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14
Puis il s’approcha de la civière et posa sa main sur elle. Les porteurs s’arrêtèrent. — Jeune homme, dit-il, je te l’ordonne, lève-toi !
11
Il s’y trouvait une femme sous l’emprise d’un esprit qui la rendait infirme depuis dix-huit ans : elle était toute voûtée et ne pouvait jamais se redresser complètement.
12
Lorsque Jésus la vit, il l’appela et lui dit : — Femme, tu es délivrée de ton infirmité !
13
Il posa ses mains sur elle. Immédiatement, elle se redressa, et se mit à louer Dieu.
8
Eh bien, lève-toi, lui dit Jésus, enroule ta natte et marche !
9
À l’instant même, l’homme est guéri. Il enroule sa natte et se met à marcher. Mais voilà, cela s’est passé un jour de sabbat.
12
Vraiment, je vous l’assure, celui qui croit fermement en moi accomplira lui-même les œuvres que je fais. Il fera même de plus grandes choses, parce que je retourne auprès du Père.
6
Mais Pierre lui dit : — Je n’ai ni argent ni or, mais je possède autre chose et je te l’offre : au nom de Jésus-Christ de Nazareth, lève-toi et marche !
7
En même temps, il le prit par la main droite et l’aida à se lever. Immédiatement, ses jambes et ses chevilles se raffermirent ;
8
d’un saut il fut sur ses pieds, et le voilà qui se mit à marcher. Il entra avec eux dans la cour du temple, gambadant, bondissant, chantant les louanges de Dieu.
33
Il y trouva un homme du nom d’Énée qui n’avait pas quitté son lit depuis huit ans parce qu’il était paralysé. —
34
Énée, lui dit Pierre, Jésus-Christ te guérit : lève-toi et arrange toi-même ton lit. Immédiatement, il se leva.
10
il lui commanda d’une voix forte : — Lève-toi, tiens-toi droit sur tes pieds ! D’un bond, il fut debout et se mit à marcher.
Une inscription récemment retrouvée a permis de fixer son emplacement près du village de Khatyn Seraï, à 20 kilomètres au sud sud-ouest d'Iconium.
C'était alors une colonie romaine. Les missionnaires s'y trouvaient en plein paganisme, se heurtant à de grossières superstitions, qui ne se révéleront que trop dans ce récit.
Ici, point de synagogue où Paul puisse commencer de prêcher ; il parle, selon toute apparence, sur la place publique.
Parmi ses auditeurs, le plus attentif probablement était un pauvre impotent, perclus dès sa naissance. (Grec : dès le sein de sa mère.)
Il se tenait là, assis tandis que l'auditoire était debout ; il écoutait la parole de Paul qui pénétrait dans son âme. Il faut remarquer cet imparfait (B, C) qui dénote la durée de l'action et qui est préférable à l'aoriste. (Sin., A, D.)
La recension occidentale fait de l'impotent un prosélyte juif, car elle porte d'après D : il écoutait étant dans la crainte de Dieu.
Cette indication est peu vraisemblable. Paul, après avoir fini son discours, ayant arrêté son regard sur ce malheureux, vit à la vive expression de sa physionomie qu'il avait la foi pour être guéri ; le grec porte pour être sauvé, et Paul prêchait, en effet, le salut.
Mais d'après le contexte, la foi que l'apôtre lisait dans les regards du malheureux avait pour premier objet la délivrance de ses maux physiques, puisque la vue de cette foi lui donna à lui-même la conviction que l'impotent pouvait être guéri. De là son ordre plein d'assurance : Lève-toi !
A cet ordre, par la puissance de Dieu, la force et la vie sont rendues aux membres perclus de l'impotent.
Il faut remarquer le changement du temps des verbes : Il sauta (Sin B, A, C), d'un seul bond, il se leva sur ses pieds. et il marchait car ici, il y a continuité dans l'action ; la guérison est complète.