François Fréchette - Peut-on être certain d'aller au ciel ?
L'Heure de la Bonne Nouvelle Saison 2002 Émission: 06 Message: Peut-on être certain d'aller au ciel ? Thème: Questions d'hommes …
Le véritable chrétien reconnaît sa culpabilité, sa misère et son besoin de recourir à un Sauveur. Il discerne l'intérêt de se fier à ce Dernier pour tout ce qui concerne ses besoins spirituels, en toutes circonstances. L’enfant de Dieu trouve et ressent la puissance de la Parole et de la doctrine de Christ, humiliant, guérissant, ranimant, et réconfortant son âme. Il acquiert une nouvelle disposition d’esprit, de nouvelles joies, il n'est plus l'homme qu'il était auparavant.
Le croyant reste cependant encore en conflit avec lui-même, avec le péché, la chair, le monde, et les pouvoirs maléfiques, mais il trouve en Christ, une telle force de foi, qu'il peut vaincre le monde, et se diriger spirituellement vers le ciel. Telle est la promesse pour celui qui croit en l'Évangile : il a cette force spirituelle en lui-même, qui éloigne de son âme toute trace de doute, même s’il traverse parfois des heures de ténèbres ou de conflit ; on ne peut pas le déstabiliser sur l’authenticité de sa foi, ni sur les principales vérités de l'Évangile.
Le péché d’incrédulité est vraiment terrible : il désigne Dieu
menteur, car il pousse à ne pas croire à ce qu'Il annonce, au
sujet de Son Fils. Il est vain pour un homme de faire croire
qu'il fait confiance au témoignage du Seigneur, alors qu’en fait,
il Le repousse... Celui qui refuse de se fier à Christ et de
l'honorer, en tant que Fils de Dieu, méprise la souveraineté
de notre Sauveur : il refuse alors de se soumettre à Son
enseignement, de compter sur Son expiation et Son intercession,
en tant que Souverain sacrificateur, il ne veut pas se soumettre
au Roi des rois ; une telle âme est alors « morte au péché »,
elle demeure sous la condamnation ; toute moralité, érudition,
ou autres formes de doctrine, ne lui seront alors d'aucune
utilité...
Si nous recevons le témoignage des hommes, le témoignage de Dieu est d'un plus grand poids ; or, c'est là le témoignage que Dieu a rendu de son Fils.
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Or, si le témoignage des hommes nous inspire une confiance qui forme notre conviction, que sera-ce du témoignage de Dieu qu'il a rendu de son Fils, et qui repose sur le triple fondement indiqué par l'apôtre ? (verset 6)
D'autres traduisent : "car voici le témoignage de Dieu, c'est qu'il a rendu témoignage à son Fils ;" le témoignage de Dieu consiste dans le témoignage qu'il a rendu à son Fils.
Le véritable chrétien reconnaît sa culpabilité, sa misère et son besoin de recourir à un Sauveur. Il discerne l'intérêt de se fier à ce Dernier pour tout ce qui concerne ses besoins spirituels, en toutes circonstances. L’enfant de Dieu trouve et ressent la puissance de la Parole et de la doctrine de Christ, humiliant, guérissant, ranimant, et réconfortant son âme. Il acquiert une nouvelle disposition d’esprit, de nouvelles joies, il n'est plus l'homme qu'il était auparavant.
Le croyant reste cependant encore en conflit avec lui-même, avec le péché, la chair, le monde, et les pouvoirs maléfiques, mais il trouve en Christ, une telle force de foi, qu'il peut vaincre le monde, et se diriger spirituellement vers le ciel. Telle est la promesse pour celui qui croit en l'Évangile : il a cette force spirituelle en lui-même, qui éloigne de son âme toute trace de doute, même s’il traverse parfois des heures de ténèbres ou de conflit ; on ne peut pas le déstabiliser sur l’authenticité de sa foi, ni sur les principales vérités de l'Évangile.
Le péché d’incrédulité est vraiment terrible : il désigne Dieu menteur, car il pousse à ne pas croire à ce qu'Il annonce, au sujet de Son Fils. Il est vain pour un homme de faire croire qu'il fait confiance au témoignage du Seigneur, alors qu’en fait, il Le repousse... Celui qui refuse de se fier à Christ et de l'honorer, en tant que Fils de Dieu, méprise la souveraineté de notre Sauveur : il refuse alors de se soumettre à Son enseignement, de compter sur Son expiation et Son intercession, en tant que Souverain sacrificateur, il ne veut pas se soumettre au Roi des rois ; une telle âme est alors « morte au péché », elle demeure sous la condamnation ; toute moralité, érudition, ou autres formes de doctrine, ne lui seront alors d'aucune utilité...