fils de la veuve est ressuscité. (Luc 7:11-18)
      Jean-Baptiste s’enquiert Ă  propos de JĂ©sus. (Luc 7:19-35)
      Christ est oint dans la maison du pharisien ; la parabole des deux débiteurs. (Luc 7:36-50)

      Les serviteurs doivent veiller Ă  ĂȘtre apprĂ©ciĂ©s de leurs maĂźtres. Les maĂźtres, de leur cĂŽtĂ©, doivent prendre un soin particulier de leurs serviteurs, quand ceux-ci sont malades. Nous pouvons aussi, par une priĂšre fidĂšle et fervente, nous adresser Ă  Christ quand la maladie touche notre famille.

      Se consacrer à la construction des lieux de culte, destinés à l'adoration du Seigneur, est une noble tùche et une preuve d'amour envers Dieu et Son peuple.

      Notre Seigneur JĂ©sus prit plaisir Ă  constater la foi de ce centenier ; jamais Il ne manque de rĂ©pondre aux attentes d’une telle foi, qui honore Sa Puissance et Son Amour. La guĂ©rison du serviteur fut alors immĂ©diate et parfaite !

      Actes 10

      1

      Corneille est envoyé pour chercher Pierre. (Actes 10:1-8)
      La vision de Pierre. (Actes 10:9-18)
      Il se rend chez Corneille. (Actes 10:19-33)
      Son discours Ă  Corneille. (Actes 10:34-43)
      Les dons du Saint-Esprit sont octroyés. (Actes 10:44-48)

      Jusqu'alors personne n'avait été baptisé dans l'église naissante, mis à part quelques Juifs, des Samaritains, et des nouveaux convertis qui avaient été circoncis et qui observaient la loi de cérémonie ; désormais, les « Gentils » étaient appelés à bénéficier de tous les privilÚges du peuple de Dieu.

      Une religion pure et non souillĂ©e se trouve quelquefois lĂ , oĂč nous l'attendons le moins. Quand la crainte de Dieu rĂ©git le cƓur, on voit apparaĂźtre quelquefois des actes de charitĂ© et de piĂ©tĂ© authentiques.

      Corneille possĂ©dait indubitablement une vĂ©ritable foi en la Parole de Dieu ; il faisait de son mieux pour La comprendre, mais cette foi n'Ă©tait pas encore totalement Ă©clairĂ©e au sujet de la doctrine de Christ : cet Ă©claircissement fut l'Ɠuvre de l'Esprit de Dieu, par le biais de JĂ©sus, le MĂ©diateur, avant mĂȘme que Corneille ne s’en rende compte ; il en est de mĂȘme pour nous, lorsque Ă©tant morts dans nos pĂ©chĂ©s, nous sommes ramenĂ©s Ă  la vie ! Toujours par le biais de Christ, les priĂšres de Corneille et ses aumĂŽnes ont Ă©tĂ© acceptĂ©es par Dieu.

      Sans broncher ni tarder, Corneille obéit à la vision céleste.

      En ce qui concerne notre ùme, ne perdons pas de temps !

      9 Les prĂ©jugĂ©s de Pierre envers les « Gentils », l'auraient empĂȘchĂ© de rencontrer Corneille, si le Seigneur ne l'avait prĂ©parĂ© pour ce ministĂšre.

      Faire comprendre Ă  Pierre, qui Ă©tait Juif, que Dieu lui demandait de reconnaĂźtre comme purs ces animaux qui jusqu'Ă  prĂ©sent Ă©taient considĂ©rĂ©s comme impurs, pouvait signifier pour l’apĂŽtre que la loi de MoĂŻse Ă©tait abolie. Pierre devait heureusement connaĂźtre rapidement la signification de cette vision !

      Dieu connaĂźt quels sont les ministĂšres qui nous attendent, et comment nous y prĂ©parer ; nous comprendrons Ă  postĂ©riori les motifs de Son enseignement lorsque nous aurons vraiment l’occasion de passer Ă  l’Ɠuvre.

      19 Quand nous ressentons clairement l’appel du ciel pour un ministĂšre particulier, nous ne devons pas nous embarrasser de doutes ni des divers scrupules qui pourraient survenir de nos prĂ©jugĂ©s.

      Corneille avait demandĂ© Ă  ses amis de se rĂ©unir, afin qu’ils bĂ©nĂ©ficient avec lui de l’enseignement spirituel que tous attendaient de Pierre.

      Ne cherchons pas Ă  bĂ©nĂ©ficier seuls de l’enseignement spirituel. Tentons, dans l’amour et le respect d’autrui, d’inviter nos parents et amis Ă  se joindre Ă  nous, lĂ  oĂč l’on enseigne la Parole.

      Corneille a annoncĂ© les directives que Dieu lui avait donnĂ©es pour envoyer chercher Pierre. Nous sommes dans le droit chemin quand nous obĂ©issons Ă  l’appel divin du ministĂšre de l’annonce de l’Évangile. Il est parfois frĂ©quent de voir des serviteurs de Dieu hĂ©siter Ă  se dĂ©placer pour annoncer la Parole dans certaines assemblĂ©es relativement modestes, mais nĂ©anmoins, bien prĂ©sentes aux yeux du Seigneur...

      Tous ces hommes de CĂ©sarĂ©e Ă©taient prĂȘts Ă  entendre ce que Dieu avait commandĂ© Ă  Pierre d'annoncer !

      Actes 22

      Actes 23

      Actes 27

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