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1 Samuel 17

    • 1

      Rassemblèrent leurs troupes. Comparez 14.52 où il était dit-que durant tout le temps du règne de Saül il y eut guerre avec les Philistins.

      Socho (voir Josué 10.35, note) : aujourd'hui Schuweikeh, à 14 km au sud-ouest de Jérusalem, ainsi du côté du pays des Philistins et non loin de Gath. Les Philistins n'occupaient plus du tout le pays ; c'était une nouvelle invasion.

      Azéka : voir Josué 15.35, note.

      Ephès-Dammim, aujourd'hui Damoum, à 6 km au nord-est de Socho ; c'était le point de la ligne allant de Socho à Azéka, où était situé le camp des Philistins.

      2

      Vallée des Térébinthes : probablement la vallée appelée aujourd'hui Wadi Ela (mot qui signifie térébinthe).

      4

      Un champion, littéralement l'homme des deux intervalles entre les deux armées ; celui qui s'avance hors des rangs pour livrer un combat singulier qui doit décider de la victoire.

      Goliath : l'Ă©clatant.

      De Gath : descendant des Anakim (Josué 11.21-22).

      Six coudées et un empan, ou six coudées et demie, environ trois mètres et six centimètres, taille qui a été presque atteinte par quelques géants, même dans les temps modernes. En Inde, au pied de l'Himalaya, on a trouvé en 1838 un squelette de près de trois mètres, et en 1879 on montrait à Berlin un géant chinois de 279 centimètres de hauteur (Daheim, 1879).

      5

      Cinq mille sicles d'airain : environ 75 kilogrammes.

      6

      Entre les épaules. Il était suspendu là pour ne pas gêner les mouvements des bras. Les anciens portaient parfois l'épée elle-même de cette manière (Illiade, II, 45).

      7

      Ensouple : la grande pièce de bois qui forme le devant du métier du tisserand et autour de laquelle s'enroule la chaîne de la trame.

      8

      Pourquoi êtes-vous sortis... ? Inutile de livrer bataille et de s'entretuer. Qu'un homme, qui vous représente, combatte avec moi, qui suis le représentant des Philistins (le Philistin).

      12

      Tout le passage versets 12 à 31 est destiné à expliquer la présence de David au camp et à préparer ainsi le récit du combat dès la fin du verset 31. Les Septante omettent tout ce morceau, ainsi que le versets 41 à 50 et 55 à 58. David est introduit ici comme un personnage déjà connu (chapitre 16), mais les détails donnés sur sa famille, qui sont une répétition de ceux déjà donnés au chapitre 16, semblent indiquer que ce passage est tiré d'un autre document. L'adjectif démonstratif cet rappelle qu'il a déjà été parlé de lui.

      15

      Ce verset est destiné à montrer que David ne remplissait plus à l'ordinaire la charge d'écuyer de Saül (16.21), mais qu'il était revenu à ses occupations ordinaires, sauf quand on l'appelait pour calmer les accès de Saül.

      16

      Ces quarante jours avaient peut-être épuisé les provisions, et le besoin de vivres se faisait sentir dans l'armée. Bethléem n'était pas éloignée du théâtre de la guerre.

      18

      Un gage. Cette expression a été diversement comprise. On ne peut supposer qu'Isaï demande à David de rapporter un gage visible de sa visite à ses frères, ni non plus, comme on l'a pensé, qu'il ait été chargé de racheter ce qu'ils avaient pu mettre en gage pour s'entretenir. C'est plutôt une locution qui signifie : Tu me donneras de leurs nouvelles sûres, ou bien : Tu me rapporteras les désirs qu'ils peuvent avoir.

      19

      Encore la répétition d'une notice déjà donnée (verset 2), ce qui confirme que nous avons ici un fragment d'un autre document, à moins pourtant qu'on ne veuille mettre ce verset dans la bouche d'Isaï.

      25

      Ce verset prouve que, contrairement à ce qu'ont dit. quelques critiques, il y avait déjà des impôts, ou du moins des corvées en Israël.

      26

      Que fera-t-on... ? Les paroles précédentes n'avaient pas été adressées à David, et il ne les avait sans doute entendues que confusément.

      Cet incirconcis... Dans ces paroles vibre déjà le sentiment patriotique réveillé en David et qui lui inspirera la résolution qu'il va prendre.

      28

      Et il fut rempli de colère. Eliab a pénétré la pensée secrète de David et n'y voit qu'un fol orgueil.

      Laissé ce peu de brebis... Il ne méritait pas ce reproche ; car il avait pourvu à leur sûreté ; voir verset 20.

      Je connais ton orgueil, littéralement : Moi (qui te vois de près), je connais ce que les autres ne savent pas.

      C'est pour voir la bataille. Mais l'on ne sait où le portera encore cette curiosité.

      30

      L'intention de David n'était plus de s'informer de la récompense promise par Saül, mais de faire entendre à ceux qui l'écoutaient qu'il pensait à la mériter.

      31

      31 Ă  40 David devant SaĂĽl.

      35

      Le voyageur Thévenot dit : Les Arabes n'ont point peur des lions, et pourvu qu'un Arabe ait un bâton en main, il ira après un lion, et s'il l'attrape, il le tuera.
      Le lion syrien est beaucoup moins grand et redoutable que le lion d'Afrique.

      38

      Ses habits : un vêtement destiné à supporter la cuirasse.

      47

      La guerre dépend de l'Eternel : toute guerre et, par conséquent, celle-ci.

      49

      Comparez ce qui est dit de l'habileté des frondeurs benjamites, Juges 20.46.

      52

      Jusqu'à l'entrée de la vallée. Il faut probablement lire : jusqu'à Gath. En hébreu, les deux mots vallée et Gath sont semblables.

      Saaraïm : ville de Juda dans la plaine basse (Josué 15.36, note). Ce point est indiqué ici parce que ce fut depuis là que les fuyards se partagèrent en deux bandes, allant l'une sur Gath, l'autre sur Ekron.

      54

      Jérusalem. Sans doute, à l'exception de la forteresse, Jérusalem était déjà habitée par des Israélites ; mais il est probable que ce ne fut que plus tard, lorsqu'elle fut devenue la capitale du royaume, que la tête de Goliath y fut déposée par David comme monument de sa victoire.

      Dans sa tente, pour : chez lui, comme souvent (4.10 ; 13.2) ; c'était la demeure qu'il occupait chez son père a Bethléem. On voit par 21.9 que l'épée de Goliath fut plus tard transportée de son domicile particulier dans le sanctuaire. C'était l'usage chez les anciens de déposer les trophées dans les temples, en l'honneur du Dieu qui avait accordé la victoire.

      Le morceau 17.55-18.5 est évidemment inséré à cet endroit au moyen d'un document différent, pour suppléer à une lacune du récit précédent. La différence entre les deux documents ressort spécialement du fait que le nom de Jonathan n'est plus écrit de la même manière qu'il l'avait été précédemment (Jéhonathan au lieu de Jonathan). De plus tout le morceau se termine par une réflexion générale (18.5) qui anticipe sur l'avenir, tandis que le verset suivant se rattache au verset 54 du chapitre précédent. Mais ce récit semble être contradictoire à tout ce qui avait été raconté des relations antérieures entre Saül et David ; et l'on se demande comment l'auteur aurait placé l'une à côté de l'autre deux traditions incompatibles sans se préoccuper de les mettre d'accord ou sans s'apercevoir de cette contradiction ? Peut-être se représentait-il la chose de la manière suivante : Saül avait écouté la musique du jeune David et s'était servi de lui pour porter ses armes, sans attacher grande importance à sa personne ni se préoccuper beaucoup de sa filiation et de la qualité de sa famille. Mais en le voyant sortir au-devant du Philistin avec un air d'intrépidité et d'assurance qui dénotait clairement le futur héros, frappé d'étonnement il demande à son général Abner, non pas : Qui est ce jeune homme ? ni non plus : Quel est le nom de son père ? selon la forme ordinaire en pareil cas, mais : De qui est-il fils ? quelle est sa famille? d'où sort un tel jeune homme? A ce sentiment d'admiration pouvait se joindre chez le roi la pensée de la promesse qu'il avait faite de donner sa propre fille en mariage au vainqueur du Philistin et de la position, de la famille dans laquelle elle serait appelée à entrer. Comparez la question qu'adresse David lui-même aux-serviteurs de Saül (18.18) : Quelle est ma position, la famille de mon père en Israël, que je sois le gendre du roi ? C'est à chaque lecteur à juger s'il veut admettre entre les documents une contradiction pure et simple que le rédacteur a cru devoir laisser subsister telle quelle, ou s'il croit pouvoir accepter l'essai de solution que nous venons de présenter. Pour nous, nous ne connaissons pas un seul cas où un historien ancien, dans une narration sérieuse, ait placé, à côté l'un de l'autre deux récits entre lesquels tout accord lui aurait paru impossible.

      58

      Les mots suivants (18.1) : Lorsqu'il eut fini de parler, font comprendre que ce n'est ici que le résumé d'un entretien plus long entre Saül et David.

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