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Genèse 22.3

Abraham se leva de bon matin, sella son âne et prit avec lui deux serviteurs et son fils Isaac. Il fendit du bois pour l'holocauste et partit pour aller à l'endroit que Dieu lui avait indiqué.
Le jour suivant, Abraham se lève tôt le matin. Il coupe du bois pour le feu du sacrifice. Il prépare son âne pour le voyage. Il prend avec lui deux serviteurs et son fils Isaac. Puis il part vers l’endroit que Dieu lui a montré.
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      Genèse 17

      23 Abraham et toute sa famille ont été circoncis ; le patriarche afficha ainsi le signe de son alliance avec Dieu, se distinguant des autres familles qui n'avaient pas part à la communion divine. Ce fut l'objet d'une obéissance implicite ; il a accompli ce que Dieu lui avait demandé de faire, sans chercher à savoir le « pourquoi » ni le « comment ». Il a exécuté cet acte qui était vraiment désiré par Dieu. Abraham a obéi rapidement, sur le champ. Une obéissance sincère ne souffre pas de délais. Non seulement les doctrines qui nous sont révélées, mais aussi les signes de l'alliance divine nous rappellent que nous sommes fautifs et pollués par le péché. Ces révélations nous montrent notre besoin d'être rachetés par le sang ; elles nous conduisent au Sauveur qui a été promis dès les temps anciens, et nous enseignent à s'appuyer sur Lui par la foi.

      La Parole nous montre que sans la régénération, la sanctification par l'Esprit et l'abandon de notre vieil homme charnel, nous ne pouvons bénéficier de l'alliance divine. Mais rappelons-nous bien que la véritable circoncision est celle du cœur, par le moyen de l'Esprit, Romains 2:28,29.

      À la fois sous l'ancienne alliance et sous la nouvelle, beaucoup, hélas, ont témoigné de manière visible qu'ils n'étaient pas véritablement scellés du Saint-Esprit.

      Genèse 21

      14 Si Agar et Ismaël s'étaient bien conduits dans la famille d'Abraham, ils auraient pu continuer à habiter dans sa maison ; ils ont été punis selon leur faute. En abusant de nos privilèges, nous finissons par les perdre. Ceux qui sont malheureux seront amenés à reconnaître tôt ou tard à quel point ils ont été bénis auparavant. Agar, avec son fils, était dans la détresse, dans le désert. Il n'est pas dit dans le texte que les provisions aient été épuisées ou qu'Abraham ait envoyé sa servante et son fils sans argent. On nous dit que l'eau était épuisée ; étant perdue, dans cette atmosphère brûlante, Ismaël a été rapidement gagné parla fatigue et la soif.

      Dieu est toujours prêt à nous aider quand nous sommes dans l'épreuve ; nous ne devons pas nous relâcher, mais au contraire, nous efforcer à aller de l'avant.

      La promesse qui avait été faite à Agar, au sujet de son fils, est ici répétée, pour l'encourager. Cela nous enseigne à quel point nous devons rester vigilants envers les enfants et les jeunes, ne sachant pas quel avenir Dieu leur a réservé. Dans ce passage, Dieu a dirigé Agar vers le puits d'eau. Beaucoup de personnes en quête de réconfort, dépérissent de jour en jour, ne discernant pas la raison de leur épreuve. Il y a un puits d'eau près d'elles : la grâce divine est a leur portée, mais elles ne prennent pas de le regarder, jusqu'à ce que Dieu leur ouvre les yeux pour remédier à leur pitoyable état.

      Paran était un endroit sauvage, idéal pour un homme qui aime l'isolement, comme Ismaël. Nous constatons dans notre texte que ceux qui sont nés en dehors d'un mariage légitime affrontent la rudesse de ce monde, alors que les enfants de la promesse se dirigent inlassablement vers le Canaan céleste. Dieu cependant était près d'Ismaël ; celui-ci était sous une complète dépendance divine.

      Genèse 22

      3 Jamais, dans la Parole, quelqu'un n'a approché de si près un feu aussi ardent. Qui ne s'est jamais, à l'inverse d'Abraham, regimbé contre Dieu ? La faiblesse du cœur prédispose à de telles pensées ; mais Abraham savait à quel Dieu il avait affaire, à Jéhovah en personne. La foi du patriarche lui dictait de ne pas discuter l'ordre divin, mais plutôt d'obéir.

      Il est sûr que ce que Dieu nous commande de faire, concourt à notre bien ; ce qu'Il promet ne peut être rendu caduc. Celui qui marche vraiment avec Dieu, n'aura probablement pas l'occasion d'offrir un sacrifice aussi cruel.

      Le patriarche se lève tôt, et commence son triste voyage. Il marche ensuite pendant trois jours, contemplant en permanence Isaac ! Plus le malheur se rapproche, plus l'atmosphère devient horrible. L'expression, « nous reviendrons vers vous » prouve qu'Abraham s'attendait à ce qu'Isaac, étant ressuscité des morts, retourne vers ses serviteurs, avec lui. La question posée par Isaac à son père, quand ils étaient en chemin, était pleine d'affection : « mon père », a dit Isaac ; cette parole a du fendre le cœur d'Abraham, qui devait trouver cela encore plus pénible que de frapper Isaac. Pourtant il prête attention à la question de son fils. Puis Abraham, sans le savoir, a pour ainsi dire prophétisé : « mon fils, Dieu se pourvoira de l'agneau pour l'holocauste ». Le Saint Esprit, par sa bouche, semble annoncer l'agneau de Dieu, descendu ici-bas pour ôter le péché du monde. Abraham arrange le bois pour le sacrifice d'Isaac, et lui tient maintenant ces propos étonnants : Isaac, tu es l'agneau que Dieu a fourni ! Abraham, sans aucun doute, a encouragé son fils avec les mêmes espoirs qui l'avaient lui-même soulagé. Il est nécessaire que la victime expiatoire soit liée. À la croix, notre Seigneur, qui, selon toutes les prophéties, devait être exécuté, à été attaché ; il devait en être ainsi pour Isaac. Ceci fait, Abraham prend le couteau, et étend sa main pour donner le coup mortel. Voici un acte de foi et d'obéissance, qui se doit d'être vu par Dieu, par les anges, et par les hommes. Dieu nous appelle parfois à être un véritable « Isaac », et nous devons obéir, avec soumission, à Sa Sainte Volonté, 1Samuel 3:18.

      Psaumes 119

      Ecclésiaste 9

      Esaïe 26

      Matthieu 10

      Marc 10

      Luc 14

      Galates 1

      Hébreux 11

      8 Nous sommes souvent appelés à détacher nos liens qui nous lient au monde, à perdre nos intérêts et nos commodités d’ici-bas. Si nous sommes les « héritiers de la foi d'Abraham », nous obéirons et irons de l'avant, bien que nous ne sachions pas ce qui nous attend ; nous emprunterons alors le chemin du devoir, espérant fermement l'accomplissement des promesses de Dieu.

      L'épreuve de la foi d'Abraham consistait simplement à obéir totalement à l'appel de Dieu. Sara reçut la « promesse » comme étant celle de Dieu ; étant ainsi convaincue, elle estima avec assurance que non seulement, ce Dernier pouvait, exécuter cette promesse, mais qu’Il le ferait.

      Beaucoup de personnes, auxquelles Dieu a fait des promesses, ne reçoivent pas immédiatement ce qui leur a été promis. La foi peut faire patienter, en vue de bénédictions lointaines, comme les voir s’accomplir très rapidement ; elle peut se réjouir en ces bénédictions, bien que nous soyons « qu'étrangers » ici-bas : la demeure des saints (ou des pèlerins) se trouve en effet dans le ciel ! Par la foi, ces derniers sont vainqueurs sur l’anxiété que peut provoquer la mort, ils sont prêts à dire « au revoir » à ce monde, à toutes ses plaisir comme à toutes ses souffrances.

      Les coupables qui ont été jadis véritablement sauvés et appelés vers le Royaume céleste, n'ont aucunement l'envie de revenir en ce monde. Tous les croyants authentiques aspirent à l'héritage céleste ; plus leur foi est déterminée, plus ils sont fervents de cœur ! Malgré les dégâts qu’ont pu occasionner leurs péchés, et la pauvreté de leur condition spirituelle, Dieu n'a pas honte d'être appelé LEUR Dieu ; telle est Sa Miséricorde et Son Amour envers eux. Que les rachetés n'aient jamais honte d'être appelés Son peuple, ni de faire partie de ceux qui sont tant méprisés ici-bas ! Par dessus tout, qu'ils veillent à ce qu'ils ne soient l’objet d’aucune honte ni d’aucun reproche envers leur Dieu.

      L'épreuve et l'acte de foi les plus grands, cités dans la Parole, se retrouvent dans l'offrande qu'a faite Abraham, avec son fils Isaac, Ge 22:2. Dans ce texte, chaque terme retrace une épreuve.

      Notre devoir consiste à distinguer et à dissiper nos doutes éventuels et nos craintes, en regardant, comme l’a fait Abraham, à la Toute-puissance divine. La meilleure façon d’apprécier tout ce que nous possédons est de tout remettre à Dieu ; Il continuera alors à nous octroyer ce qu’il y a de meilleur.

      Considérons quelle a été notre obéissance à Dieu, lorsque qu’Il nous a appelés à des actes de bien moindre envergure que ceux qui sont cités dans ce texte. Avons-nous abandonné tout ce que nous avions, totalement persuadés que le Seigneur compenserait toutes nos pertes, et nous bénirait par Ses dispensations, même celles qui pourraient nous paraître les plus affligeantes ?

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