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Dieu est mon Sauveur. Je serai plein de confiance et je n’aurai plus peur, car l'Eternel, oui, *l'Eternel est ma force et le sujet de mes louanges. C'est lui qui m'a sauvé. »
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A cette époque-là, Juda sera sauvé et l’on habitera en sécurité à Jérusalem. Voici comment on l'appellera : ‘L'Eternel notre justice’.
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Comme il marchait le long du lac de Galilée, il vit deux frères, Simon, appelé Pierre, et son frère André, qui jetaient un filet dans le lac ; c’étaient en effet des pêcheurs.
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Voici les noms des douze apôtres : le premier, Simon, appelé Pierre, et André, son frère ; Jacques, fils de Zébédée, et Jean, son frère ;
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et mon esprit se réjouit en Dieu, mon Sauveur,
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C'est pourquoi la sagesse de Dieu a dit : ‘Je leur enverrai des prophètes et des apôtres, ils tueront les uns et persécuteront les autres’,
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[Le Seigneur dit : ] « Simon, Simon, Satan vous a réclamés pour vous passer au crible comme le blé.
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Mais moi, j'ai prié pour toi, afin que ta foi ne disparaisse pas ; et toi, quand tu seras revenu à moi, affermis tes frères. »
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« Seigneur, lui dit Pierre, je suis prêt à aller en prison avec toi, et même jusqu'à la mort. »
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Jésus dit : « Pierre, je te le dis, le coq ne chantera pas aujourd'hui avant que tu n'aies trois fois nié me connaître. »
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Il le conduisit vers Jésus. Jésus le regarda et dit : « Tu es Simon, fils de Jonas, tu seras appelé Céphas », ce qui signifie Pierre.
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Si quelqu'un me sert, qu'il me suive, et là où je suis, là aussi sera mon serviteur. Si quelqu'un me sert, le Père l'honorera.
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Jésus leur dit de nouveau : « Que la paix soit avec vous ! Tout comme le Père m'a envoyé, moi aussi je vous envoie. »
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Lorsqu’ils eurent mangé, Jésus dit à Simon Pierre : « Simon, fils de Jonas, m'aimes-tu plus que ceux-ci ? » Il lui répondit : « Oui, Seigneur, tu sais que j’ai de l’amour pour toi. » Jésus lui dit : « Nourris mes agneaux. »
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Il lui dit une deuxième fois : « Simon, fils de Jonas, m'aimes-tu ? » Pierre lui répondit : « Oui, Seigneur, tu sais que j’ai de l’amour pour toi. » Jésus lui dit : « Prends soin de mes brebis. »
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Il lui dit, la troisième fois : « Simon, fils de Jonas, as-tu de l’amour pour moi ? » Pierre fut attristé de ce qu'il lui avait dit, la troisième fois : « As-tu de l’amour pour moi ? » et il lui répondit : « Seigneur, tu sais tout, tu sais que j’ai de l’amour pour toi. » Jésus lui dit : « Nourris mes brebis.
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Et Dieu, qui connaît les cœurs, leur a rendu témoignage en leur donnant le Saint-Esprit comme à nous.
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Il n'a fait aucune différence entre eux et nous, puisqu'il a purifié leur cœur par la foi.
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Simon a raconté comment dès le début Dieu est intervenu pour choisir parmi les nations un peuple qui porte son nom.
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De la part de Paul, serviteur de Jésus-Christ, appelé à être apôtre, mis à part pour annoncer l'Evangile de Dieu.
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ou plutôt afin que nous soyons encouragés ensemble chez vous par la foi qui nous est commune, à vous et à moi.
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En effet, c’est l'Evangile qui révèle la justice de Dieu par la foi et pour la foi, comme cela est écrit : Le juste vivra par la foi.
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Mais maintenant, la justice de Dieu dont témoignent la loi et les prophètes a été manifestée indépendamment de la loi :
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c'est la justice de Dieu par la foi en Jésus-Christ pour tous ceux qui croient. Il n'y a pas de différence :
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tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu,
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et ils sont gratuitement déclarés justes par sa grâce, par le moyen de la libération qui se trouve en Jésus-Christ.
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C'est lui que Dieu a destiné à être par son sang une victime expiatoire pour ceux qui croiraient. Il démontre ainsi sa justice, puisqu'il avait laissé impunis les péchés commis auparavant, à l’époque de sa patience.
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Il la démontre dans le temps présent de manière à être juste tout en déclarant juste celui qui a la foi en Jésus.
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C'est grâce à lui que vous êtes en Jésus-Christ, lui qui est devenu, par la volonté de Dieu, notre sagesse, notre justice, la source de notre sainteté et notre libérateur,
1
Ne suis-je pas libre ? Ne suis-je pas apôtre ? N'ai-je pas vu Jésus[-Christ] notre Seigneur ? N'êtes-vous pas mon œuvre dans le Seigneur ?
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En effet, je suis le plus petit des apôtres et je ne mérite même pas d'être appelé apôtre, parce que j'ai persécuté l'Eglise de Dieu.
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Et comme nous avons le même esprit de foi que celui exprimé dans cette parole de l'Ecriture : J'ai cru, c'est pourquoi j'ai parlé, nous aussi nous croyons, et c'est pour cela que nous parlons.
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[En effet, ] celui qui n'a pas connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous afin qu’en lui nous devenions justice de Dieu. »
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– car celui qui a fait de Pierre l'apôtre des circoncis a aussi fait de moi l'apôtre des non-Juifs –
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Il n'a pas été porté à la connaissance des hommes des générations passées comme il a maintenant été révélé par l'Esprit à ses saints apôtres et prophètes.
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Il y a un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême,
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C'est lui qui a donné les uns comme apôtres, les autres comme prophètes, les autres comme évangélistes, les autres comme bergers et enseignants.
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En effet, il vous a été fait la grâce non seulement de croire en Christ, mais encore de souffrir pour lui
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et d'être trouvé en lui non avec ma justice, celle qui vient de la loi, mais avec celle qui s'obtient par la foi en Christ, la justice qui vient de Dieu et qui est fondée sur la foi.
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Je garde en effet le souvenir de la foi sincère qui est en toi. Elle a d'abord habité ta grand-mère Loïs et ta mère Eunice, et je suis persuadé qu’elle habite aussi en toi.
1
De la part de Paul, serviteur de Dieu et apôtre de Jésus-Christ. – J’ai été chargé d’amener ceux que Dieu a choisis à la foi et à la connaissance de la vérité qui est conforme à la piété,
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A Tite, mon véritable enfant dans la foi qui nous est commune : que la grâce, [la compassion] et la paix te soient données de la part de Dieu le Père et [du Seigneur] Jésus-Christ notre Sauveur !
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en attendant notre bienheureuse espérance, la manifestation de la gloire de notre grand Dieu et Sauveur Jésus-Christ.
1
De la part de Pierre, apôtre de Jésus-Christ, à ceux qui sont étrangers et dispersés dans le Pont, la Galatie, la Cappadoce, l'Asie et la Bithynie. A vous qui avez été choisis
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Ainsi, la valeur éprouvée de votre foi – beaucoup plus précieuse que l'or, qui est périssable et que l’on soumet pourtant à l’épreuve du feu – aura pour résultat la louange, la gloire et l'honneur lorsque Jésus-Christ apparaîtra.
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Elle est donc précieuse pour vous qui croyez. Quant à ceux qui désobéissent, la pierre rejetée par ceux qui construisaient est devenue la pierre angulaire.
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Voici [donc] les recommandations que j’adresse à ceux qui sont anciens parmi vous, moi qui suis ancien comme eux, témoin des souffrances de Christ et participant de la gloire qui doit être révélée :
1
De la part de Simon Pierre, serviteur et apôtre de Jésus-Christ, à ceux qui ont reçu, par la justice de notre Dieu et Sauveur Jésus-Christ, une foi du même prix que la nôtre :
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Celles-ci nous assurent les plus grandes et les plus précieuses promesses. Ainsi, grâce à elles, vous pouvez fuir la corruption qui existe dans le monde par la convoitise et devenir participants de la nature divine.
Voir sur ces titres 1Pierre 1.1 ; Romains 1.1 ; Jacques 1.1 et comparer l'introduction à notre épître.
Syméon (Sin., A, majuscules), le nom de l'apôtre ne se trouve que dans Actes 15.14 sous cette forme qui se rapproche le plus de la consonnance hébraïque.
Simon (B) est la forme ordinaire, qui reproduit la prononciation grecque.
Les noms de Simon Pierre sont associés Luc 5.8 ; Matthieu 16.16, et dans l'évangile de Jean.
Grec : A ceux à qui est échue (par le sort, Luc 1.9 ; Jean 19.24) une foi de même prix qu'à nous. Ce verbe exprime fortement la souveraineté de la grâce qui seule produit une foi vivante. Celle-ci est un don de Dieu, d'un prix infini, puisqu'elle a pour fruit la vie éternelle. Elle est du même prix, parce qu'elle a les mêmes effets, pour les lecteurs de l'épître et pour ceux que l'auteur désigne par nous.
On a appliqué ce nous aux apôtres, qui seraient distingués des simples fidèles, comme formant une classe à part ; on l'a entendu des chrétiens d'origine juive, auxquels appartenait l'auteur, tandis que les destinataires de l'épître seraient des chrétiens d'origine païenne. (Comparer Actes 11.17) Mais il est plus naturel de penser que dans ce nous l'auteur comprend tous ceux qui possèdent la foi commune à tous les chrétiens, ou qui partagent déjà ses convictions à l'égard des faits et des vérités qu'il va rappeler à ses lecteurs. (Reuss.)
Le complément : en la justice de notre Dieu,...est rattaché par quelques-uns au qualificatif du même prix : ce qui donne à leur foi un prix égal, c'est la justice de notre Dieu. Mais les termes qu'on réunit ainsi sont séparés dans la phrase grecque.
D'autres le relient au verbe : "Ceux qui, en ou par la justice de notre Dieu,...ont reçu en partage une foi..." Mais ce n'est pas la justice qui donne la foi, c'est plutôt la foi qui saisit la justice à moins qu'on entende par la justice de Dieu l'attribut en vertu duquel il donne à tous, aux païens comme aux Juifs, une foi de même prix.
Il vaut mieux construire : une foi en la justice, ou fondée sur la justice de Dieu. Le mot justice peut alors se prendre dans le sens qu'il a dans les épîtres de Paul ; (comparez Romains 1.17 ; 3.21-31) c'est la justice parfaite, dont le Sauveur revêt ses rachetés devant Dieu, et qui, d'une part, est imputée à leur foi, les rend justes aux yeux de Dieu et, d'autre part, les renouvelle et les sanctifie intérieurement ; double effet provenant de la même cause.
Avec la majorité des interprètes, nous traduisons : de notre Dieu et du Sauveur Jésus-Christ. Il serait plus conforme à la grammaire grecque de traduire : de notre Dieu et Sauveur Jésus-Christ, car l'article n'est pas répété devant Sauveur.
Une formule semblable se trouve dans : 1Pierre 1.11 ; 2.20 ; 3.18, où l'auteur dit : "Notre Seigneur et Sauveur Jésus Christ."
D'après l'analogie de ces passages s'est produite, dans notre verset, la variante du Sin. qui remplace Dieu par Seigneur. Mais ce qui semble indiquer que le mot Dieu n'est pas un simple attribut de Jésus-Christ, (comparez 2.13, note) et que l'auteur a bien dans la pensée le Père et le Fils, c'est qu'au verset suivant, il nomme d'abord Dieu, puis Jésus notre Seigneur.
Cette deuxième épître de Pierre est manifestement la suite de la précédente. L'apôtre, ayant auparavant annoncé aux chrétiens les bénédictions que Dieu leur a réservées, exhorte ceux qui ont reçu ces dons précieux, à s'efforcer de croître dans la Grâce et la sanctification.
L’apôtre met les chrétiens en garde contre la méchanceté des faux docteurs, des imposteurs et des moqueurs, en réfutant leurs fausses assertions, 2 Pierre 3:1-7 ; il expose pourquoi le grand jour du retour de Christ semble tarder pour certains, en décrivant la gravité de cet événement et ses terribles conséquences ; diverses exhortations sont ensuite données, relatives l'assiduité et la sainteté.* Exhortations à bénéficier librement des diverses grâces spirituelles, en plus de celle de la foi. (2 Pierre 1:1-11). L'apôtre pressent son décès. (2 Pierre 1:12-15) Pierre confirme la Vérité de l'Évangile, en ce qui concerne la présence de Christ lors du Jugement. (2 Pierre 1:16-21)
2 Pierre 1:1-11 La foi unit le croyant à Christ ; elle en fait un être revivifié, elle purifie et transforme son cœur ; chaque croyant sincère est justifié par sa foi, au regard de Dieu. La foi amène la piété, et produit des effets que nulle autre grâce ne peut produire dans l’âme.
En Christ demeure toute plénitude, le pardon, la Paix, la Grâce, la connaissance, et de nombreux principes spirituels ; tous ces éléments sont accordés par l’intermédiaire du Saint-Esprit. Ces promesses sont faites à ceux qui sont « participants de la nature divine » ; elles nous pousseront à découvrir si nous sommes vraiment « renouvelés » spirituellement en profondeur ; convertissons toutes ces promesses en prières, par la grâce du Saint-Esprit, cette grâce qui transforme et qui purifie l’âme !
Le croyant doit ajouter de la connaissance à sa vertu, pour croître dans toute la Vérité et la Volonté de Dieu. Nous devons ajouter à cette connaissance la modération, en ce qui concerne les vains attraits de ce monde ; ayons aussi de la patience, et une soumission joyeuse à la Volonté divine. La tribulation affermit la patience, grâce à laquelle nous portons toutes nos calamités et épreuves, en silence et en toute soumission.
À la patience nous devons ajouter la piété : cette pensée inclut les saintes affections et dispositions que l'on trouve dans la véritable adoration de Dieu ; ayons une tendre affection pour tous nos frères chrétiens ; ils sont en fait enfants du même Père, serviteurs du même Maître, membres de la même famille, voyageurs vers le même pays, héritiers du même héritage.
En conséquence, les chrétiens doivent œuvrer, afin d’atteindre le but de leur vocation et de leur élection, en croyant et en pratiquant le bien : ils pourront ainsi joindre tous leurs efforts et bénéficier pleinement de la Grâce et de la Miséricorde divines, de Celui qui les soutient et les empêche de chuter.
Ceux qui se sont appliqués ici-bas dans l'exercice de la piété, connaîtront une entrée triomphante dans le Royaume éternel de Christ ; ils régneront avec Lui pour toujours ; le fait de pratiquer toute bonne œuvre ici-bas nous montre que nous sommes sur le chemin qui mène à l'entrée au ciel !