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1 Rois 21

    • 1

      1 Ă  16 Le crime.

      Jizréel, la résidence d'été (18.45).

      Samarie. Le mot désigne ici la ville. Ce n'est que plus tard que le nom de Samarie a été donné à tout le pays des dix tribus.

      3

      Ce refus ne provenait pas d'un esprit d'opposition à la volonté de son roi, mais du respect qu'il avait pour la loi de l'Eternel. Celle-ci défendait en effet à chaque Israélite d'aliéner la propriété que lui avait assignée l'Eternel (Lévitique 25.23-28 ; Nombres 36.7).

      4

      Mécontent et fâché ; même expression que 20.43.

      A sa maison : à Samarie (verset 18). Achab est retenu par des scrupules que ne connaît pas Jézabel.

      7

      Tu vas maintenant... On donne le plus souvent à ces mots un sens ironique en en faisant une question : Es-tu, oui ou non, roi... ? Mais ils peuvent bien renfermer une exhortation humiliante à exercer enfin son autorité de roi. Elle lui montre comment il faut s'y prendre pour cela.

      8

      Dans la ville de Naboth : en opposition à Samarie où résidait en ce moment Achab.

      Qui habitaient avec lui ; qui devaient ainsi connaître sa piété et son honnêteté.

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      Publiez un jeûne ; comme si un grand crime avait été commis, dont toute la ville devrait s'humilier. C'était déjà préjuger le crime imputé à Naboth.

      Au premier rang, comme accusé.

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      Deux mauvais sujets. La loi réclamait deux témoins (Deutéronome 17.6 ; 19.15). Pour jouer un pareil rôle, il fallait des gens capables de tout, c'est-à-dire ne valant rien ; c'est là le sens littéral du mot employé (beli-jaal).

      Blasphémé, littéralement : béni, expression ironique comme notre locution vulgaire : envoyer promener. Peut-être Naboth avait-il parlé avec indignation de l'exigence du roi.

      Dieu et le roi sont également réunis dans Exode 22.28. Parler mal du roi, c'était du même coup mal parler de Dieu dont le roi était le représentant.

      Lapidez-le : comparez Lévitique 24.15-16 ; et cela hors de la ville, en évitation de souillure ! comparez Nombres 15.35-36.

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      Selon ce qui était écrit. Un ordre écrit et avec le cachet du roi ! Y résister, sous une telle reine, leur semble impossible.

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      Il est mort. C'est le fait ; Achab n'a pas à s'inquiéter de savoir comment il est arrivé si à point. Par 2Rois 9.26, nous apprenons que les fils de Naboth, ses héritiers, avaient été lapidés avec lui.

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      Pour descendre. Samarie était plus élevée que Jizréel, qui se trouvait dans la plaine d'Esdraélon. Achab accomplissait ainsi la menace 1Samuel 8.14, avec cette différence que c'était pour lui-même et non pour ses serviteurs qu'il s'appropriait le bien de ses sujets.

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      17 Ă  26 La sentence divine.

      Descends. Nous ne savons où Elie vivait retiré depuis son retour d'Horeb, peut-être sur le Carmel.

      19

      Et tu lui parleras... et tu lui parleras. Ces mots, deux fois prononcés, accentuent fortement le sérieux de la sentence divine.

      Tu as tué ; laisser tuer, c'est tuer.

      Dans le lieu, et non pas seulement, comme plusieurs traduisent en échange de ce que ; voir 2Rois 9.26. Mais il est à remarquer que ce fut en la personne d'Achazia, fils d'Achab, que s'accomplit ce trait spécial de la menace ; le sang d'Achab fut léché par les chiens à Samarie. Cette différence se lie à la modification de la sentence accordée à Achab ensuite de sa repentance.

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      Mon ennemi : 18.17.

      21

      21 Ă  22. Comparez 15.29-30.

      Tout mâle (1Samuel 25.23). La suite montrera l'accomplissement de ces menaces. Achazia mourut d'une chute dans le champ de Naboth, transformé en palais de plaisance ; Joram fut tué par Jéhu ; les autres fils d'Achab furent massacrés et leurs têtes mises dans des sacs. Ainsi fut redemandé le sang de Naboth et de ses fils.

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      Sous le rempart. Comparez 2Rois 9.30 et suivants et Jéhu passait par la porte, à son entrée dans la ville, quand Jézabel attira à dessein sur elle sa colère et fut jetée entre le mur et l'avant-mur.

      24

      La même menace est, depuis 14.11, prononcée toujours de nouveau sur les rois impies.

      25

      C'est que... Le narrateur interrompt son récit par les réflexions contenues versets 25 et 26. Le sens est : cette punition extraordinaire n'était pas trop rigoureuse, car aussi les crimes de celte famille avaient passé toute mesure.

      27

      27 Ă  29 Repentance d'Achab.

      Marchait doucement ; à pas lents, comme un homme brisé par la douleur. Cette repentance était sincère, quoique peu profonde ; aussi l'Eternel lui en tient-il compte. Dès qu'il a déchiré ses vêlements, revêtu le sac et la corde, et qu'il s'est couché dans la poussière, Dieu dit à Elie : N'as-tu pas vu qu'Achab s'est humilié ? Dieu, a dit quelqu'un, paie par un bienfait temporaire une repentance temporaire.

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