Le leadership de la grâce : représenter le cœur de Dieu | Joseph Prince | New Creation TV Français
Voulez-vous faire l'expérience de l'efficacité divine dans votre sphère d'influence ? Qu'il s'agisse de votre ministère, de votre famille ou …
La transfiguration de Christ. (Matthieu 17:1-13)
Jésus chasse un démon d'un enfant. (Matthieu 17:14-21)
Il prédit encore Ses souffrances. (Matthieu 17:22,23)
Il réalise un miracle pour payer le tribut. (Matthieu 17:24-27)
Les apôtres furent éblouis par cette vision glorieuse. Pierre pensa qu'il valait mieux continuer à séjourner dans cette atmosphère merveilleuse, plutôt que d’être confronté à ses futures souffrances, dont il était si peu disposé à entendre le le détail. En fait, l’apôtre ne savait pas réellement ce qu'il disait.
Nous nous méprenons, si nous cherchons le « merveilleux » de l’environnement céleste, ici-bas. Quelles que soient les habitations que nous cherchons à dresser pour nous-mêmes en ce monde, nous devons toujours garder à l’esprit qu’il nous faut d’abord demander, à ce sujet, l’aval de Christ.
Lors de ce récit de la transfiguration, le sacrifice de Jésus sur la croix n’avait pas encore eu lieu, sacrifice sans lequel les âmes coupables n'auraient pu être sauvées ; d'importantes tâches allaient bientôt être accomplies dans le ministère qui attendait Pierre et ses frères. Pendant que l’apôtre parlait, une nuée lumineuse les couvrit, emblème de la présence et de la gloire divine.
Depuis que l'homme a péché et a entendu la colère de Dieu dans le jardin d’Éden, les apparitions divines exceptionnelles allaient être désormais terrifiantes : les disciples tombèrent sur leur face, jusqu'à ce que Jésus les encourage ; une fois cette vision disparue, ils regardèrent autour d'eux, et ne virent alors que leur Seigneur, comme à l’accoutumée.
Quand nous cheminons, par l’Esprit, vers la gloire céleste, nous pouvons être sujets à diverses expériences spirituelles ; mais quand nous « revenons » ici-bas, notre souci doit être de nous faire accompagner par Christ : Sa présence pourra alors vraiment nous réconforter !
Quand toutes les aides et les différents secours font défaut, nous sommes toujours les bienvenus auprès du Seigneur, nous pouvons vraiment placer notre confiance en Lui, afin de pouvoir bénéficier de Sa puissance et de Sa bonté.
On peut trouver dans ce texte l’emblème de l'œuvre de Christ, en tant que Rédempteur. Il encourage les parents à présenter devant Lui, les enfants qui pourraient être sous le pouvoir de Satan ; le Seigneur est capable de les guérir : Il est disposé à le faire, car Il en est capable. Il ne faut pas les présenter devant Lui simplement par la prière, mais il faut aussi les Lui amener au nom de Sa Parole ; ces différents moyens permettent de faire battre en retraite, Satan et ses différentes « manipulations ».
Il est bon de ne pas placer notre confiance en nous-mêmes et en notre propre force ; mais il est vraiment déplaisant pour Christ de voir notre incrédulité, envers Son pouvoir et Ses promesses.
La maladie particulière de cet enfant était difficile à guérir. Le pouvoir extraordinaire de Satan ne doit pas ébranler notre foi, mais doit au contraire nous appeler à avoir plus de ferveur dans notre prière à Dieu, afin qu’Il nous affermisse.
Sommes-nous étonnés, face à la possession corporelle de cet enfant, par Satan, alors que ce dernier « mène » spirituellement chaque fils d'Adam depuis la chute ?
Apprenons à « endurer l’ignominie » de la croix, à mépriser les richesses et les honneurs du monde, pour être en accord avec la volonté du Seigneur !
Nous ne devons jamais négliger notre devoir, par crainte d'offenser qui que ce soit ; nous devons, par contre, renoncer parfois à nos propres intérêts ici-bas, plutôt que de choquer quelqu’un.
Comment cet argent en question, pouvait-il être apporté par ce poisson ? Seul Celui qui connaît toutes choses pouvait le savoir, et seul Son pouvoir tout puissant pouvait « attirer » ce poisson vers l'hameçon de Pierre. Dans cet épisode, la puissance, comme la pauvreté de Christ, se doivent d’être mentionnées.
Si, par la Providence, nous sommes appelés à demeurer pauvres, comme l'était d’ailleurs notre Seigneur, confions-nous en Sa toute Puissance, et notre Dieu pourvoira à tous nos besoins, selon Sa richesse en Gloire, par Jésus-Christ : dans le parcours de l'obéissance, dans notre « ministère spirituel », notre Sauveur nous aidera de la même façon qu'Il a aidé Pierre.
Et si un événement inattendu vient nous surprendre, ne nous « appuyons » pas sur les autres : recherchons Christ d’abord !
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1 à 13 La transfiguration.
Six jours après les entretiens qui précèdent. (Matthieu 16.13 et suivants)
Luc dit : environ huit jours après ; ce mot environ explique suffisamment la différence.
- Les trois disciples que Jésus prend avec lui furent seuls témoins du moment le plus glorieux de sa vie et de son plus profond abaissement. (Matthieu 26.37)
- La haute montagne, où se passe la grande scène qui suit, serait, selon une tradition datant du quatrième siècle, le Thabor. Mais comme Jésus était alors dans la contrée de Césarée de Philippe, aux confins septentrionaux de la Galilée, tandis que le Thabor est situé au sud-ouest du lac de Génézareth, et comme le départ de Jésus et son retour en Galilée sont mentionnés par Marc après la transfiguration et la guérison du lunatique, (Matthieu 9.30,33) tandis qu'aucun des évangélistes ne fait allusion à un déplacement de Jésus après la confession de Pierre, cette tradition est plus qu'improbable.
On suppose avec beaucoup de vraisemblance qu'il s'agit de l'Hermon, dont les hautes sommités s'élèvent près des lieux où étaient alors Jésus et ses disciples. (Voir le Voyage en Terre-Sainte de F. Bovet, p 349, 7e édit., Jésus, par Mme de Gasparin, p. 143.)
- D'après notre récit et celui de Marc, on pourrait penser que le Sauveur gravit cette montagne avec ses trois disciples en vue de sa transfiguration.
Mais Luc nous apprend qu'il y monta afin d'y chercher la solitude pour prier et que c'est dans sa prière que "son visage devint autre." (Comparer Exode 34.29 ; 2Corinthiens 3.18)
La transfiguration de Christ. (Matthieu 17:1-13)
Nous voyons dans ce texte, les disciples apercevant une « facette » de la gloire de Christ, le Fils unique du Père. Le but de cette vision était d’affermir leur foi, avant qu’ils ne soient témoins de la crucifixion de Jésus ; cela devait également donner aux disciples un aperçu de la gloire qui devait les attendre, une fois transformés par la Puissance du Seigneur, en conformité à Sa ressemblance.Jésus chasse un démon d'un enfant. (Matthieu 17:14-21)
Il prédit encore Ses souffrances. (Matthieu 17:22,23)
Il réalise un miracle pour payer le tribut. (Matthieu 17:24-27)
Les apôtres furent éblouis par cette vision glorieuse. Pierre pensa qu'il valait mieux continuer à séjourner dans cette atmosphère merveilleuse, plutôt que d’être confronté à ses futures souffrances, dont il était si peu disposé à entendre le le détail. En fait, l’apôtre ne savait pas réellement ce qu'il disait.
Nous nous méprenons, si nous cherchons le « merveilleux » de l’environnement céleste, ici-bas. Quelles que soient les habitations que nous cherchons à dresser pour nous-mêmes en ce monde, nous devons toujours garder à l’esprit qu’il nous faut d’abord demander, à ce sujet, l’aval de Christ.
Lors de ce récit de la transfiguration, le sacrifice de Jésus sur la croix n’avait pas encore eu lieu, sacrifice sans lequel les âmes coupables n'auraient pu être sauvées ; d'importantes tâches allaient bientôt être accomplies dans le ministère qui attendait Pierre et ses frères. Pendant que l’apôtre parlait, une nuée lumineuse les couvrit, emblème de la présence et de la gloire divine.
Depuis que l'homme a péché et a entendu la colère de Dieu dans le jardin d’Éden, les apparitions divines exceptionnelles allaient être désormais terrifiantes : les disciples tombèrent sur leur face, jusqu'à ce que Jésus les encourage ; une fois cette vision disparue, ils regardèrent autour d'eux, et ne virent alors que leur Seigneur, comme à l’accoutumée.
Quand nous cheminons, par l’Esprit, vers la gloire céleste, nous pouvons être sujets à diverses expériences spirituelles ; mais quand nous « revenons » ici-bas, notre souci doit être de nous faire accompagner par Christ : Sa présence pourra alors vraiment nous réconforter !