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Ô Éternel, mon Dieu, tu accomplis pour nous
Des œuvres merveilleuses,
Tu as multiplié tes desseins bienveillants.
Qui est semblable à toi ?
Je voudrais publier, annoncer tes merveilles,
Elles sont trop nombreuses pour être énumérées.
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Tu ne prends nul plaisir à l’offrande, aux victimes,
Tu m’as ouvert l’oreille,
Tu n’as pas exigé (de nous) des holocaustes
Ou bien des sacrifices expiant le péché.
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Alors, j’ai dit : « Voici, je viens, je me présente
– Dans le rouleau du livre, il est question de moi –
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Penses-tu donc que, si je le voulais, il ne me serait pas possible de faire appel à mon Père ? À l’instant même, il enverrait plus de cent mille anges à mon secours.
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Mais alors, comment se réaliseraient les prédictions des Écritures qui annoncent que tout doit se passer ainsi ?
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Là-dessus, Jésus dit à la troupe : — Vous êtes sortis en force avec des épées et des gourdins pour vous emparer de moi. Me prenez-vous pour un bandit ou un brigand de grands chemins ? Chaque jour, j’étais assis parmi vous dans la cour du temple pour enseigner, et jamais vous n’avez levé le petit doigt contre moi !
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Mais tout cela devait arriver pour accomplir ce que les prophètes avaient écrit. Alors, tous les disciples l’abandonnèrent et prirent la fuite.
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Démolissez ce temple, leur répondit Jésus, et en trois jours, je le relèverai. —
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Comment ? répartirent-ils. Voilà quarante-six ans qu’on travaille à la construction de ce temple, et toi, tu serais capable de le rebâtir en trois jours !
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Mais en parlant de temple, Jésus pensait à celui de son propre corps.
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En tout ceci, bien entendu, je ne peux rien faire de mon propre chef ; je juge seulement comme le Père me le demande et selon les informations que je reçois. Et mon verdict est juste, car il ne s’agit pas pour moi de réaliser mes propres désirs, mais de faire la volonté de celui qui m’a envoyé. —
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Car si je suis descendu du ciel, ce n’est pas pour agir au gré de mes désirs, mais pour accomplir la volonté de celui qui m’a envoyé.
11
Je suis le bon berger. Le berger sacrifie sa propre vie pour ses brebis, il est prêt à mourir pour les sauver.
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comme le Père me connaît et que je connais le Père. Je sacrifie ma vie pour mes brebis.
17
Si le Père me témoigne son amour, c’est parce que je suis prêt à sacrifier ma vie, mais je la reprendrai ensuite.
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En effet, personne ne peut m’ôter la vie sans mon consentement : je la sacrifie de mon propre gré. J’agis ainsi suivant la mission que mon Père m’a confiée et conformément à ses instructions.
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mais il faut que les hommes de ce monde reconnaissent que j’aime mon Père et que j’agis conformément aux ordres qu’il m’a donnés. C’est pourquoi levez-vous, et partons d’ici.
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Si vous observez ce que je vous ai prescrit, vous demeurerez dans mon amour, tout comme moi-même j’ai observé ce que mon Père m’a prescrit et je demeure dans son amour.
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Ils lui répondirent : — Jésus de Nazareth. — C’est moi, leur dit-il. Au milieu d’eux se tenait Judas, celui qui le livrait.
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À peine Jésus leur eut-il dit : « C’est moi », qu’ils eurent un mouvement de recul et tombèrent par terre.
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Jésus lui répondit : — Tu n’aurais aucun pouvoir sur moi s’il ne t’avait pas été donné d’en haut. Voilà pourquoi l’homme qui m’a livré entre tes mains est plus coupable que toi.
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Mais Dieu a brisé les chaînes de la mort : il l’a ressuscité, parce qu’il était impossible que la mort le retienne captif.
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Eh bien, ce Jésus dont je parle, Dieu l’a ressuscité des morts. C’est un fait dont nous tous, qui sommes ici, nous pouvons témoigner.
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Ainsi vous avez fait mourir l’auteur, le Maître de la vie. Mais Dieu l’a ressuscité des morts. Nous sommes ici pour en témoigner.
6
Le Christ, dès l’origine,
fut d’essence divine,
un avec le Dieu saint.
Il avait sa nature,
sa gloire sans mesure,
ses attributs divins. Loin de mettre sa joie
à trouver une proie
dans son égalité
avec le Dieu suprême,
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il s’abaissa lui-même,
avec humilité. Le Roi de tous les êtres
ici-bas voulut naître
en simple serviteur.
Esclave volontaire,
il a vécu sur terre
sans éclat, sans honneur. Homme parmi les hommes,
il fut ce que nous sommes,
en tout semblable à nous.
Humble et sans apparence,
dans son obéissance
il alla jusqu’au bout.
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Il humilia son âme
jusqu’à la mort infâme
d’un criminel en croix.
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Ne s’est-il pas livré lui-même pour nous afin de payer la rançon de toutes nos injustices et de nous racheter ainsi de l’asservissement au péché, en vue de se créer un peuple purifié du mal, qui lui appartienne tout entier et se passionne pour l’accomplissement d’œuvres bonnes.
9
Par contre, en Jésus, nous voyons celui qui a été, « pour un peu de temps, abaissé au-dessous des anges ». Mais maintenant, à cause des souffrances et de la mort qu’il a endurées, nous le contemplons « couronné de gloire et d’honneur ». Car cette mort, il devait, par la grâce de Dieu, en éprouver l’amertume pour tout homme.
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Puisque ces « enfants », comme il les appelle, sont des hommes de chair et de sang, il devait partager notre condition humaine. Il l’a fait, afin qu’en passant lui-même par la mort, il puisse ravir le pouvoir à celui qui détenait la puissance de la mort, c’est-à-dire au diable.
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Il a ainsi délivré ceux que la peur de la mort tenait, leur vie durant, dans un véritable esclavage.
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Dieu dit aussi dans un autre passage : Toi, tu es prêtre pour toujours
dans la ligne de Melchisédec.
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Au cours de sa vie sur la terre, Jésus a fait monter vers celui qui aurait pu le sauver de la mort, des prières et des supplications. Dans une agonie de pleurs, il a jeté un grand cri. À cause de son humble soumission à la volonté de Dieu, il a été exaucé.
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Quoique Fils de Dieu, il a été obligé d’apprendre l’obéissance à l’école de la souffrance.
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C’est ainsi qu’il a atteint le plus haut degré de la perfection et qu’il est devenu pour tous ceux qui lui obéissent, l’auteur d’un salut éternel.
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Tu n’as pris plaisir ni aux holocaustes
ni aux sacrifices pour le péché.
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Alors, j’ai dit : Me voici, je viens ô mon Dieu,
pour faire ta volonté et accomplir
ce qui est écrit à mon sujet
dans le rouleau du livre
– car c’est bien de moi qu’il s’agit dans l’Écriture.
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Il commence donc par dire que Dieu n’a pas voulu « les sacrifices et les offrandes, les holocaustes et les sacrifices pour le péché », qu’il n’y a pas « pris plaisir ». Pourtant, ce sont bien là les sacrifices prescrits et offerts conformément à la loi.
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Ensuite, il continue en disant : « Me voici, je viens pour faire ta volonté ». Cela signifie qu’il abolit la première institution, (la loi et les sacrifices qu’elle prescrit comme moyens d’expier les péchés,) pour inaugurer une économie nouvelle (où l’obéissance à la volonté de Dieu occupe le premier rang).
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C’est parce que Jésus-Christ a accompli la volonté de Dieu en offrant son corps une fois pour toutes en sacrifice que nous sommes purifiés du péché et consacrés à Dieu.
Jésus l'affirme dans cette déclaration répétée : J'ai le pouvoir de la donner, et j'ai le pouvoir de la reprendre.
Cette parole du Sauveur n'est point en contradiction avec la doctrine constante du Nouveau Testament d'après laquelle c'est Dieu qui a ressuscité Jésus d'entre les morts (Actes 2.32 ; 3.15 ; 4.10 ; Romains 6.4) car, comme le dit M. Godet : "Si c'est dans le Père qu'est la puissance qui lui rend la vie c'est lui qui par sa libre volonté appelle sur sa personne le déploiement de cette Puissance."
"Un acte spontané du Fils vient audevant de l'action des hommes d'une part et de celle du Père d'autre part." Luthardt.
Toute la vie du Sauveur, depuis son incarnation, qui fut un premier et immense dévouement, jusqu'à sa mort et à sa résurrection, n'a été que l'accomplissement de la volonté de Dieu. (Jean 14.31 ; Matthieu 26.39,42)
Jésus a constamment obéi à ce qu'il appelle l'ordre ou le commandement qu'il a reçu de son Père ; c'était la mission qu'il avait librement acceptée et qu'il a parfaitement remplie.
Dans notre passage, toutefois, l'ordre du Père au Fils s'applique moins aux actes de donner sa vie et de la reprendre, qu'il n'établit la pleine liberté avec laquelle le Fils accomplira ces actes.
M. Godet paraphrase cet ordre comme suit : "Tu pourras mourir ou ne pas mourir, ressusciter ou ne pas ressusciter, selon les libres aspirations de ton amour."