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Tu as pour manteau la lumière,
Tu étends les cieux comme un voile,
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Tout à coup, il fut transfiguré en leur présence : son visage se mit à resplendir comme le soleil, ses vêtements prirent une blancheur éclatante et devinrent aussi éblouissants que la lumière.
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Son visage brillait comme l’éclair, ses vêtements étaient aussi blancs que la neige.
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ses vêtements devinrent éblouissants d’une blancheur telle que nul blanchisseur au monde n’en pourrait produire de pareille.
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Pendant qu’il était en prière, son visage se transfigura, ses vêtements devinrent d’une blancheur éblouissante comme un éclair.
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Le Fils, expression de Dieu, s’est incarné, il est devenu homme et a vécu parmi nous. Oui, nous avons contemplé sa splendeur glorieuse, une splendeur que seul le Fils unique envoyé par son Père pouvait posséder. Tout en lui n’était que grâce et vérité.
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Ô Père, mon désir est que ceux que tu m’as donnés soient avec moi là où je serai et qu’ils contemplent ma gloire, car c’est toi qui me l’as donnée, parce que tu m’as aimé avant la création du monde.
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J’étais en chemin, il était environ midi lorsque j’ai vu, ô roi, une lumière venant du ciel, plus éclatante que celle du soleil. Elle m’enveloppait de sa clarté, moi et mes compagnons de voyage.
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Nous sommes tous tombés à terre, et j’entendis une voix qui me disait en araméen : — Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ? Il est dangereux de te rebiffer contre ta propre conscience.
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Je demandai : — Qui es-tu, Seigneur ? Et le Seigneur dit : — Je suis Jésus, celui que tu persécutes.
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Ne vous coulez pas simplement dans le moule de tout le monde. Ne conformez pas votre vie aux principes qui régissent le siècle présent ; ne copiez pas les modes et les habitudes du jour. Laissez-vous plutôt entièrement transformer par le renouvellement de votre mentalité. Adoptez une attitude intérieure différente. Donnez à vos pensées une nouvelle orientation afin de pouvoir discerner ce que Dieu veut de vous. Ainsi, vous serez capables de reconnaître ce qui est bon à ses yeux, ce qui lui plaît et qui vous conduit à une réelle maturité.
6
Le Christ, dès l’origine,
fut d’essence divine,
un avec le Dieu saint.
Il avait sa nature,
sa gloire sans mesure,
ses attributs divins. Loin de mettre sa joie
à trouver une proie
dans son égalité
avec le Dieu suprême,
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il s’abaissa lui-même,
avec humilité. Le Roi de tous les êtres
ici-bas voulut naître
en simple serviteur.
Esclave volontaire,
il a vécu sur terre
sans éclat, sans honneur. Homme parmi les hommes,
il fut ce que nous sommes,
en tout semblable à nous.
Humble et sans apparence,
dans son obéissance
il alla jusqu’au bout.
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et, au milieu d’eux, je distinguai un être ressemblant à un homme. Il portait une longue tunique qui lui allait jusqu’aux pieds ; elle était serrée à la taille par une ceinture d’or.
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Sa tête était d’une blancheur éclatante, sa chevelure l’encadrait comme une laine d’un blanc neigeux ; ses yeux flamboyaient comme une flamme ardente et
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ses pieds étincelaient comme du bronze incandescent au sortir d’une fournaise ; sa voix retentissait comme celle d’une multitude de cascades.
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Dans sa main droite, il tenait sept étoiles, et sa bouche dardait une épée affilée à double tranchant. Son visage était éblouissant comme le soleil à midi quand il brille de tout son éclat.
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À cette vue, je tombai à ses pieds comme mort. Mais il posa sa main droite sur moi, en disant : « Sois sans crainte, c’est moi ; je suis le premier et le dernier,
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Ensuite, je vis un autre ange d’une force extraordinaire qui descendait du ciel enveloppé d’une nuée, la tête auréolée d’un arc-en-ciel. Son visage rayonnait comme le soleil et ses jambes ressemblaient à des colonnes de feu.
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Ses yeux flamboient comme une flamme ardente. Sa tête est ceinte de nombreux diadèmes. Il porte un nom gravé qu’il est seul à connaître.
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Le manteau dont il se drape est trempé de sang. Il s’appelle la parole de Dieu.
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Ensuite, je vis un très grand trône d’une blancheur étincelante et celui qui y siégeait. Le ciel et la terre s’enfuirent loin de sa présence. Ils disparurent pour toujours sans laisser de traces.
Matthieu et Marc emploient seuls ce mot, Luc dit : "L'apparence de son visage devint autre." Il n'est pas sans intérêt de remarquer que saint Paul exprime par ce même verbe la transformation morale qui s'accomplit dans le chrétien par sa régénération et sa glorification graduelle. (Romains 12.2 ; 2Corinthiens 3.18)
Les évangélistes empruntent à la nature toutes ses splendeurs (comparez Marc et Luc), sans parvenir à nous dépeindre la gloire divine dont toute la personne du Fils de Dieu fut comme inondée en ce moment. Pour le Sauveur, ce fut la réponse à sa prière, le prélude de sa glorification définitive. (Comparer Jean 17.5)
Jésus était sans péché. Il avait marché dès son enfance dans la voie de l'obéissance parfaite. Il s'était développé sans relâche dans la sainteté. Il était arrivé au terme de ce développement. Il pouvait quitter la terre, le temps de l'épreuve étant achevé. Mais il n'était pas normal qu'il sortit de cette vie comme les autres hommes par la mort, car "la mort est le salaire du péché." (Romains 6.23)
L'issue normale de l'existence terrestre pour cet homme parfaitement saint était la glorification progressive de son être tout entier.
"Son corps toujours au service de Dieu toujours l'instrument de la sainteté, devenait un corps spirituel, un corps céleste, un corps tel que nous le posséderons un jour. Il mûrissait insensiblement pour le ciel et la transfiguration marque précisément le moment où Jésus arrivé au point culminant d'une vie humaine, parvient au terme naturel de la sainteté, je veux dire à la gloire." Ch. Porret (Chrétien évangélique, 1879, p. 113).
Les miracles de plus en plus éclatants que Jésus avait accomplis dans les derniers temps (multiplication des pains, marche sur les eaux) étaient des indices de ce triomphe croissant de l'esprit sur la matière.
Mais il fallait que Dieu lui donnât une démonstration solennelle, impossible à méconnaître, non seulement pour lui, mais pour ses disciples, de la réalité de la victoire qu'il avait remportée sur la mort par sa sanctification parfaite. Cette démonstration lui fut fournie par la transfiguration où Dieu l'éleva, quelques instants à l'existence glorieuse du ciel.
Jusqu'ici Jésus, marchant par la foi, avait cru à sa victoire sur la mort. Maintenant il la constate. Fondé sur cette expérience il pourra dire désormais : "Je donne ma vie, afin de la reprendre. Personne ne me l'ôte, mais je la donne de moi-même ; j'ai le pouvoir de la donner et j'ai le pouvoir de la reprendre." (Jean 10.17,18 ; voir, Luc 9.31, note, une autre signification importante de cette scène.)
Pour les disciples ce fut, avec le témoignage divin qui va se faire entendre, (verset 5) une manifestation d'en haut, destinée à affermir leur foi à la divinité de leur Maître. Cette foi était ébranlée par la prédiction des souffrances du Christ. Celle-ci avait renversé toutes leurs espérances. Ils avaient passé probablement les six jours précédents dans un morne abattement, et c'était pour réagir contre cette disposition dangereuse que Jésus avait emmené sur la montagne les trois apôtres qui étaient les plus capables d'exercer de l'influence sur leurs condisciples.
Ce qu'ils virent devait non seulement relever leur courage au moment même, mais les fortifier pour l'avenir. Leur foi, soutenue par ce spectacle qu'ils eurent de la gloire de leur Maître, ne défaillira point quand ils le verront dans les dernières profondeurs de son abaissement et de ses souffrances.
Après l'ascension du Sauveur ils pourront se faire une idée de son état de gloire et mieux saisir l'espérance de lui devenir semblables, un jour, quand ils seront eux-mêmes revêtus d'un corps glorifié. (Philippiens 3.21)