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La sœur de l’enfant reste un peu plus loin pour voir ce qui se passera.
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Alors la prophétesse Miriam, sœur d’Aaron, prend son tambourin. Toutes les femmes d’Israël la suivent en dansant au son des tambourins.
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Moïse a pris pour femme une Kouchite. Alors Miriam et Aaron le critiquent à cause de ce mariage.
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Toute la communauté d’Israël arrive dans le désert de Tsin pendant le premier mois, et elle s’installe à Cadès. Miriam meurt à cet endroit et on l’enterre.
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Celui-ci a pris pour femme Yokébed, la fille de Lévi née en Égypte. Yokébed a donné trois enfants à Amram : Aaron, Moïse et leur sœur Miriam.
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À ce moment-là, c’est Débora, une prophétesse, femme de Lapidoth, qui dirige Israël.
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Quand Jefté revient chez lui à Mispa, c’est sa fille qui vient à sa rencontre. Elle danse au son du tambourin. Elle est sa seule fille et il n’a pas d’autre enfant.
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Quand les filles de Silo sortiront pour former leurs danses, sortez des vignes. Chacun de vous enlèvera une des jeunes filles. Puis il l’emmènera avec lui dans le territoire de Benjamin pour en faire sa femme.
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Puis tu arriveras à Guibéa-Élohim. Les chefs philistins sont à cet endroit. Quand tu seras près de la ville, tu vas rencontrer un groupe de prophètes. Ils descendront du lieu sacré. Des joueurs de harpe, de tambourin, de flûte et de cithare marcheront devant eux. Ils seront en transe.
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Quand l’armée revient, après que David a tué le Philistin Goliath, les femmes sortent de toutes les villes d’Israël. Elles viennent à la rencontre du roi Saül, en chantant et en dansant, au son des tambourins, des instruments de musique, et elles crient de joie.
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David et tous les Israélites montrent leur joie devant le SEIGNEUR en jouant de toutes sortes d’instruments en bois de cyprès : des cithares, des harpes, des tambourins, des sistres et des cymbales.
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Puis il danse de toutes ses forces pour le SEIGNEUR. Il porte seulement le pagne de lin des prêtres.
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Au moment où le coffre arrive dans la « Ville de David », Mikal, la fille de Saül, regarde par la fenêtre. Elle voit le roi David qui saute et danse devant le coffre du SEIGNEUR. Alors elle le méprise dans son cœur.
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Le grand-prêtre Hilquia, Ahicam, Akbor, Chafan et Assaya vont donc trouver la prophétesse Houlda, qui habite le Quartier Neuf de Jérusalem. C’est la femme de Challoum, fils de Ticva et petit-fils de Haras, qui est gardien des vêtements sacrés du temple. Le grand-prêtre et les autres informent la prophétesse.
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Écoute-moi, SEIGNEUR, aie pitié de moi ! SEIGNEUR, viens à mon aide !
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C’est dans ton pays que ton peuple s’est installé. C’est toi, Dieu très bon, qui as préparé ce pays pour les malheureux.
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Ô Dieu, on voit ton cortège, ton cortège dans le temple saint, mon Dieu et mon roi !
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Chantez joyeusement pour Dieu notre défenseur, criez de joie pour le Dieu de Jacob !
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Rendez gloire au SEIGNEUR en dansant, jouez pour lui de la harpe et du tambourin.
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Chantez sa louange en dansant au rythme du tambourin, chantez sa louange avec la guitare et la flûte !
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Je t’ai fait sortir d’Égypte. Je t’ai délivré de l’esclavage. Je t’ai donné comme chefs Moïse, Aaron et Miriam, leur sœur. Est-ce que tu me reproches cela ?
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Il y a aussi une femme prophète qui s’appelle Anne. C’est la fille de Phanouel, de la tribu d’Asser. Elle est très vieille. Elle a vécu avec son mari pendant sept ans,
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Il a quatre filles qui ne sont pas mariées et qui parlent au nom de Dieu.
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Une femme qui, en public, prie ou qui parle au nom de Dieu sans avoir la tête couverte ne respecte pas son chef. C’est exactement comme si elle avait la tête rasée.
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les femmes doivent se taire dans les assemblées. Elles n’ont pas l’autorisation de prendre la parole, elles doivent rester tranquilles et écouter, comme la loi le dit.
Marie la prophétesse. Il est fait allusion à son don de prophétie Nombres 12.2. Marie n'est mentionnée que rarement dans le Pentateuque et n'est rappelée qu'une seule fois dans le reste de la Bible (Michée 6.4).
Le tambourin ou tambour de basque était un instrument habituellement joué par les femmes (Psaumes 68.26 ; Jérémie 31.4), qui s'en accompagnaient en dansant ; comparez Juges 11.34 et 1Samuel 18.6, où les tambourins et les danses sont employés, comme ici, pour célébrer des victoires. On voit par là qu'au chant de ce cantique se rattacha une grande fête nationale par laquelle le peuple célébra son indépendance miraculeusement obtenue.