30
Jacob lui demanda : « RévÚle-moi donc ton nom. » Il répondit : « Pourquoi demandes-tu mon nom ? » et il le bénit là .
6
Il ajouta : * « Je suis le Dieu de ton pÚre, le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et le Dieu de Jacob. » Moïse se cacha le visage, car il avait peur de regarder Dieu.
10
Ils virent le Dieu d'IsraĂ«l. Sous ses pieds, c'Ă©tait comme une Ćuvre en saphir transparent, comme le ciel lui-mĂȘme dans sa puretĂ©.
20
Il ajouta : « Tu ne pourras pas voir mon visage, car l'homme ne peut me voir et vivre. »
23
Lorsque jâĂ©carterai ma main, tu me verras par-derriĂšre, mais mon visage ne pourra pas ĂȘtre vu. »
21
L'ange de l'Eternel ne leur fut plus visible. Manoach comprit alors que c'était l'ange de l'Eternel,
22
et il dit à sa femme : « Nous allons mourir, car nous avons vu Dieu. »
19
Michée ajouta : « Eh bien, écoute donc la parole de l'Eternel ! J'ai vu l'Eternel assis sur son trÎne, et tous les corps célestes debout prÚs de lui, à sa droite et à sa gauche.
10
Qui est celle qui apparaßt, pareille à l'aurore, aussi belle que la lune, aussi pure que le soleil, aussi majestueuse que des troupes sous leurs étendards ?
1
L'annĂ©e de la mort du roi Ozias, jâai vu le Seigneur assis sur un trĂŽne trĂšs Ă©levé ; le bord infĂ©rieur de son vĂȘtement remplissait le temple.
2
Des séraphins se tenaient au-dessus de lui. Ils avaient chacun six ailes : deux dont ils se couvraient le visage, deux dont ils se couvraient les pieds et deux dont ils se servaient pour voler.
3
Ils se criaient l'un Ă l'autre : « *Saint, saint, saint est l'Eternel, le maĂźtre de lâunivers ! Sa gloire remplit toute la terre ! »
4
Les montants des portes se sont mis à trembler à cause de la voix qui retentissait et le temple a été rempli de fumée.
5
Alors jâai dit : « Malheur Ă moi ! Je suis perdu, car je suis un homme aux lĂšvres impures, j'habite au milieu d'un peuple aux lĂšvres impures et mes yeux ont vu le roi, l'Eternel, le maĂźtre de lâunivers ! »
26
Au-dessus de la voĂ»te cĂ©leste qui Ă©tait sur leurs tĂȘtes, il y avait quelque chose de similaire Ă une pierre de saphir, qui ressemblait Ă un trĂŽne, et sur cette forme de trĂŽne apparaissait quelquâun dont lâaspect ressemblait Ă celui dâun homme, tout en haut.
27
Jâai vu comme un Ă©clat Ă©tincelant, comme du feu, qui lâenveloppait tout autour. Depuis ce qui semblait ĂȘtre ses hanches jusqu'en haut et depuis ce qui semblait ĂȘtre ses hanches jusqu'en bas, jâai vu quelque chose de similaire Ă du feu, une lumiĂšre qui rayonnait tout autour.
28
Cette lumiĂšre qui rayonnait tout autour de lui avait le mĂȘme aspect que lâarc-en-ciel dans les nuages un jour de pluie : c'Ă©tait un reflet de la gloire de l'Eternel. A cette vue, je suis tombĂ© le visage contre terre, puis jâai entendu quelqu'un me parler.
1
Jâai regardĂ© et jâai vu, sur la voĂ»te cĂ©leste qui Ă©tait au-dessus de la tĂȘte des chĂ©rubins, comme une pierre de saphir dont lâaspect ressemblait Ă un trĂŽne ; câĂ©tait ce qui se voyait au-dessus dâeux.
2
Il fut transfigurĂ© devant eux ; son visage resplendit comme le soleil et ses vĂȘtements devinrent blancs comme la lumiĂšre.
18
Personne n'a jamais vu Dieu ; Dieu le Fils unique, qui est dans lâintimitĂ© du PĂšre, est celui qui l'a fait connaĂźtre.
46
C'est que personne n'a vu le PÚre, sauf celui qui vient de Dieu ; lui, il a vu le PÚre.
9
JĂ©sus lui dit : « Il y a si longtemps que je suis avec vous et tu ne me connais pas, Philippe ! Celui qui m'a vu a vu le PĂšre. Comment peux-tu dire : âMontre-nous le PĂšreâ ?
16
Il est le seul Ă possĂ©der l'immortalitĂ©, lui qui habite une lumiĂšre inaccessible et quâaucun homme n'a vu ni ne peut voir. A lui soient l'honneur et la puissance Ă©ternelle. Amen !
12
Personne n'a jamais vu Dieu. Si nous nous aimons les uns les autres, Dieu demeure en nous et son amour est parfait en nous.
16
Il tenait dans sa main droite sept étoiles, de sa bouche sortait une épée aiguë à deux tranchants et son visage était comme le soleil lorsqu'il brille dans toute sa force.
3
Celui qui était assis avait l'aspect d'une pierre de jaspe et de sardoine, et le trÎne était entouré d'un arc-en-ciel semblable à de l'émeraude.
11
Elle rayonnait de la gloire de Dieu. Son éclat ressemblait à celui d'une pierre trÚs précieuse, d'une pierre de jaspe transparente comme du cristal.
18
La muraille était construite en jaspe et la ville était en or pur, transparent comme du verre pur.
19
Les fondations de la muraille de la ville étaient ornées de pierres précieuses de toutes sortes : la premiÚre fondation était ornée de jaspe, la deuxiÚme de saphir, la troisiÚme de calcédoine, la quatriÚme d'émeraude,
20
la cinquiÚme de sardoine, la sixiÚme de cornaline, la septiÚme de chrysolithe, la huitiÚme de béryl, la neuviÚme de topaze, la dixiÚme de chrysoprase, la onziÚme d'hyacinthe, la douziÚme d'améthyste.
21
Les douze portes étaient douze perles ; chaque porte était faite d'une seule perle. La place de la ville était en or pur, comme du verre transparent.
22
Je ne vis pas de temple dans la ville, car le Seigneur, le Dieu tout-puissant, est son temple, ainsi que l'Agneau.
23
La ville n'a besoin ni du soleil ni de la lune pour l'éclairer, car la gloire de Dieu l'éclaire et l'Agneau est son flambeau.
La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
Ils virent le Dieu d'IsraĂ«l. Dieu leur apparaĂźt ; il vient en quelque sorte consacrer lui-mĂȘme ce banquet qui doit sceller l'union des deux Parties contractantes.
La couleur du pavement sur lequel repose le trÎne divin est celle de l'azur céleste, l'emblÚme de la félicité pure et inaltérable.
Saphirs : une mosaïque composée de saphirs.
Mais comment concilier ce fait de l'apparition de Dieu avec la maxime scripturaire que :
nul ne peut voir Dieu et vivre, ou avec des paroles telles que :
Deutéronome 4.12 : Quand l'Eternel vous parla du milieu du feu, vous oußtes bien une voix, mais vous ne vites aucune ressemblance ;
ou :
Jean 1.18 : Personne ne vit jamais Dieu ?
Les LXX ont dĂ©jĂ senti la difficultĂ© et ont traduit : ils virent la place oĂč Dieu se tenait ; ce sens est naturellement impossible.
D'autres paraphrasent : Ils virent qu'aux pieds de Dieu il y avait comme un pavement de saphirs ; ce qui n'est pas non plus conforme au texte.
Il faut dire plutĂŽt que ce qu'ils virent n'Ă©tait pas la personne de Dieu lui-mĂȘme, mais une reprĂ©sentation sensible et, par consĂ©quent, incomplĂšte de sa gloire, comme lorsqu'il est dit de MoĂŻse qu'il vit Dieu par derriĂšre (33.23). Ce n'Ă©tait pas une figure proprement dite, une forme dĂ©terminĂ©e, susceptible d'ĂȘtre reproduite par l'art. C'Ă©tait une manifestation lumineuse, destinĂ©e Ă rendre sensible aux convives la prĂ©sence de Dieu, mais dont nous ne pouvons nous faire une idĂ©e. Ainsi EsaĂŻe, quand il raconte qu'il vit le Seigneur (chapitre 6), ne parle que de son trĂŽne et des pans de son manteau royal.
Le Dieu d'Israël. Cette expression, fréquente dans les prophÚtes, mais rare dans le Pentateuque, est inspirée ici à l'auteur du récit par la pensée du lien étroit qui vient de se former entre le peuple et son Dieu. Le Dieu d'Israël, c'est là désormais le titre en quelque sorte officiel de l'Eternel.
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