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Psaumes 118.18

L'Éternel m'a châtié, Mais il ne m'a pas livré à la mort.
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    • 2 Samuel 12

      10 Maintenant, la violence ne quittera plus jamais ta famille parce que tu m’as méprisé et que tu as pris la femme d’Urie le Hittite pour en faire ta femme. »

      2 Samuel 13

      1 Absalom, un fils de David, avait une sœur qui était très belle et qui se nommait Tamar. Amnôn, un autre fils du roi David, en tomba passionnément amoureux.
      2 Il se rongeait tant à propos de sa demi-sœur qu’il s’en rendait malade, car elle était vierge et il lui semblait impossible de l’approcher.
      3 Amnôn avait un ami nommé Yehonadab, un fils de Chimea, le frère de David. C’était un homme très astucieux.
      4 Il demanda à Amnôn :
      —Fils du roi, pourquoi es-tu si déprimé ? Chaque matin tu parais l’être davantage. Ne veux-tu pas m’en dire la cause ?
      Amnôn lui répondit :
      —Je suis amoureux de Tamar, la sœur de mon frère Absalom.
      5 Yehonadab lui dit alors :
      —Mets-toi au lit et fais comme si tu étais malade. Quand ton père viendra te voir, dis-lui : « Permets à ma sœur Tamar de venir me faire à manger, qu’elle prépare le repas sous mes yeux afin que je la voie faire, puis je mangerai de sa main. »
      6 Amnôn se mit donc au lit et fit semblant d’être malade. Le roi vint le voir et Amnôn lui dit :
      —Fais venir ma sœur Tamar pour qu’elle me prépare deux galettes sous mes yeux, et je les mangerai de sa main.
      7 David envoya dire à Tamar dans son appartement :
      —Va chez ton frère Amnôn et prépare-lui son repas.
      8 Tamar se rendit donc chez son frère Amnôn et le trouva couché. Elle prépara de la pâte et la pétrit, puis confectionna des galettes devant lui et les fit cuire.
      9 Ensuite elle prit la poêle et lui en servit le contenu devant lui, mais il refusa d’en manger et dit :
      —Faites sortir tout le monde d’ici.
      Tous se retirèrent.
      10 Alors il demanda à Tamar :
      —Apporte-moi ces galettes dans ma chambre pour que je les mange de ta main.
      Tamar prit les galettes qu’elle avait faites et les apporta à son frère Amnôn dans sa chambre.
      11 Au moment où elle les lui présentait, il l’empoigna et lui dit :
      —Viens, couche avec moi, ma sœur !
      12 Mais elle s’écria :
      —Non, mon frère, ne me fais pas violence ! Cela ne se fait pas en Israël. Ne commets pas une telle infamie !
      13 Après cela, où irais-je porter ma honte ? Et toi, tu serais considéré comme un individu méprisable dans notre peuple. Pourquoi ne parles-tu pas au roi ? Il ne refusera pas de me donner à toi.
      14 Mais il ne voulut rien entendre, et comme il était plus fort qu’elle, il lui fit violence et coucha avec elle.
      15 Après cela, il conçut pour elle une forte aversion, plus violente que la passion qu’il avait éprouvée pour elle. Tout à coup, il lui ordonna :
      —Lève-toi, va-t’en !
      16 —Non, lui dit-elle, en me chassant, tu commettrais un crime encore pire que le mal que tu m’as déjà fait.
      Mais il ne voulut pas l’écouter.
      17 Il appela le domestique qui était à son service et lui ordonna :
      —Débarrassez-moi de cette fille ! Jetez-la dehors et verrouillez la porte derrière elle !
      18 Elle portait jusque là une longue robe multicolore, car c’était autrefois la tenue des princesses aussi longtemps qu’elles étaient vierges. Le domestique la mit dehors et verrouilla la porte derrière elle.
      19 Alors Tamar répandit de la cendre sur sa tête, elle déchira sa longue robe, se prit à deux mains la tête, puis elle partit en poussant des cris.
      20 Son frère Absalom lui demanda :
      —Ton frère Amnôn t’a-t-il fait violence ? Maintenant, ma sœur, n’en parle pas, c’est ton frère, et ne prends pas la chose trop à cœur !
      Dès lors Tamar alla demeurer dans la maison d’Absalom, comme une femme abandonnée.
      21 Le roi David apprit tout ce qui s’était passé et il en fut très irrité.
      22 Quant à Absalom, il n’adressait plus la parole à Amnôn, ni en bien, ni en mal, car il l’avait pris en haine à cause du viol de sa sœur Tamar.
      23 Deux ans plus tard, Absalom avait les tondeurs à Baal-Hatsor, près d’Ephraïm. Il invita tous les fils du roi.
      24 Il se rendit chez le roi et lui dit :
      —Tu sais que ton serviteur fait tondre ses moutons ; que le roi et ses hauts fonctionnaires veuillent bien venir chez ton serviteur !
      25 Mais le roi lui répondit :
      —Non, mon fils, nous n’allons pas tous venir, ce serait une trop lourde charge pour toi !
      Absalom insista, mais le roi refusa l’invitation et lui donna simplement sa bénédiction.
      26 Absalom reprit :
      —Si tu ne veux pas venir, permets au moins à mon frère Amnôn de nous accompagner.
      Le roi lui dit :
      —Pourquoi t’accompagnerait-il ?
      27 Mais Absalom insista tellement que David laissa partir avec lui Amnôn et tous les autres fils du roi.
      28 Absalom donna des ordres à ses serviteurs en disant :
      —Quand vous verrez qu’Amnôn sera égayé par le vin, et que je vous dirai : « Frappez Amnôn ! » vous le tuerez. Ne craignez rien, car c’est moi qui en prends la responsabilité. Ayez du courage et soyez forts !
      29 Les serviteurs d’Absalom exécutèrent les ordres de leur maître et tuèrent Amnôn. Aussitôt, tous les autres fils du roi se levèrent de table, enfourchèrent chacun son mulet et prirent la fuite.
      30 Ils étaient encore en route quand la nouvelle parvint à David qu’Absalom avait tué tous les fils du roi sans qu’aucun d’eux en réchappe.
      31 Le roi se leva, déchira ses vêtements en signe de deuil et s’étendit à même le sol. Tous ses ministres se tenaient autour de lui avec leurs habits déchirés.
      32 A ce moment-là, Yonadab, fils de Chimea, le frère de David, prit la parole et déclara :
      —Que mon seigneur ne pense pas que tous les fils du roi ont été tués ; Amnôn seul est mort. Depuis le jour où il a violé sa sœur Tamar, Absalom parlait de le tuer.
      33 Que le roi mon seigneur ne s’imagine donc pas que tous les princes ont péri ! Non, Amnôn seul est mort.
      34 Absalom, quant à lui, avait pris la fuite. Lorsque le guetteur regarda au loin, il aperçut soudain une troupe nombreuse arrivant par la route occidentale, au flanc de la colline.
      35 Alors Yehonadab dit au roi :
      —Ce sont les fils du roi qui viennent. Tout s’est passé comme ton serviteur l’a dit.
      36 A peine achevait-il de parler, que les fils du roi entrèrent et se mirent à parler fort et à pleurer. Alors le roi et toute sa cour se répandirent aussi en pleurs et en lamentations.
      37 Entre-temps, Absalom avait fui jusque chez Talmaï, fils d’Ammihoud, roi de Guechour. Pendant tout ce temps, David porta le deuil de son fils.
      38 Absalom resta pendant trois ans réfugié à Guechour.
      39 Le roi David finit par renoncer à poursuivre Absalom, car il se consolait peu à peu de la mort d’Amnôn.

      2 Samuel 16

      1 Quand David eut un peu dépassé le sommet de la colline, Tsiba, l’intendant de Mephibocheth, vint à sa rencontre avec deux ânes bâtés portant deux cents pains, cent paquets de raisins secs, cent autres de fruits d’été et une *outre de vin.
      2 Le roi lui demanda :
      —Que veux-tu faire de tout cela ?
      Tsiba lui répondit :
      —Les ânes sont destinés à la famille du roi pour être montés ; les pains et les fruits serviront de nourriture aux jeunes gens et le vin rafraîchira ceux qui seront fatigués dans le désert.
      3 Le roi reprit :
      —Mais où est donc le fils de ton maître ?
      Tsiba répondit :
      —Il est resté à Jérusalem, car il s’est dit : « Maintenant le peuple d’Israël me restituera la royauté de mon père. »
      4 Le roi déclara alors à Tsiba :
      —Dans ce cas, je te donne tout ce qui appartient à Mephibocheth.
      Tsiba répondit :
      —Je me prosterne devant toi, mon seigneur le roi ! Puissé-je conserver toujours ta faveur.
      5 Alors que David s’approchait de Bahourim, un homme sortit de ce village. Il appartenait au même groupe familial que Saül et s’appelait Chimeï ; c’était un fils de Guéra. Il s’avançait en prononçant des malédictions contre David
      6 et lançait des pierres sur lui et tous ses hauts fonctionnaires, malgré la foule et les soldats qui entouraient le roi à sa droite et à sa gauche.
      7 Chimeï criait en le maudissant :
      —Va-t’en, va-t’en, assassin, vaurien !
      8 La mort des membres de la famille de Saül, à la place duquel tu as régné, te retombe dessus. L’Eternel a fait passer la royauté à ton fils Absalom. Te voilà dans le malheur parce que tu as versé le sang.
      9 Alors Abichaï, fils de Tserouya, dit au roi :
      —Pourquoi laisse-t-on ce chien crevé insulter mon seigneur le roi ? Permets-moi d’aller lui couper la tête !
      10 —Cela vous regarde-t-il, fils de Tserouya ? lui répondit le roi. Qu’il prononce ses malédictions, car si l’Eternel lui a dit de me maudire, qui peut le lui reprocher ?
      11 Puis David déclara à Abichaï et à tous ses fonctionnaires :
      —Si mon propre fils que j’ai engendré cherche à me faire mourir, à plus forte raison ce Benjaminite agira-t-il ainsi ! Laissez-le tranquille et qu’il maudisse, car l’Eternel le lui a dit.
      12 Peut-être l’Eternel considérera-t-il ma situation misérable et changera-t-il la malédiction d’aujourd’hui en bien.
      13 David et ses gens poursuivirent leur route, mais Chimeï avançait parallèlement à lui sur le flanc de la montagne, continuant à maudire, à lancer des pierres et de la terre.
      14 Finalement, le roi et toute sa suite arrivèrent exténués à Bahourim. Là, ils purent prendre quelque repos.
      15 Entre-temps, Absalom et toute la troupe des hommes d’Israël étaient entrés dans Jérusalem ; Ahitophel était avec lui.
      16 Lorsque Houchaï l’Arkien, l’ami de David, arriva auprès d’Absalom, il s’écria :
      —Vive le roi, vive le roi !
      17 Absalom lui dit :
      —C’est là toute l’affection que tu as pour ton ami ? Pourquoi n’es-tu pas allé avec lui ?
      18 Houchaï lui répondit :
      —Non, je me rallie à celui qui a été choisi par l’Eternel, par ce peuple et par tous les soldats d’Israël, et je veux rester de son côté.
      19 D’ailleurs, qui est-ce que je vais servir ? N’est-ce pas son fils ? Comme j’ai été le serviteur de ton père, ainsi je serai le tien.
      20 Alors Absalom dit à Ahitophel :
      —Tenez conseil ensemble. Que dois-je faire ?
      21 Ahitophel lui répondit :
      —Va vers les épouses de second rang de ton père qu’il a laissées pour garder le palais, couche avec elles, et tout Israël saura que tu as outragé ton père. Ainsi le courage de tous tes partisans en sera affermi.
      22 On dressa donc une tente sur le toit en terrasse du palais, et Absalom y alla coucher avec les épouses de second rang de son père sous les yeux de tout Israël.
      23 En ce temps-là, les conseils d’Ahitophel avaient autant d’autorité, pour David comme pour Absalom, qu’une parole de Dieu lui-même.

      Job 5

      17 Ah ! certes, bienheureux celui que Dieu corrige,
      qui n’a pas de mépris pour les leçons du Tout-Puissant.
      18 Car Dieu inflige la blessure, mais il la panse aussi
      et même s’il meurtrit, sa main guérit ensuite.

      Job 33

      16 Alors il se révèle à l’oreille des hommes,
      scellant les instructions dont il les avertit,
      17 afin d’écarter l’homme de ses agissements,
      de le préserver de l’orgueil.
      18 Ainsi, il gardera sa vie hors de la tombe
      et la préservera des coups du javelot.
      19 Ou encore, il corrige l’homme par la souffrance qui le tient sur sa couche,
      lorsque ses os s’agitent sans arrêt.
      20 Le voilà dégoûté de toute nourriture,
      il n’a plus d’appétit pour les mets les plus fins.
      21 A vue d’œil, son corps dépérit
      et ses os qu’on ne voyait pas sont maintenant saillants.
      22 De la fosse, il s’approche
      et sa vie est livrée aux anges de la mort.
      23 Mais s’il se trouve auprès de lui un ange interprète de Dieu,
      un parmi les milliers,
      pour lui faire savoir quel est le droit chemin,
      24 qui ait pitié de lui et qui demande à Dieu :
      « Délivre-le du gouffre, qu’il n’y descende pas,
      j’ai trouvé sa rançon »,
      25 alors sa chair retrouve sa fraîcheur juvénile,
      et il revient aux jours de sa jeunesse.
      26 Il peut invoquer Dieu, qui lui rend sa faveur,
      il se présente à lui avec des cris de joie.
      Car Dieu le reconnaît à nouveau comme juste.
      27 Il se met à chanter et, devant tout le monde,
      il dit : « J’avais péché et enfreint la justice,
      et je n’ai pas subi ce que je méritais.
      28 Car Dieu a délivré mon être de la fosse
      et il a maintenu ma vie dans la lumière. »
      29 Vois, Dieu fait tout cela
      deux fois, trois fois pour l’homme,
      30 pour le détourner de la tombe
      et pour l’illuminer de la lumière des vivants.

      Psaumes 66

      10 Tu nous as éprouvés, ô Dieu,
      tu nous as jetés au creuset comme on fait pour l’argent.
      11 Tu nous as pris au piège,
      tu nous as chargés d’un fardeau,
      12 tu as permis à l’ennemi de nous réduire sous son joug.
      Nous avons traversé le feu, nous avons dû passer par l’eau,
      mais tu nous en as fait sortir pour nous conduire à l’abondance.

      Psaumes 94

      12 Bienheureux est l’homme, Eternel, que tu corriges toi-même,
      et que tu instruis par ta Loi,
      13 pour lui donner du repos quand l’atteindra le malheur,
      tandis que se creuse une fosse pour l’impie.

      Psaumes 118

      18 L’Eternel m’a châtié avec sévérité,
      mais sans me livrer à la mort.

      Proverbes 3

      11 Mon fils, si l’Eternel te corrige, n’en fais pas fi,
      s’il te reprend, ne t’impatiente pas,
      12 car c’est celui qu’il aime que l’Eternel reprend,
      agissant comme un père avec lui avec l’enfant qu’il chérit.

      Jonas 2

      6 Les eaux m’environnaient et menaçaient ma vie,
      l’abîme m’enserrait ;
      tout autour de ma tête, les algues s’enlaçaient.

      1 Corinthiens 11

      32 Mais les jugements du Seigneur ont pour but de nous corriger afin que nous ne soyons pas condamnés avec le reste du monde.

      2 Corinthiens 1

      9 Nous avions accepté en nous-mêmes notre condamnation à mort. Cela nous a appris à ne pas mettre notre *confiance en nous-mêmes, mais uniquement en Dieu qui ressuscite les morts.
      10 C’est lui qui nous a délivrés d’une telle mort et qui nous en délivrera encore. Oui, nous avons cette espérance en lui qu’il nous délivrera encore,
      11 et vous y contribuez en priant pour nous. Ainsi, la grâce qu’il nous accorde en réponse aux prières de beaucoup, sera aussi pour beaucoup une occasion de remercier Dieu à notre sujet.

      2 Corinthiens 6

      9 on nous prend pour des inconnus, et pourtant on nous connaît bien,
      on nous prend pour des mourants, et voici nous sommes toujours en vie,
      on nous prend pour des condamnés, mais nous ne sommes pas exécutés,

      Hébreux 12

      10 Nos parents nous corrigeaient pour un temps limité, selon leurs idées, mais Dieu, c’est pour notre bien qu’il nous corrige, afin de nous faire participer à sa sainteté.
      11 Certes, sur le moment, une correction ne semble pas être un sujet de joie mais plutôt une cause de tristesse. Mais par la suite, elle a pour fruit, chez ceux qui ont ainsi été formés, une vie juste, vécue dans la paix.

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