12
Les Israélites firent encore ce qui déplaßt à l'Eternel et l'Eternel donna de la force à Eglon, le roi de Moab, contre Israël. Cela arriva parce qu'ils avaient fait ce qui déplaßt à l'Eternel.
3
Quand IsraĂ«l avait semĂ©, les Madianites montaient avec Amalek et les nomades de lâest et marchaient contre lui.
4
Ils campaient en face de lui, dĂ©truisaient les produits du pays jusque vers Gaza et ne laissaient en IsraĂ«l ni vivres, ni brebis, ni bĆufs, ni Ăąnes.
5
En effet, ils montaient avec leurs troupeaux et leurs tentes, arrivant comme un essaim de sauterelles ; il était impossible de les compter, eux et leurs chameaux, et ils venaient dans le pays pour le dévaster.
6
Israël fut plongé dans une grande misÚre à cause de Madian, et les Israélites criÚrent à l'Eternel.
5
A la mort d'Achab, le roi de Moab se révolta contre le roi d'Israël.
7
Puis il se mit en marche et fit dire Ă Josaphat, le roi de Juda : « Le roi de Moab s'est rĂ©voltĂ© contre moi. Veux-tu venir avec moi pour combattre Moab ? » Josaphat rĂ©pondit : « Je vais monter avec toi : toi et moi, ton peuple et le mien, tes chevaux et les miens, il nây aura aucune diffĂ©rence. »
24
Lorsquâils arrivĂšrent vers le camp d'IsraĂ«l, les IsraĂ©lites se levĂšrent et frappĂšrent les Moabites, qui prirent la fuite devant eux. Les IsraĂ©lites pĂ©nĂ©trĂšrent dans le pays de Moab et battirent ce peuple.
25
Ils dĂ©molirent les villes, ils jetĂšrent chacun des pierres dans tous les bons champs jusquâĂ les en remplir, ils bouchĂšrent toutes les sources d'eau et ils abattirent tous les bons arbres. Il ne resta plus que Kir-HarĂ©seth et ses pierres, mais les soldats armĂ©s de frondes l'encerclĂšrent et la battirent.
26
Voyant qu'il avait le dessous dans le combat, le roi de Moab prit avec lui 700 hommes armés d'épées pour se frayer un passage jusqu'au roi d'Edom, mais ils n'y parvinrent pas.
27
Il prit alors son fils aĂźnĂ©, celui qui devait devenir roi Ă sa place, et l'offrit en holocauste sur la muraille. Les IsraĂ©lites Ă©prouvĂšrent alors un tel sentiment dâindignation quâils s'Ă©loignĂšrent du roi de Moab et retournĂšrent dans leur pays.
2
Or, les Syriens avaient mené des expéditions, et ils avaient ramené prisonniÚre une petite fille du pays d'Israël. Celle-ci était au service de la femme de Naaman,
23
Le roi d'Israël leur fit servir un grand repas, et ils mangÚrent et burent. Puis il les renvoya et ils repartirent vers leur maßtre. Les troupes des Syriens ne revinrent plus sur le territoire d'Israël.
20
Elisée mourut et on l'enterra. L'année suivante, des troupes de Moabites pénétrÚrent dans le pays.
2
Alors l'Eternel envoya contre Jojakim des troupes de Babyloniens, des troupes de Syriens, des troupes de Moabites et des troupes d'Ammonites. LâEternel les envoya contre Juda pour le dĂ©truire, conformĂ©ment Ă la parole quâil avait prononcĂ©e par lâintermĂ©diaire de ses serviteurs les prophĂštes.
16
On l'enterra dans la ville de David avec les rois, parce qu'il avait fait du bien en Israël, en rapport avec Dieu et avec son temple.
2
Des hommes pieux enterrĂšrent Etienne et le pleurĂšrent beaucoup.
La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
20 et 21 Ce miracle devait-il ĂȘtre envisagĂ© comme une garantie des promesses d'ElisĂ©e qui s'accompliraient aprĂšs sa mort ?
Des bandes de Moabites. Ces bandes de pillards arrivaient au commencement de l'année, immédiatement avant la moisson. Au reste les mots traduits par : au commencement de l'année, sont trÚs obscurs et ont été diversement compris.
Dieu dispose de nombreux moyens pour chùtier le peuple qui ose Le provoquer. Les ennuis ont parfois des origines complÚtement inattendues !
La mention de l'invasion des Moabites, lors de la mort d'ĂlysĂ©e, rĂ©vĂšle que lorsque Dieu reprend prĂšs de Lui Ses fidĂšles prophĂštes, il s'agit d'un prĂ©sage de Jugement cĂ©leste imminent.
Le cadavre du prophĂšte fut Ă l'origine de la rĂ©surrection de cet homme mort, jetĂ© Ă cĂŽtĂ© de lui. Ce miracle fut une confirmation des prophĂ©ties d'ĂlysĂ©e. Il fait Ă©galement rĂ©fĂ©rence Ă Christ, dont la mort et l'inhumation firent de Son tombeau, le « lieu de passage » symbolique de la mort Ă la vie, pour tous les croyants.
Joas fut vainqueur contre les Syriens, uniquement le nombre de fois qu'il frappa la terre avec ses flÚches ; ensuite cette succession de victoires cessa.
Beaucoup ont cherché à se repentir, alors qu'il était trop tard et qu'ils se trouvaient en pleine détresse, dans une situation complÚtement désespérée.