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Lévitique 1.15

Le sacrificateur sacrifiera l'oiseau sur l'autel ; il lui ouvrira la tête avec l'ongle, et la brûlera sur l'autel, et il exprimera le sang contre un côté de l'autel.

The priest shall bring it to the altar, and wring off its head, and burn it on the altar; and its blood shall be drained out on the side of the altar;
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      Lévitique 1

      Lévitique 5

      Psaumes 22

      1

      Complaintes et découragement. (Psaumes 22:1-10)
      Prière pour la délivrance. (Psaumes 22:11-21)
      Prières pour toutes les grâces et la rédemption. (Psaumes 22:22-31)

      L'Esprit de Christ, qui était présent chez les prophètes, atteste clairement et pleinement les souffrances endurées par notre Seigneur et la gloire qui en découla. Nous avons ici une douloureuse complainte de Celui qui a été abandonné du Père. Cela peut être appliqué à n'importe quel enfant de Dieu, oppressé par la douleur et la terreur.

      Les épreuves spirituelles sont les afflictions douloureuses des saints ; mais ces fardeaux sont un signe de vie et un exercice pour les âmes. Lorsque l'on s'écrie, « mon Dieu pourquoi suis-je dans cet état de malade » ou « pourquoi suis-je dans la pauvreté », ce ne sont que des mécontentements ou des plaintes. Mais, par contre, dans la phrase « Pourquoi m'as-tu abandonné », on peut voir ici le langage d'un cœur essayant de rechercher toutes les faveurs divines. Ceci s'applique à Christ.

      Dès les premières paroles de cette plainte, quand Il était à la croix, Il répand tout le cri de son âme devant Dieu, Matthieu 27:46.

      En tant qu'homme, Christ a ressenti une passivité totale en traversant ces terribles douleurs, et ceci malgré tout le zèle et tout l'amour qu'Il avait manifestés auparavant. Christ annonce, par ces horribles douleurs, la sainteté de Dieu, le Père céleste. Et cela est déclaré en tant que preuve, non seulement à Israël, mais aussi à tous, afin qu'Il soit l'Auteur de toute délivrance.

      Jamais personne n'a éprouvé de la honte en plaçant son espérance en Dieu. Personne n'a recherché le Seigneur en vain. Ce psaume est une complainte sur le mépris et les moqueries des hommes. Le Sauveur souligne ici l'état abject auquel Il a été réduit. L'histoire de la naissance de Christ et ses souffrances démontrent la véracité de cette prophétie.

      Psaumes 69

      1

      La grande détresse de David. (Psaumes 69:1-12)
      Il implore le secours. (Psaumes 69:13-21)
      Il annonce les jugements de Dieu. (Psaumes 69:22-29)
      Il conclue dans la joie et l'adoration. (Psaumes 69:30-36)

      Nous devrions souvent prendre en considération la Victime mentionnée ici, dans ce passage ; méditer à quel point elle a souffert et nous revêtir d'humilité devant le péché, étant convaincu de notre vulnérabilité face au danger, de façon à ressentir plus de gratitude, d'amour, et à vivre pour la gloire de Celui qui est mort pour notre salut. De là nous apprenons, quand nous sommes dans l'affliction, à remettre notre âme à Dieu, afin de ne pas tomber dans le mécontentement ou sombrer dans le désespoir.

      David était considérablement haï ; les termes peuvent encore mieux s'appliquer à Christ. Dans un monde où la fausseté règne tant, nous ne devrions pas chercher à fréquenter ceux qui sont nos mauvais ennemis. Prenons soin de ne pas pratiquer le mal ; si nous le subissons toutefois, nous serons alors plus apte à le supporter. Par la satisfaction que Christ à offert à Dieu, en lavant notre péché par Son sang, il a aboli notre séparation, il a payé notre dette, souffert pour nos offenses.

      Nous pouvons même plaider non coupable devant les accusations injustes des hommes, bien que, devant Dieu, nous devions reconnaître nous-mêmes, mériter le châtiment prévu. Tous nos péchés naissent de notre folie. Ils sont tous commis aux yeux de Dieu. David se plaint du manque de cordialité de la part de ses amis et relations. Ce manque a été comblé par Christ, celui qui a été trahi par ses frères et abandonné par ses disciples.

      Christ n'a été que satisfaction pour nous, non seulement en nous plaçant conformes aux yeux de Dieu, mais aussi en subissant le plus grand des déshonneurs qui puisse être affligé aux hommes.

      Ne perdons pas courage si notre zèle pour la vérité, les préceptes et l'adoration de Dieu peuvent provoquer la moquerie chez certains, à la vue de notre séparation d'avec le monde.

      13 Quel que soit le niveau de détresse dans lequel nous nous trouvons, ou quels que soient les problèmes rencontrés par les impies prêts à nous accabler, nous devons persévérer dans la prière. Les signes de faveur que Dieu nous adresse sont suffisants pour nous préserver de sombrer dans les problèmes les plus insolubles. Si nous avons de bons sentiments vis-à-vis de Dieu, et si nous persévérons dans ce sens lors des plus grandes épreuves, nous n'avons aucune crainte à avoir, Il saura nous accorder Ses bienfaits. Et si nous sommes appelés quelquefois, à cause de Christ, à supporter l'opprobre ou la honte, nous pouvons être réconfortés par le fait qu'Il connaît et voit toutes choses. Il y a un réel réconfort pour celui qui souffre et qui est oppressé à cause de Son nom ; quand on considère qu'il y a un réel privilège à subir de la honte à cause du nom de Jésus, on pourra constater qu'Il n'a dans ce cas aucune raison de nous abandonner par Son soutien.

      Les souffrances de Christ ont particulièrement été prédites dans ce psaume, ce qui prouve que l'Écriture est bien la Parole de Dieu ; cela révèle également l'exactitude des prédictions qui se sont accomplies en Jésus-Christ ce qui nous démontre qu'IL est réellement le Messie. Le vinaigre et le fiel qui Lui ont été donnés ne furent qu'une piètre représentation de la coupe amère qu'il a subie, coupe qui finalement est devenue la voie du salut.

      Autant nous ne pouvons guère espérer obtenir du réconfort ou de la consolation de la part des hommes, autant nous pouvons tout attendre de la part de Dieu.

      Esaïe 53

      4 Ces versets décrivent les douleurs de Christ : ils détaillent les souffrances qu'Il allait endurer. C'est à cause de nos péchés, que notre Seigneur Jésus a souffert, à notre place. Nous avons tous péché, et sommes privés de la Gloire de Dieu.

      Les pécheurs se complaisent dans leurs péchés, dans leur mauvais cheminement, qui ne nous procurent que peines et douleurs, les plus terribles qui soient. Quand, par contre, nous « déposons » nos iniquités aux pieds de Christ, nous échappons à la ruine inévitable qui nous attend. L'expiation a été accomplie par notre Sauveur, en vue de nous délivrer de nos péchés : c'est la seule manière d'être sauvé !

      Nos péchés étaient les « épines » qui couronnaient la tête de Jésus, les « clous » qui ont percé Ses mains et Ses pieds, la « lance » qui a blessé Son côté. Christ a été livré à la mort pour nos offenses. Par Ses souffrances, Il nous a permis de bénéficier de l'Esprit et de la Grâce de Dieu, pour anéantir notre corruption, qui est véritablement la « maladie » de notre âme. Par le soutien de la Grâce, nous serons alors à même d'endurer nos peines ici-bas : Jésus nous a enseigné de considérer toute chose comme une perte, pour Lui, afin que nous L'aimions, car Il nous a aimés Le premier !

      10 « Approchez-vous », et voyez combien Christ nous a aimés ! Il est impossible de prendre Sa place, Lui, par contre, a pris la nôtre. Il a ainsi ôté le péché du monde, en le prenant sur Lui. Il a subi la mort, qui est le salaire du péché.

      Il faut remarquer la grandeur, la puissance et la magnificence du Sauveur. Christ n'accordera à nul autre qu'aux pécheurs repentants, le bénéfice de Son dévouement. Les desseins de l'Éternel s'accompliront inexorablement. Toutes les actions que nous pourrons entreprendre, conformément à la volonté divine, ne pourront que prospérer. L'Éternel verra s'accomplir la conversion et le salut des pécheurs. Beaucoup seront justifiés en Christ, à cause de la rançon qu'Il a donnée : sa vie !

      Par la foi nous sommes justifié : Dieu est, de ce fait, glorifié, Sa Grâce nous est accordée, nous échappons à l'avilissement de la mort, et notre félicité éternelle est assurée. Nous devons connaître Jésus, croire en Lui, Celui qui a porté nos péchés, en nous évitant d'en subir les conséquences. Le péché, Satan, la mort, l'enfer, le monde et la chair, sont les ennemis puissants qu'Il a vaincus ! Celui que Dieu a « désigné » pour être le Rédempteur, accomplira, en tant que tel, Sa volonté.

      Quand Dieu a ramené les Siens de la captivité du péché, ces derniers Le remercièrent : nul autre ne pouvait offrir un tel cadeau aux hommes ! Quand nous songeons aux souffrances subies par le Fils de Dieu, nous devons nous rappeler les innombrables transgressions que nous avons commises, et considérer la douleur qu'Il a endurée, sous la charge de notre culpabilité.

      Tout cela est une ferme assurance pour le pécheur repentant, afin que son âme puisse s'appuyer sur ce fondement : nous sommes rachetés, par le sang de Christ, des bénéficiaires de Sa Grâce ; Il plaide continuellement en notre faveur, détruisant ainsi les œuvres du diable !

      Matthieu 26

      1

      Les principaux sacrificateurs conspirent contre Christ. (Matthieu 26:1-5)
      Christ oint à Béthanie. (Matthieu 26:6-13)
      Judas marchande pour trahir Christ. (Matthieu 26:14-16)
      La Pâque. (Matthieu 26:17-25)
      Christ institue son saint repas. (Matthieu 26:26-30)
      Il avertit Ses disciples. (Matthieu 26:31-35)
      Son agonie dans le jardin. (Matthieu 26:36-46)
      Il est trahi. (Matthieu 26:47-56)
      Christ devant Caïphe. (Matthieu 26:57-68)
      Pierre Le renie. (Matthieu 26:69-75)

      Notre Seigneur a souvent parlé de Ses souffrances, alors qu’elles étaient encore lointaines ; dans ce texte, Il en parle toujours, mais cette fois, elles sont imminentes !

      Au même moment, le conseil des Juifs se réunissait pour savoir comment, Jésus pourrait, par ruse, être saisi et mis à mort. Mais il plut à Dieu de déjouer leurs mauvaises intentions...

      Jésus, le véritable Agneau pascal, devait être sacrifié, pour nous, au temps marqué ; Sa mort et Sa résurrection devaient être rendues publiques.

      6 Le fait de verser ce parfum sur la tête de Christ était le témoignage du plus haut respect à Son égard.

      Si le cœur d’une personne possède un véritable amour pour Jésus-Christ, rien ne sera considéré comme trop beau pour Lui être offert. Plus les serviteurs de Christ sont remis en cause quant à leur service, plus le Seigneur manifeste Son approbation à leur égard.

      L’acte de foi et d'amour de cette femme, était si remarquable, qu'il méritait d’être rapporté dans l’évangile : il ressemble à la foi et à l'amour de Marie, toujours restée discrète durant le ministère de Jésus. En tous lieux où l'évangile devait être prêché, cette histoire devait être relatée. Cette prophétie est accomplie !

      14 Ils n'étaient que douze apôtres, autour de Jésus, mais en fait, l'un d'eux était animé par Satan ; il est certain que nous ne devons jamais nous attendre à la perfection, dans un groupe de personnes ici-bas...

      Plus les hommes font profession de piété, plus ils ont l'occasion de faire le mal, si leur cœur n'est pas réellement tourné vers Dieu. Nous remarquons que Judas, en tant que disciple de Christ, connaissait bien Sa doctrine et Sa manière de vivre ; néanmoins, il L’a trahi, sans avoir de réel motif d'accusation qui puisse justifier cette trahison. Que désirait Judas ? N'était-il pas le bienvenu, auprès de son Maître ? Ne L’a-t-il pas suivi dans Son ministère ?

      Ce n’est pas le manque, mais l'amour de l’argent qui est la « racine de tous les maux ». Après avoir conclu cet horrible marché avec les principaux sacrificateurs, Judas eut tout le temps de se repentir ; quand les moindres actes de malhonnêteté endurcissent la conscience, les hommes n’hésitent pas à commettre les actes les plus méprisables.

      17 Nous pouvons remarquer que l’endroit prévu pour le repas de la Pâque a été indiqué par Christ, à Ses disciples.

      Le Seigneur connaît ceux qui sont favorables à Sa cause, tout en restant humbles ; Il visitera, pour offrir Sa grâce, tous ceux qui sont disposés à Le recevoir.

      Les disciples firent ce que Jésus avait ordonné. Ceux qui veulent être en présence de Christ, à la « Pâque spirituelle » que donne l'évangile, doivent obéir à ce qu'Il dit.

      Il peut arriver que les serviteurs de Christ éprouvent parfois de l’inquiétude, en particulier au temps de l'épreuve. Nous ne savons pas jusqu’à quel degré nous pouvons être tentés, ni à quel point Dieu peut nous abandonner à nous-mêmes : nous devons Lui faire entière confiance.

      Il est spécialement recommandé de faire un examen rigoureux de notre cœur et une prière fervente, avant de prendre le repas du Seigneur : Christ, notre « Pâque », s’est sacrifié pour nous ; observons cette célébration, en renouvelant notre repentance et notre foi en Son sang, en nous plaçant à Son service.

      26 Cette ordonnance du « repas du Seigneur » représente pour nous le repas de la Pâque, par lequel nous commémorons une délivrance bien plus grande que celle d'Israël, fuyant alors, le pays d'Égypte.

      « Prenez, mangez » ; acceptez de Christ ce qui vous est offert ; recevez l'expiation, l'approbation, la soumission à Sa Grâce et à Son autorité.

      Une nourriture que l'on regarde uniquement, la contemplation d’un plat, aussi garni soit-il, ne nous nourriront pas ; il faut le consommer : il en est ainsi de la doctrine de Christ.

      « Ceci est mon corps » ; il s’agit, de manière spirituelle, du corps de Christ. Nous partageons tous les bénéfices du soleil : non pas qu’il soit disponible entre nos mains, mais par les rayons qu'il nous envoie ; de la même manière, nous partageons la Personne de Christ, étant participant à sa Grâce, et aux fruits bénis que procure Son corps brisé.

      Le sang de Christ est représenté par le vin. Jésus a rendu grâces, pour nous enseigner à porter spirituellement notre regard vers Dieu, que ce soit pour le pain ou pour le vin. Jésus donna cette coupe aux disciples, avec un ordre : « buvez-en tous ».

      Le pardon des péchés est une grande bénédiction qui, dans le repas du Seigneur, est conférée à tous les véritables croyants ; ce pardon est d’ailleurs le fondement de toutes les autres bénédictions.

      Pour conclure cette communion spirituelle, le Seigneur, en mentionnant le fruit de la vigne, assure à Ses disciples qu’Il s’unira de nouveau avec eux, à la fin des temps : « jusqu'au jour où j'en boirai du nouveau avec vous », dit Il ; on peut interpréter ces paroles dans le sens où le Seigneur Jésus partagera avec les saints, les joies et les gloires de Son Royaume futur. Ce sera en fait le Royaume de son Père ; le « vin de consolation » sera présent, toujours nouveau.

      Tandis que nous contemplons le corps brisé de Christ, et Son sang versé pour la rémission de nos péchés, rappelons-nous ce que la fête de la Pâque Lui a coûté : Il nous a littéralement donné « Sa chair à manger » et « Son sang à boire ».

      1 Jean 2

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