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C’est lui l’auteur de grandeurs qu’il est impossible d’explorer, de merveilles si nombreuses qu’il est impossible de les compter.
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» Les défunts tremblent au-dessous de l’eau et des créatures qui l’habitent.
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Devant Dieu le séjour des morts se retrouve nu, le gouffre de perdition est sans protection.
7
C’est lui qui déploie le nord sur le vide, qui suspend la terre sur le vide.
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Il enferme l’eau dans ses nuages sans qu’ils se déchirent sous son poids.
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Il recouvre son trône en déployant sa nuée sur lui.
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» Il a tracé un cercle à la surface de l’eau, à la frontière entre la lumière et les ténèbres.
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Les piliers du ciel sont ébranlés, ils sont effarés quand il menace.
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Par sa force il dompte la mer, par son intelligence il en brise l'orgueil.
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Son souffle donne au ciel la sérénité, sa main transperce le serpent fuyard.
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» Si tout cela ne représente qu’un aperçu de sa manière de faire, le faible écho qui nous en parvient, qui pourra comprendre le tonnerre de sa puissance ? »
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Souviens-toi de célébrer la grandeur de son activité : les hommes l’ont chantée.
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C’est que tous les êtres humains peuvent la contempler, chacun la voit de loin.
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» Oui, la grandeur de Dieu dépasse ce que nous pouvons connaître. Le nombre de ses années est incalculable.
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Il attire les gouttes d'eau, qui s’évaporent et retombent en pluie.
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Les nuages la laissent couler, ils la déversent avec abondance sur les hommes.
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Qui donc comprendra le déploiement des nuages, le fracas de sa tente ?
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Il déploie autour de lui sa lumière et il recouvre les profondeurs de la mer.
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C’est ainsi qu’il juge les peuples et donne la nourriture avec abondance.
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Il cache dans ses mains des éclairs auxquels il fixe une cible.
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Il s'annonce par son tonnerre, et même le bétail pressent son approche.
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Nous ne pouvons atteindre le Tout-Puissant. Sa grandeur se manifeste dans sa force, mais le droit et la parfaite justice, il ne les maltraite pas.
4
» Où étais-tu quand j’ai fondé la terre ? Déclare-le, puisque tu es si intelligent !
5
Qui a fixé ses dimensions ? Tu le sais, n’est-ce pas ? Ou qui a déplié le ruban à mesurer sur elle ?
6
Sur quoi ses bases reposent-elles ? Ou qui en a posé la pierre angulaire
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alors que les étoiles du matin éclataient ensemble en chants d'allégresse et que tous les fils de Dieu poussaient des cris de joie ?
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» Qui a bloqué la mer avec des portes quand, dans son jaillissement, elle est sortie du ventre maternel,
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quand j’ai fait des nuages son habit et de l'obscurité ses langes,
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quand je lui ai fixé des limites et imposé verrou et portes,
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quand j’ai dit : ‘Tu pourras venir jusqu'ici, tu n'iras pas plus loin. Ici s'arrêtera l'orgueil de tes vagues’ ?
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» Depuis que tu existes, as-tu donné des ordres au matin ? As-tu montré sa place à l'aurore
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pour qu’elle attrape les bords de la terre et que les méchants en tombent ?
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Tout se transforme alors, comme l'argile qui reçoit une empreinte, et l’ensemble se présente comme paré d’un habit.
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Quant aux méchants, ils sont privés de leur lumière, et le bras prêt à agir est brisé.
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» As-tu pénétré jusqu'aux sources de la mer ? T'es-tu promené dans les profondeurs du gouffre ?
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Les portes de la mort t’ont-elles été dévoilées ? As-tu vu les portes de l'ombre de la mort ?
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As-tu perçu toute la largeur de la terre ? Déclare-le, si tu sais tout cela !
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» Où est donc le chemin qui conduit à l’habitation de la lumière ? Et les ténèbres, où ont-elles leur domicile
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pour que tu puisses les conduire vers leur territoire et discerner les sentiers qui mènent chez elles ?
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Tu le sais, puisque tu étais déjà né et que le nombre de tes jours est si grand !
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» Es-tu parvenu jusqu'aux réserves de neige ? As-tu vu les dépôts de grêle
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que je tiens en réserve pour les moments de détresse, pour les jours de guerre et de bataille ?
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Par quel chemin la lumière se divise-t-elle et le vent d'est déferle-t-il sur la terre ?
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Qui a ouvert un passage pour les averses, un chemin pour l'éclair et le tonnerre,
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pour que la pluie tombe sur une terre sans habitants, sur un désert où il n'y a pas d'êtres humains,
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pour qu'elle rassasie les endroits solitaires et arides et fasse pousser et sortir l'herbe ?
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» La pluie a-t-elle un père ? Qui donc fait naître les gouttes de rosée ?
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De quel ventre est sortie la glace et qui a donné naissance au givre,
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pour que l’eau se déguise en pierre et que la surface du gouffre reste figée ?
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» Peux-tu serrer les liens des Pléiades ou détacher les cordages d’Orion ?
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Fais-tu paraître au moment voulu les constellations du zodiaque et conduis-tu la Grande Ourse avec ses petits ?
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Connais-tu les règles du ciel ? Peux-tu instaurer l’autorité de Dieu sur la terre ?
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Peux-tu élever ta voix jusqu'aux nuages pour que des torrents d'eau te couvrent ?
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As-tu lancé des éclairs ? Sont-ils partis ? Te disent-ils : ‘Nous voici’ ?
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» Qui a mis la sagesse au fond du cœur ou donné l'intelligence à l'esprit ?
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Qui a la sagesse nécessaire pour compter les nuages ? Qui peut faire pencher les cruches du ciel
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pour provoquer des coulées de boue et coller ensemble les mottes de terre ?
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» Chasses-tu la proie pour la lionne et satisfais-tu l’appétit des lionceaux
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quand ils sont couchés dans leur tanière, quand ils sont aux aguets dans leur repaire ?
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Qui prépare au corbeau sa nourriture quand ses petits crient vers Dieu et vacillent, affamés ?
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» Sais-tu quand les bouquetins font leurs petits ? Observes-tu les biches quand elles mettent bas ?
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Comptes-tu les mois pendant lesquels elles portent et connais-tu l'époque où elles mettent bas ?
3
Elles se courbent, libèrent leurs petits et sont délivrées de leurs douleurs.
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Leurs petits prennent des forces et grandissent en plein air, puis ils s'éloignent et ne reviennent plus vers elles.
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» Qui a rendu l'âne sauvage indépendant et l'a libéré de tout lien ?
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J'ai fait de la steppe son domicile, de la terre salée son habitation.
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Il se moque du grondement des villes, il n'entend pas les cris d’un maître.
8
Il parcourt les montagnes pour trouver sa nourriture, il est à la recherche de tout ce qui est vert.
9
» Le buffle désire-t-il être à ton service ? Passe-t-il la nuit près de ta mangeoire ?
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L'attaches-tu avec une corde pour qu'il trace un sillon ? Traînera-t-il la herse derrière toi dans les vallées ?
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Pourras-tu t’appuyer sur lui parce que sa force est grande ? Lui laisseras-tu ton travail ?
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Peux-tu te fier à lui pour rentrer ta récolte ? La rassemblera-t-il dans ton aire de battage ?
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» L'aile des autruches se déploie joyeusement. On dirait l'aile, le plumage de la cigogne.
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Cependant, l'autruche abandonne ses œufs à la terre et les laisse chauffer sur la poussière.
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Elle oublie qu’un pied peut les écraser, qu'une bête sauvage peut les piétiner.
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Elle traite durement ses petits, comme s'ils n'étaient pas à elle. Elle n’est pas inquiète à l’idée d’avoir travaillé pour rien.
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En effet, Dieu lui a refusé la sagesse, il ne lui a pas attribué l'intelligence.
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Quand elle se dresse et prend sa course, elle se moque du cheval et de son cavalier.
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» Est-ce toi qui donnes la puissance au cheval et qui habilles son cou d'une crinière flottante ?
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Le fais-tu bondir comme la sauterelle ? Son fier hennissement est source de terreur.
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Il trépigne dans la vallée et se réjouit de sa force, il s'élance au-devant des armes.
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Il se moque de la peur, il n'est pas effrayé, il ne recule pas devant l'épée.
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Sur lui résonnent le carquois, la lance étincelante et le javelot.
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Bouillonnant d'ardeur, il dévore l’espace. Il ne tient pas en place quand le son de la trompette retentit.
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Chaque fois que la trompette sonne, il dit : ‘En avant !’De loin il flaire la bataille, la voix retentissante des chefs et les cris de guerre.
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» Est-ce grâce à ton intelligence que l'épervier prend son vol et déploie ses ailes en direction du sud ?
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Est-ce sur ton ordre que l'aigle royal prend de la hauteur et place son nid sur les sommets ?
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C'est dans les rochers qu'il réside et passe les nuits, c’est sur une dent de rocher qu’il a sa forteresse.
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De là il cherche sa proie. Ses yeux l’aperçoivent de loin.
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Ses petits boivent le sang et *là où sont des cadavres, là il se trouve. »
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Heureux l’homme qui place sa confiance en l’Eternel et qui ne se tourne pas vers les orgueilleux et les menteurs !
5
Tu me réjouis par ce que tu accomplis, Eternel, et je chante avec allégresse les œuvres de tes mains.
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Que tes œuvres sont nombreuses, Eternel ! Tu les as toutes faites avec sagesse. La terre est remplie de tes biens.
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C’est toi qui as formé mes reins, qui m’as tissé dans le ventre de ma mère.
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Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes œuvres sont admirables, et je le reconnais bien.
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Mon corps n’était pas caché devant toi lorsque j’ai été fait dans le secret, tissé dans les profondeurs de la terre.
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Je n’étais encore qu’une masse informe, mais tes yeux me voyaient, et sur ton livre étaient inscrits tous les jours qui m’étaient destinés avant qu’un seul d’entre eux n’existe.
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Ce qui est éloigné, ce qui est très profond, qui peut l'atteindre ?
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j'ai vu tout ce que Dieu fait. J'ai vu que l'homme ne peut pas comprendre l’œuvre qui est accomplie sous le soleil. Il a beau se fatiguer à chercher, il n’y parvient pas, et même si un sage prétend avoir cette connaissance, il est incapable d’y parvenir.
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Tu ne sais pas quel parcours le vent suit ni comment les os se forment dans le ventre de la femme enceinte ; de même tu ne connais pas l'œuvre de Dieu, l’auteur de tout ce qui existe.
Premier mystère : le chemin du vent ; comparez 1.6 ; Jean 3.8.
Second mystère : Psaumes 139.13-18.
Troisième mystère : l'œuvre de Dieu. Nous ne sommes pas au fait des projets de Dieu (3.14 ; 8.17 ; 9.12) ; mais ce que nous savons, c'est qu'il dirige tout avec sagesse ; si donc nous nous conformons aux règles de la sagesse, nous sommes sur la bonne voie. C'est pourquoi, verset 6, pas de lâche abstention !