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1 Jean 3.18

Mes petits enfants, n'aimons pas de paroles ni de la langue, mais en action et en vérité.

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      Exode 33

      Ezéchiel 33

      Matthieu 25

      Romains 12

      9 L'amour mutuel entre les chrétiens, doit être sincère, sans hypocrisie, sans arrière pensée, ni flatteries. Dépendant de la Grâce divine, il doit détester tout mal, aimer et se plaire dans tout ce qui est bon et utile.

      Nous ne devons pas seulement pratiquer ce qui est bon, mais nous devons nous y attacher. Tout notre devoir envers notre prochain se résume en un mot : l'amour. Ce dernier se manifeste chez les parents, envers leurs enfants, il est plus tendre et naturel que tout autre, il n’est pas hypocrite, il n’a pas de contrainte.

      L'amour pour Dieu et notre prochain, avec du zèle pour l'Évangile, rendra le chrétien sage, appliqué à toutes ses occupations ici-bas, en lui permettant d'obtenir, à l’occasion, une bonne compétence professionnelle. Dieu doit être servi, sous l’influence du Saint-Esprit. Il est honoré par notre espérance et notre confiance en Lui, particulièrement quand nous nous réjouissons dans de telles pensées. Nous servons le Seigneur, non seulement quand nous travaillons pour Lui, mais aussi lorsque nous restons sereins, face aux souffrances de l’épreuve.

      La patience à l'égard de Dieu est la véritable piété. Ceux qui se réjouissent dans l'espérance céleste seront vraisemblablement patients dans la tribulation. Ne négligeons pas la pratique de la prière, sans nous lasser.

      Non seulement les chrétiens doivent savoir exprimer de la gentillesse pour leurs amis et leurs frères, mais ils ne doivent pas céder à la colère, même contre leurs ennemis. Celui qui n’adresse que de simples paroles d’encouragement à son frère dans le besoin, se moque de lui : en fait, il doit pourvoir à son soutien. Soyez prêt à aider ceux qui pratiquent le bien : si l'occasion se présente, nous devons accueillir des étrangers. Bénissez-les, ne maudissez pas. Cela exige beaucoup de bonne volonté ; il ne s’agit pas de ne les bénir que dans nos prières, en les maudissant en d'autres temps : il faut les aimer en permanence, n’ayant aucune pensée négative à leur égard.

      Le véritable amour chrétien nous fera prendre part aux peines et aux joies des uns et des autres. Cherchez, dans toute la mesure du possible, à vous entendre avec vos frères, dans les mêmes vérités spirituelles ; quand vous constatez que cela est parfois difficile, soyez au moins unis dans votre amour mutuel. Considérez l’orgueil de ce monde et tous ses fastes, avec un saint mépris. N'y portez pas attention ; ne le convoitez pas.

      Contentez-vous de la position où Dieu vous a placés, dans Sa sainte Providence. Rien ne pourra plus nous nuire que le péché. Nous n’éprouverons jamais de condescendance envers les autres, si nous sommes dépassés par nos propres iniquités ; c'est pourquoi tout péché qui subsiste en nous doit être mortifié.

      1 Corinthiens 13

      4 Ce texte nous montre quelques « bénéfices » apportés par l’amour, afin que nous puissions juger si nous les possédons, ou dans le cas contraire, que nous ne cessions de les rechercher. L’amour est une preuve tangible de notre régénération spirituelle, il est à la base de notre foi en Christ.

      Dans cette belle description de la nature et des effets de l'amour, l’apôtre désirait montrer aux Corinthiens que leur conduite était, sous de nombreux aspects, loin d’être en phase avec ces préceptes. La charité (l’amour) est totalement opposée à l'égoïsme ; elle ne désire ni ne cherche sa renommée, son honneur, son profit, ni sa satisfaction. Elle ne cherche pas à anéantir spécialement notre amour-propre, ni nos intérêts. Elle ne se satisfait jamais en blessant les autres, ou en les négligeant. Elle recherche toujours le bien-être et l’avantage personnel de notre prochain.

      L’amour du chrétien est vraiment merveilleux ! Quel beau témoignage pourrait avoir le christianisme, si ceux qui le professent vivaient davantage sous ce principe divin, en considérant l’intérêt qui lui est dû, et en respectant le commandement que son Auteur merveilleux a institué à son sujet !

      Demandons-nous si cet amour divin demeure en notre cœur. Guide-t-il notre comportement envers tous les hommes ? Sommes-nous disposés à laisser de côté notre égoïsme ? Nous avons dans ce texte un véritable appel à la vigilance, à l'assiduité, et la prière !

      Galates 5

      13 L'Évangile est une « doctrine » conforme à la piété, 1Ti 6:3 ; Il est si opposé à la tolérance du moindre péché, qu'Il nous exhorte expressément à éviter toute dérive en ce domaine et à en rester maître.

      L'apôtre insiste sur le fait que toute la loi est accomplie par l’obéissance à cette seule directive : « tu aimeras ton prochain comme toi-même ». Si des chrétiens, qui normalement, doivent s'entre-aider et se réjouir mutuellement dans le Seigneur, se querellent, ils ne peuvent s’attendre qu’à voir le Dieu d'amour et le Saint-Esprit quitter leur cœur, et être remplacés par de vaines pensées, qui ne les mèneront qu’à leur destruction.

      Quel bonheur, si les chrétiens, au lieu de se quereller mutuellement, sous des prétextes d'opinions différentes, pouvaient « s'associer » contre le péché qui réside en eux-mêmes et dans les communautés qu’ils représentent !

      Galates 6

      1

      Exhortations à la douceur, à la gentillesse, et à l'humilité. (Galates 6:1-5)
      La gentillesse envers tous les hommes, en particulier les croyants. (Galates 6:6-11)
      Les Galates mis en garde contre ceux qui professent du Judaïsme. (Galates 6:12-15)
      Bénédiction solennelle. (Galates 6:16-18)

      Nous devons porter nos fardeaux mutuellement. Nous accomplirons ainsi la loi de Christ ! Ce type de conduite oblige à une indulgence et une compassion mutuelles, selon l’exemple de notre Seigneur. Il nous appartient de porter nos fardeaux ensemble, tels des compagnons de voyage.

      Il est très facile de se considérer sage et meilleur que les autres, et de ce fait, de leur dicter leur conduite. Celui qui agit ainsi se trompe lui-même et cette fausse prétention, aura plus ou moins rapidement de tristes conséquences. Cette haute opinion de soi-même est toujours vaine, que ce soit dans nos rapports avec Dieu ou avec les autres. En fait, chacun est tenu de prouver la motivation de ses propres œuvres : pour le Seigneur ou au service de notre égoïsme...

      Plus nous connaissons notre propre cœur et les voies que nous empruntons, moins nous aurons tendance à mépriser les autres, et serons disposés à les aider, dans leurs difficultés et leur détresses.

      Qu’ils nous paraissent bien légers les péchés que nous commettons, alors qu'ils sont en fait bien plus pesants lorsque nous les confessons devant Dieu ! Nul ne peut payer de rançon pour les péchés de son frère ; l’iniquité est un fardeau spirituel pour l'âme ; plus un homme y reste insensible, plus il doit s’examiner attentivement.

      La plupart des hommes sont morts dans leurs péchés, sans avoir ressenti le sens de ce fardeau spirituel. Quand nous sommes conscients du poids réel de nos péchés, nous devons chercher à nous en alléger, par notre Sauveur, Jésus-Christ ; prions pour qu’Il nous sensibilise, à chaque fois que nous pratiquons l’iniquité !

      Ephésiens 4

      1

      Exhortations à l’humilité, à l’amabilité, à la patience et à l’unité de l’Esprit. (Ephésiens 4:1-6)
      À un usage correct des dons spirituels et des grâces. (Ephésiens 4:7-16)
      À la pureté et la sainteté. (Ephésiens 4:17-24)
      À prendre garde aux péchés pratiqués parmi les païens. (Ephésiens 4:25-32)

      Rien n'est plus recommandé dans l'Écriture, que de marcher d’une manière digne de ceux qui sont appelés au Royaume de Christ, pour connaître Sa gloire. En toute sagesse, nous pouvons comprendre qu’il s’agit d’une marche opposée à tout orgueil, excellente pour la disposition de l'âme et qui ne prédispose pas les individus à la provocation.

      Dans notre chemin de la sanctification, nous constatons beaucoup de chutes personnelles, auxquelles nous pouvons difficilement échapper. Ne soyons pas surpris de constater chez notre prochain, une conduite qu’il nous serait difficile de tolérer dans notre cas.

      Il existe un Sauveur, Christ, en Lequel tous les croyants se confient, et un ciel où ils placent toute leur espérance ; tous ces rachetés doivent posséder un même cœur.

      Les Éphésiens reconnaissaient avoir une harmonie dans la foi : cette dernière avait le même objet, le même Auteur, la même nature, et la même puissance. Tous ont cru aux grandes vérités de la piété ; ces chrétiens ont tous été admis dans l'église par le baptême, avec de l'eau, au Nom du Père, du Fils, et du Saint-Esprit ; c’était le témoignage de leur régénération.

      Dieu le Père demeure en chaque croyant : ce dernier en est Son saint temple, par Son Esprit et Sa Grâce merveilleuse.

      1 Thessaloniciens 1

      Jacques 2

      1 Pierre 1

      1 Jean 2

      1

      L'apôtre exhorte le croyant à évoquer l'expiation de Christ, pour être aidé, après avoir péché. (1 Jean 2:1,2)
      Les effets de la connaissance « à salut » qui produit l'obéissance et l'amour pour les frères. (1 Jean 2:3-11)
      Les chrétiens sont considérés comme des petits enfants, de jeunes hommes, puis des pères. (1 Jean 2:12-14)
      Tous sont mis en garde contre l'amour de ce monde et contre les erreurs doctrinales. (1 Jean 2:15-23)
      Tous sont encouragés à tenir fermes dans la foi et la sainteté. (1 Jean 2:24-29)

      Nous avons en Jésus-Christ, un Avocat auprès du Père ; Christ est en effet entièrement capable de plaider en faveur de ceux qui implorent le pardon et le salut, en Son Nom, et de plaider en faveur de ceux de qui dépend Son intercession.

      Jésus est le Sauveur, le Christ, le Messie, l'Oint. Il est « le Juste », Celui qui a préservé de tout péché, Sa nature pure ; Il est notre Garant, Celui qui a parfaitement obéi à la loi de Dieu, donc accompli toute justice.

      Les hommes de tous les pays et de toutes générations, sont invités à s’approcher de Dieu, grâce à cette expiation, « chemin » nouveau et vivant entièrement suffisant.

      Quand l'Évangile est correctement compris et accepté, Il dispose le cœur à l’encontre de tout péché, et à arrêter toute pratique de ce dernier ; Il accorde en même temps un soulagement béni aux consciences blessées de ceux qui ont chuté dans l’iniquité.

      2 Jean 1

      1

      Cette deuxième épître est en quelque sorte un résumé de la première ; elle aborde en peu de termes, pratiquement les mêmes points.

      Dans ce texte, la « Dame élue » est citée en référence pour l'éducation vertueuse et religieuse donnée à ses enfants ; elle est exhortée à demeurer dans la doctrine de Christ, à persévérer dans la vérité, et à éviter avec soin les vains enseignements des faux docteurs. Mais l'apôtre l'implore avant tout, pour qu’elle pratique ces grands commandements, qui concernent l'amour et la charité chrétienne.

      * L'apôtre salue la Dame élue et ses enfants. (2 Jean 1:1-3) Il exprime sa joie, au vu de leur foi et leur amour. (2 Jean 1:4-6) Il les met en garde contre les faux docteurs. (2 Jean 1:7-11) Conclusion de l’épitre. (2 Jean 1:12,13)

      2 Jean 1:1-3 La piété permet d’offrir des compliments sincères, au moyen de véritables expressions de respect et d'amour. Celui qui sert le Seigneur depuis de nombreuses années est une personne honorable ; un responsable spirituel l'est encore plus.

      Cette deuxième lettre de l’apôtre est adressée à une mère respectable, d’origine chrétienne, et à ses enfants ; il est bon que l'Évangile soit également diffusé de cette manière, en étant adressé à de vénérables personnes.

      Les familles doivent être encouragées et exhortées à pratiquer leurs devoirs familiaux, dans l’amour. Ceux qui aiment la vérité et la piété doivent aimer constater ces mêmes sentiments chez les autres ; cette dame « Kyria, l’élue », était estimée non pas pour son rang, mais pour sa sainteté. Là où la piété demeure vraiment, elle y séjourne pour toujours !

      L'apôtre implore Dieu le Père et Son Fils, d'accorder la grâce, la faveur divine, la miséricorde, sources de toutes bénédictions. C'est en effet une grâce que toute bénédiction spirituelle puisse être accordée à des mortels coupables. Il en est ainsi pour la Miséricorde, la libre amnistie et le pardon céleste ; ceux qui sont déjà riches dans la Grâce, ont cependant besoin d'un pardon continuel.

      Quelle bénédiction en effet de vivre dans la paix, en toute tranquillité d'esprit, avec une conscience pure, étant réconciliés avec Dieu, dans la prospérité : tous ces éléments sont joints à la Vérité et à l’Amour de ce Dernier.

      4 Il est bon d'être formé de bonne heure à la piété ; les enfants sont des bien-aimés au sein d’une famille, quand leurs parents veillent sur eux avec soin.

      Ce fut une grande joie pour l'apôtre de pouvoir constater que ces enfants marchaient dans les pas de leurs parents, prêts à diffuser l'Évangile, à leur tour. Puisse Dieu vraiment bénir de telles familles et faire que beaucoup puissent imiter leur exemple. Qu’il est agréable de constater un tel contraste avec le grand nombre de parents qui, hélas, ont répandu le mépris de la piété, l'infidélité et le vice parmi leurs enfants !

      Notre « marche spirituelle » est droite et notre conversation authentique, lorsque nous nous conduisons conformément à l’enseignement de la Parole de Dieu.

      Le commandement d'amour fraternel, parmi les chrétiens, peut être considéré comme « moderne », par rapport à ce qui était déclaré à l’origine, par Christ, notre Seigneur ; en fait, dans son fondement, c'est un principe biblique ancien. Cet amour est également bénéfique pour notre âme, lorsque nous obéissons aux commandements divins. La prévoyance de régression spirituelle, aussi bien que d'autres apostasies, ont poussé l'apôtre à exalter toujours et vivement l’amour.

      7 Les séducteurs et leurs manières d’opérer leurs tromperies, sont décrits dans ce texte : on constate dans les évangiles, leurs vaines démarches à l’encontre de la personne ou la fonction du Seigneur Jésus.

      Ces faux docteurs sont en fait des trompeurs, des séducteurs, et des antichrist ; ils trompent les âmes, et sapent la gloire et le royaume de Christ, notre Seigneur. Ne pensons pas qu'il soit étrange de nos jours, qu'il y ait de telles personnes, s’opposant au Nom de Christ et à Sa dignité : il y en avait déjà au temps des apôtres. Plus l’on rencontre de ces personnes, avec tout leur lot de supercheries, plus les enfants de Dieu doivent rester vigilants.

      Il est triste de constater que tout le merveilleux enseignement acquis dans les églises, à « l'école de Christ », puisse être perdu à jamais. Le moyen de gagner la pleine récompense spirituelle est de demeurer vraiment EN Christ et de rester fidèle et constant dans l’exercice de la piété, toute notre vie. Un attachement ferme à la vérité chrétienne nous unit à Christ, ainsi qu’au Père : Ils ne sont en effet tous deux, qu’une seule et même Personne.

      Nous devons nous détourner de ceux qui n’obéissent pas à la doctrine de Christ, de ceux qui transgressent Ses commandements. Toute personne qui n'enseigne pas et ne prêche pas cette doctrine de Christ, Le considérant comme le Fils de Dieu, et annonçant que le salut qu’Il offre, ôte la culpabilité et le péché, ne doit pas être prise en considération, ni même écoutée.

      Cependant, pour obéir aux commandements du Seigneur, sachons témoigner de la gentillesse et manifester un bon esprit envers ceux qui n’ont pas encore tout à fait les mêmes convictions spirituelles que nous, mais qui s'attachent fermement aux doctrines essentielles relatives à la Personne de Christ, en ce qui concerne l'expiation des péchés et le salut.

      12 L'apôtre Jean reporte de nombreux points qui seront traités lors d’un futur entretien avec certaines personnes.

      La plume et l'encre étaient utilisées à l’époque pour fortifier et réconforter les autres, mais le fait de voir directement les personnes était bien plus efficace ! La communion des saints doit être maintenue par tous les moyens ; elle doit tendre à la joie mutuelle.

      Dans la communion fraternelle, nous trouvons une grande part de notre joie présente, et nous pouvons en attendre toute félicité spirituelle éternelle !

      3 Jean 1

      1

      Cette épître est adressée à un païen récemment converti. Son objet est de lui recommander la fermeté dans la foi et l’hospitalité, spécialement envers ceux qui servent Christ.

      L'apôtre félicite Gaïus pour sa piété et son hospitalité. (3Jean 1:1-8)
      Il le met en garde contre Diotrèphe, loin d’être irréprochable ; mais il lui recommande de fréquenter Démétrius, un homme excellent. (3Jean 1:9-12)
      Il espère voir bientôt Gaïus. (3Jean 1:13,14)

      Les bien-aimés EN Christ doivent manifester de l’amour fraternel, au Nom du Seigneur.

      La prospérité de l'âme est la plus grande bénédiction ici-bas. La Grâce et la santé sont également de merveilleux attributs : une âme spirituellement riche peut résider dans un corps affaibli ou diminué ; la Grâce s’exerce alors en s’adaptant pleinement à une telle situation.

      Nous pouvons souhaiter et prier que ceux qui connaissent la prospérité spirituelle, puissent disposer d’une excellente santé ; que leur témoignage puisse véritablement « briller » !

      De nombreuses personnes aisées devraient méditer ces paroles de l'apôtre : prions avec ferveur que ces âmes puissent prospérer autant que leur santé et leur carrière ! Une foi véritable œuvre conjointement avec l’amour. Ceux qui sont bénis doivent en témoigner, non seulement devant l'église, mais aussi devant tous. Un homme bon se réjouira vraiment de la prospérité de son prochain ; il sera heureux d'entendre parler de la Grâce et des bénédictions des autres.

      Quelle joie pour de bons parents, de pouvoir constater que leurs enfants honorent leur profession de foi. Il en est de même pour les conducteurs constatant le bon témoignage de leurs enfants spirituels. Gaïus n'a fait aucune différence entre les chrétiens véritables qu’il fréquentait : il a aidé sans distinction tous ceux qui portaient « l'image » de Christ, et œuvraient pour Lui. C’était un homme droit, un serviteur assidu.

      Les âmes fidèles au Seigneur peuvent entendre leur entourage les féliciter, sans en tirer gloire : elles placent ces compliments en hommage au pied de la croix de Christ.

      Les chrétiens doivent d’abord considérer quel est leur devoir, mais aussi comment l’accomplir : ils doivent être capables de réaliser les tâches communes dans l’église, avec bonne volonté, dans la piété, servant ainsi le Seigneur, pour Sa gloire.

      Les personnes qui diffusent gratuitement l'Évangile de Christ doivent être aidées par ceux qui disposent de moyens que Dieu leur a donnés. Ceux qui ne peuvent pas directement proclamer l’Évangile doivent cependant recevoir, aider, et soutenir ceux qui le font !

      9 Il faut veiller à la fois sur notre cœur, comme sur nos paroles. Diotrèphe n’était animé que par la fierté et l'ambition.

      Il est regrettable de ne pas pratiquer le bien que l’on est censé faire ; il est encore pire de vouloir entraver ceux qui veulent le pratiquer !

      Les avertissements et les conseils donnés dans ce texte seront probablement acceptés plus facilement s'ils sont donnés avec amour.

      « Poursuivez » le bien, car celui qui le pratique et qui prend plaisir en cela, est né de Dieu. C'est en vain que ceux qui exercent le mal prétendent ou se glorifient de connaître Dieu. Ne cherchons pas à imiter l’orgueilleux, l’égoïste, celui qui a de mauvais desseins, bien que l’on puisse parfois, considérant leur rang ou leur pouvoir, chercher à suivre leur exemple ; soyons plutôt de bons serviteurs de Dieu, marchons dans l'amour, suivant l'exemple de notre Seigneur !

      13 Ce texte nous décrit le caractère de Démétrius.

      Avoir son nom dans l’Évangile, ou un bon témoignage dans les églises, est bien meilleur que tous les honneurs du monde. Il est rare de pouvoir constater une unanimité, relative à la conduite d’une personne ; ce n’est pas d’ailleurs toujours très profitable...

      Heureux ceux dont l'esprit et la conduite les recommandent devant Dieu et les hommes. Nous devons être prêts à leur exprimer notre faveur ; il est bon de se recommander mutuellement, en toute fraternité.

      Bien souvent, un face à face direct fait gagner du temps, évite les mauvaises interprétations et diverses méprises qui peuvent surgir des écrits ; de véritables chrétiens sont d’ailleurs toujours heureux de se rencontrer, pouvant s’accorder mutuellement cette bénédiction : « que la paix et le bonheur soient avec toi » !

      Ceux qui espèrent vivre ensemble dans le ciel peuvent se saluer et se congratuler mutuellement ici-bas. En imitant l'exemple des chrétiens mentionnés dans ce texte, nous aurons la paix au cœur, et vivrons en paix avec les frères ; nos échanges avec les enfants de Dieu, ici-bas, seront merveilleux et nous serons comptés avec eux dans la gloire éternelle !

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