2 Corinthiens 2.16
pour les uns, un parfum de mort qui donne la mort, pour les autres, un parfum de vie qui donne la vie. – Et pour cette mission, qui donc est qualifié ? –
A ceux-ci, une odeur mortelle, donnant la mort ; et à ceux-là, une odeur vivifiante, donnant la vie. Et qui est suffisant pour ces choses ?
Pour ceux-ci, c’est une odeur fatale qui vient de la mort et y conduit ; elle leur fait pressentir leur fin et le jugement. Pour les autres, c’est un parfum vivifiant qui mène à la vie (nouvelle et éternelle). Et qui donc est à la hauteur d’un tel ministère ? Quel homme est capable d’assumer pareilles responsabilités ?
A ceux-ci, une odeur mortelle, donnant la mort ; et à ceux-là, une odeur vivifiante, donnant la vie. Et qui est suffisant pour ces choses ?
Pour ceux-ci, c’est une odeur fatale qui vient de la mort et y conduit ; elle leur fait pressentir leur fin et le jugement. Pour les autres, c’est un parfum vivifiant qui mène à la vie (nouvelle et éternelle). Et qui donc est à la hauteur d’un tel ministère ? Quel homme est capable d’assumer pareilles responsabilités ?
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- La connaissance de Dieu par l'Evangile, (verset 14) et de même ceux qui la répandent, (verset 15) sont appelés la bonne odeur de Christ, quel que soit l'effet de cette connaissance.
Dans la nature, comme dans le monde moral, la même influence (celle du soleil, par exemple) peut vivifier, développer certains êtres, tandis que pour d'autres elle est nuisible et hâte leur dissolution.
Telle est aussi la double action de l'Evangile ; il produit la vie ou la mort. La vie de Dieu, manifestée et communiquée en Christ, pénètre le pécheur qui la reçoit, et le ressuscite d'entre les morts ; mais cette puissance divine (Romains 1.16) tue celui qui, résistant à Dieu, se refuse à être abaissé, crucifié, dépouillé de sa vie propre. C'est la même vérité que le Seigneur annonce en d'autres termes. (Matthieu 16.25)
Ainsi, là même où l'Evangile provoque la contradiction, l'irritation, la haine, il n'en est pas moins la bonne odeur de Christ. Ce résultat est inévitable pour plusieurs ; mais ce n'est pas celui que doivent rechercher les serviteurs de Dieu.
Aucun homme, par ses propres forces ou sa propre sagesse, (2Corinthiens 3.5) mais seulement celui qui comprend et pratique verset 17, selon le contraste absolu qu'il exprime. Tels sont les éléments d'après lesquels tous ceux qui veulent entrer dans cette vocation sainte doivent s'examiner eux-mêmes. Un diplôme académique n'est point une réponse à la question redoutable posée par l'apôtre.