Ces vidéos ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.
36
Il y a ainsi un certain Joseph, un lévite né à Chypre. Les apôtres l’appellent Barnabas, ce qui veut dire « l’homme qui encourage ».
37
Il a un champ, il le vend, il apporte l’argent et le donne aux apôtres.
25
Ensuite, Barnabas part pour la ville de Tarse, il va chercher Saul.
30
Les disciples font cela. Ils envoient leurs dons aux anciens de Judée par l’intermédiaire de Barnabas et de Saul.
25
Barnabas et Saul ont fini leur mission au service des croyants de Jérusalem. Ils repartent et emmènent avec eux Jean, appelé aussi Marc.
2
Un jour, ils sont réunis pour prier le Seigneur et ils jeûnent. Alors l’Esprit Saint leur dit : « Mettez à part Barnabas et Saul pour faire le travail que je vais leur demander. »
50
Mais les Juifs entraînent avec eux des femmes de rang élevé qui adorent Dieu ainsi que les notables de la ville. Ils poursuivent Paul et Barnabas pour leur faire du mal et ils les chassent de leur pays.
12
Ils appellent Barnabas « Zeus » et Paul « Hermès ». En effet, c’était Paul qui parlait. À l’entrée de la ville, il y a un temple pour le dieu Zeus.
2
Paul et Barnabas ne sont pas d’accord avec ces hommes et ils discutent vivement avec eux. Alors on décide ceci : Paul, Barnabas et quelques autres vont aller à Jérusalem. Ils parleront de cette affaire avec les apôtres et les anciens.
3
Donc, l’Église d’Antioche leur donne ce qu’il faut pour le voyage. Ils traversent la Phénicie et la Samarie, ils racontent comment ceux qui ne sont pas juifs se sont tournés vers le Seigneur. Et cela donne une grande joie à tous les croyants.
4
Les envoyés arrivent à Jérusalem. Ils sont reçus par l’Église, les apôtres et les anciens, et ils leur racontent tout ce que Dieu a fait avec eux.
25
C’est pourquoi nous avons décidé tous ensemble de choisir des délégués et de vous les envoyer. Ils accompagnent nos chers amis Barnabas et Paul,
36
Après un certain temps, Paul dit à Barnabas : « Retournons visiter les croyants dans toutes les villes où nous avons annoncé la parole du Seigneur. Nous verrons comment ils vont. »
37
Barnabas veut emmener avec eux Jean, appelé aussi Marc,
38
mais Paul pense qu’il ne faut pas le faire. En effet, Jean-Marc les a quittés en Pamphylie et il ne les a plus accompagnés dans leur travail.
39
Paul et Barnabas ne sont pas du tout d’accord et ils finissent par se séparer. Barnabas emmène Jean-Marc et prend le bateau pour Chypre,
6
Ou bien est-ce que Barnabas et moi, nous sommes les seuls qui devons gagner notre vie ?
16
Remercions Dieu ! Je désire beaucoup vous aider. Eh bien, Dieu a mis dans le cœur de Tite le même désir.
23
Tite, c’est mon compagnon, il travaille avec moi pour vous. Nos frères, ce sont les envoyés des Églises. Ils agissent pour la gloire du Christ.
18
Trois ans après, je suis monté à Jérusalem pour faire la connaissance de Céphas, et je suis resté 15 jours avec lui.
1
Puis, 14 ans après, je suis retourné à Jérusalem avec Barnabas, j’ai pris aussi Tite avec moi.
3
Mais on n’a même pas obligé Tite, qui était avec moi et qui est grec, à se faire circoncire.
13
Tous les autres frères d’origine juive ont été aussi faux que lui, et leur conduite fausse a même entraîné Barnabas !
10
Aristarque, qui est en prison avec moi, vous salue. Marc, le cousin de Barnabas, vous salue aussi. Vous avez reçu des conseils au sujet de Marc. S’il vient chez vous, recevez-le bien.
4
Tite, c’est à toi que j’écris. Tu es pour moi un vrai fils dans la foi qui nous unit. Que Dieu le Père et le Christ Jésus notre Sauveur te bénissent et te donnent la paix !
1 à 10 Comment Paul fut amené à faire connaître son ministère par les apôtres de Jérusalem.
Cet ensuite correspond à celui de Galates 1.18, comme celui-ci continuait le récit de verset 15 et suivants L'un et l'autre peuvent avoir pour point de départ l'époque de la conversion de Paul. Si au contraire ils sont successifs, selon l'opinion de quelques interprètes, ces quatorze ans nous reporteraient à la dix-septième année après sa conversion. Il est donc très difficile de déterminer lequel de ses voyages à Jérusalem l'apôtre a ici en vue.
L'opinion des interprètes varie entre les trois rapportés par Luc dans les Actes, (Actes 11.29,30) et les circonstances historiques, pour autant qu'elles nous sont connues, ne s'adaptent parfaitement à aucun des trois. Gerlach admet le voyage de Actes 18 ; il y a beaucoup plus de probabilités en faveur de celui de Actes 15, c'est-à-dire que cette conférence de Paul avec les apôtres de Jérusalem serait ce qu'on a appelé le concile apostolique.
En plaçant, comme on le fait d'ordinaire, la conversion de Paul en l'année 36 de notre ère, et en comptant les quatorze ans à dater de cette conversion, on arrive à l'an 50, généralement admis comme l'époque du concile apostolique. S'il en est ainsi, il ne faudrait donc pas entendre les premiers mots de notre chapitre comme si Paul voulait dire qu'il n'a point fait de voyage à Jérusalem avant cette époque, puisque luimême vient d'en rappeler un, (Galates 1.18) et que Luc en rapporte deux antérieurs. (Actes 9 ; Actes 11 - Comparer Actes 11.30, note.)
Ce qui importe ici à notre apôtre, c'est de bien constater ces deux faits :
1° qu'il a été élevé à l'apostolat et qu'il l'a exercé durant de longues années d'une manière tout à fait indépendante des hommes, par l'autorité de Jésus-Christ seul ;
2° qu'après cela son ministère a été solennellement reconnu par les autres apôtres du Seigneur (verset 2, note ; versets 7-10, note), en sorte qu'il est en parfaite harmonie avec ces apôtres dont les faux docteurs judaïsants invoquaient contre lui l'autorité.
C'est pour cela encore qu'il rappelle ici qu'il était accompagné dans ce voyage par deux de ses compagnons d'œuvre, Barnabas et Tite, dont l'un était d'origine israélite, l'autre né païen. En prenant ce dernier avec lui, il voulait tenter une épreuve décisive : si Tite était traité comme un frère par les chrétiens de Jérusalem, reçu dans leurs assemblées, leurs agapes, la cause des païens était gagnée, et Paul ramenait avec lui à Antioche la preuve vivante de sa victoire. (Comparer verset 3, note.)
Paul déclare qu’il est l’apôtre des Gentils. (Galates 2:1-10)
Observez la fidélité de l'apôtre, qui donne une pleine mesure de la doctrine qu'il avait prêchée parmi les Gentils ; il se résout encore à donner cet enseignement, à savoir le Christianisme, dénué de tout mélange avec le Judaïsme. Cette doctrine pouvait paraître difficile pour beaucoup, cependant Paul ne semblait pas contrarié pour autant. Son attention se portait moins sur le succès acquis lors de ses précédentes exhortations, que sur celles qu’il devait encore donner, qui ne devaient être entravées par quoi que ce soit.Il s'est opposé publiquement à Pierre, à cause de son judaïsme. (Galates 2:11-14)
Ensuite, il enseigne la doctrine de la justification, par la foi en Christ, sans les œuvres de la loi. (Galates 2:15-21)
Bien que nous dépendions entièrement de Dieu, quant au succès de notre travail, nous devons rester circonspects pour éviter les erreurs, et les diverses oppositions. Il y a des actes qui peuvent être accomplis en conformité avec la loi, cependant, quand ils ne peuvent être faits sans trahir la Vérité, il doivent être exclus.
N’approuvons pas trop rapidement la conduite de quelqu’un, à moins qu'elle ne reflète manifestement la Vérité de l'Évangile.
Quels que purent être les entretiens entre Paul et les autres apôtres, ce dernier n'a acquis de leur part, aucune connaissance ni autorité supplémentaires.
Considérant la grâce qui était accordée à Paul, différents frères lui témoignèrent, ainsi qu'à Barnabas, toute leur affection, étant persuadés qu'il était destiné, comme eux, au ministère d'apôtre. Ils convinrent que Paul et Barnabas devaient se diriger tous les deux vers les païens, pendant qu'eux-mêmes allaient continuer de prêcher chez les Juifs ; mais une telle décision, dans la division de leurs équipes, devait avant tout être approuvée par Christ.
Nous apprenons ici que l'Évangile ne nous appartient pas, mais qu’Il est à Dieu : les hommes n'en sont en fait que les gardiens. Nous sommes en cela, tenus de louer Dieu !
L'apôtre montra sa disponibilité pour le ministère, pleine de charité ; il témoigna combien il était prêt à accueillir les juifs convertis en tant que frères, quoique beaucoup d’entre eux permettaient à peine qu'on leur accorde une telle faveur... Cette simple divergence d'opinion ne changeait pas en lui sa détermination à les aider.
Voici un modèle de charité chrétienne, que nous devrions étendre à tous les disciples de Christ !