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Apocalypse 4.6

Il y avait aussi devant le trône une mer de verre semblable à du cristal, et au milieu du trône et autour du trône, quatre animaux pleins d'yeux devant et derrière.

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      Exode 38

      1 Rois 7

      Job 28

      Ezéchiel 1

      15 La Providence, représentée vraisemblablement ici par les roues, est à l’origine des divers changements de ce monde. Parfois le texte mentionne une roue spécifique, ou alors, il parle des autres en général ; dans tous les cas, le mouvement axial de ces roues est régulier et stable.

      Nous ne devons pas être découragés, face à l'adversité ; les « roues » divines « tournent » à la perfection et savent élever les hommes pieux au temps marqué, alors qu’elles abaissent ceux qui comptent sur leurs propres forces, alors qu’elles connaissent la prospérité : ils ne se doutent pas qu’elles peuvent tomber à tout moment.

      La roue (verset Ezéchiel 1:15) se trouve à côté des animaux ; les anges accomplissent les tâches de la Providence divine. L'esprit des animaux se trouvait dans les roues ; une seule et même Sagesse, une même Puissance, et la Sainteté parfaite de Dieu, guident et régissent les anges : ce sont elles qui dirigent les événements de ce monde, ici-bas.

      Chaque roue possédait quatre faces, dénotant ainsi que la Providence divine s'exerce de toutes parts. Remarquez la manière dont les roues de la Providence se déplacent : dans tous les cas, un visage est tourné vers vous. Leur aspect et leur déplacement montraient qu’une roue se trouvait toujours au milieu d'une autre roue ! Beaucoup d’aspects de la Providence nous paraissent bien impénétrables et inexplicables, cependant, Elle agit toujours en toute Sagesse, de la meilleure manière qui soit. Le mouvement de ces roues était régulier et constant. Elles se dirigeaient conformément à la volonté de l’Esprit, sans se retourner.

      Si nous suivions sans broncher, les conseils de l'Esprit, nous n’aurions jamais à nous repentir de notre conduite.

      Les dimensions des jantes de ces roues étaient si grandes qu’elles faisaient peur au prophète, quand elles étaient en mouvement. Le fait de considérer la dimension de l’Esprit divin devrait nous inciter à la crainte. Les roues étaient pleines d’yeux, tout autour d’elles. Tous les actes de la Providence sont dirigés par la Sagesse infinie de Dieu. Tous les événements sont contrôlés par les « yeux » du Seigneur, sachant discerner en tout lieu, le bien et le mal ; pour Dieu, il n’y a aucune place pour la chance ou le hasard. Au dessus de la tête des animaux se trouvait un ciel de cristal, à la fois merveilleux, mais aussi terrible. Ce que nous prenons pour un « nuage obscur », est en fait pour Dieu clair comme cristal : Il est capable de voir et de considérer tous les habitants de la terre.

      Quand les animaux s’arrêtaient, les ailes retombaient, afin que la voix de Dieu puisse être clairement entendue. La « voix » de la Providence sert à sensibiliser les oreilles des hommes, au message de la Parole de Dieu. Le « vacarme » de ce monde devrait ne pas couvrir notre attention, afin que nous soyons à l’écoute du message céleste ; car comment pourrons-nous nous échapper, si nous nous détournons de Celui qui nous parle des cieux ?

      26 Le Fils éternel, la deuxième personne de la trinité, est dénoté dans ce texte, sous l’apparence d’un homme. Le premier élément observé est un trône : c'est un trône de gloire, de grâce, de triomphe, de gouvernement, et de jugement.

      Il est encourageant de voir que ce trône, situé au-dessus du firmament, soit occupé par un Être ayant quand même une apparence humaine. Ce trône est entouré d’un arc-en-ciel, emblème caractéristique de l'alliance représentant la Miséricorde et l’Amour de Dieu, à l’égard de Son peuple.

      Le feu de la colère divine ravageait alors Jérusalem ; toutefois, des limites lui étaient dictées par le ciel : Dieu voyait l’arc en ciel et respectait l’engagement qu’Il avait fait à ce sujet (livre de le Genèse).

      Tout ce que le prophète vit dans ce chapitre devait le préparer à entendre la suite de la révélation divine. Quand il tomba sur son visage, il entendit la voix de Celui qui allait s’adresser à lui.

      Dieu se plait à enseigner celui qui est humble : que les pécheurs considèrent bien ce fait et s'humilient devant Lui !

      Que les croyants contemplent vraiment la Gloire du Seigneur, de sorte qu’ils puissent être graduellement renouvelés et changés en Son image, par Son Esprit !

      Ezéchiel 10

      Apocalypse 4

      9 Tous les véritables croyants attribuent entièrement leur rédemption, leur conversion, leurs privilèges présents, et leur espérance, au Dieu éternel et trois fois Saint !

      C'est de ces pensées des rachetés dans les cieux, que naissent, les hymnes de reconnaissance, éternels et harmonieux. Puissions-nous faire comme eux, ici-bas, afin que nos louanges soient constantes, et ininterrompues ; soyons unis, et non divisés, reconnaissants, loin de toute froideur et de tout conformisme religieux ; restons humbles et dénués de toute confiance en nous-mêmes !

      Apocalypse 5

      Apocalypse 6

      1

      L'ouverture des sceaux : le premier, deuxième, troisième, et quatrième. (Apocalypse 6:1-8)
      Le cinquième. (Apocalypse 6:9-11)
      Le sixième. (Apocalypse 6:12-17)

      Christ, l'Agneau, ouvre le premier sceau. Analysons ce qui apparut :

      - Un cavalier sur un cheval blanc. L’allure de ce cheval blanc semble indiquer un temps de paix, ou de premier progrès de la religion chrétienne ; ce cheminement s’effectue dans la pureté, au temps où son Fondateur céleste, envoyant les apôtres enseigner toutes les nations, annonçait : « voici ! Je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde ». La « Religion divine » est couronnée, étant parée de la faveur céleste, et armée spirituellement contre Ses ennemis ; son destin final est la victoire !

      - À l'ouverture du deuxième sceau, un cheval roux apparaît ; il représente les jugements et la désolation. L'épée pour faire la guerre et la persécution, est un jugement épouvantable ; elle ôte la paix de la terre, une des plus grandes bénédictions ; les hommes, qui auraient dû s'aimer les uns les autres et s'aider mutuellement, sont poussés à s’entretuer. De telles scènes se déroulèrent déjà, dans la période qui suivit la naissance du Christianisme, lorsque négligeant la charité et les liens de la paix, les responsables chrétiens, divisés entre eux, ont tiré l'épée, s’enlisant ainsi dans leur culpabilité.

      - À l'ouverture du troisième sceau, un cheval noir apparut ; cette couleur dénote le deuil et le malheur, les ténèbres et l'ignorance. Le cavalier avait une balance en sa main. Des tentatives ont été faites pour porter atteinte à la réputation des disciples, les accusant de pratiquer des coutumes superstitieuses. À mesure que le « ruisseau » du Christianisme s’est éloigné de sa source de pureté, il s’est de plus en plus corrompu. Durant la progression de ce cheval noir, la nourriture de base est hors de prix, alors que les denrées les plus onéreuses ne sont pas touchées... Selon le langage prophétique, symboliquement, ces paroles peuvent signifier la « nourriture » de la connaissance religieuse, avec laquelle les âmes des hommes sont alimentées, jusqu'à leur entrée dans la vie éternelle ; c’est cette nourriture que nous sommes invités à acheter, dans Esa 55:1. Mais lorsque les « sombres nuages » de l'ignorance et de la superstition, imagés par ce cheval noir, se sont étendus sur le monde chrétien, la connaissance et la pratique de la véritable piété se sont raréfiées. Quand un peuple rejette sa nourriture spirituelle, Dieu peut le priver, en toute justice, de son pain quotidien. La privation de pain est un jugement terrible ; mais celle de la Parole de Dieu l'est encore plus...

      À l'ouverture du quatrième sceau, un autre cheval parut, de couleur livide. Son cavalier était « la Mort », inspirant toutes les terreurs possibles. Les serviteurs, ou partisans de ce cavalier, étaient les habitants du « séjour des morts », un lieu de misère éternelle pour tous ceux qui meurent dans leurs péchés ; dans les périodes de tuerie générale, des multitudes descendent dans cet abîme, sans y être préparées... La période du quatrième sceau est une période de destruction et de dévastation, détruisant tout ce qui peut rendre une existence heureuse, faisant des ravages dans la vie spirituelle des hommes.

      Le « mystère de l'iniquité » était ainsi révélé, et son pouvoir étendu à la fois, sur les vies et sur les consciences des hommes. Les périodes de déroulement de ces quatre époques ne peuvent être déterminées avec précision, car les changements opérés sont relativement progressifs. Dieu a donné à ces cavaliers un certain pouvoir : ils sont les instruments de Sa Colère, ou ceux de Ses Jugements ; toutes les calamités ici-bas arrivent selon Son Commandement ; elles ne surgissent que lorsque Dieu les envoie, et pas au-delà de ce qu'Il permet.

      Apocalypse 7

      Apocalypse 14

      Apocalypse 15

      Apocalypse 19

      Apocalypse 21

      Apocalypse 22

      1

      Description de l'état céleste, sous les images de l'eau de l'arbre de vie, avec le trône de Dieu et de l'Agneau. (Apocalypse 22:1-5)
      L'accomplissement véritable et certain de toutes les visions prophétiques, le Saint-Esprit, l'épouse, et l'église, appellent et disent : « viens ». (Apocalypse 22:6-19)
      La bénédiction finale. (Apocalypse 22:20,21)

      Tous les « courants d’eaux » du réconfort terrestre sont boueux ; mais ceux mentionnés dans ce texte sont limpides, et rafraîchissants. Ils donnent la vie à ceux qui en boivent, et leur permettent de la conserver éternellement.

      Ce passage souligne la vive influence sanctifiante du Saint-Esprit, accordée aux pécheurs, par le biais de Christ. Le Saint-Esprit, en harmonie avec le Père et le Fils, attribue le salut à notre âme, par son Amour et sa Puissance régénératrice.

      L’arbre de la vie est alimenté par les eaux pures du fleuve qui provient du trône de Dieu. La présence de Dieu dans le ciel procure la santé et le bonheur aux saints. Cet arbre est une image de Christ, et de toutes les bénédictions que procure Son salut ; ces « feuilles guérissant les nations », signifient que la faveur et la présence du Seigneur procurent le bien aux habitants de ce monde béni.

      Le diable ne dispose d’aucun pouvoir en cet endroit céleste ; il ne peut pas empêcher les saints de servir Dieu, et il ne peut pas les perturber dans leur service auprès du Père. Dieu et l'Agneau sont ici décrits comme formant une unité. Le service divin accompli en cet endroit ne sera pas uniquement le symbole de la liberté, mais aussi de l'honneur et de l'autorité.

      Il n'y aura plus de nuit, ni de détresse, ni de découragement ; aucune pause n’interrompra le service divin, pour procurer de la détente : aucune diversion ni plaisir inventés par l'homme ne seront alors nécessaires !

      Quelle différence avec toutes ces représentations humaines, simplistes et grossières, du bonheur céleste, en particulier celles qui se rapportent aux plaisirs de l’esprit terrestre !

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