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8
Alors Amalek vint et livra bataille à Israël à Réphidim.
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Alors l'Éternel dit à Moïse : Écris ceci pour mémoire dans le livre, et fais entendre à Josué que j'effacerai entièrement la mémoire d'Amalek de dessous les cieux.
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Et il dit : Parce qu'il a levé la main sur le trône de l'Éternel, l'Éternel a guerre avec Amalek d'âge en âge.
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Il vit aussi Amalek. Et il prononça son discours sentencieux, et dit : Amalek est la première des nations ; mais son avenir est la perdition.
3
Quand Israël avait semé, il arrivait que les Madianites montaient avec les Amalécites et les fils de l'Orient, et ils montaient contre lui.
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Il déploya de la vaillance, et battit Amalek, et délivra Israël de la main de ceux qui le pillaient.
3
Maintenant va, et frappe Amalek, et vouez à l'interdit tout ce qu'il a ; et ne l'épargne point, mais fais mourir et les hommes et les femmes, et les jeunes enfants et ceux qui tètent, et les boeufs et les brebis, et les chameaux et les ânes.
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Saül convoqua donc le peuple, et en fit la revue à Télaïm, au nombre de deux cent mille hommes de pied, et dix mille hommes de Juda.
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Et Saül vint jusqu'à la ville d'Amalek, et mit une embuscade dans la vallée.
6
Et Saül dit aux Kéniens : Allez, retirez-vous, descendez du milieu des Amalécites, de peur que je ne vous enveloppe avec eux ; car vous usâtes d'humanité envers tous les enfants d'Israël, quand ils montèrent hors d'Égypte. Et les Kéniens se retirèrent du milieu des Amalécites.
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Or, Saül battit Amalek depuis Havila jusqu'à Shur, qui est vis-à-vis de l'Égypte ;
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Et il prit vivant Agag, roi d'Amalek ; et il fit passer tout le peuple au fil de l'épée, le vouant à l'interdit.
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Or, David montait avec ses gens, et ils faisaient des incursions chez les Gueshuriens, les Guirziens et les Amalécites ; car ces nations habitaient le pays qu'elles avaient habité de tout temps, du côté de Shur et jusqu'au pays d'Égypte.
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Et David désolait le pays ; il ne laissait ni homme ni femme en vie, et il prenait les brebis, les boeufs, les ânes, les chameaux et les vêtements, puis il s'en retournait et venait vers Akish.
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Or, quand David et ses gens arrivèrent à Tsiklag, le troisième jour, les Amalécites s'étaient jetés sur la contrée du midi et sur Tsiklag ; ils avaient pris Tsiklag et l'avaient brûlée.
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Et David les battit, depuis l'aube du jour jusqu'au soir du lendemain ; et il n'en échappa aucun, excepté quatre cents jeunes hommes qui montèrent sur des chameaux et s'enfuirent.
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Ils frappèrent le reste des réchappés d'Amalek, et ils ont habité là jusqu'à ce jour.
1
Après ces choses, le roi Assuérus agrandit Haman, fils d'Hammédatha, l'Agagien ; il l'éleva, et mit son siège au-dessus de ceux de tous les seigneurs qui étaient avec lui.
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Et Harbona, l'un des eunuques, dit en présence du roi : Voici, le gibet qu'Haman a fait faire pour Mardochée, qui parla dans l'intérêt du roi, est tout dressé dans la maison d'Haman, haut de cinquante coudées. Alors le roi dit : Qu'on l'y pende !
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Et ils pendirent Haman au gibet qu'il avait préparé pour Mardochée ; et la colère du roi fut apaisée.
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Et le roi commanda que cela fût ainsi fait ; l'édit en fut publié dans Suse, et on pendit les dix fils d'Haman.
20 à 22 De ces plus proches voisins d'Israël, à l'est et au sud de la mer Morte, le regard de Balaam se porte vers les peuplades avec lesquelles Israël venait d'être en relation soit hostile, soit amicale, pendant son voyage dans le désert, les Amalékites et les Kéniens, dont les tribus occupaient la presqu'île du Sinaï et s'étendaient dans le désert jusque dans le Négueb, au sud-ouest de la mer Morte.
Les Amalékites n'avaient été mentionnés dans le troisième discours (Agag, verset 7) que comme point de comparaison servant à donner la mesure de la puissance d'Israël. Balaam s'adresse maintenant à eux directement.
Il les voit en esprit. Il en habitait une tribu près de Kadès (13.30 ; 14.25).
La première des nations : non la plus ancienne, car elle était d'origine relativement récente (Genèse 36.12). On ne peut non plus expliquer ces mots dans ce sens : le premier des peuples païens qui ait fait la guerre à Israël. Le mot hébreu signifie souvent : ce qui prime par l'excellence, par la beauté ou par la puissance ; l'élite, la fleur. Cette qualité pouvait bien être attribuée à Amalek dans le moment et dans le milieu où parlait Balaam. Plus tard cette expression ne se comprendrait plus.
Son avenir... : Sa puissance actuelle n'empêche pas qu'il ne soit voué à la destruction. Saül et David exécutèrent cette menace (1 Samuel, chapitres 15 et 30). Les restes de ce peuple furent achevés par les Siméonites (1Chroniques 4.42 et suivants).