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Moïse retourna vers l'Eternel et dit : « Seigneur, pourquoi as-tu fait du mal à ce peuple ? Est-ce pour cela que tu m'as envoyé ?
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Depuis que je suis allé trouver le pharaon pour parler en ton nom, il fait du mal à ce peuple et tu n'as pas du tout délivré ton peuple. »
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» Tu m'as persuadé, Eternel, et je me suis laissé persuader. Tu y es allé fort avec moi et tu as gagné. Je suis chaque jour un sujet de raillerie, tout le monde se moque de moi.
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En effet, chaque fois que je parle, il faut que je crie, que je crie pour dénoncer la violence et la persécution ! Oui, la parole de l'Eternel m’expose constamment à la honte et aux moqueries.
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» Si je dis : ‘Je ne ferai plus mention de lui, je ne parlerai plus en son nom’, alors il y a dans mon cœur comme un feu dévorant qui est retenu dans mes os. Je me fatigue à essayer de le contenir, sans y parvenir.
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mais quand il cause du chagrin, il fait preuve de compassion, tant sa bonté est grande.
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Pendant qu'ils mangeaient, il dit : « Je vous le dis en vérité, l'un de vous me trahira. »
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Ils furent profondément attristés et chacun se mit à lui dire : « Est-ce moi, Seigneur ? »
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Le Seigneur se retourna et regarda Pierre. Pierre se souvint alors de ce que le Seigneur lui avait dit : « Avant que le coq chante [aujourd'hui], tu me renieras trois fois. »
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Il sortit et pleura amèrement.
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Mais parce que je vous ai parlé ainsi, la tristesse a rempli votre cœur.
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Il lui dit, la troisième fois : « Simon, fils de Jonas, as-tu de l’amour pour moi ? » Pierre fut attristé de ce qu'il lui avait dit, la troisième fois : « As-tu de l’amour pour moi ? » et il lui répondit : « Seigneur, tu sais tout, tu sais que j’ai de l’amour pour toi. » Jésus lui dit : « Nourris mes brebis.
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En effet, si je vous attriste, qui peut me réjouir, sinon celui que j'ai attristé ?
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J'ai écrit comme je l'ai fait pour ne pas être attristé, à mon arrivée, par ceux qui devaient me donner de la joie ; car en ce qui vous concerne, je suis convaincu que ma joie est aussi la vôtre, à vous tous.
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C'est dans une grande souffrance, le cœur angoissé et avec beaucoup de larmes que je vous ai écrit, non pas afin de vous attrister, mais afin que vous sachiez quel amour débordant j'ai pour vous.
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Si quelqu'un a été une cause de tristesse, ce n'est pas moi qu'il a attristé, c'est vous tous, du moins dans une certaine mesure, pour ne rien exagérer.
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Le blâme qui lui a été infligé par la majorité d’entre vous est suffisant pour cet homme.
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Maintenant, au contraire, vous devez plutôt lui pardonner et l'encourager, de peur qu'il ne soit accablé par une tristesse excessive.
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Je vous engage donc à faire preuve d'amour envers lui,
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car je vous ai aussi écrit dans le but de savoir, en vous mettant à l'épreuve, si vous êtes obéissants à tout point de vue.
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Or à qui vous pardonnez, je pardonne aussi ; et si j'ai pardonné quelque chose à quelqu’un, je l'ai fait à cause de vous, en présence de Christ,
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afin de ne pas laisser à Satan l'avantage sur nous, car nous n'ignorons pas ses intentions.
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Mais Dieu, qui réconforte ceux qui sont abattus, nous a encouragés par l'arrivée de Tite,
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Cette même tristesse selon Dieu, voyez quel empressement elle a produit en vous ! Quelles excuses, quelle indignation, quelle crainte, quel désir ardent, quel zèle, quelle punition ! Vous avez démontré à tout point de vue que vous étiez purs dans cette affaire.
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D'ailleurs, puisque nos pères terrestres nous ont corrigés et que nous les avons respectés, ne devons-nous pas d’autant plus nous soumettre à notre Père céleste pour avoir la vie ?
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Nos pères nous corrigeaient pour un peu de temps, comme ils le trouvaient bon, tandis que Dieu le fait pour notre bien, afin que nous participions à sa sainteté.
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Certes, au premier abord, toute correction semble un sujet de tristesse, et non de joie, mais elle produit plus tard chez ceux qu’elle a ainsi exercés un fruit porteur de paix : la justice.
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Moi, je reprends et je corrige tous ceux que j'aime. Aie donc du zèle et repens-toi !
Si l'apôtre s'était repenti d'avoir écrit sa lettre et de s'y être montré si sévère, ce qu'il ne nie nullement, mais qu'il affirme au contraire, cela ne veut point dire qu'il eût douté d'avoir été dans le vrai. Mais, incertain du résultat, plein de sympathie pour la tristesse de ses frères, il pouvait se demander : "Ai-je bien fait ?" Et toutefois son œuvre était de Dieu.
C'est ainsi que plus d'un serviteur de Christ, après quelque acte de sévérité accompli dans la foi, voyant la douleur qu'il a causée, peut, dans ses courtes vues et par amour pour ses frères affligés, craindre d'avoir été trop loin. L'exemple de l'apôtre nous montre que, dans ces cas-là, ce n'est pas une stoïque insensibilité qui est la vraie disposition d'un ministre fidèle, même s'il a la conviction d'avoir bien agi.
- Calvin, prenant le mot se repentir dans le sens de éprouver de la douleur, écarte l'idée du repentir proprement dit ou du regret, et paraphrase ainsi ce passage : "Quoique je vous aie froissés malgré moi, et que j'aie éprouvé de la douleur d'avoir été forcément dur envers vous, je ne m'en afflige plus, car je vois que je vous ai été utile." (verset 9)
Mais à quoi bon forcer les termes au lieu de leur laisser leur sens naturel ? Pour sauver une certaine théorie de l'inspiration ? Ne vaut-il pas mieux la réformer d'après l'Ecriture même ? L'Esprit de Dieu ne supprime aucune des affections ou même des fluctuations de ceux qu'il éclaire et anime ; il s'en sert même très avantageusement pour révéler tout entière cette vérité qui, pour nous être accessible, doit rester à la fois divine et humaine.