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Matthieu 1.10

Ézéchias engendra Manassé ; Manassé engendra Amon ; Amon engendra Josias ;
Hezekiah became the father of Manasseh. Manasseh became the father of Amon. Amon became the father of Josiah.
Ézékias est le père de Manassé. Manassé est le père d’Amon. Amon est le père de Josias.
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      1 Rois 13

      2 Rois 20

      2 Rois 21

      1

      Le mauvais règne de Manassé. (2 Rois 21:1-9)
      La prophétie de condamnation de Juda. (2 Rois 21:10-18)
      Le mauvais règne d'Amon, sa mort. (2 Rois 21:19-26)

      Les jeunes désirent généralement être leur propre maître, et posséder rapidement richesse et puissance. Mais pour la plupart, cet appât du gain ne les mène qu'à la ruine, tout en entraînant leur entourage dans leur chute. Il est beaucoup plus bénéfique de voir des adolescents rester sous la protection de leurs parents ou de leurs précepteurs, jusqu'à ce qu'ils parviennent à l'âge de raison. Ces jeunes seront ainsi moins livrés à eux-mêmes, et en seront après coup, reconnaissants !

      Manassé manifesta beaucoup de méchanceté envers l'Éternel, comme s'il voulait provoquer Sa colère ; il fit plus de mal que les diverses nations que Dieu avait détruites. Manassé se pervertit de mal en pis, au point de provoquer la déportation des enfants d'Israël, en captivité à Babylone. Le peuple, dans son déclin, était prêt à se conformer aux souhaits dépravés de ce roi, afin d'obtenir sa faveur.

      Les grandes périodes de réveil spirituel permettent d'écarter les « pseudos serviteurs » du Seigneur, et finissent par les entraîner dans une chute inexorable.

      10 Ce texte annonce le triste sort que Juda et Jérusalem vont subir : les termes utilisés annoncent en effet que la ville sera entièrement vidée et dévastée ; malgré tout, elle ne sera pas de ce fait, détruite, mais épurée, et préservée pour servir dans le futur, afin de pouvoir héberger le peuple Juif.

      Jérusalem fut effectivement abandonnée, mais pas définitivement, afin que ce Jugement serve de témoignage à ceux qui restaient fidèles à l'Éternel. Ce Dernier rejettera tous ceux qui L'ont déshonoré par leurs crimes, mais Il n'abandonnera jamais Ses desseins ici-bas.

      Dans le livre des Chroniques nous pouvons lire le repentir de Manassé, et son consentement à suivre l'Éternel ; nous pouvons en tirer ainsi cet enseignement, que même les plus grands pécheurs peuvent, malgré tous leurs crimes, se tourner vers Dieu. Mais que personne n'ose de ce fait, persister dans la voie du péché, présumant qu'on peut se repentir quand bon nous semble !

      Nous disposons dans la Parole, de quelques exemples de conversion de pécheurs notoires : leur état spirituel n'était pas irréversible ! Mais prenons garde, ces cas isolés ne doivent surtout pas nous encourager à abuser de la pratique de l'iniquité.

      19 Amon profana, par ses idoles, la maison de Dieu ; ce Dernier, en retour, pollua le palais du roi, de son sang.

      À ce manque de droiture notoire, l'Éternel répondit par Sa Justice réparatrice. Nous assistons, à ce moment, à un tournant heureux de l'histoire : à un règne des plus mauvais, succède un des meilleurs rois de Juda. Une fois de plus, Juda fut astreint à effectuer une réforme politique radicale.

      Le Seigneur tolère parfois les pécheurs insolents, comme Il peut les anéantir rapidement, au sein de leurs péchés, mais tous ceux qui persistent dans ces voies mauvaises, en refusant de marcher selon Sa Parole, finiront par périr.

      2 Rois 22

      1

      Le bon règne de Josias, Sa volonté de restaurer le temple, Le livre de la loi est retrouvé. (2 Rois 22:1-10)
      Josias consulte Hulda, la prophétesse. (2 Rois 22:11-20)

      Les différents événements de la succession de Josias à Manassé, furent vraiment conduits par la grâce divine ; les personnages qui contribuèrent à ces faits, étaient probablement des instruments guidés par la Providence. Josias disposait d'un excellent caractère. Si les enfants d'Israël avaient suivi avec autant d'empressement le changement de conduite du roi, des bénédictions auraient inéluctablement suivi. Mais ils étaient animés par la méchanceté, et dans leur folie, ils sombrèrent dans l'idolâtrie. Si nous ne nous basions pas sur les écrits des prophètes vivant à cette époque, nous ne disposerions, d'après les documents historiques, que d'une connaissance partielle de l'état de Juda. En effectuant les réparations du temple, le livre de la loi fut retrouvé et apporté au roi Josias. Il semble que ce document ait été perdu et qu'il manquait : il devait, par simple négligence, être égaré, comme le sont les bibles de certains, délaissées dans un coin, ou dissimulées par leurs propriétaires idolâtres.

      Le soin pris par Dieu, au sujet de Sa Parole, montre simplement tout l'intérêt qu'Il lui porte.

      Que cette copie du livre de la loi soit unique ou non, son contenu était pour le roi et le grand sacrificateur, vraiment nouveau. Aucun résumé, extrait, ou commentaire biblique, ne saurait mieux transmettre, mieux préserver la connaissance et la volonté divines, que la bible. Le livre de la loi était si rare en cette époque, qu'il était une véritable merveille aux yeux du peuple corrompu ; les auteurs de cette corruption cherchèrent sans aucun doute à ôter ce livre des mains des enfants d'Israël.

      L'abondance de bibles qu'une nation peut posséder, ne fait qu'aggraver sa culpabilité de ne pas compulser cette divine Parole ; en fait, quel plus grand mépris de Dieu pouvons-nous montrer, en refusant de La lire, de croire à Son message et de Lui obéir, alors qu'Elle se trouve vraiment disponible ! Cette Parole nous révèle notre péché, et l'évangile béni nous fait connaître le salut. Quand le lecteur est convaincu par l'exactitude et l'excellence du message divin, il peut, en tant que pécheur, commencer à s'enquérir du moyen d'être sauvé. Les serviteurs de Dieu annoncent, par l'évangile, Jésus-Christ, Celui qui a aboli la loi, pour la justification de tous ceux qui croient en Lui !

      11 Le livre de la loi est lu devant le roi. Il n'y a rien de plus honorable que d'étudier la Bible : Elle est en effet notre pain quotidien, et elle nous dirige par sa lumière. Elle nous procure la conviction de péché et nous signale la colère divine résultante, ce qui nous amène à nous poser cette question : « que devons-nous faire pour être sauvé » ? En outre, la Parole de Dieu nous informe sur ce que nous pouvons attendre d'une vie passée dans l'iniquité, avec toutes les conséquences prévisibles. Ceux qui craignent vraiment la colère divine, ne peuvent qu'être impatients de savoir comment être sauvés.

      Hulda a fait connaître au roi Josias, le sort que réservait l'Éternel, au pays de Juda et à Jérusalem. La majorité du peuple s'était endurcie, et le cœur de chacun était dépourvu d'humilité, alors que celui de Josias restait soumis à l'autorité divine. Le roi avait l'esprit bien disposé.

      Ceux qui craignent la colère divine, sont les plus aptes à la ressentir. Bien que Josias ait été auparavant mortellement blessé lors d'une bataille, il mourut beaucoup plus tard, en paix avec Dieu, en Le glorifiant.

      Quelle que soit la situation de ceux qui, comme le roi, souffrent de voir la dépravation de leur entourage ici-bas, ils sont accueillis en paix dans leur « dernière demeure », pour connaître le repos des enfants de Dieu !

      2 Rois 23

      1

      Josias lit le livre de l'alliance, il s'engage à suivre les voies de l'Éternel. (2 Rois 23:1-3)
      Il détruit l'idolâtrie. (2 Rois 23:4-14)
      Cette réforme s'applique à tout le pays d'Israël, La Pâque est célébrée. (2 Rois 23:15-24)
      Josiah est mis à mort par le Pharaon Néco. (2 Rois 23:25-30)
      Les mauvais règnes de Joachaz et de Jojakim. (2 Rois 23:31-37)

      Josias avait reçu un message de l'Éternel, lui promettant, que son âme serait épargnée, alors que la ruine de Jérusalem était inéluctable ; le roi accomplit donc son devoir, laissant à Dieu le soin de conduire les évènements. Josias ordonna solennellement au peuple de supprimer toute forme d'idolâtrie, et de servir Dieu, en toute droiture d'esprit et dans la véritable sainteté. Malgré le fait que la plupart de ses sujets revêtaient une attitude formelle ou hypocrite, cette ordonnance royale atténua la méchanceté qui régnait alors ; chacun était responsable envers Dieu, de sa propre conduite.
      4 Quelle incroyable méchanceté pouvait-on trouver alors en Juda et à Jérusalem ! On n'aurait jamais cru qu'il soit possible de voir de telles abominations dans le pays de Juda, là où Dieu s'est fait connaître, en Israël, où Son Nom était si grand, et à Salem, dans la ville de Sion, où était Sa demeure.

      Josias a régné dix-huit ans, et a montré le bon exemple au peuple, en maintenant la religion, selon la Loi divine ; quand le roi s'attaqua à l'idolâtrie alors en vigueur, il put constater à quel point sa profondeur et son ampleur étaient profondes.

      L'histoire et de nombreux passages de la Parole de Dieu, enseignent que toute véritable piété ou bonté ici-bas, découle en fait de l'Esprit nouveau, que donne Jésus-Christ à Ses enfants.

      15 L'ardeur que Josias manifesta, pour détruire l'idolâtrie, s'étendit dans toutes les villes d'Israël. Il préserva soigneusement la tombe de cet homme de Dieu, venu de Juda pour annoncer la destruction de l'autel de Jéroboam. Quand le roi eut terminé de « nettoyer » le pays rongé par l'idolâtrie, il se consacra alors à célébrer la fête de la Pâque. En fait, il n'y avait pas eu de telle célébration depuis de nombreux règnes antérieurs. La renaissance d'une telle ordonnance, si longtemps négligée, remplit d'une sainte joie, le cœur des enfants d'Israël ; et l'Éternel récompensa cette ardeur à détruire l'idolâtrie, par une manifestation de Sa présence et de Sa faveur, ce qui était relativement rare à cette époque.

      Nous avons de bonnes raisons de penser que durant le reste du règne de Josias, la pratique de la religion prospéra.

      25 Lorsqu'on lit ces versets, nous ne pouvons que nous exclamer : « Seigneur, Ta droiture est comme de grandes montagnes, Elle est manifeste, digne d'être remarquée, et se trouve au dessus de tous les conflits ici-bas ; Tes jugements sont vraiment profonds, insondables, et manifestes » !

      Le roi Josias, dans ses réformes contre l'idolâtrie, fut retranché, en pleine activité pour la nation. En effet, il ne devait pas voir la désolation qui devait survenir dans son royaume : il manifesta lors de son règne, sa colère contre son peuple, et sa mort fut le point de départ de la ruine de ce dernier.

      2 Rois 24

      1 Chroniques 3

      2 Chroniques 32

      2 Chroniques 33

      1

      La méchanceté de Manassé ; sa repentance. (2 Chroniques 33:1-20)
      Le mauvais règne d'Amon, en Juda. (2 Chroniques 33:21-25)

      Nous voyons au début de ce texte la méchanceté de Manassé ; nous avons ensuite vu sa repentance : c'est un bel exemple de la richesse de la Miséricorde divine ; Dieu, dans Sa Puissance, pardonne et accorde Sa Grâce régénératrice. Privé de sa liberté, séparé de ses mauvais conseillers et de ses tristes compagnons, Manassé n'avait d'autre perspective, que de passer la fin ses jours dans cette misérable prison, en songeant à son passé ; il commença à implorer Dieu pour qu'Il lui accorde Sa Miséricorde et Sa délivrance. Le roi reconnut ses péchés, se condamnant lui-même ; il s'humilia devant Dieu, étant dégoûté par sa propre impiété et sa méchanceté. Il espérait cependant être pardonné par la grande Miséricorde de l'Éternel.

      Manassé comprit vraiment que l’Éternel était Dieu, le Seul capable de le délivrer. Il Le reconnut comme le Dieu de son salut ; il apprit à Le craindre et à lui faire confiance, à L'aimer, et à Lui obéir. Dès ce moment, le roi changea d'état d'âme, et marcha en nouveauté de vie.

      Qui pourrait dire, combien Manassé a dû subir comme remords de conscience, comme peines, comme douleurs, et comme regrets de colère, quand il a songé à tant d'années passées dans une telle apostasie et rébellion contre Dieu ? Que dire aussi sur les milliers d'âmes qu'il a conduites dans le péché et la perdition ? Sur le sang qu'il a versé, lors de ses différentes persécutions d'enfants de Dieu ? Et qui pourrait être étonné de voir ensuite le ciel se fermer à la vue d'un tel pécheur essayant d'y entrer ?

      Le fait de se condamner soi-même au maximum, face au péché, est le début du chemin qui mène au repentir. Il ne faut pas refuser le salut que Dieu nous offre gratuitement ; ce n'est pas notre péché, mais notre manque de repentance qui nous barre l'accès du ciel !

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