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16
Le matin du troisième jour, il y eut des coups de tonnerre, des éclairs et une épaisse nuée sur la montagne. Le son de la trompette retentit fortement et tout le peuple qui était dans le camp fut épouvanté.
19
Le son de la trompette retentissait de plus en plus fortement. Moïse parlait, et Dieu lui répondait à haute voix.
19
En effet, *j'étais tremblant de peur en voyant la colère et la fureur dont l'Eternel était animé contre vous au point de vouloir vous détruire. Mais l'Eternel m’a écouté cette fois encore.
120
Ma chair frissonne de l’épouvante que tu m’inspires, et je crains tes sentences.
3
Ils se criaient l'un à l'autre : « *Saint, saint, saint est l'Eternel, le maître de l’univers ! Sa gloire remplit toute la terre ! »
4
Les montants des portes se sont mis à trembler à cause de la voix qui retentissait et le temple a été rempli de fumée.
5
Alors j’ai dit : « Malheur à moi ! Je suis perdu, car je suis un homme aux lèvres impures, j'habite au milieu d'un peuple aux lèvres impures et mes yeux ont vu le roi, l'Eternel, le maître de l’univers ! »
8
Resté seul, j’ai vu cette grande apparition et me suis retrouvé sans force. Mes traits se sont décomposés et j’ai perdu toute force.
17
Comment pourrais-je, moi ton serviteur, te parler à toi, mon seigneur ? Désormais je n’ai plus de force et il ne me reste plus de souffle. »
21
Le spectacle était si terrifiant que Moïse a dit : Je suis épouvanté et tremblant de peur !
17
Quand je le vis, je tombai à ses pieds comme mort. Il posa alors sa main droite sur moi en disant : « N'aie pas peur. Je suis le premier et le dernier,
C'est là, au fond, le résumé de toute son épître, et ces deux tableaux, mis en contraste l'un avec l'autre, sont un puissant argument (car, Hébreux 12.18) en faveur de l'exhortation qui précède.
La description de l'appareil terrible au milieu duquel fut donnée la loi (Hébreux 12.18-21 ; comparer Exode 19.12-19 ; 20.18,19), devait rappeler aux lecteurs que ces symboles de la sainteté et de la justice de Dieu ôtaient au pécheur l'espoir d'être sauvé par les œuvres de cette loi qui le condamne, ailleurs est son recours ! (Hébreux 12.22-24)
En parlant de quelque chose qu'on pût toucher de la main, (Hébreux 12.18) l'auteur indique dès l'abord qu'il s'agissait là d'une économie terrestre, visible, et par là même symbolique ; tel est le caractère de tous les signes extérieurs qui suivent. (Hébreux 12.18-20 ; comparez Deutéronome 4.11 ; Exode 19.16)
Le texte reçu porte : "d'une montagne qu'on pût toucher ;" ce mot manque dans Sin., A, C, versions ; il a été introduit conformément à Hébreux 12.22.
- "La voix des paroles" était d'après Deutéronome 4.12, la voix de l'Eternel parlant du milieu du feu et publiant les dix commandements. Quant à la prière de ceux qui l'entendirent, voir Deutéronome 5.22 et suivants
Le verset Hébreux 12.20 porte une citation très abrégée et libre de Exode 19.12,13.
Moïse lui-même reçut une impression terrible des scènes du Sinaï, surtout au moment où la colère de Dieu s'embrasa contre le peuple, qui venait de violer le second commandement en faisant le veau d'or. L'auteur met dans la bouche de Moïse (Hébreux 12.21) des paroles empruntées au récit que ce dernier fit du trouble qu'il ressentit à la vue du crime d'Israël. (Deutéronome 9.19) Cette expression de sa crainte ne se trouve pas en effet dans le récit de la promulgation de la loi.