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Matthieu 1.5

Salmon eut Boaz de Rahab ; Boaz eut Obed de Ruth ;
1161 Salmon 4533 engendra 1080 5656 Boaz 1003 de 1537 Rahab 4477 ; 1161 Boaz 1003 engendra 1080 5656 Obed 5601 de 1537 Ruth 4503 ; 1161 Obed 5601 engendra 1080 5656 Isaï 2421 ;
Salma est le pĂšre de Booz, la mĂšre de Booz est Rahab. Booz est le pĂšre d’Obed, la mĂšre d’Obed est Ruth. Obed est le pĂšre de JessĂ©.
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      Josué 2

      1

      Rahab reçoit et cache deux Israélites. (Josué 2:1-7)
      Rahab et les espions. (Josué 2:8-21)
      Le retour des espions. (Josué 2:22-24)

      La foi dans les promesses divines ne devrait pas nous laisser baisser les bras, face à notre devoir, mais au contraire, encourager notre assiduité à utiliser intelligemment tous les moyens mis à notre disposition. La Providence divine dirigea les espions vers la maison de Rahab.

      Dieu savait en effet, oĂč se trouvait celle qui Ă©tait de tout cƓur en faveur de Son peuple, malgrĂ© une comprĂ©hensible prudence de la part de cette femme, face aux deux IsraĂ©lites. Il semble que Rahab ait tenu auparavant une auberge ; et s'il est certain qu'elle avait Ă©tĂ© une femme de mauvaise vie, on peut voir qu'elle avait abandonnĂ© cette voie du pĂ©chĂ©. Ce qui pourrait nous faire penser Ă  un changement de conduite accidentel, n'est en fait que le rĂ©sultat de la Providence divine, dirigeant les cours des choses, en vue d'accomplir les desseins divins. C'est par la foi, que Rahab reçut ces hommes, malgrĂ© leur nationalitĂ©, opposĂ©e Ă  son peuple et Ă  son roi.

      Nous pouvons ĂȘtre certains qu'il s'agissait lĂ , d'une bonne action. C'est ce que nous confirme d'ailleurs le texte dans, Jacques 2:25 ; elle le fit par la foi, une foi qui l'a placĂ©e au dessus de la crainte humaine. Ceux qui prennent ainsi de vrais risques pour Dieu, sont de vĂ©ritables croyants ; ils s'intĂšgrent par la foi, Ă  Son peuple, en engageant leur destin entre Ses mains. Les espions Ă©taient conduits par la Providence divine, une Providence toute particuliĂšre ; Rahab les reçut, sans chercher Ă  tirer quelque bĂ©nĂ©fice que ce soit, ni par esprit de malice, sachant pertinemment qu'ils Ă©taient HĂ©breux et ayant pour dieu le Dieu d'IsraĂ«l. Bien que des critiques puissent ĂȘtre formulĂ©es Ă  l'encontre du mensonge de cette prostituĂ©e, envers son roi, il semble qu'il faille admettre que la Parole ne la condamne pas. Ses connaissances de la Loi divine devaient ĂȘtre cependant assez restreintes : un tel mensonge, mĂȘme prononcĂ© par quelqu'un qui plaçait son espĂ©rance dans la lumiĂšre de la rĂ©vĂ©lation cĂ©leste, mĂ©riterait d'ĂȘtre tout de mĂȘme blĂąmĂ©.

      8 Rahab avait entendu parler des miracles que l'Éternel avait accomplis en faveur d'IsraĂ«l. Elle Ă©tait convaincue que Ses promesses s'accompliraient Ă©galement et que Ses menaces seraient mises Ă  exĂ©cution. Elle savait qu'il n'y avait aucun autre moyen d'Ă©chapper Ă  Sa colĂšre, sinon en se soumettant Ă  Lui, tout en se plaçant aux cĂŽtĂ©s du peuple d'IsraĂ«l. La conduite de Rahab prouve qu'elle possĂ©dait tous les principes qui conduisaient Ă  la foi divine. Il est intĂ©ressant de remarquer les promesses que lui firent les espions. L'Éternel se manifeste souvent par Sa bontĂ© et Sa vĂ©ritĂ©, Psaume 117:2 ; par ces deux qualitĂ©s, Il est dĂ©jĂ  digne d'ĂȘtre suivi !

      Ceux qui gardent les promesses de Dieu dans leur cƓur, marchent avec une prudence respectueuse, quand ils les voient s'accomplir.

      Les espions mirent en place un procĂ©dĂ© simple et pratique pour sauver Rahab : un cordon Ă©carlate, semblable au sang qui recouvrait le linteau des portes des IsraĂ©lites, lorsque l'Éternel frappa les premiers-nĂ©s d'Égypte ; cela rappelle la sĂ©curitĂ© dont peuvent bĂ©nĂ©ficier les pĂ©cheurs, au travers du sang expiatoire de Christ ; grĂące Ă  cette expiation, nous sommes en mesure de nous rĂ©fugier en JĂ©sus, pour fuir la colĂšre lĂ©gitime de Dieu. Ce cordon, que Rahab utilisa pour sauver les IsraĂ©lites, est le mĂȘme que celui qui nous garde en sĂ©curité : le sang de JĂ©sus !

      Quelle que soit la maniÚre dont nous servons et honorons Dieu, nous sommes en droit d'espérer qu'Il nous bénira et nous aidera !

      22 Le rapport que firent les espions à leur retour, était encourageant. Tous les habitants de ce pays défaillaient, face à Israël ; ils n'avaient ni la sagesse de céder aux Hébreux, ni le courage de combattre. De telles terreurs, devant la colÚre divine, qui neutralisent à ce point les impies, sans les conduire toutefois à la repentance, sont annonciatrices de leur destruction imminente. Mais la Grùce abonde toujours, en faveur du plus grand des pécheurs. Que ce dernier puisse se tourner sans attendre vers Christ, pour se réfugier en Lui, et tout ira pour le mieux quant à son sort !

      Josué 6

      Ruth 1

      Ruth 2

      1

      Ruth glane dans le champ de Boaz. (Ruth 2:1-3)
      La bonté de Boaz envers Ruth. (Ruth 2:4-16)
      Ruth retourne chez sa belle-mĂšre. (Ruth 2:17-23)

      Remarquez l'humilité de Ruth ! Alors que la Providence l'a réduite à la pauvreté, elle s'est résignée à accepter son sort. Les ùmes hautaines préfÚrent rester affamées plutÎt que de s'abaisser à faire certaines tùches. Ce ne fut pas le cas de Ruth : elle fut volontaire pour aller aux champs. Elle exprima humblement son désir de partir glaner.

      Nous ne pouvons pas demander d'indulgence Ă  ceux qui nous entourent, pour leur faire apprĂ©cier notre rĂ©putation, par contre, nous pouvons toujours chercher, par un tĂ©moignage passif, mĂȘme dans les dĂ©tails, Ă  faire ressortir notre renommĂ©e.

      Ruth est exemplaire pour son zĂšle : elle ne voulait pas manger le « pain de l'oisiveté ». Voici un excellent exemple pour les jeunes ! L'assiduitĂ© ouvre la voie aux promesses divines, Ă  la fois dans ce monde, mais aussi dans l'au-delĂ . N'Ă©prouvons pas de honte Ă  faire d'honnĂȘtes tĂąches, mĂȘme modestes. « Il n'y a pas de sot mĂ©tier » ! Le pĂ©chĂ© est une chose que nous pouvons Ă©ventuellement dominer, mais ne pensons surtout pas qu'il nous soit possible de le vaincre systĂ©matiquement, sachons plutĂŽt Ă©couter ce que Dieu veut nous dire, lors de l'Ă©preuve.

      Ruth Ă©tait un exemple de tendresse envers sa belle-mĂšre, et de confiance en la Providence. Dieu, dans Sa Sagesse, dirige tous les Ă©vĂšnements, mĂȘme ceux qui peuvent nous paraĂźtre mineurs, voire sans issue : qui sait, si ces derniers ne finiront pas par lui rendre Gloire, et concourir au bien de Ses enfants ?

      4 Les paroles de Boaz, pleines de bontĂ© et de piĂ©tĂ©, Ă  l'Ă©gard de ses moissonneurs, rĂ©vĂšlent qu'il y avait toujours en IsraĂ«l, des personnes qui vivaient avec Dieu. De tels propos sont assez rares de nos jours ! Au contraire, on n'entend trop souvent autour de nous que des paroles d'immoralitĂ© et de corruption. Un Ă©tranger qui viendrait nous visiter, n'aurait pas du tout la mĂȘme opinion de notre pays, que s'il se prĂ©sentait, au temps de Ruth en IsraĂ«l, en Ă©coutant les conversations entre Boaz et ses serviteurs, et en observant la conduite du maĂźtre.

      La véritable piété poussera un homme à bien se conduire, dans toutes situations et conditions ; cette piété formera les maßtres dans les voies de la bonté et les serviteurs, dans celles de la fidélité : la famille sera ainsi en parfaite harmonie. Elle connaßtra l'équilibre, l'amour et la gentillesse.

      C'est ce que l'on peut voir chez Boaz et les siens. Quand ce maĂźtre de maison s'est prĂ©sentĂ© auprĂšs des moissonneurs, il les a d'abord saluĂ©s par une bĂ©nĂ©diction de l'Éternel. DĂšs qu'ils virent leur maĂźtre, ces serviteurs ne l'ont pas maudit, comme le font communĂ©ment certains, qui haĂŻssent leur supĂ©rieur : ils lui ont retournĂ© avec courtoisie ses salutations.

      Les affaires journaliÚres ne peuvent que bien se dérouler lorsqu'une bonne ambiance rÚgne entre supérieurs et subalternes.

      Chacun exprima ainsi sa gentillesse envers l'autre. Boaz s'est ensuite enquis au sujet de la jeune femme qui glanait dans son champ, dĂ©sirant qu'elle soit bien traitĂ©e. Les responsables doivent non seulement veiller sur leur bien-ĂȘtre personnel, mais aussi sur celui de leurs subalternes, afin que ces derniers accomplissent correctement leur tĂąche.

      Ruth, sachant d'oĂč elle venait, un pays aux mƓurs paĂŻennes, s'est soumise humblement aux faveurs immĂ©ritĂ©es que Boaz lui adressa. Il est toujours bon d'avoir une modeste opinion de soi-mĂȘme, estimant les autres, au-dessus de soi. Quand nous voyons une telle compassion, de Boaz envers Ruth, cela nous rappelle celle du Seigneur JĂ©sus envers les pauvres pĂ©cheurs !

      Ruth 4

      1 Chroniques 2

      Matthieu 1

      Luc 3

      Hébreux 11

      Jacques 2

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