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et Jacob lui donna du pain et du potage aux lentilles. Ésaü mangea et but, puis s’en alla. Il n’accorda aucune importance à ses droits de fils aîné.
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Puis ils ne voulurent plus rien savoir du pays de leurs rêves, ils ne croyaient plus à la promesse de Dieu.
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Pour ma part, je célèbre la joie. En effet, le seul bonheur de l’être humain ici-bas est de manger, de boire et d’éprouver du plaisir. Voilà ce qui doit accompagner son travail chaque jour que Dieu lui donne à vivre ici-bas.
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Or c’est la joie débordante : on abat des bœufs, on égorge des moutons, on mange de la viande, on boit du vin... « Mangeons, buvons, dites-vous, car demain nous mourrons. »
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Le Seigneur me dit : « Ils estiment que je ne vaux pas plus que cela ! Porte cette somme grandiose au fondeur ! » Je pris donc les trente pièces d’argent et je les portai au fondeur dans le temple du Seigneur.
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Mais les invités ne s’en soucièrent pas et s’en allèrent à leurs affaires : l’un à son champ, l’autre à son commerce ;
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et leur dit : « Que me donnerez-vous si je vous livre Jésus ? » Ceux-ci comptèrent trente pièces d’argent qu’ils lui remirent.
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Mais tous, l’un après l’autre, se mirent à s’excuser. Le premier dit au serviteur : “J’ai acheté un champ et il faut que j’aille le voir ; je te prie de m’excuser.”
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Un autre lui dit : “J’ai acheté cinq paires de bœufs et je vais les essayer ; je te prie de m’excuser.”
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Un autre encore dit : “Je viens de me marier et c’est pourquoi je ne peux pas y aller.”
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“Regardez, gens pleins de mépris, soyez saisis d’étonnement et disparaissez ! Car je vais accomplir de votre vivant une œuvre telle que vous n’y croiriez pas si quelqu’un vous la racontait !” »
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A quoi m’aurait-il servi de combattre contre des bêtes sauvages, à Éphèse, si c’était pour des motifs purement humains ? Si les morts ne ressuscitent pas, alors, comme on le dit, « mangeons et buvons, car demain nous mourrons ».
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Je vous l’ai déjà dit souvent et je vous le répète maintenant en pleurant : il y en a beaucoup qui se conduisent en ennemis de la croix du Christ.
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Ils courent à leur perte, car leur dieu c’est leur ventre, ils sont fiers de ce qui devrait leur faire honte et ils n’ont en tête que les choses de ce monde.
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Qu’aucun de vous ne soit immoral, que personne ne méprise les choses sacrées, comme Ésaü qui, pour un seul repas, vendit son droit de fils aîné.
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Plus tard, vous le savez, il voulut recevoir la bénédiction de son père, mais il fut repoussé. Il ne trouva aucun moyen de changer la situation, bien qu’il l’ait cherché en pleurant.
Esaü méprisa... L'auteur paraît indigné de la légèreté avec laquelle agit Esaü. Comparez Hébreux 12.16-17.
Ce récit nous montre déjà le trait caractéristique de la figure de Jacob : il a foi aux promesses de Dieu, mais il se croit obligé de s'en assurer la réalisation par la ruse.