Paramètres de lecture

Afficher les numéros de versets
Mode dyslexique
Police d'écriture
Taille de texte

Merci à Bibles et Publications Chrétiennes pour la conception du processus d’affichage DYS.

Luc 3.13

Et il leur dit : Ne percevez rien au delà de ce qui vous est ordonné.

Jean leur répond : « Vous savez ce qu’on doit payer pour l’impôt. Ne demandez pas plus. »
  • Contenus
  • Versions
  • Commentaires
  • Strong
  • Dictionnaire
  • Versets relatifs
  • Carte
  • Versets favoris

    • Ces vidéos ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.

      Psaumes 18

      Proverbes 28

      Esaïe 1

      16 Il faut non seulement ressentir du regret quant au péché commis, mais de plus, il faut en interrompre toute pratique. Nous devons réagir sur ce sujet, sans rester passifs !

      Il nous faut pratiquer le bien que le Seigneur, notre Dieu, exige. Il est évident que les sacrifices de la loi ne pouvaient pas réconcilier le peuple d'Israël avec Dieu, même pour ces crimes, commis en dehors du pays.

      Mais, béni soit Dieu, il existe une Fontaine d'eau vive disponible, (verset Esaïe 1:16)*, dans laquelle les pécheurs de tout âge et de tout rang peuvent être « lavés » ! Nos péchés sont comme l'écarlate et le cramoisi ; ce dernier est en effet un puissant colorant, agissant sur deux points : d'abord, de manière générale, sur la « laine » de la corruption originale, mais aussi sur chaque « fibre » particulière, de notre transgression réelle ; nous sommes hélas, souvent « immergés » dans le péché, soumis à nos mauvais penchants ; malgré tout, la Miséricorde divine lave en nous cette tache, Psaume 51:7.

      En suivant l'Éternel, les enfants d'Israël auraient pu bénéficier de tout bonheur et de toute bénédiction désirables. La vie et la mort, le bien et le mal, sont placés devant nous. Oh! Seigneur, incite-nous tous à vivre pour Ta gloire !

      *Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Esaïe 55

      6 Ce texte nous présente une offre merveilleuse de pardon, de paix, et de félicité. Il n'est jamais vain de chercher Dieu : Sa Parole nous appelle, et Son Esprit est à nos côtés ! Mais viendra un jour où on ne pourra plus Le trouver. Cela peut survenir à n'importe quel moment de notre vie ; il est certain qu'à notre mort et lors du Jugement, la « porte » sera alors fermée. En conséquence, il ne faut pas seulement changer de comportement, mais aussi nos pensées : nous devons « voir » différemment les personnes et le cours des évènements. Il n'est pas suffisant de cesser toute pratique du mal, nous devons en plus, nous efforcer de lutter contre les mauvaises pensées. Se repentir signifie en quelque sorte « revenir à notre Seigneur », Celui contre lequel nous nous sommes rebellés. Si nous agissons ainsi, Dieu nous assure d'un pardon sans limites, à la mesure de l'ampleur de nos offenses !

      Mais que personne ne traite à la légère cette « abondance » de Miséricorde ; « exploitez-la » quand le péché a été commis. Les pensées des hommes, au sujet du péché, de Christ, de la sainteté, du monde et de son entourage, diffèrent absolument de celles de Dieu, ne serait-ce qu'au sujet du pardon par exemple ! Nous pardonnons, mais nous n'oublions pas ; quand Dieu pardonne le péché, Il ne se souvient plus de ce dernier. La puissance de Sa Parole aux Royaumes de la Providence et de la Grâce, est aussi véritable qu'ici-bas. La « sainte Vérité » produit un changement spirituel dans l'esprit des hommes, changement que ni la pluie ni la neige ne seraient à même d'opérer sur terre !

      Cette Parole ne retournera pas à Dieu sans produire des effets remarquables. Si nous portons des regards objectifs sur l'église, nous pourrons constater à quel point Dieu a effectué de grandes choses, et discerner ce qu'Il fera encore pour elle. Les Juifs retourneront en « terre promise » ; il s'agit bien d'une des bénédictions prévues par l'Éternel ! La Grâce de l'évangile opérera un grand changement dans le cœur des hommes.

      Délivré de la colère à venir, le pécheur converti, a la conscience en paix ; l'Amour céleste dont il bénéficie le pousse, en retour, à se consacrer au service de Son Rédempteur. Au lieu d'être attiré par le monde, d'être querelleur, égoïste, ou sensuel, il devient patient, humble, aimable, et pacifique. L'espérance d'une telle perspective devrait nous inciter davantage à répandre la bonne nouvelle du salut !

      Que l'Esprit de vérité puisse nous aider à discerner la plénitude, la liberté, et la grandeur de la merveilleuse Miséricorde de Christ, nous ôtant ainsi toute fausse perspective d'étroitesse de la Grâce souveraine !

      Ezéchiel 18

      21 L'homme mauvais pourrait être sauvé, s'il se détournait du mal qu’il commet. Le véritable repentant est un croyant authentique. Aucune de ses anciennes transgressions ne lui sera reprochée, par la droiture qu'il observe, cette dernière étant le fruit de la foi et l'effet de sa conversion : certainement, il vivra !

      La question n'est pas de savoir si les véritables justes ne deviendront jamais des apostats. Il est certain que ceux qui, pendant un certain temps, furent vraisemblablement « justes », pourront « cadrer » leur vie selon les versets Ezéchiel 18:26,27, qui mentionnent la plénitude de la Miséricorde divine : quand le péché est pardonné par Dieu, il est « rejeté au dehors », il est complètement oublié.

      Les âmes vivront par leur droiture accomplie ; non pas par leur propre droiture, comme si cette dernière pouvait leur procurer le pardon de leurs péchés, mais par celle qui provient des bénédictions de Christ, le Médiateur.

      Quel encouragement de voir un pécheur se repentir, et placer son espérance dans le pardon et la vie, selon la promesse divine !

      Le verset Ezéchiel 18:28 décrit le début et la progression du repentir. Les véritables croyants restent vigilants, face au mal, ils prient et continuent sur cet axe de piété : ils sont sauvés !

      Dans tous les conflits que nous pouvons avoir avec Dieu, Il est est La Droiture, ayant toujours raison, alors que nous avons toujours tort !

      Michée 6

      Matthieu 7

      12 Christ est venu pour nous enseigner, d’abord ce que nous devons savoir et croire, mais aussi ce que nous devons faire : non seulement pour Dieu, mais également envers les hommes ; nous ne devons pas nous manifester qu’envers ceux avec qui nous communiquons facilement, mais envers toutes les personnes en général, toutes celles avec qui nous avons à traiter.

      Nous devons accomplir pour notre prochain ce que nous-mêmes reconnaissons être parfait et raisonnable. Nous devons, dans nos relations avec les hommes, nous placer au même niveau et dans les mêmes circonstances qu’eux, là où ils se trouvent, et agir en conséquence.

      Il n'y a que deux chemins possibles : le juste et le faux, le bon et le mauvais ; le chemin du ciel et le chemin de l'enfer. Tout le monde emprunte l'une de ces voies, et il n'y a pas de choix intermédiaire, pas de piste médiane. Tous les hommes sont saints ou pécheurs, dévots ou impies. Remarquez, en ce qui concerne la voie de ceux qui commettent l’iniquité, combien la « porte » est large, toujours grande ouverte. Vous pouvez entrer par cette porte avec toutes vos convoitises ; il n'y a aucun contrôle de ces dernières, ni des passions. C'est une grande route, ayant de nombreux itinéraires possibles ; on y trouve plusieurs choix de chemins coupables. Beaucoup de monde emprunte cette route. Mais quel profit y a-t-il à emprunter cette large route qui ne mène qu’en enfer ?

      Le chemin de la vie éternelle est étroit. Nous ne pouvons pas parvenir aux cieux tant que nous ne passons pas par la porte étroite. Notre « moi » doit être abandonné, notre corps doit être contrôlé, et nos diverses corruptions doivent être mortifiées. Nous devons résister aux diverses tentations journalières, chercher à accomplir notre devoir. Nous devons veiller en toutes circonstances, marcher avec précaution ; en fait, nous devrons traverser bon nombre d’épreuves.

      C'est cependant ce chemin difficile que nous devons tous emprunter : il mène à la vie ! Il nous permet d’accéder à la consolation spirituelle, à la faveur divine, qui est la source de la vie de l'âme ; cette voie mène à la béatitude éternelle, à l'espérance de voir s’estomper les différentes difficultés de la « route ».

      Cette déclaration claire et précise de Christ, a été négligée par de nombreuses personnes, qui ont fait beaucoup d’efforts pour la corrompre ; de tous temps, le véritable disciple de Christ a été considéré comme un « cas » particulier, démodé ; tous ceux qui ont suivi ce plus grand nombre, ont emprunté le chemin large, celui qui mène vers la destruction.

      Si nous désirons servir Dieu, nous devons rester fermes quant à l’exercice de notre piété. Pouvons-nous entendre parler de la porte étroite et du chemin resserré, empruntés par un petit nombre de personnes, sans être en peine pour nous-mêmes ? Est-ce nous nous sommes déjà posé la question de savoir si nous avons déjà parcouru ce chemin étroit, et quel progrès nous y faisons ?

      Luc 3

      Luc 19

      1 Corinthiens 6

      Ephésiens 4

      Tite 2

      11 La doctrine de la Grâce et du salut par l'Évangile, est destinée à tous les hommes, de tous rangs et de toutes conditions sociales. Elle enseigne à abandonner le péché, à y renoncer définitivement.

      Une conversation déplacée ne convient pas aux chrétiens, vu leur « vocation » céleste. L’exercice de la piété nous enseigne à prendre conscience de ce qui est bon. Nous devons regarder à Dieu, par le biais de Christ, car Il est l'objet de notre espérance et de notre adoration. Une conversation digne de l’Évangile doit être digne de la piété qui nous anime.

      La considération de notre devoir tient en peu de mots : renoncer à l'apostasie et aux convoitises mondaines, vivre sobrement, en toute droiture, dans la piété, en dépit de tous les pièges, des tentations, des corruptions, et de tous les obstacles qui favorisent le péché dans le cœur du croyant. Cette doctrine nous enseigne à regarder vers la gloire divine, dans les cieux. Dès que Christ sera de retour ici-bas, le bonheur des chrétiens sera alors complet, il les conduira vers une sainteté parfaite et la félicité ; telle était la finalité de la mort de Christ. Ce grand Dieu et notre Messie, descendu ici-bas pou nous sauver, a revêtu la nature humaine, dans sa divinité. Il nous a aimés et s'est livré Lui-même pour nous ; que pouvons-nous faire de mieux que de L'aimer et de nous placer à Son service ?

      La rédemption du péché et la sanctification de notre propre nature vont de pair, elles font de nous un « peuple à part », pour Dieu, libéré de toute culpabilité et de toute condamnation, purifié par le Saint Esprit. Toute Écriture est utile. Elle est la « source » du bon accomplissement, de notre devoir, en toute droiture.

      Puissions-nous nous interroger pour savoir si nous sommes entièrement dépendants de la Grâce, Celle qui sauve les perdus, pardonne leur culpabilité et sanctifie leur impureté. Plus nous nous éloignerons de la vanité et des glorioles des œuvres vaines, plus nous nous glorifierons en Christ, en Lui seul, et plus nous serons zélés pour abonder dans l’exercice de Sa volonté !

      Hébreux 12

      1

      Exhortation à être constant dans nos voies et à persévérer. L'exemple de Christ ; le dessein de la Grâce de Dieu dans toutes les souffrances que les croyants ont endurées. (Hébreux 12:1-11)
      La paix et la sainteté sont recommandées, avec des mises en garde contre le mépris des bénédictions spirituelles. (Hébreux 12:12-17)
      La dispensation du Nouveau Testament est bien plus excellente que celle de l'Ancien. (Hébreux 12:18-29)

      L'obéissance et la persévérance dans la foi en Christ, voilà « la course » que devaient effectuer les Hébreux, course par laquelle il est possible de gagner la « couronne de gloire », ou la misère éternelle, en cas d’échec ; cette course nous concerne également.

      Dans l’expression, « le péché qui nous enveloppe si facilement », (premier verset de ce texte), nous devons comprendre : un péché auquel beaucoup d'entre nous sont prompts à succomber, ou à celui auquel nous sommes le plus exposés, que ce soit par habitude, par notre âge, ou suivant les circonstances. Ce texte nous adresse une exhortation très importante : tant qu’un péché reste enraciné dans le cœur d’un homme, sans être combattu ni subjugué, il empêchera celui-ci de « courir » dans sa course spirituelle chrétienne, en lui ôtant toute motivation pour vaincre, et en laissant place à tout découragement.

      Que ceux qui sont fatigués et faibles spirituellement, puissent se rappeler que Jésus, Celui qui est Saint, a souffert, pour les sauver de la ruine éternelle. Si de telles personnes portaient vraiment leur regard par Jésus, elles seraient fortifiées spirituellement, en toute sainteté, elles seraient gardées de toute chute provoquée leurs désirs charnels.

      Recherchons le plus fréquemment possible la présence de Jésus. Que sont nos petites épreuves par rapport à Son agonie à la croix ? Que sont nos « déserts spirituels », face à Ses souffrances ? Que représentent nos peines par rapport à celles de beaucoup d'autres personnes ? On rencontre parfois chez les croyants une tendance à défaillir dans leurs faiblesses, à succomber facilement sous les épreuves et les afflictions ; ceci est dû à l'imperfection de la grâce qui est en leur cœur et aux restes de la corruption qui subsistent en eux.

      Les chrétiens ne doivent pas faiblir, face à l’épreuve. Bien que leurs ennemis et leurs persécuteurs puissent leur infliger de dures souffrances, il s'agit cependant de châtiments que Dieu permet de leur voir supporter ; leur Père céleste « supervise » tout, et Sa Sagesse aura réponse à tout. Face à leurs afflictions, ces âmes ne doivent pas faillir, ni perdre courage, car elles demeurent, malgré leurs péchés, dans « la main de Dieu et sous Sa houlette ». Elles ne doivent pas se décourager ni « crouler » sous les épreuves, ni se tourmenter, mais doivent les supporter, avec foi et patience.

      Dieu peut permettre aux impies de rester dans l’iniquité, mais Il corrigera le péché de Ses propres enfants. En tant que tel, Il agit comme un Père. Nos parents ici-bas peuvent parfois nous châtier pour satisfaire un sentiment personnel plutôt que pour réformer nos manières. Mais notre Père céleste ne veut jamais nous faire souffrir par plaisir, ni affliger en vain Ses enfants : Il le fait toujours pour notre bien.

      Notre vie entière est en quelque sorte un long apprentissage, il reste bien imparfait quant à notre exercice spirituel ; à cause de notre état pécheur, nous devons donc nous soumettre à la discipline céleste. Quand nous serons parvenus à la perfection, nous serons alors complètement réconciliés avec le ciel et le châtiment que Dieu peut parfois nous faire encore endurer, disparaîtra. Le châtiment de Dieu n'est pas synonyme de condamnation ; il peut être supporté avec patience, pour nous conduire vers une sainteté croissante.

      Apprenons bien à considérer les afflictions que nous supportons ici-bas ; si elles semblent provenir des hommes, elles sont en fait des corrections envoyées par notre Père, plein de Grâce et de Sagesse, pour notre bien spirituel !

    • Ajouter une colonne

Pour ajouter un favori, merci de vous connecter : Se connecter

Vous avez aimé ? Partagez autour de vous !

Créer un verset illustré

Logo TopChrétien carré

Télécharger l'image

Choisissez une image

Personnalisez le verset

Alignement : | | | Haut | Milieu | Bas

Taille :

Couleur :

Police :

Personnalisez la référence

Couleur :

Police :

Taille :

De légères variations de mise en page peuvent apparaitre sur l'image téléchargée.
Fermer
Update Required To play the media you will need to either update your browser to a recent version or update your Flash plugin pour Firefox & Safari - Flash plugin pour Opera & Chrome.