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18
» J'espère en ton secours, Eternel ! #
15
Même s’il me tuait, je continuerais à espérer en lui. Oui, je défendrai ma conduite devant lui.
15
Je suis pareil à un homme qui n’entend pas et qui n’oppose aucune réplique.
7
Oui, l’homme va et vient comme une ombre : il s’agite, mais c’est pour du vent ; il amasse des richesses, et il ignore qui les recevra.
81
Mon âme languit après ton salut ; j’espère en ta promesse.
166
J’attends ton salut, Eternel, et je mets en pratique tes commandements.
5
J’espère en l’Eternel de toute mon âme et je m’attends à sa promesse.
6
Je compte sur le Seigneur plus que les gardes n’attendent le matin, oui, plus que les gardes n’attendent le matin.
25
Or il y avait à Jérusalem un homme appelé Siméon. Cet homme était juste et pieux, il attendait la consolation d'Israël et l'Esprit saint était sur lui.
13
Que le Dieu de l'espérance vous remplisse de toute joie et de toute paix dans la foi, pour que vous débordiez d’espérance, par la puissance du Saint-Esprit !
Il amasse... Ces richesses, qui provoquent tant de jalousies et de querelles, échappent comme tout le reste à celui qui les possède.
Quand nous sommes sous la main correctrice du Seigneur, nous devons tourner notre regard vers Dieu lui-même, qui ne gère toutes choses qu'en vue de notre bien. Nos voies et nos actes nous confrontent à différents problèmes et nous sommes frappés en retour par nos propres pratiques. Quelle bien piètre chose que la beauté ! Et quelle folie d'en être fier, alors qu'en fait, elle sera certainement et même rapidement bien vite flétrie !
Le corps de l'homme est, en quelque sorte, un sarment de l'âme. Le péché s'est infiltré dans ce sarment pour en extraire en premier lieu la beauté, puis la force, et finalement toute substance vitale. Celui qui a observé la progression lente d'une douleur ou celle de la solitude humaine ressentira bien vite la véracité d'une telle comparaison et verra bien que tout n'est que vanité. Les afflictions sont envoyées pour stimuler la prière. Si elles nous affectent réellement, nous pouvons vraiment espérer que Dieu écoutera nos cris. Le croyant, dans sa route vers le ciel, espère ne pas traverser la maladie ou l'épreuve ; il ne restera pas très longtemps dans cette illusion : marchant avec Dieu, par la foi, il va de l'avant sur sa route, n'étant ni dévié de sa course ni brisé par les difficultés qu'il pourrait rencontrer. Quelle bénédiction de ne pas prendre à cœur les choses de ce monde ; tandis que nous nous dirigeons vers la maison du Père, usons des choses d'ici-bas sans toutefois en abuser ! Puissions-nous toujours porter notre regard vers cette cité, créée et construite par Dieu.