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Michée 6.6

בַּמָּה֙ אֲקַדֵּ֣ם יְהוָ֔ה אִכַּ֖ף לֵאלֹהֵ֣י מָר֑וֹם הַאֲקַדְּמֶ֣נּוּ בְעוֹל֔וֹת בַּעֲגָלִ֖ים בְּנֵ֥י שָׁנָֽה׃
Avec quoi me présenterai-je devant l'Éternel, Pour m'humilier devant le Dieu Très Haut ? Me présenterai-je avec des holocaustes, Avec des veaux d'un an ?
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      Genèse 14

      21 L'offre du Roi de Sodome envers Abram est remarquable : « donne-moi les personnes et prends pour toi les richesses ».

      La gratitude nous enseigne de récompenser dignement ceux qui ont été au delà de toutes fatigues et de tous risques pour accomplir des services à notre égard. Abram a refusé, avec sagesse, l'offre qui lui était proposée. Son refus était motivé par une bonne raison : « Afin que tu ne dises pas : j'ai enrichi Abram ». Cela reflétait bien la promesse et la recommandation divines de ne pas s'enrichir avec le butin de Sodome. Les enfants de Dieu doivent prendre garde à ne pas jouir des biens mercantiles ou de ce qui touche à la convoitise. Abram a préféré placer sa confiance dans le Maître des cieux et de la terre.

      Exode 12

      Lévitique 1

      3 Dans les ordonnances données par le livre du Lévitique, les mystères du monde spirituel sont représentés par des éléments de la nature : les pratiques qui vont suivre, relatives aux sacrifices et aux offrandes, en sont une représentation. Sans cette idée sous-jacente, ces cérémonies sembleraient n'avoir aucun sens. Dans ces éléments, nous trouvons une représentation des souffrances du Fils de Dieu, sacrifié pour les péchés du monde entier. Le corps brûlé de l'animal, n'était qu'une piètre représentation du châtiment éternel que nous méritions tous ; en fait, c'est notre Seigneur Jésus qui a supporté corps et âme cette malédiction, lorsqu'Il est mort sous le poids de nos iniquités.

      Remarquons bien les éléments suivants : - La bête à sacrifier devait être sans défaut. Cela signifie que Christ était pur et parfait, capable de rendre sain Son peuple racheté. - La personne offrant le sacrifice devait le faire sans contrainte. Tout acte de piété, destiné à plaire à Dieu, doit être accompli avec amour. Christ s'est Lui-même volontairement offert, par amour pour nous. - La bête devait être offerte à la porte du tabernacle, sur l'autel de bronze des sacrifices. Cette offrande était ainsi sanctifiée : c'est une image du pécheur, incapable d'entrer en communion avec Dieu, sans être sanctifié par un sacrifice. - Celui qui offrait le sacrifice devait apposer sa main sur la tête de la victime : cela signifiait qu'il souhaitait que son offrande soit bien acceptée. - Le sacrifice devait être exécuté devant l'Éternel, selon un rite et une manière bien précis, en vue d'honorer Dieu. Cela signifie aussi pour les chrétiens, qu'ils doivent sacrifier tout ce qui vient de la chair : les affections corrompues comme les convoitises. - Les sacrificateurs devaient épandre le sang sur l'autel ; le sang étant la vie, c'est par lui que le péché pouvait être expié. C'est une image de la purification et de l'apaisement de nos consciences par l'aspersion du sang de Jésus-Christ, et ce par le biais de la foi. - La bête sacrifiée devait être divisée en plusieurs morceaux, pour être ensuite brûlée sur l'autel. Ce sacrifice consumé est aussi une image des horribles souffrances de Christ ; c'est également un modèle pour les chrétiens, qui doivent offrir leur être, dans le « feu de la sainteté », donnant ainsi leur esprit, leur âme et leur corps à Dieu. - Il est mentionné que le sacrifice était d'odeur agréable à l'Éternel : il en a été de même pour Christ qui est mort, en toute obéissance à Dieu, en vue de Lui offrir un sacrifice parfait ; les sacrifices spirituels des chrétiens ne peuvent être acceptés par Dieu qu'au travers de Christ, 1Pierre 2:5.

      10 Ceux qui ne pouvaient offrir un taureau, pouvaient apporter un mouton ou une chèvre ; quant à ceux qui ne pouvaient offrir aucun de ces animaux, ils avaient l'agrément divin s'ils amenaient une tourterelle ou un pigeon. Ces créatures n'étaient sélectionnées pour être sacrifiées, que si leur caractère était doux, calme et inoffensif ; cela nous rappelle l'innocence et l'humilité que l'on rencontrait dans la personne de Christ, ici-bas et qui devrait se trouver également chez les chrétiens.

      L'offrande du pauvre était également une image de l'expiation faite par Jésus-Christ, elle avait autant de valeur que la plus coûteuse : elle exprimait une réelle repentance, la foi et le dévouement à Dieu. Nous n'avons aucune excuse si nous négligeons notre devoir dans le service divin. De même qu'un Israélite pouvait offrir un taureau ou une chèvre, nous pouvons offrir à Dieu, qui Le premier, nous a déjà donné, le sacrifice de notre cœur brisé, ou celui de notre louange et de nos remerciements. Plus nous nous consacrons au service divin, plus nous nous engageons pour Lui, cherchant toute occasion pour accomplir de notre mieux, Sa volonté. En toutes choses Dieu pourvoit aux éléments nécessaires pour Son service, que ce soit le temps ou les moyens ; là où la providence divine a donné à l'homme une opulence de richesse, Dieu n'acceptera pas d'offrande qui ne soit faite avec un cœur contrit.

      Consacrons-nous, corps et âme, à Son service, quelle qu'en soit la difficulté requise ; entreprenons, accomplissons et souffrons pour notre Seigneur !

      Nombres 23

      1

      Le sacrifice de Balak, Balaam prononce une bénédiction au lieu de maudire Israël. (Nombres 23:1-10)
      La déception de Balak, le deuxième sacrifice, Balaam bénit de nouveau Israël. (Nombres 23:11-30)

      Alors que le camp d'Israël était bien en vue, Balaam ordonna que l'on construisit sept autels, pour sacrifier sur chacun d'eux, un bœuf et un bélier. Remarquez combien la superstition peut rendre sot, au point de croire que Dieu est à la disposition des volontés humaines ! La malédiction s'est transformée en bénédiction, par la Toute Puissance divine, et à cause de l'amour de ce Dernier pour Israël. Dieu décida de manifester Sa propre gloire, par l'intermédiaire de Balaam : Il le rencontra directement. Qui aurait pu défier Dieu et Israël, après avoir entendu les paroles que l'Éternel avait placées dans la bouche de Balaam ? Ces propos édifiants ne pouvaient conduire qu'à adorer Dieu ; en fait, il sera donné à chacun de ces hommes, selon la teneur de leurs paroles. Celui qui a pu faire parler l'ânesse, empêchant ainsi celui qui la montait de brutaliser cet animal, a placé dans la bouche de Balaam des propos qui allaient à l'encontre de son cœur. Il s'agissait là d'un grand miracle. Balaam prononça en fait une bénédiction sur Israël ! Il avoue même ne pas vouloir s'opposer davantage à la volonté divine. Il annonce qu'Israël est heureux d'être le « peuple de Dieu », étant ainsi mis à part des autres nations.

      Les Israélites, malgré leur petit nombre, étaient satisfaits de se voir respectés. Tout allait bien pour eux ! La mort est la dernière étape que les hommes doivent franchir ; même le « juste » doit mourir : cela peut nous encourager à réfléchir, de voir dans ce texte, Balaam songer à sa propre mort. Son discours est celui d'une âme bénie, non seulement pendant sa vie durant, mais aussi, dans l'avenir, après la mort.

      Cette pensée peut même faire préférer la mort à la vie, voir Philippiens 1:21* ; Balaam prononça de réelles bénédictions pour Israël, non seulement pendant sa vie ici-bas, mais aussi pour le futur. Beaucoup désirent mourir en tant que « justifiés par Dieu », sans toutefois pratiquer la piété durant leur vie ; heureux seront ceux à la fois justifiés et pieux, leur vie durant !

      Le discours de Balaam ne fut en fait qu'un souhait et non une Prière ; ce fut un vain désir, n'espérant qu'une heureuse destinée pour le peuple hébreu, sans toutefois se soucier des moyens pour y parvenir. Beaucoup cherchent à apaiser leur âme en essayant de se confier en l'avenir, sur de faux espoirs, tout en négligeant le chemin du salut, le seul moyen par lequel le pécheur peut être justifié devant Dieu !

      * Note du traducteur : cette référence a été ajoutée au commentaire original, pour en faciliter la compréhension.

      2 Samuel 21

      Psaumes 22

      Psaumes 40

      6 Le psalmiste prédit l'œuvre merveilleuse de rédemption au travers de notre Seigneur Jésus-Christ. Celui-ci doit venir, Il doit manifester la gloire divine et apporter la Grâce à l'homme, tâche qu'il est impossible d'accomplir par les sacrifices.

      Observez combien notre Seigneur a été mis à part pour accomplir Sa tâche de Médiateur. Dans le Rouleau du Livre, tout était écrit à Son sujet. Dans le Livre divin, encore scellé, l'acte de rédemption était déjà enregistré. Il y avait également dans l'ancien testament d'autres écrits qui le mentionnaient, Jean 19:28. Maintenant l'accomplissement de notre salut est établi, la proclamation en est faite, en vue de nous inciter à nous approcher et à l'accepter. Ceci est annoncé ouvertement, en toute liberté. Celui qui entreprend de prêcher l'évangile de Christ devrait tout d'abord s'y rallier pleinement ; mais Christ conduit vers ce but tous ceux qu'il appelle à cette œuvre. Puissions-nous placer notre confiance en Son Message, en Sa promesse et nous placer sous Son autorité.

      Psaumes 51

      16 Ceux qui sont vraiment convaincus de leur dangereux état misérable dû au péché cherchent à tout prix à en obtenir la rémission. Alors qu'ils ne peuvent obtenir de satisfaction dans leur iniquité, de même, Dieu ne peut en obtenir avec eux malgré Son amour et le devoir vis-à-vis de leur salut qu'Il éprouve.

      Le véritable pardon ne trouve son accomplissement que dans une âme contrite, dans un cœur et un esprit brisé par la douleur du péché. Ce cœur doit être préparé à recevoir la Parole de Dieu.

      Oh, si nous pouvions tous avoir un tel cœur ! Cela ne pourrait que plaire à Dieu et être vraiment apprécié de Sa part, plus que tous les sacrifices où offrandes. Un cœur contrit ne peut s'approcher de Dieu que par l'intermédiaire de Christ ; il ne peut avoir de réelle repentance sans la foi. Les hommes méprisent ce qui est brisé, contrit, à l'inverse de l'attitude divine. Dieu ne détourne pas le regard devant une telle situation ; Il ne la rejette pas, malgré le déplaisir qu'Il éprouve devant l'iniquité. Ceux qui ont traversé des épreuves spirituelles savent comment prier et avoir compassion envers les autres.

      David a eu peur des retombées de son péché sur la ville et sur Son royaume. Ni les craintes intérieures, ni les épreuves ne peuvent laisser indifférent celui qui a reçu la grâce, envers les intérêts de l'église. Puissions-nous être dans une joie continuelle, en tant que racheté, au travers de la rédemption du sang de Christ, qui nous accorde toutes les richesses de sa grâce.

      Psaumes 95

      Daniel 3

      Daniel 4

      Daniel 5

      18 Daniel interprète le malheureux destin qui attend Belschatsar. Ce dernier n'avait pas pris au sérieux l'avertissement divin donné à Nebucadnetsar. De plus, il avait insulté Dieu.

      Les pécheurs se satisfont de dieux qui ne peuvent voir, ni entendre, ni savoir ; un jour, ils seront jugés par Celui qui détient toutes choses.

      Daniel a donc lu la phrase écrite sur le mur. Tout ceci peut très bien être le destin de chaque pécheur : à sa mort, les jours qu'il a vécus sont recensés ; après sa mort, il y a le jugement : il sera alors pesé dans la balance, et trouvé léger ; après le jugement, ce même pécheur sera dépouillé et donné en tant que proie, au diable et à ses anges.

      Alors que les évènements de ce texte se déroulaient dans le palais, on peut supposer qu'au même moment, l'armée de Cyrus entrait dans la ville, et quand Belschatsar a été massacré, une soumission générale a suivi.

      Bientôt, chaque pécheur impénitent sera confronté à la Parole de Dieu, placée devant lui, même s'il pense être « juste », comme les Pharisiens hypocrites, au temps des évangiles.

      Michée 6

      6 Ces versets semblent relater la faute d’Israël, qui consiste à avoir consulté Balak et Balaam, au lieu d’essayer d’obtenir directement les faveurs du Dieu vivant.

      Une conviction profonde de péché, avec le courroux divin que cela entraîne, conduira les hommes à rechercher la paix et le pardon ; c’est le seul espoir pour eux.

      Pour que Dieu soit satisfait de notre conduite, nous devons porter notre attention sur l'expiation de Christ, afin que notre péché, qui Lui déplait tant, puisse être effacé. Qu'est-ce qui peut satisfaire la justice de Dieu ? Au nom de qui pouvons-nous nous présenter devant Lui, puisque nous n'avons personne qui puisse plaider en notre faveur ? Comment oserions-nous paraître devant Lui, sans être justifiés ?

      Les sacrifices offerts aux idoles par le peuple trahissaient son ignorance, malgré son zèle. Israël offrait ce qui était luxueux et coûteux.

      Ceux qui sont totalement convaincus de leur péché, avec toute la souffrance que cela engendre et la prise de conscience du danger encouru, donneraient sans doute tout ce qu’ils possèdent pour retrouver la paix et le pardon divins. S’ils persistent dans leurs mauvaises voies, ils ne courent qu’à leur ruine...

      Les sacrifices de l’Ancienne Alliance avaient une certaine valeur, par leur référence à celui, parfait, de Christ ; mais il était impossible que le sang des taureaux ou des boucs puissent effacer le péché. Toutes les « offrandes de paix », à part celles faites selon les directives de l'Évangile, sont absurdes. Les sacrifices de cette époque ne pouvaient pas répondre aux exigences de la Justice Divine, ni satisfaire le tort engendré contre Dieu par le péché, ni « assainir » le cœur.

      Les hommes préfèrent se séparer de leurs richesses plutôt que de leurs péchés ; ils ne pourront rien faire par eux-mêmes, qui puisse les réconcilier avec Dieu. Les obligations morales de la Parole sont requises pour la bonne santé spirituelle de l'homme. Il y a grand intérêt à obéir aux commandements divins : Dieu ne cesse clairement de nous le rappeler.

      Dieu n’exige absolument pas que nous payions quoi que ce soit pour le pardon de nos péchés et pour qu’Il nous accepte ; Il désire simplement que nous L’aimions et que nous nous approchions de Lui ; qu'y a-t-il de contraignant en cela ?

      Chacune de nos intentions doit être soumise à Dieu, si nous voulons marcher en paix avec Lui. Nous devons faire cela dans un esprit de repentance et de dépendance envers le Rédempteur, en recherchant Son pardon.

      Que le Seigneur soit béni ! Il est toujours prêt à accorder Sa grâce au pénitent qui L’attend humblement !

      Matthieu 19

      16 Christ savait que la cupidité était le péché qui assaillait vraiment ce jeune homme ; ce dernier avait obtenu honnêtement tous ses biens, et ne pouvait donc se résoudre à s'en séparer de gaieté de cœur : cette attitude, compte tenu de ses paroles, démontrait une certaine hypocrisie...

      Les promesses de Christ facilitent l’obéissance à Ses préceptes, et rendent Son joug agréable à supporter ; cependant la promesse faite dans ce texte était comme beaucoup d’autres, une véritable épreuve de foi pour ce jeune homme : elle encourageait son exercice à la charité, en même temps que son mépris du monde.

      Le fait de suivre Christ, exige que nous appliquions dûment Ses ordonnances, que nous suivions strictement Son exemple, et que nous nous soumettions avec joie à Ses directives : ceci par amour pour Lui, et dans une complète dépendance de Sa Personne.

      Vendre nos biens et tout donner aux pauvres ne sert à rien, quant à l’acquisition de notre salut, par contre c’est conforme à la voie que nous demande de suivre Christ.

      L'évangile est le seul remède pour les pécheurs perdus. Beaucoup s'abstiennent de céder à des vices pernicieux, sans toutefois s'occuper de leurs obligations spirituelles envers Dieu.

      Des milliers d'exemples de désobéissance, qu’il s’agisse de mauvaises pensées, de paroles, et d’actions, sont cités dans la Parole de Dieu. Beaucoup abandonnent ainsi Christ, préférant le monde présent ; ils ressentent certaines convictions et désirs de s’approcher du Seigneur, mais ils repartent tout tristes, peut-être désabusés.

      Il convient de nous examiner quant à notre obéissance aux principes enseignés dans ce texte : le Seigneur nous demandera des comptes...

      Marc 5

      Luc 10

      25 Si nous parlons d’une manière insouciante, de la vie éternelle, et du chemin qui y conduit, nous prenons le nom de Dieu en vain. Personne n'aimera jamais Dieu et son prochain du moindre amour véritable et spirituel, s'il n'est pas devenu « participant de la Grâce », Celle qui amène à la conversion. Hélas, le cœur de l'orgueilleux est fermement opposé à ces principes...

      Christ, dans cette parabole, a cité l'exemple d'un pauvre Juif en détresse, soulagé par un Samaritain bienveillant. Ce pauvre homme, attaqué et blessé par des voleurs, gisait presque mourant. Ceux qui auraient dû être ses amis, l’ont laissé abandonné, alors qu’il a été pris en charge par un étranger : un Samaritain, d’une nation que les Juifs méprisaient et détestaient, et avec qui ils n'entretenaient aucune relation.

      Il est lamentable de voir à quel point l'égoïsme gouverne à tous niveaux : combien sont nombreuses les excuses que se donnent les hommes, pour éviter tout dérangement ou toute dépense pour soulager les autres. Le véritable chrétien, quant à lui, est dirigé par l’amour, véritable « loi », écrite en son cœur. L'Esprit de Christ demeure en lui ; l'image de Christ est renouvelée en son âme !

      Cette parabole est une belle application du commandement d'aimer notre prochain comme nous-mêmes, sans distinction de nation, de parti, ou de toute autre considération. Ce texte souligne également la prévenance et l'Amour que Dieu, par notre Sauveur, manifeste envers les hommes coupables et misérables.

      Nous étions à l’origine, comme ce pauvre voyageur affligé. Satan, notre ennemi, nous a volés, et blessés : tel est le mal que nous occasionne le péché. Mais notre Sauveur béni a eu compassion de nous. Le croyant considère que Jésus l'a aimé, et a donné Sa vie pour lui, alors qu’il n’était qu’un ennemi et un rebelle ; ce Sauveur ayant montré Sa Miséricorde, offre à ce racheté d'en faire autant.

      Il est du devoir de chacun de nous, là où nous sommes, et selon nos capacités, de secourir, d'aider, et soulager tous ceux qui sont dans la détresse et la nécessité.

      Jean 6

      Actes 2

      37 Dès la première prédication de Pierre, poussé par le Saint-Esprit, la puissance divine se manifesta ; des milliers d’âmes furent amenées à la foi.

      Ni les paroles de Pierre, ni le miracle dont tous furent témoins, n'auraient pu produire de tels effets, si le Saint-Esprit n'avait pas été présent.

      Lorsque les « yeux spirituels » des pécheurs sont ouverts, ces derniers ont dès lors le cœur meurtri par leur iniquité, ils ne peuvent ressentir qu'un véritable malaise. L'apôtre exhorta ses auditeurs à se repentir de leurs péchés, et à témoigner ouvertement de leur foi en Jésus, le Messie, en se faisant baptiser en Son Nom. Professant ainsi leur obéissance envers Lui, ces âmes recevront alors la rémission de leurs péchés, et deviendront participantes des dons et grâces du Saint-Esprit.

      En se séparant des méchants, on échappe à leur emprise. Ceux qui se repentent de leurs péchés, et qui « s'abandonnent » à Jésus-Christ, doivent prouver la véracité de cette repentance en rompant tout lien avec le mal. Nous devons nous écarter des méchants, et nous efforcer, avec une sainte peur, de les éviter.

      Par la grâce de Dieu trois mille personnes acceptèrent le message de l'évangile. Il ne fait aucun doute que le don du Saint-Esprit, reçu par tous, (aucun véritable croyant ne sera oublié), était bien cet Esprit d'adoption et cette Grâce qui convertit, qui dirige, qui sanctifie, qui est donnée à tous les membres de la « famille spirituelle » de notre Père céleste. La repentance et la rémission des fautes sont toujours prêchées aux pécheurs, au Nom du Rédempteur ; le Saint-Esprit scelle Sa bénédiction dans le cœur du croyant repentant ; de nombreuses promesses spirituelles lui sont alors adressées, ainsi qu’à ses enfants ; des bénédictions sont ensuite accordées à tous ceux qui s’éloignent du mal !

      Actes 16

      Romains 10

      Ephésiens 3

      Hébreux 10

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