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Matthieu 9.27

Quand Jésus partit de là, il fut suivi par deux aveugles qui criaient : « Aie pitié de nous, Fils de David ! »
Comme Jésus partait de là, deux aveugles le suivirent, criant et disant : Fils de David ! aie pitié de nous.
À cette Ă©poque, les Juifs attendaient l'apparition du Messie ; ces deux aveugles savaient et proclamaient dans les rues de CapernaĂŒm, qu'Il Ă©tait venu, et qu’Il s’appelait JĂ©sus.

Ceux qui ont perdu la vue, peuvent, par la Grùce de Dieu, comprendre la cause de leur infirmité. Quels que soient nos fardeaux ou nos nécessités, nous n'avons besoin de rien d'autre que de bénéficier de la Miséricorde de notre Seigneur Jésus. En Christ il y a suffisamment pour tous !

Ces aveugles suivirent JĂ©sus, en criant Ă  haute voix. Le Seigneur voulait Ă©prouver leur foi, voulant Ă©galement par lĂ , nous enseigner Ă  prier sans cesse, sans faillir, mĂȘme si la rĂ©ponse Ă  notre priĂšre n'est pas immĂ©diate. Ils suivirent donc Christ en criant ; en fait, la question primordiale est la suivante : « croyez-vous » ? Certains peuvent, par nature, ĂȘtre sincĂšres, mais ce n'est que la GrĂące qui peut apporter la foi.

Christ toucha les yeux de ces hommes : en fait, Il apporte la vue aux « ùmes aveugles », par la puissance de Sa Grùce, liée à Sa Parole ; Il les guérit selon leur foi. Ceux qui viennent à Jésus-Christ, en recevront toutes choses, non pas selon leurs propres convoitises, ni selon leur confession, mais selon leur foi.

Christ a quelquefois cachĂ© Ses miracles, ne voulant pas exciter le sentiment de vanitĂ© qui prĂ©dominait parmi les Juifs : leur Messie devait ĂȘtre un prince temporel ; JĂ©sus voulait Ă©viter ainsi les tumultes et les sĂ©ditions parmi le peuple.
As Jesus passed by from there, two blind men followed him, calling out and saying, "Have mercy on us, son of David!"

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      Matthieu 1

      1

      Matthieu, surnommĂ© LĂ©vi, Ă©tait avant sa conversion, un publicain, ou collecteur de taxes pour les Romains, Ă  CapernaĂŒm. Il est admis gĂ©nĂ©ralement qu'il a Ă©crit son Ă©vangile avant tous les autres Ă©vangĂ©listes. Le contenu de cet Ă©vangile, et les Ă©vidences mises en lumiĂšre par des Ă©crivains antiques, montrent qu'il a Ă©tĂ© Ă©crit essentiellement Ă  l'usage de la nation juive.

      L'accomplissement de la prophétie était considéré par les Juifs comme quelque chose d'évident, et c'est là-dessus que s'appuie spécialement Matthieu. Nous trouvons là une sélection de quelques parties de la vie de notre Sauveur, passée ici-bas, et de ses discours qui conviennent bien pour éveiller la nation juive à la notion de ses péchés ; pour anéantir ses attentes erronées d'un royaume terrestre ; pour diminuer sa fierté et sa vanité ; pour lui apprendre la nature spirituelle et l'ampleur de l'évangile ; pour la préparer à l'admission du Païen dans l'église.

      * La généalogie de Jésus. (Matthieu 1:1-17) Un ange apparaßt à Joseph. (Matthieu 1:18-25)

      Matthieu 1:1-17 Remarquons le but principal de cette gĂ©nĂ©alogie de notre Sauveur, elle est digne d’intĂ©rĂȘt : elle n’est pas l’objet d’une vaine gloire, comme c'est bien souvent le cas de celles des grands hommes. Elle prouve que notre Seigneur JĂ©sus vient bien de la nation et de la famille d'oĂč le Messie devait provenir. Des promesses, d’abord de bĂ©nĂ©diction, ont Ă©tĂ© faites Ă  Abraham et sa postĂ©ritĂ©, puis d'autoritĂ©, Ă  David et Ă  sa descendance. Il a Ă©tĂ© en effet promis Ă  ces deux patriarches que Christ devait naĂźtre de leur descendance, Ge 12:3;22:18,2Samuel 7:12;Psaume 89:3;132:11.

      En consĂ©quence, si JĂ©sus n’eut Ă©tĂ© descendant de David, et d'Abraham, il n'aurait pas Ă©tĂ© le Messie. Ce fait est maintenant prouvĂ©, d’aprĂšs les registres gĂ©nĂ©alogiques bien connus. Quand le Fils de Dieu a dĂ©sirĂ© revĂȘtir notre nature, Il est venu ici-bas, partager notre condition d’abaissement et de misĂšre ; mais Il Ă©tait parfaitement exempt de tout pĂ©chĂ©. Quand nous lisons les diffĂ©rents noms de cette gĂ©nĂ©alogie, nous ne devons pas oublier Ă  quel point s'est abaissĂ© le Seigneur de gloire, dans le but de sauver la race humaine.

      Matthieu 9

      27 À cette Ă©poque, les Juifs attendaient l'apparition du Messie ; ces deux aveugles savaient et proclamaient dans les rues de CapernaĂŒm, qu'Il Ă©tait venu, et qu’Il s’appelait JĂ©sus.

      Ceux qui ont perdu la vue, peuvent, par la Grùce de Dieu, comprendre la cause de leur infirmité. Quels que soient nos fardeaux ou nos nécessités, nous n'avons besoin de rien d'autre que de bénéficier de la Miséricorde de notre Seigneur Jésus. En Christ il y a suffisamment pour tous !

      Ces aveugles suivirent JĂ©sus, en criant Ă  haute voix. Le Seigneur voulait Ă©prouver leur foi, voulant Ă©galement par lĂ , nous enseigner Ă  prier sans cesse, sans faillir, mĂȘme si la rĂ©ponse Ă  notre priĂšre n'est pas immĂ©diate. Ils suivirent donc Christ en criant ; en fait, la question primordiale est la suivante : « croyez-vous » ? Certains peuvent, par nature, ĂȘtre sincĂšres, mais ce n'est que la GrĂące qui peut apporter la foi.

      Christ toucha les yeux de ces hommes : en fait, Il apporte la vue aux « ùmes aveugles », par la puissance de Sa Grùce, liée à Sa Parole ; Il les guérit selon leur foi. Ceux qui viennent à Jésus-Christ, en recevront toutes choses, non pas selon leurs propres convoitises, ni selon leur confession, mais selon leur foi.

      Christ a quelquefois cachĂ© Ses miracles, ne voulant pas exciter le sentiment de vanitĂ© qui prĂ©dominait parmi les Juifs : leur Messie devait ĂȘtre un prince temporel ; JĂ©sus voulait Ă©viter ainsi les tumultes et les sĂ©ditions parmi le peuple.

      Matthieu 11

      Matthieu 12

      22 Quand une ùme est sous le pouvoir de Satan, elle est captive et ne peut discerner Dieu, elle reste incrédule, face au trÎne de grùce ; elle ne voit rien, et ne peut rien dire sur tout ce qui touche le ciel. Satan aveugle ses victimes par l'incrédulité, il scelle fermement les lÚvres désireuses de prier.

      Plus le peuple magnifiait Christ, plus les pharisiens Ă©taient dĂ©sireux de L'avilir. Il est Ă©vident que si Satan avait aidĂ© JĂ©sus Ă  chasser les dĂ©mons, le royaume de l'enfer aurait Ă©tĂ© divisĂ© contre lui-mĂȘme ! Comment aurait-il pu alors encore subsister ?

      Si les pharisiens annoncÚrent que Jésus guérit le démoniaque « par le prince des démons », ils ne purent pas prouver que leurs fils (leurs disciples) chassÚrent des mauvais esprits par tout autre pouvoir.

      Deux forces sont opposĂ©es ici-bas : quand des esprits impurs sont chassĂ©s d’une Ăąme par le Saint-Esprit, lors de la conversion d’un pĂ©cheur, pour qu’il se dirige vers une vie de foi et d'obĂ©issance, le Royaume de Dieu est alors proche. Tous ceux qui ne participent pas ou qui ne se rĂ©jouissent pas d’un tel changement (la conversion) sont contre Christ !

      Matthieu 15

      Matthieu 17

      Matthieu 20

      Matthieu 21

      Matthieu 22

      41 AprĂšs que Christ eut confondu ses ennemis, Il leur demanda quelles Ă©taient leurs pensĂ©es au sujet du Messie qui Ă©tait promis. Comment peut-il ĂȘtre Ă  la fois le Fils de David et en mĂȘme temps son Seigneur ? Il cite Ă  ce sujet Psaume 110:1.

      Si le Christ ne devait ĂȘtre qu'un simple homme, existant bien longtemps aprĂšs la mort de David, comment son aĂŻeul pouvait-il l'appeler « Seigneur » ? Les pharisiens ne purent rĂ©pondre Ă  cette question.

      Nul ne peut rĂ©soudre cette difficultĂ©, sinon celui qui accepte le Messie, en tant que Fils de Dieu, et Seigneur de David, dotĂ© de la mĂȘme autoritĂ© que celle du PĂšre.

      Christ a revĂȘtu la nature humaine, et fut ainsi Dieu, manifestĂ© en chair ; dans ce sens, Il est le Fils de l'homme, le Fils de David.

      Il nous appartient de nous demander sĂ©rieusement, avant tout : « que pensons-nous de Christ » ? Est Il Ă  la fois glorieux Ă  nos yeux, et prĂ©cieux Ă  nos cƓurs ? Puisse-t-Il ĂȘtre notre joie, notre confiance, notre tout. Puissions-nous devenir de jour en jour, semblables Ă  Lui, et de plus en plus dĂ©vouĂ©s Ă  Son service !

      Marc 8

      22 Nous voici en prĂ©sence d’un aveugle, amenĂ© Ă  Christ par ses amis : cette dĂ©marche rĂ©vĂšle la foi de ceux qui l'amenĂšrent. Si ceux qui sont « aveugles » spirituellement, ne prient pas pour eux-mĂȘmes, leur famille et leurs amis devraient le faire pour eux : Christ serait heureux de les « toucher ».

      La guĂ©rison de cet homme fut faite par Ă©tapes, ce qui n'Ă©tait pas habituel dans les miracles opĂ©rĂ©s par le Seigneur. Christ montra par quelle mĂ©thode sont gĂ©nĂ©ralement guĂ©ris, ceux qui par nature sont « aveugles » spirituellement : en premier lieu, leur connaissance est embrouillĂ©e ; mais, comme la lumiĂšre du matin brille de plus en plus jusqu'au jour complet, de mĂȘme, ces « aveugles » perçoivent alors les choses clairement.

      Quand on ne prend pas en considération les faveurs de Christ, on en perd alors tout le bénéfice qui peut en résulter ; en de tels cas, le Seigneur fera connaßtre à ceux qui agissent de la sorte, la véritable valeur de Ses privilÚges, provoquant la « soif » de les acquérir.

      Marc 9

      Marc 10

      46 L’aveugle BartimĂ©e avait entendu parler de JĂ©sus et de Ses miracles : apprenant qu'Il passait par lĂ , il espĂ©rait donc recouvrer la vue.

      Quand nous venons vers Christ, pour obtenir de l'aide et la guĂ©rison, nous devrions Le regarder comme le Messie promis. Les appels du Seigneur, pleins de compassion, nous disent d'aller Ă  Lui, ils affermissent notre espĂ©rance. Si nous venons vers Lui, nous obtiendrons ce pour quoi nous sommes venus. Ceux qui veulent venir Ă  JĂ©sus, doivent d’abord ĂŽter le « vĂȘtement de leur propre suffisance », ils doivent se libĂ©rer de tout poids et du pĂ©chĂ© qui, comme de longs vĂȘtements, les enveloppent si aisĂ©ment, Heb 12:1.

      Cet aveugle demanda Ă  JĂ©sus que ses yeux soient ouverts. On dĂ©sire vraiment ĂȘtre capable de pouvoir gagner son pain ; quand Dieu a donnĂ© aux hommes des membres et des sens, il est honteux de ne pas les utiliser en tant que tels, par folie ou paresse.

      Les yeux de BartimĂ©e furent ouverts : « ta foi t'a guĂ©ri ». Il s’agit de la foi en Christ, le fils de David, Celui qui a de la compassion et Sa toute puissance ; les cris rĂ©pĂ©tĂ©s de cet aveugle ne le sauvĂšrent pas, mais sa foi seule ; Christ prĂ©dispose le cƓur Ă  recevoir la foi, en vue d’Ɠuvrer.

      Que les pĂ©cheurs soient exhortĂ©s Ă  imiter BartimĂ©e, l'aveugle. LĂ  oĂč l'Évangile est prĂȘchĂ©, oĂč la Parole de la VĂ©ritĂ© circule, JĂ©sus passe, il faut en saisir l'opportunitĂ©. Venir Ă  Christ pour la guĂ©rison spirituelle n'est pas suffisant ; une fois guĂ©ris, nous devons continuer Ă  suivre JĂ©sus, afin de L'honorer et de recevoir Ses instructions. Ceux qui « marchent » spirituellement, discernent la magnificence de Christ, magnificence qui les incitera Ă  Le suivre !

      Marc 11

      Marc 12

      35 Lorsqu’on prĂȘte attention Ă  ce que l'Ă©criture dĂ©clare, quant Ă  la Personne et au ministĂšre de Christ, on est amenĂ© Ă  Le confesser en tant que notre Seigneur et notre Dieu, et Ă  Lui obĂ©ir, en tant que notre merveilleux RĂ©dempteur.

      Si les gens simples reçoivent ces vérités avec joie, alors que les intellectuels et les prétentieux les rejettent, les premiers sont heureux, alors que les derniers font littéralement pitié.

      Le péché déguisé sous une apparence de piété est une double iniquité : son destin sera deux fois plus sinistre...

      Luc 7

      Luc 17

      Luc 18

      Luc 20

      Jean 7

      Jean 9

      1

      Christ donne la vue Ă  un aveugle de naissance. (Jean 9:1-7)
      Le récit de cet aveugle. (Jean 9:8-12)
      Les pharisiens questionnent cet aveugle. (Jean 9:13-17)
      Ils l'interrogent, Ă  propos de lui-mĂȘme. (Jean 9:18-23)
      Ils le chassent. (Jean 9:24-34)
      Le dialogue de Christ avec cet aveugle. (Jean 9:35-38)
      Christ réprouve les pharisiens. (Jean 9:39-41)

      Christ guĂ©rit de nombreux aveugles, atteints par la maladie ou par accident ; dans ce texte, Il guĂ©rit un aveugle de naissance. Il montra ainsi Sa Puissance pour secourir l’homme, dans les cas les plus dĂ©sespĂ©rĂ©s ; Il manifeste l'Ɠuvre de Sa GrĂące envers l’ñme des pĂ©cheurs : Il offre la vue Ă  ceux qui sont aveugles par nature.

      Si ce pauvre aveugle Ă©tait incapable de discerner Christ, ce Dernier l'a bien vu ! Si nous parvenons Ă  connaitre ou Ă  saisir quelque information sur Christ, c'est parce qu’Il nous a connu en premier. Lorsque le Seigneur mentionne les calamitĂ©s exceptionnelles qui peuvent toucher certains, Il affirme qu’elles ne doivent pas toutes ĂȘtre considĂ©rĂ©es comme un chĂątiment spĂ©cifique du pĂ©ché ; elles nous sont quelquefois adressĂ©es pour la gloire de Dieu, pour manifester Ses Ɠuvres.

      Notre vie ne dure qu’un « jour », pendant lequel nous devons exĂ©cuter les tĂąches qui nous sont assignĂ©es. Nous devons employer ce temps Ă  bon escient et ne pas le gaspiller ; nous pourrons nous reposer, une fois cette journĂ©e terminĂ©e... L'approche de la mort devrait nous inciter Ă  saisir toutes les occasions pour pratiquer le bien. Celui que nous pouvons faire doit ĂȘtre effectuĂ© dĂšs que possible. Celui qui ne se contente que d’Ɠuvres imparfaites, en laissera de cĂŽtĂ© de nombreuses autres, Ec 11:4.

      Christ magnifia Sa Puissance en guĂ©rissant instantanĂ©ment cet aveugle, ce qu’aucun parmi ceux qui L’entouraient n’était capable de faire. La raison humaine est incapable de juger les voies du Seigneur ; ce Dernier utilise des moyens et des instruments que les hommes mĂ©prisent parfois. Ceux qui veulent ĂȘtre guĂ©ris par Christ doivent accepter d’ĂȘtre gouvernĂ©s par Lui !

      Quand cet aveugle revint du rĂ©servoir de SiloĂ©, il constata avec Ă©merveillement qu’il Ă©tait guĂ©ri ! Telles sont les consĂ©quences bienheureuses qui dĂ©coulent de l’obĂ©issance aux ordonnances de Christ ! Quand les Ăąmes s’approchent de Lui, elles sont encore spirituellement faibles ; elles partent se purifier prĂšs du Seigneur et en reviennent comblĂ©es et fortifiĂ©es ; elles s'approchent dans la tristesse du pĂ©chĂ©, pour revenir ensuite dans la joie ; elles partent « aveugles », et reviennent en ayant recouvrĂ© spirituellement « la vue » !

      8 Ceux dont les « yeux spirituels » ont Ă©tĂ© ouverts, dont le cƓur a Ă©tĂ© purifiĂ© par la GrĂące, sont de vĂ©ritables « édifices », Ă©rigĂ©s Ă  la Gloire du RĂ©dempteur : ils tĂ©moignent du don de cette GrĂące reçue par tous ceux qui dĂ©sirent bĂ©nĂ©ficier de ce prĂ©cieux salut.

      Il est bon d'observer les mĂ©thodes employĂ©es par Dieu dans l’accomplissement de Ses Ɠuvres, on en dĂ©couvrira mieux alors le cĂŽtĂ© merveilleux : appliquez-vous Ă  cet exercice spirituel !

      Dans l'Ɠuvre que la GrĂące opĂšre sur l'Ăąme, nous pouvons constater le changement opĂ©rĂ©, sans voir toutefois la main qui l’accomplit ; il en est de mĂȘme pour l’action de l'Esprit : Il est comme le vent, dont on entend le murmure, mais dont on ne peut dire ni d'oĂč il vient, ni oĂč il va...

      Romains 1

      Romains 9

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