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Actes 9.15

Mais le Seigneur lui dit : Va ; car cet homme m'est un vase d'élection pour porter mon nom devant les nations et les rois, et les fils d'Israël ;

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      Exode 4

      Jérémie 1

      Jonas 3

      1

      La prédication de Jonas, envoyé de nouveau à Ninive. (Jon 3:1-4)
      Ninive est épargnée grâce à la repentance de ses habitants. (Jon 3:5-10)

      L’Éternel emploie de nouveau Jonas à Son service.

      Le fait que Dieu nous utilise, est l'évidence qu'Il est en paix avec nous. Jonas n'était plus désobéissant, comme par le passé. Il n’a pas cherché à faire « la sourde oreille » au commandement de l’Éternel, ni refusé de Lui obéir.

      On peut voir ici la véritable nature de la repentance : c'est le changement de notre esprit, de nos voies, avec un retour à notre travail et à notre devoir. Remarquez également le « bénéfice » de l'affliction : elle ramène à leur place d’origine, ceux qui l'ont au préalable désertée. Notez le pouvoir de la Grâce divine : à cause du péché l'affliction d’une âme aurait plutôt tendance à l’éloigner de Dieu, à l’inverse de la Grâce, qui Elle, l’attire vers Lui !

      Les serviteurs de Dieu doivent se rendre où Celui-ci les envoie, venir quand Il les appelle, et accomplir ce qu'il leur est ordonné : nous devons faire tout ce que la Parole du Seigneur nous commande.

      Jonas remplit sa mission avec courage et fidélité. A-t-il, par ses paroles, exagéré la gravité de la situation, pour révéler davantage la colère de Dieu à l’encontre de Ninive, ou a-t-il simplement répété inlassablement les mêmes paroles, que l’Éternel lui avait confiées initialement ? Nous ne le savons pas, mais le sens de son message devait être sans équivoque.

      Quarante jours, c'est une longue période, révélant la patience de l’Éternel, quant à l’exécution de Ses jugements ; c’est malgré tout, un temps très court pour qu’un peuple inique se repente et retourne dans le droit chemin !

      Cela ne devrait-il pas nous amener à nous préparer à l’au-delà, considérant que nous ne pouvons pas être absolument assurés de vivre encore quarante jours, (comme le « sursis » de Ninive à cette époque) ? Nous serions en plein émoi si nous étions certains de ne pas pouvoir vivre plus d'un mois ; nous sommes parfois bien négligents : avons-nous seulement la certitude de vivre encore ne serait-ce, qu’un seul jour...

      Matthieu 10

      Jean 15

      Actes 9

      Actes 13

      Actes 21

      19 Paul attribuait toute l’éloquence et la qualité de ses prédications à Dieu : tous les frères louèrent alors le Seigneur. Dieu avait jusqu’à présent vraiment honoré Paul, plus que tous les autres apôtres ; cependant personne ne l’enviait, par jalousie, tous, au contraire, glorifiaient le Seigneur. Ils ne pouvaient pas mieux faire que d'encourager Paul à continuer son œuvre dans la joie.

      Jacques et les anciens de l'église de Jérusalem demandèrent à Paul de satisfaire les Juifs croyants, en se conformant en certains points, aux lois de cérémonie. Ils pensaient qu'il était prudent pour lui de respecter encore certaines coutumes juives. Il était toutefois assez ténébreux de tenter toute démarche d’indulgence à ce sujet, vis-à-vis de ces frères, tous étant désormais sous le régime de la Grâce. L’enseignement prêché par Paul n'avait pas pour but d’éradiquer la loi, mais de l'accomplir. L’apôtre prêcha Christ, et la fin de la dispensation de la loi, pour le bénéfice de la Justice rédemptrice, par la repentance et la foi, en lesquelles nous ne faisons, sur ce point, qu’accomplir la loi.

      La faiblesse et le mal qui animent le cœur humain se manifestent vraiment quand nous voyons à quel point ces disciples de Christ, marquaient une confiance quelque peu limitée envers Paul, le serviteur de Dieu le plus éminent qui ait jamais vécu. D’après ce texte, nous pouvons constater que ni l'excellence de son tempérament, ni le succès avec lequel Dieu bénit son travail ne purent gagner l’estime et l’affection complète des disciples envers l’apôtre.

      Combien devons-nous rester vigilants quant à nos jugements ! Les apôtres, dans l’exercice de leurs fonctions, n'étaient pas à l’abri de toute chute éventuelle ; il serait difficile d'accuser Paul d’avoir voulu trop ouvrir toute polémique relative à la discorde dans ce texte. Il est vain d'entreprendre de « courtiser » la faveur des zélotes ou des bigots. Cet accord de Paul n'a pas reçu la bonne réponse escomptée, car tout ce qu'il faisait, dans l'espoir de pacifier les Juifs, ne faisait que les exciter, et ne lui provoquait en fait que des ennuis.

      Mais Dieu, dans Sa Sagesse, a utilisé à la fois les conseils de ces disciples et l'acquiescement de Paul pour servir un meilleur but que celui qui était initialement prévu. Il était vain de penser satisfaire des hommes qui n’éprouvaient du plaisir qu’hors des racines du christianisme.

      L'intégrité et la droiture nous guideront plus sainement que l’hypocrisie. Ce texte nous avertit qu’il ne faut pas pousser les hommes à agir contre leur gré, de façon à satisfaire simplement nos désirs personnels.

      Actes 22

      Actes 25

      Actes 26

      1

      La défense de Paul, devant Agrippa. (Actes 26:1-11)
      Sa conversion et sa prédication aux Païens. (Actes 26:12-23)
      Festus et Agrippa sont convaincus de l'innocence de Paul. (Actes 26:24-32)

      Le christianisme nous apprend à donner une raison de l'espérance qui est en nous, et d'honorer Celui à qui l'honneur est dû, sans crainte de qui que ce soit et loin des influences néfastes des hommes.

      Agrippa connaissait bien l'Ancien Testament ; il pouvait donc être à même de juger toute controverse relative à Jésus, le Messie. On peut espérer que les serviteurs de Dieu qui prêchent la foi en Christ, peuvent s'attendre à être entendus avec patience. Paul professa qu'il avait gardé toute l’instruction qu’il reçut en premier lieu ; il est même devenu compétent en la matière. Nous voyons dans ce texte, ce que sa religion représentait pour lui. L’apôtre était un moraliste, un homme de vertu, il n’était pas sujet à la malice et à l’avidité des pharisiens ; on ne pouvait l’accuser ni de vice ni d’irrévérence relatifs à sa religion. Il avait une foi saine. Il avait toujours eu un saint respect pour les promesses que Dieu avait adressées aux pères d’Israël, et avait bâti son espérance sur elles.

      L'apôtre savait très bien que tous ces éléments étaient incapables de le justifier devant Dieu, mais il savait cependant qu’ils étaient propices à sa réputation parmi les Juifs, tout en tendant à leur démontrer qu'il n'était pas l’homme qu'ils pensaient. Bien que le récit de sa « rencontre » avec Christ pouvait provoquer sa perte, il le fit pour servir l'honneur de son Sauveur.

      Remarquez, dans ce texte, la véritable nature de la religion de Paul : il ne manifestait plus le même zèle, qu’au temps de sa jeunesse, pour la loi et les cérémonies de l’ancienne alliance ; les sacrifices et les offrandes, de l’époque de l’Ancien Testament, ont été annulés par le grand Sacrifice de notre Seigneur, dont ils n'étaient que l’image. Le sacerdoce lévitique était désormais remplacé par celui de Christ ; toutefois, Paul restait toujours aussi zélé pour sa religion.

      Christ et le ciel sont les deux grandes doctrines de l'évangile ; Dieu nous a donné la vie éternelle, et cette vie est en Son Fils. Telle est la base de la promesse qui a été faite aux patriarches d’Israël. Le service du temple, ou les les cérémonies religieuses, ont été perpétrés sans interruption, dans l’attente de cette promesse de la vie éternelle. Cette perspective du salut en Jésus-Christ, doit nous engager à être assidus et sincères dans toutes nos dévotions.

      Les sadducéens détestaient Paul car ce dernier prêchait la résurrection ; le reste des Juifs se joignirent à eux, parce que l’apôtre affirmait que Jésus était ressuscité et qu'Il était le Rédempteur promis d'Israël.

      Les nombreuses convictions qui peuvent découler de la nature infinie, des perfections de Celui qui les a révélées et des promesses qu’Il a faites, ne sont hélas pas prises en considération par beaucoup de personnes. Paul reconnaissait que du temps où il était encore pharisien, il était un ennemi acharné du christianisme. Tels étaient son caractère et sa manière de vivre au début de sa vie ; toute sa conduite, avant qu’il ne rencontre Christ, ne pouvait que l'empêcher de devenir chrétien...

      Ceux qui ont été les plus stricts quant à leur conduite, avant leur conversion, trouveront de nombreuses raisons de s'humilier, face à leurs erreurs passées, même celles qu'ils pensaient être alors légitimes.

      Actes 27

      Actes 28

      17 Les principaux des Juifs allaient examiner le cas de Paul, dans le but de l’acquitter et de lui rendre tout l'honneur qui lui était dû. En faisant appel à César, l’apôtre ne cherchait pas à accuser sa nation, il voulait seulement clarifier sa situation ambigüe.

      Le véritable christianisme s’applique à toute l'humanité, il n’a pas été « bâti » sur des opinions étroites, ni des intérêts privés. Il ne vise pas les bénéfices de ce monde ni ses avantages, mais tous ses buts sont spirituels et éternels. Il est, et a toujours été critiqué, alors qu’il représente la sainte « vie spirituelle » en Christ !

      Regardons toutes les villes et les villages où Christ est glorifié, en tant que seul Sauveur de l'humanité, où chacun est appelé à Le suivre en nouveauté de vie : nous pouvons voir à quel point ceux qui se donnent à Lui, sont parfois considérés comme faisant partie intégrante d'une secte, subissant ainsi de nombreuses sarcasmes. Tel est le traitement que ces enfants de Dieu sont parfois appelés à subir, tant qu'il restera des impies ici-bas...

      23 Paul voulait persuader les Juifs de la véracité de tout ce qui concernait Jésus. Certains étaient « travaillés » par la Parole, alors que d'autres restaient endurcis dans leur refus de croire ; certains admiraient cette Lumière spirituelle, alors que d'autres fermaient leurs yeux. Le même genre de réaction a toujours existé lorsque l'Évangile a été prêché...

      Paul se sépara alors de ces Juifs, observant que le Saint-Esprit avait bien décrit leur incrédulité. Tous ceux qui entendent l'Évangile sans y porter une sérieuse attention, devraient trembler devant la ruine spirituelle qui les guette ; en effet, qui pourra les « guérir du péché », si Dieu n’intervient ?

      Ces Juifs eurent ensuite beaucoup de discussions entre eux. De nombreuses personnes font de grands raisonnements, tout en restant néanmoins dans l’erreur. Elles sont parfois en désaccord avec leur entourage, mais ne veulent pas cependant céder à l’évidence de la Vérité. En fait, elles ne peuvent être convaincues par le message de l’Évangile qu’elles entendent, sans que la Grâce de Dieu n’ouvre leur esprit.

      Si nous pouvons éprouver de la tristesse devant l’attitude de tels contempteurs, nous devons néanmoins nous réjouir que le salut de Dieu soit envoyé à d'autres, qui eux, le recevront ! Si nous faisons partie de cette dernière catégorie, nous devons être reconnaissants envers Celui qui nous a apporté ce salut.

      L'apôtre est resté fidèle à son principe faire connaître et ne prêcher rien d'autre que Christ, Christ crucifié. Les chrétiens qui sont tentés de s'écarter de leur « devoir », doivent reconsidérer leur situation en se posant ces questions : ma nouvelle orientation concerne-t-elle le Seigneur Jésus ? Que va-t-elle réellement m’apporter, quels en seront les impacts dans ma marche spirituelle avec Lui ?

      Paul n'a pas vanté ses propres mérites, mais il a prêché Christ, sans éprouver aucune honte pour l'Évangile. Bien que l’opportunité de son témoignage ait été relativement courte, il put prêcher sans être dérangé. Même si cette « ouverture spirituelle », (son témoignage), fut éphémère, personne ne put la fermer ; pour beaucoup ce fut une prédication efficace, puisqu'il est dit qu'il y avait des saints, même dans la maison de César, Philippiens 4:22.

      Nous apprenons aussi dans Philippiens 1:13, comment la Providence divine dirigea, par l’emprisonnement de Paul, la diffusion de l'Évangile. Non seulement les Romains, mais toute l'église de Christ encore aujourd’hui, même dans les endroits les plus reculés du globe, ont une véritable raison de bénir le Seigneur, pour le fait que Paul, au plus fort de sa maturité et de son expérience spirituelle, ait été détenu prisonnier et qu’il ait pu ainsi annoncer l’Évangile. C'était de sa prison, de sa main probablement enchaînée à celle du soldat qui le gardait, que l'apôtre écrivit ses épîtres aux Éphésiens, aux Philippiens, aux Colossiens, et peut-être aux Hébreux ; ces lettres témoignaient peut-être plus que toutes les autres, de l'amour chrétien dont son cœur débordait, et l'expérience spirituelle qui animait son âme.

      Le croyant du temps présent peut ressentir éventuellement moins de joie céleste que l'apôtre Paul, mais chaque partisan du Sauveur est également sûr de pouvoir jouir jusqu’au terme de sa vie, de la sécurité et de la paix spirituelles. Cherchons à vivre de plus en plus dans l'Amour du Sauveur ; œuvrons de façon à Le glorifier dans tous nos faits et gestes ; nous serons alors avec certitude, par Sa force et dès à présent, parmi le nombre des « vainqueurs » ; par Sa Miséricorde et Sa Grâce, nous serons bientôt dans la compagnie bénie de ceux qui seront assis auprès de Christ sur Son trône ; Il est Lui-même vainqueur et est assis sur le trône de Son Père, à la droite de Dieu, pour l'éternité !

      Romains 1

      1

      En écrivant aux Romains, l'apôtre semblait vouloir adresser, par son enseignement, des éléments de réponse aux incrédules, tout en instruisant les croyants Juifs ; il voulait également affermir la foi des chrétiens et convertir les païens idolâtres ; de plus, l’écrivain désirait souligner l’égalité des « Gentils » et des Juifs, en ce qui concerne leur condition religieuse et leur place dans la faveur divine.

      Ces buts multiples sont présentés au lecteur, par le biais d’oppositions et de divers raisonnements, tant avec les Juifs, (incrédules ou non), qu’avec les « Gentils ».

      Le chemin de l'acceptation d'un pécheur par Dieu, c'est-à-dire Sa justification, simplement par la Grâce, est clairement affirmé au travers de la foi en la Justice de Christ, sans distinction de nations. Cette doctrine se distingue des objections soulevées par les chrétiens judaïques, partisans de créer des critères d'accession au salut, par un mélange de la loi et de l'Évangile, et pour priver les païens de toute participation aux bénédictions apportées par le Messie. Dans la conclusion de l’épitre, l’auteur incite à la sainteté, par le biais de nombreuses exhortations pratiques.

      * La mission de l'apôtre. (Romains 1:1-7) Il prie pour les saints à Rome, et désire les rencontrer. (Romains 1:8-15) Le chemin de l'Évangile et de la justification par la foi, tant pour les Juifs que pour les Gentils. (Romains 1:16,17) Les péchés des Gentils sont révélés. (Romains 1:18-32)

      Romains 1:1-7 La doctrine enseignée par l'apôtre Paul expose l'accomplissement des promesses faites par les prophètes : il s’agit en fait de Jésus-Christ, le Sauveur, le Messie promis, de la descendance de David, par sa nature humaine, mais déclaré Fils de Dieu, par le pouvoir Divin qui Le ressuscita des morts. La profession chrétienne n’est pas constituée d’une connaissance théorique des Écritures, ni d’un simple consentement à une idéologie, encore moins de vaines discussions, mais uniquement d'obéissance. Seuls ceux qui sont amenés à l'obéissance de la foi peuvent prétendre « appartenir à Jésus-Christ.

      Nous pouvons voir dans ce texte : 1- Le privilège des chrétiens : ils sont les bien-aimés de Dieu, et sont membres du « corps spirituel », lui aussi bien-aimé. 2- Le devoir des chrétiens : ils doivent être saints, (ils sont en effet appelés à le devenir).

      Au début de cette épitre, l'apôtre Paul salue les « bienaimés qui sont à Rome », leur souhaitant la Grâce pour sanctifier leur âme, et la Paix pour consoler leur cœur ; ces deux bénédictions émanent de la Miséricorde divine, du Père, réconcilié avec tous les croyants, par le biais du Seigneur Jésus-Christ !

      Romains 9

      Romains 11

      Romains 15

      1 Corinthiens 15

      Galates 1

      1

      En général, les églises de Galatie étaient composées de Juifs et de « Gentils » convertis. Paul, par les doctrines qu'il enseignait, affirme ici son caractère apostolique, lorsqu'il confirme aux églises des Galates, le point primordial de la justification, par la foi uniquement.

      Ce sujet est essentiellement le même que celui débattu dans l'épître aux Romains, à savoir, la justification acquise seulement par la foi.

      Cependant, dans cette épître, l'attention est particulièrement attirée sur le fait, que les hommes sont justifiés par la foi, sans les œuvres de la loi de Moïse.

      Au sujet de l'importance des doctrines développées dans l’épître aux Galates, Luther s'exprime ainsi : « nous devons les considérer avec une certaine crainte, car elles ne sont pas en effet dénuées de certains dangers, en particulier, que Satan nous dissuade de la justification par la foi, pour apporter dans l'église la théorie des œuvres et des traditions humaines. Il est donc vraiment nécessaire que ce précepte soit exercé, en tant qu'entraînement continuel et commun, par ceux qui lisent la Parole, comme par ceux qui L’écoutent. Si cette doctrine de la justification par la foi se perd, alors seront perdues celles de la Vérité, de la vie et du salut » !

      * L'apôtre Paul affirme son caractère apostolique devant ceux qui cherchent à le diminuer. (Galates 1:1-5) Il blâme les Galates lorsqu'ils se révoltent contre l'Évangile de Christ, sous l'influence des faux docteurs. (Galates 1:6-9) Il prouve l'autorité divine de sa doctrine et de sa mission ; il décrit quel était son état d’âme, avant sa conversion et sa vocation. (Galates 1:10-14) Il continue, en décrivant comment il a procédé après cela. (Galates 1:15-24)

      Galates 1:1-5 Paul était apôtre de Jésus-Christ ; il a été nommé expressément par ce Dernier, donc, par Dieu le Père, qui est « Un » avec Lui, selon Sa nature Divine ; Christ est ici désigné comme Médiateur.

      La Grâce inclut la bonté divine à notre égard, et toute l’œuvre du Père, envers nous ; il en est de même pour la paix qu’Il nous accorde, ce « confort spirituel » qui nous est vraiment nécessaire. Tout cela provient de Dieu le Père : c’est une sorte de « Fontaine spirituelle », par le biais de Jésus-Christ !

      Remarquez bien le contenu de ce texte : nous trouvons en premier la Grâce, puis, la Paix ; il ne peut y avoir de paix réelle sans cette Grâce. Christ s'est donné lui-même pour nos péchés, Il a été fait « expiation » pour nous : c'est ce qu'a exigé la Justice divine ; Christ s'est soumis librement à la volonté du Père. On remarquera au passage l'infinie grandeur de ce prix acquitté, qui révèle manifestement, que le pouvoir du péché est si grand, qu'il ne pouvait y avoir aucun autre moyen pour l'expier, sinon le don du Fils de Dieu.

      Celui qui prend réellement en considération ce sacrifice, comprend que le péché est l’acte le plus horrible qui puisse être exprimé ; cela devrait en effet nous faire réagir, même, nous effrayer.

      Remarquez particulièrement ces termes : « pour nos péchés ». Par ces propos, notre faible nature commence à réagir, et voudrait, en premier lieu, traiter le problème elle-même. Cela pourrait tendre à nous prouver que cette « maladie » de l’iniquité s'étend à un ensemble d'individus, sans qu'il y ait besoin de médecin, pour non seulement nous éviter la colère de Dieu et la malédiction de la loi, mais aussi pour nous désentraver des mauvaises pratiques et habitudes auxquelles nous sommes asservis par nature.

      En fait, il est vain, pour ceux qui ne sont pas délivrés du présent « mal de ce monde » par la sanctification de l'Esprit, d'espérer être libérés de cette condamnation autrement que par le sang de Jésus...

      15 Paul a été merveilleusement conduit à connaître Christ, par la foi.

      Tous ceux qui sont sauvés, convertis, sont en fait appelés par la Grâce de Dieu ; leur conversion est ainsi « forgée » par le pouvoir de ce Dernier, par l’œuvre de la Grâce. Il n'y aurait qu'un avantage limité si Christ n’était révélé uniquement « qu’à » nous-mêmes, en fait, Il est aussi « en » nous !

      Paul s'est préparé à obéir instantanément au Seigneur, sans hésitation, sans chercher à garder quelque intérêt ici-bas, ni confort, ni agrément. Quel beau sujet d’action de grâce et de joie dans nos églises, quand elles voient de tels exemples, à la gloire du Seigneur, par Sa Grâce, même si elles n’ont jamais connu l’apôtre ! En fait, ces louanges glorifient Dieu pour Sa Puissance et Sa Miséricorde, en sauvant des personnes telles que Paul, pour le bénéfice de Ses enfants et les avantages futurs qui en découlent !

      Galates 2

      Ephésiens 3

      8 Dieu pousse à l’humilité ceux qu’Il a promus à d'honorables tâches ; et là où Il accorde Sa Grâce, dans ce cadre, Il offre celle-ci sans limitation.

      Avec quelle force, Paul parle-t-il de l’insondable richesse de Jésus-Christ ! Cependant, beaucoup de personnes n’en bénéficient pas, malgré la grande faveur qui leur est accordée, par la libre prédication de l’Évangile !

      C’est par notre faute si nous ne sommes pas régénérés spirituellement par les richesses de notre Seigneur. Toute création a été opérée par Dieu, en Jésus-Christ : celle de l’origine du monde, lorsque qu’Il a généré toutes choses à partir du néant, comme celle par laquelle les pécheurs deviennent de « nouvelles créatures », par la Grâce qui opère en eux.

      Ces richesses divines sont insondables et demeurent éternellement. Alors que les anges vénèrent la Sagesse de Dieu, quant à la rédemption de l’Église, les impies, dans leur ignorance, continuent à considérer tout cela comme des fables...

      Colossiens 1

      1 Timothée 2

      2 Timothée 1

      2 Timothée 2

      2 Timothée 4

      Apocalypse 17

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