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24
Hénoc marcha avec Dieu, puis *il ne fut plus là, parce que Dieu l’avait pris.
36
Leur père Jacob leur dit : « Vous me privez de mes enfants ! Joseph n'est plus là, Siméon n'est plus là et vous prendriez Benjamin ! C'est sur moi que tout cela retombe. »
19
Quand cesseras-tu de me fixer du regard ? Quand me laisseras-tu le temps d'avaler ma salive ?
20
Ma vie est si courte ! Laisse-moi, éloigne-toi de moi pour que je respire un peu
21
avant de m'en aller, pour ne pas en revenir, dans le pays des ténèbres et de l'ombre de la mort,
5
» Si les jours de l’homme sont fixés, si tu as déterminé le nombre de ses mois, si tu en as marqué les limites qu'il ne peut franchir,
6
détourne les regards de lui et accorde-lui du répit pour qu'il ait au moins la joie du salarié à la fin de sa journée !
10
Quant à l'homme, il meurt et il reste inerte. Quand l’être humain expire, où est-il ?
11
» L’eau de la mer se retire, les fleuves arrêtent de couler et deviennent tout secs.
12
De la même manière, l'homme se couche pour ne plus se relever. Il ne se réveillera pas tant que le ciel subsistera, il ne sortira pas de son sommeil.
13
Ecoute ma prière, Eternel, et prête l’oreille à mes cris ! Ne sois pas insensible à mes larmes, car je suis un étranger chez toi, un résident temporaire, comme tous mes ancêtres.
13 et 14 Requête finale.
En passage, en séjour, littéralement : je suis étranger, habitant (et non citoyen). Le psalmiste rappelle qu'il ne possède rien en propre sur la terre et qu'il ne vit que de ce que l'Eternel veut bien lui accorder. Comparez Genèse 23.4 ; 1Pierre 2.11.