ParamĂštres de lecture

Afficher les numéros de versets
Mode dyslexique
Police d'écriture
Taille de texte

Merci Ă  Bibles et Publications ChrĂ©tiennes pour la conception du processus d’affichage DYS.

Exode 1.1

Now these are the names of the sons of Israel, who came into Egypt (every man and his household came with Jacob):

Le livre de l'Exode relate la formation des enfants d'IsraĂ«l, en tant qu'Ă©glise et nation. Jusqu'ici, nous avons vu la vraie religion, au sein de la vie domestique, maintenant, nous allons commencer Ă  voir ses effets sur la destinĂ©e des royaumes et des nations. « Exode » signifie « le dĂ©part » ; le principal Ă©vĂ©nement mentionnĂ© est le dĂ©part d'Égypte du peuple d'IsraĂ«l et la fin de l'esclavage Ă©gyptien ; cela confirme simplement l'accomplissement de plusieurs promesses et prophĂ©ties faites Ă  Abraham et Ă  sa descendance ; l'exode prĂ©figure aussi l'Ă©tat de l'Ă©glise, dans le dĂ©sert de ce monde, jusqu'Ă  son arrivĂ©e dans le merveilleux pays de Canaan, le repos Éternel.

Les enfants d'IsraĂ«l croissent en Égypte, AprĂšs la mort de Joseph. (Exode 1:8-14)
Ils sont opprimés, Mais se multiplient extraordinairement. (Exode 1:1-7)
La tuerie des enfants. (Exode 1:15-22)

Pendant plus de deux cents ans, alors qu'Abraham, Isaac, et Jacob vivaient librement, les HĂ©breux se sont accrus Progressivement ; il y eut seulement soixante-dix personnes environ qui sont entrĂ©es en Égypte. Et lĂ , en un nombre Ă  peu prĂšs identique d'annĂ©es, malgrĂ© l'esclavage cruel, les HĂ©breux devinrent une grande nation. Cette croissance merveilleuse Ă©tait conforme Ă  la promesse faite il y a bien longtemps Ă  leurs pĂšres. Bien que l'accomplissement des promesses de Dieu soit parfois long Ă  voir le jour, il est inexorable.
Voici les noms des fils d'Israël venus en Egypte avec Jacob, chacun accompagné de sa famille :
  • Contenus
  • Versions
  • Commentaires
  • Strong
  • Dictionnaire
  • Versets relatifs
  • Carte
  • Versets favoris

    • Ces vidĂ©os ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.

      GenĂšse 29

      31 Les noms que Léa a donnés à ses enfants, expriment son respect envers Dieu, et envers son mari. Ruben, ce qui signifie « voyez, un fils », manifeste cette pensée : « Maintenant mon mari m'aimera » ; Lévi, « attachement ou joint », lui fait espérer ce fait : « maintenant mon mari s'attachera à moi ». L'affection entre époux est à la fois un devoir et un réconfort mutuels ; dans un couple, les deux partenaires doivent chercher à se plaire mutuellement, 1Corinthiens 7:33,34.

      LĂ©a est reconnaissante envers Dieu, de ce qu'Il a Ă©coutĂ© sa priĂšre. Dans tous les cas, oĂč nous avons besoin d'ĂȘtre soulagĂ©s et dĂ©livrĂ©s, en particulier lors de nos afflictions, nous devons solliciter Dieu. Le quatriĂšme fils de LĂ©a fut appelĂ© Juda, ou « louange », ce qui explique la louange de sa mĂšre : « maintenant, je louerai l'Éternel ». Quel que soit le sujet qui nous amĂšne Ă  nous rĂ©jouir, il doit nous amener Ă  rendre grĂące.

      Les rĂ©centes bĂ©nĂ©dictions reçues devraient nous inciter vivement Ă  remercier Dieu pour toutes celles qu'Il nous a dĂ©jĂ  accordĂ©es ; dorĂ©navant nous louerons davantage le Seigneur, d'une louange encore plus vive. Toutes nos adorations doivent ĂȘtre centrĂ©es vers Christ, Celui qui les reçoit, notre MĂ©diateur. Il est descendu en chair Celui qui se nomme Merveilleux, Celui qui doit faire l'objet de nos louanges. Christ a-t-il transformĂ© mon cƓur ? Alors, je pourrai L'adorer !

      GenĂšse 30

      1

      La famille de Jacob s'agrandit. (GenĂšse 30:1-13)
      Rachel donne naissance Ă  Joseph. (GenĂšse 30:14-24)
      Le nouvel engagement de Jacob avec Laban, pour le servir en vue d'obtenir du bétail. (GenÚse 30:25-43)

      Rachel a enviĂ© sa sƓur : l'envie ne fait qu'attrister le cƓur, face aux avantages des autres ; aucun pĂ©chĂ© n'est plus dĂ©testable aux yeux de Dieu ou n'est plus nuisible envers nos voisins et nous-mĂȘmes. Rachel n'a pas compris que Dieu a Ă©tabli toutes choses, et que dans d'autres domaines elle a eu la meilleure part. Soyons bien vigilants Ă  l'Ă©gard de toutes les envies ou passions qui envahissent nos esprits. Ne portons pas de mauvais regards vers nos compagnons de travail, sachant que notre MaĂźtre fait toutes choses Ă  la perfection. Jacob aimait Rachel, et l'a donc rĂ©primandĂ©e pour ses propos malencontreux.

      Les rĂ©primandes sincĂšres rĂ©vĂšlent l'affection rĂ©elle. Dieu peut nous rĂ©primander au mĂȘme titre que n'importe qui ; c'est Ă  la fois un pĂ©chĂ© et une folie de substituer quelqu'un Ă  Dieu, et de fonder notre confiance en cette personne, au lieu de s'en remettre Ă  Dieu. Devant l'insistance de Rachel, Jacob a pris pour femme, Bilha, sa servante, et selon la coutume de cette Ă©poque, les enfants ainsi obtenus pouvaient ĂȘtre considĂ©rĂ©s comme appartenant Ă  sa maĂźtresse. Le cƓur de Rachel n'Ă©tait pas animĂ© de mauvaises pensĂ©es : elle a considĂ©rĂ© que les enfants de sa sƓur LĂ©a, seraient plus proches d'elle, et qu'ils auraient davantage de droits que ceux de Bilha. Rachel Ă©tait plus dĂ©sireuse d'avoir des enfants sur qui elle aurait une autoritĂ© lĂ©gitime, que ceux pour lesquels elle ne pourrait avoir que de simples sentiments d'affection. Pour manifester son autoritĂ© vis-Ă -vis de ces enfants, elle prend plaisir Ă  leur donner des noms qui traduisent les marques de sa rivalitĂ© avec sa sƓur.

      Remarquez comment naissent les racines d'envie et d'amertume, et quels dégùts elles font dans une famille ! Sous l'insistance de Léa, Jacob prit aussi pour femme, Zilpa, sa servante. Notez la puissance de la jalousie et de la rivalité, et admirez la Sagesse divine, qui unit un homme avec une seule femme ; car Dieu nous a appelés à vivre en paix et en toute pureté.

      14 Le dĂ©sir lĂ©gitime mais souvent prĂ©tentieux et dĂ©placĂ©, d'ĂȘtre la mĂšre de la LignĂ©e promise, avec l'honneur d'avoir beaucoup d'enfants, ainsi que le reproche d'ĂȘtre stĂ©rile, Ă©taient la cause de cette rivalitĂ© inconvenante entre Rachel et LĂ©a. La vĂ©ritable source de ces rivalitĂ©s semble provenir de l'influence des promesses divines faites Ă  Abraham : une postĂ©ritĂ© Ă  qui Ă©taient promises les plus riches bĂ©nĂ©dictions, et de laquelle serait issu le Messie.

      GenĂšse 35

      GenĂšse 46

      GenĂšse 49

      3 Ruben était le premier-né ; par une négligence coupable, il a renoncé à son droit d'aßnesse. Le caractÚre de Ruben est aussi instable que l'eau.

      Les hommes ne prospÚrent pas, quand ils n'ont pas une conduite intÚgre. Le péché de Ruben a laissé une infamie durable dans sa famille. Ne pratiquons jamais le mal, afin de ne prendre aucun risque qu'il soit relaté par la suite. Siméon et Lévi étaient passionnés et désiraient la vengeance. Le meurtre de Sichem en est une preuve. Jacob avait protesté, suite à cet acte barbare.

      Notre Ăąme est notre honneur ; par sa puissance nous sommes supĂ©rieurs aux bĂȘtes qui pĂ©rissent. Nous devons, en nos cƓurs, abhorrer tous les hommes sanguinaires et malfaisants. Maudite soit leur colĂšre ! Jacob ne maudit pas leur personne, mais leurs convoitises.

      Le patriarche s'est Ă©crié : « je les sĂ©parerai ». Cette phrase, qui concerne LĂ©vi a Ă©tĂ© transformĂ©e en bĂ©nĂ©diction. Cette tribu a assurĂ© un service remarquable par le zĂšle manifestĂ© contre les adorateurs du veau d'or en, Exode 32. Étant mis Ă  part pour Dieu, en tant que prĂȘtres, ils Ă©taient de ce fait, dispersĂ©s parmi la nation d'IsraĂ«l.

      8 Le nom de Juda signifie « louange ». Dieu a Ă©tĂ© louĂ© Ă  cause de ce nom, chap. GenĂšse 29:35, Il a Ă©tĂ© louĂ© par lui, et en Lui ; en consĂ©quence, ses frĂšres seront amenĂ©s Ă  lui rendre gloire. Juda sera une tribu forte et courageuse. Juda est comparĂ© Ă  un lion, non pas errant et rageur, mais plutĂŽt apprĂ©ciant avec satisfaction sa puissance et ses succĂšs, sans dĂ©daigner pour autant les autres ; c'est vraiment un excellent sentiment. Juda a Ă©tĂ© la tribu royale, la tribu d'oĂč le Messie, le Prince devait venir. « Le Chef »*, cette Semence Promise, par qui la terre doit ĂȘtre bĂ©nie, « Celui qui procure la Paix et la ProspĂ©rité », le « Sauveur » : Il viendra de la tribu de Juda.

      En cette promesse, Jacob a « vu », de loin, l'avĂšnement de Christ, ce qui l'a encouragĂ©, sur son lit de mort. Jusqu'Ă  cette venue du Sauveur, Juda a usĂ© d'autoritĂ©, mais aprĂšs la Crucifixion, conformĂ©ment Ă  la prophĂ©tie annoncĂ©e par Christ, JĂ©rusalem a Ă©tĂ© dĂ©truite, et le restant des pauvres juifs fut harcelĂ© et confondu. Beaucoup de ce qui est dit ici, au sujet de Juda, peut s'appliquer Ă  notre Seigneur JĂ©sus. En Lui il y a abondance de tout ce qui nourrit et rĂ©gĂ©nĂšre l'Ăąme, ce qui maintient et encourage toute vie spirituelle. Il est le Vigneron ; le vin symbolise Son sang, qui est vĂ©ritablement une boisson, et qui a Ă©tĂ© rĂ©pandu pour les pĂ©cheurs qui en bĂ©nĂ©ficient, par la foi ; toutes les bĂ©nĂ©dictions de l'Évangile sont, pour ainsi dire, du vin et du lait, acquis sans argent et sans prix, par lesquels chaque Ăąme assoiffĂ©e est dĂ©saltĂ©rĂ©e. Isa 55:1.

      * Note du traducteur : Au verset 10, le mot « Chef » a été, selon les versions bibliques, traduit ou laissé en Hébreu : Shiloh, Schilo, etc. Voir les notes de BFC à ce sujet. L'original MHCC mentionne le mot « Shiloh » ; pour une compréhension plus aisée, il a été traduit par « Chef ».

      13 En ce qui concerne Zabulon : si la prophĂ©tie indique que Zabulon sera un asile pour les bateaux, il est sĂ»r que la Providence dirigera toutes choses en ce sens. Dieu Ă©tablit les limites de notre lieu d'habitation. Ce n'est pour nous que sagesse et devoir, de nous adapter Ă  notre sort, pour amĂ©liorer notre situation ; si la destinĂ©e de Zabulon est d'ĂȘtre un port, qu'il soit asile pour les navires. Pour Issacar : il a vu que le lieu oĂč il sĂ©journait, Ă©tait non seulement agrĂ©able, mais qu'il Ă©tait Ă©galement rempli de merveilleux fruits, rĂ©compensant son dur labeur.

      Contemplons, avec le regard de la foi, le repos céleste merveilleux qui nous attend, cette terre de la Promesse ; cela rendra plus facile notre service ici-bas.

      Dan devrait, par la technique, la politique, et la surprise, tirer avantage sur ses ennemis, tel un serpent mordant le talon du voyageur. Jacob, presque usĂ© par la vie, et se prĂ©parant Ă  s'Ă©teindre, se rĂ©conforte par ces mots, « j'espĂšre en Ton secours, Ô Éternel » ! Ce salut qu'il attendait Ă©tait Christ, la Semence promise ; maintenant que le patriarche allait ĂȘtre recueilli auprĂšs de ses pĂšres, il a placĂ© sa confiance en Celui qui a rassemblĂ© toute sa famille. Il a dĂ©clarĂ© simplement qu'il recherchait le ciel, le « meilleur pays », Heb 11:13,14. Maintenant qu'il va pouvoir jouir du salut cĂ©leste, il se rĂ©jouit de cette espĂ©rance qui l'a conduit durant toute sa vie.

      Christ, notre Chemin vers le ciel, doit ĂȘtre notre attente ; le ciel, notre repos en Christ, doit ĂȘtre aussi l'objet de notre espĂ©rance. C'est le rĂ©confort d'un homme pieux qui, au moment de sa mort, a attendu le salut de Dieu ; il aura alors devant lui ce qu'il a attendu, toute sa vie durant !

      19 En ce qui concerne Gad, Jacob fait référence à son nom, qui signifie « une troupe », ce qui préfigure le caractÚre de cette tribu. La cause de Dieu et de Son peuple, qui semble pendant un certain temps décliner, sera finalement victorieuse.

      Cela reprĂ©sente le conflit du chrĂ©tien. La grĂące divine, prĂ©sente dans l'Ăąme, est souvent contrecarrĂ©e Ă  cause des conflits ; les armes de la corruption sont souvent accablantes, mais la cause de Dieu et la grĂące finiront par avoir le dessus, quel que puisse ĂȘtre l'adversaire, Romains 8:37.

      Aser devrait ĂȘtre une tribu riche : elle a hĂ©ritĂ© de la contrĂ©e qui longe le Carmel, de renommĂ©e proverbialement fructueuse.

      Nephtali, est une biche en libertĂ©. Nous pouvons considĂ©rer cette situation comme une vĂ©ritable description de cette tribu : elle est vraiment diffĂ©rente du bƓuf et de l'Ăąne, laborieux, dĂ©sirant eux-mĂȘmes jouir d'une certaine liberté ; mais Nephtali est une tribu active, qui se fait remarquer davantage par la rapiditĂ© d'exĂ©cution de ses tĂąches, que par la persĂ©vĂ©rance dans son travail. Elle implore la pitiĂ©, avec des mots persuasifs.

      Que les diffĂ©rents caractĂšres ou dons acquis, ne nous empĂȘchent pas d'aspirer Ă  d'autres, meilleurs !

      22 La bénédiction de Joseph est complÚte. Ce que Jacob indique à son sujet, se situe autant dans l'histoire que dans la prophétie. Jacob rappelle les difficultés et les traits ardents contre lesquels il a lutté, lors des tentations qu'il avait autrefois endurées. Sa foi n'a pas failli, mais au travers de ses épreuves, il a pu supporter tous ses fardeaux avec fermeté et n'a rien fait d'inconvenant.

      Toute notre force pour lutter contre les tentations et supporter les afflictions, vient de Dieu ; Sa grùce est suffisante.

      Joseph est devenu le berger d'Israël, il a pris soin de son pÚre et de sa famille ; il est également le rocher d'Israël, une base et un appui solides. Par ces faits accomplis, comme par beaucoup d'autres choses, Joseph était une image remarquable du Bon Berger, la Pierre angulaire de toute l'église de Dieu.

      Des bénédictions sont promises à la postérité de Joseph, identiques aux éternelles bénédictions spirituelles destinées à ceux qui sont en Christ. Jacob a béni tous ses fils, mais particuliÚrement Joseph, « qui a été séparé de ses frÚres ».

      Il a non seulement Ă©tĂ© exilĂ© en Égypte, mais « sĂ©paré » aussi, par son Ă©minente dignitĂ©, et par sa consĂ©cration Ă  Dieu. Le texte parle de Benjamin comme d'un loup qui dĂ©chire. Jacob a Ă©tĂ© guidĂ© dans ses propos, par esprit de prophĂ©tie et non par affection naturelle ; sinon, il aurait mentionnĂ© avec plus de tendresse, Benjamin, son fils bien-aimĂ©. Le patriarche a prĂ©vu et prĂ©dit seulement que Benjamin devait ĂȘtre une tribu guerriĂšre, forte et audacieuse, et qu'elle devait s'enrichir avec le butin acquis sur ses ennemis ; cette tribu devait ĂȘtre trĂšs active. L'apĂŽtre Paul Ă©tait lui-mĂȘme de cette tribu, Romains 11:1; Philippiens 3:5 ; au dĂ©but de sa vie, il « dĂ©vorait sa proie » en persĂ©cuteur, mais Ă  la fin, il a « conquis son butin » par la prĂ©dication ; il a partagĂ© les bĂ©nĂ©dictions du Lion de la tribu de Juda, Ă©tant soutenu par Christ dans ses victoires !

      Exode 1

      1

      Le livre de l'Exode relate la formation des enfants d'IsraĂ«l, en tant qu'Ă©glise et nation. Jusqu'ici, nous avons vu la vraie religion, au sein de la vie domestique, maintenant, nous allons commencer Ă  voir ses effets sur la destinĂ©e des royaumes et des nations. « Exode » signifie « le dĂ©part » ; le principal Ă©vĂ©nement mentionnĂ© est le dĂ©part d'Égypte du peuple d'IsraĂ«l et la fin de l'esclavage Ă©gyptien ; cela confirme simplement l'accomplissement de plusieurs promesses et prophĂ©ties faites Ă  Abraham et Ă  sa descendance ; l'exode prĂ©figure aussi l'Ă©tat de l'Ă©glise, dans le dĂ©sert de ce monde, jusqu'Ă  son arrivĂ©e dans le merveilleux pays de Canaan, le repos Éternel.

      Les enfants d'IsraĂ«l croissent en Égypte, AprĂšs la mort de Joseph. (Exode 1:8-14)
      Ils sont opprimés, Mais se multiplient extraordinairement. (Exode 1:1-7)
      La tuerie des enfants. (Exode 1:15-22)

      Pendant plus de deux cents ans, alors qu'Abraham, Isaac, et Jacob vivaient librement, les HĂ©breux se sont accrus Progressivement ; il y eut seulement soixante-dix personnes environ qui sont entrĂ©es en Égypte. Et lĂ , en un nombre Ă  peu prĂšs identique d'annĂ©es, malgrĂ© l'esclavage cruel, les HĂ©breux devinrent une grande nation. Cette croissance merveilleuse Ă©tait conforme Ă  la promesse faite il y a bien longtemps Ă  leurs pĂšres. Bien que l'accomplissement des promesses de Dieu soit parfois long Ă  voir le jour, il est inexorable.

      Exode 6

      14 MoĂŻse et Aaron Ă©taient tous deux IsraĂ©lites ; ils Ă©taient en quelque sorte une image de Christ : tout comme Lui, ils devaient se consacrer au sauvetage de leurs frĂšres, ils Ă©taient aussi pour le peuple, leurs prophĂštes, leurs prĂȘtres, leurs rĂ©dempteurs et leurs lĂ©gislateurs. À la fin de ce passage, MoĂŻse reprend la parole et rĂ©pĂšte Ă  Dieu qu'il ne se sent pas Ă  la hauteur de la tĂąche qui lui est assignĂ©e : porter Ă  Pharaon le message demandant de laisser partir librement le peuple.

      Ceux qui ouvrent la bouche sans rĂ©flĂ©chir Ă©prouvent souvent, aprĂšs coup, des regrets ; tel devait ĂȘtre ici le cas, pour MoĂŻse. Le mot « incirconcis » est utilisĂ© dans les Écritures pour dĂ©signer l'impertinence d'une rĂ©ponse ; c'est une image du cƓur charnel de l'homme dĂ©chu, absolument incapable de servir Dieu, de Le glorifier. Il est bon de ne pas se confier en soi-mĂȘme ; toute notre confiance doit ĂȘtre basĂ©e sur le Seigneur. Nous ne nous abaisserons jamais trop devant la Toute Puissance divine ! Je ne peux rien faire de moi-mĂȘme, nous dit l'apĂŽtre Paul, mais je puis tout en Celui qui me fortifie.

      1 Chroniques 2

      1

      Généalogie.

      - Ce texte dĂ©crit la gĂ©nĂ©alogie des enfants d'IsraĂ«l : ils formaient un peuple distinctif, qui devait demeurer Ă  part et ne pas ĂȘtre comptĂ© « parmi » les nations.

      Mais maintenant, tous ceux qui s'approchent de Christ, en vue d'obtenir le salut, sont les bienvenus ; devant Lui, tous ont les mĂȘmes privilĂšges, selon la mesure de leur foi, de leur amour et de leur dĂ©votion.

      Toute nouvelle vie en JĂ©sus consiste Ă  Ɠuvrer pour Dieu, dans Sa paix, et dans Son « optique » spirituelle, pour Sa gloire, et aussi, Ă  aimer notre prochain.

      1 Chroniques 12

      23 Quand JĂ©sus-Christ « établit son trĂŽne » dans une Ăąme, il y a, ou il devrait y avoir, une grande joie en cette derniĂšre ; cet Ă©tat ne dure pas quelques jours, mais toute la vie, et ce, pour l'Ă©ternitĂ©. Heureux ceux qui arrivent, en toute sagesse, Ă  considĂ©rer que leur devoir et leur intĂ©rĂȘt, consistent Ă  se soumettre au Sauveur, Ă  JĂ©sus-Christ, le Fils de David ; ce bonheur spirituel consiste Ă  renoncer Ă  tout ce qui n'est pas conforme Ă  Sa volontĂ©, et Ă  s'efforcer de tout son cƓur, Ă  pratiquer le bien, selon la sagesse que Dieu communique, par la connaissance de Sa Parole et de Sa Perfection.

      « Si quelqu'un manque de sagesse, qu'il demande à Dieu qui donne à tous libéralement et qui ne fait pas de reproches, et il lui sera donné » ; Jacques 1:5*

      *(Référence ajoutée par le traducteur)

      1 Chroniques 27

      16 Les officiers ou les intendants des biens de la cour, étaient chargés d'administrer les terres du roi, ses vignes, ses troupeaux et tout ce qui constituait la richesse du pays. La sagesse était la principale qualité qui orientait le choix des différents princes, quant à leur ministÚre, ainsi que les intendants et divers conseillers.

      Bien que David fût convaincu des qualités respectives de ces hommes, il préférait avant tout la Sagesse de la Parole de Dieu.

      Tes préceptes font mes délices, ce sont mes conseillers. Psaume 119:24*

      * Référence ajoutée par le traducteur

    • Ajouter une colonne

Pour ajouter un favori, merci de vous connecter : Se connecter

Vous avez aimĂ© ? Partagez autour de vous !

Créer un verset illustré

Logo TopChrétien carré

Télécharger l'image

Choisissez une image

Personnalisez le verset

Alignement : | | | Haut | Milieu | Bas

Taille :

Couleur :

Police :

Personnalisez la référence

Couleur :

Police :

Taille :

De légÚres variations de mise en page peuvent apparaitre sur l'image téléchargée.
Fermer
Update Required To play the media you will need to either update your browser to a recent version or update your Flash plugin pour Firefox & Safari - Flash plugin pour Opera & Chrome.