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Matthieu 18.12

Que vous en semble ? Si un homme a cent brebis, et que l'une d'elles s'égare, ne laisse-t-il pas les quatre-vingt-dix-neuf autres sur les montagnes, pour aller chercher celle qui s'est égarée ?
Que vous en semble ? Si un homme a cent brebis, et qu'il y en ait une égarée, ne laisse-t-il pas les quatre-vingt-dix-neuf sur les montagnes, pour s'en aller chercher celle qui s'est égarée ?
Qu’en pensez-vous ? Si un homme a cent brebis, et que l’une d’elles s’égare ne laisse-t-il pas les 99 autres sur les montagnes, pour aller chercher celle qui s’est égarée ?
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    • 1 Rois 21

      17 Paul, cet apôtre béni, se plaignait d'être « vendu au péché », Romains 7:14, étant ainsi « captif » contre sa volonté ; Achab, par contre, était tout disposé à céder au péché ; dans ses choix, ses actes et ses engagements, il a toujours aimé errer dans les voies de l'iniquité. Jézabel, son épouse, l'a poussé à commettre le mal. Achab fut réprimandé par Élie, ce dernier lui révélant son péché. Ce roi avait une condition vraiment misérable, étant ennemi de la loi divine ; il était en fait désespéré de voir le serviteur de Dieu lui annoncer la vérité. Achab revêtit un sac et fit pénitence, malgré le fait que son cœur ne soit pas humilié ni repenti. La repentance d'Achab n'était « qu'externe », bien visible par son entourage.

      Que cela puisse encourager tous ceux qui se repentent, à placer leur confiance dans le saint évangile, étant persuadés que toute imitation de piété ne conduira qu'à la maison du « reproche et du doute », alors qu'un véritable sentiment de sincère humiliation mènera à celle des « justifiés ».

      Psaumes 119

      Esaïe 53

      Jérémie 50

      Ezéchiel 34

      Matthieu 12

      Matthieu 18

      Matthieu 21

      28 Les paraboles qui émettent des reproches, s’adressent clairement aux moqueurs, jugeant directement leurs propres paroles.

      La parabole des deux fils, envoyés pour travailler dans la vigne était destinée à montrer que ceux qui ne savaient pas que le baptême de Jean venait de Dieu, seraient finalement humiliés par ceux qui en bénéficiaient.

      L’ensemble de la race humaine est semblable à des enfants élevés par le Seigneur, enfants qui se sont ensuite rebellés contre Lui ; certains sont malgré tout plus « utiles » dans leur désobéissance que d'autres : il arrive souvent en effet que le rebelle hautain soit amené à la repentance et devienne ensuite un serviteur du Seigneur, alors que le soi-disant « formaliste » continue à croître dans sa fierté et son inimitié envers Dieu.

      Matthieu 22

      Luc 15

      Jean 10

      19 Satan mène beaucoup de gens à la ruine spirituelle, en leur faisant tourner en dérision la Parole de Dieu et Ses ordonnances. Les hommes n’aiment pas que l'on se moque de leur nourriture, nécessaire à la vie, cependant ils acceptent de se moquer eux-mêmes de l’essentiel : la « nourriture spirituelle ».

      Si notre zèle et notre ferveur pour la cause de Christ, dans notre ministère pour conduire Ses brebis dans Sa bergerie, provoquent des insultes, n'y prenons pas garde : souvenons-nous que notre Maître a été traité ainsi avant nous !

      1 Corinthiens 10

      15 Le fait de participer au « repas du Seigneur », la Sainte Cène, ne montre-t-il pas notre profession de foi, Christ crucifié, associée à notre gratitude et à notre adoration pour le salut qu'Il nous a accordé ? Les chrétiens, par cette ordonnance de la Cène et par la foi qui y est professée, sont unis, tels des grains de blé constituant du pain ; ils forment les membres du corps spirituel, sachant qu'ils sont tous unis à Christ, en communion avec Lui et avec les frères.

      Cela se confirme dans la similitude de l'adoration et des coutumes juives, lors du sacrifice (Le 7:15-18*). L'apôtre Paul fait ici un parallèle entre la Cène et les festins idolâtres : manger de la nourriture destinée à un sacrifice païen, revenait pratiquement à adorer l'idole à qui ce sacrifice était dédié, en étant pour ainsi dire, en « communion » avec elle ; celui qui participe à la Sainte Cène, partage de ce fait, le « sacrifice chrétien », alors que ceux qui mangeaient les sacrifices juifs, étaient participants de ce qui était offert sur l’autel.

      Tous ces actes idolâtres niaient le christianisme : la communion avec Christ, et celle pratiquée avec les démons ne peuvent avoir lieu en même temps. Si les chrétiens s'aventurent dans certains lieux, se joignant aux sacrifices, à la luxure de la chair, aux convoitises et à tout l’orgueil qui dirige ce monde, ils provoquent Dieu...

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      1 Pierre 2

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