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Or, là où les péchés sont réellement pardonnés, est-il encore besoin de sacrifice pour les effacer ?
Et quand les péchés sont pardonnés, on n’a plus besoin d’offrande pour les enlever.
Or, là où il y a pardon des péchés, il n'y a plus d'offrande pour le péché.
Or, là où il y a rémission de ces choses, il n'y a plus d'offrande pour le péché.
Grec : Rémission de ceux-ci, c'est à dire "des péchés et des iniquités." (Hébreux 10.17)
- Voilà où l'auteur voulait en venir en insistant sur le sacrifice unique du Sauveur. (Hébreux 10.12, note.) Ce sacrifice étant parfaitement suffisant pour l'expiation et le pardon du péché, il ne peut plus être question d'autres sacrifices.
L'auteur voulait ainsi convaincre ses lecteurs hébreux qu'ils avaient tout en Christ et en son œuvre, et qu'ils n'avaient point à regretter les institutions mosaïques et leurs sacrifices. Sa démonstration, qui remplit Hébreux 8,Hébreux 9 et Hébreux 10, est complète, très concluante et propre à confondre l'erreur qui consiste à nier la nécessité du sacrifice de Jésus, la valeur expiatoire de sa mort.
Enfin, il ressort de son enseignement que l'Eglise romaine est retournée au point de vue de l'Ancien Testament en instituant le sacrifice sans cesse répété de la messe. Elle s'est mise en opposition directe avec les paroles les plus claires de notre épître, elle laisse croire que le sacrifice offert une seule fois en Golgotha ne suffit pas pour assurer le salut des pécheurs ; elle nie la grande vérité que tous les péchés ne sont dans leur source qu'un seul péché, (Hébreux 10.3, note) et que ce péché a été expié et détruit par la croix de Christ.
Et comme dans cette erreur l'homme n'acquiert aucune connaissance profonde du péché, il ne parvient point non plus à la justification par la foi, ni à une sanctification véritable de tout son être ; mais, captif, sous ce nouveau judaïsme, il se sent poussé, par l'inquiétude et le trouble où le jette chaque faute isolée, vers l'institution sacerdotale qui offre à Dieu un sacrifice imaginaire, comme si le vrai sacrifice d'expiation n'avait jamais eu lieu. Cette erreur est toute semblable à celle que l'auteur combat ici chez ses lecteurs, et il n'est aucun de ses arguments qui n'en soit la plus évidente condamnation.
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Sinon, n'aurait-on pas cessé de les offrir ? Ceux qui rendent ce culte, purifiés une fois pour toutes, n'auraient en effet plus du tout conscience de leurs péchés.
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En effet, par une seule offrande il a conduit à la perfection pour toujours ceux qu’il rend saints.
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Or là où il y a pardon des péchés, il n'y a plus à présenter d'offrande pour le péché.
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- Voilà où l'auteur voulait en venir en insistant sur le sacrifice unique du Sauveur. (Hébreux 10.12, note.) Ce sacrifice étant parfaitement suffisant pour l'expiation et le pardon du péché, il ne peut plus être question d'autres sacrifices.
L'auteur voulait ainsi convaincre ses lecteurs hébreux qu'ils avaient tout en Christ et en son œuvre, et qu'ils n'avaient point à regretter les institutions mosaïques et leurs sacrifices. Sa démonstration, qui remplit Hébreux 8,Hébreux 9 et Hébreux 10, est complète, très concluante et propre à confondre l'erreur qui consiste à nier la nécessité du sacrifice de Jésus, la valeur expiatoire de sa mort.
Enfin, il ressort de son enseignement que l'Eglise romaine est retournée au point de vue de l'Ancien Testament en instituant le sacrifice sans cesse répété de la messe. Elle s'est mise en opposition directe avec les paroles les plus claires de notre épître, elle laisse croire que le sacrifice offert une seule fois en Golgotha ne suffit pas pour assurer le salut des pécheurs ; elle nie la grande vérité que tous les péchés ne sont dans leur source qu'un seul péché, (Hébreux 10.3, note) et que ce péché a été expié et détruit par la croix de Christ.
Et comme dans cette erreur l'homme n'acquiert aucune connaissance profonde du péché, il ne parvient point non plus à la justification par la foi, ni à une sanctification véritable de tout son être ; mais, captif, sous ce nouveau judaïsme, il se sent poussé, par l'inquiétude et le trouble où le jette chaque faute isolée, vers l'institution sacerdotale qui offre à Dieu un sacrifice imaginaire, comme si le vrai sacrifice d'expiation n'avait jamais eu lieu. Cette erreur est toute semblable à celle que l'auteur combat ici chez ses lecteurs, et il n'est aucun de ses arguments qui n'en soit la plus évidente condamnation.