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Jean 16.24

Jusqu'à présent vous n'avez rien demandé en mon nom ; demandez, et vous recevrez, afin que votre joie soit accomplie.

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      Genèse 32

      9 Les périodes de peur devraient être des moments de prière : quel que soit le sujet causant notre crainte, celui-ci devrait nous conduire à nous agenouiller devant notre Dieu.

      Jacob avait récemment vu des anges le protéger, mais étant dans une telle détresse, il s'est adressé à Dieu et non pas à eux ; il savait que ces êtres célestes étaient ses compagnons de service, Apocalypse 22:9. Il ne pouvait pas y avoir de meilleure situation pour adresser une fervente prière à Dieu. C'est une reconnaissance réelle d'anciennes faveurs imméritées ; une humble confession d'indignité ; un aveu de ses craintes et de sa détresse ; une complète soumission devant le Seigneur, un fondement de tous ses espoirs en Lui.

      Les meilleures paroles que nous pouvons formuler à Dieu, dans la prière, sont celles qu'Il nous a déjà adressées. Le patriarche avait fait du nom du Seigneur son « Solide Appui », et ne pouvait, par-là même, être en lieu plus sûr. La crainte de Jacob ne l'a pas conduit au désespoir, sa prière ne l'a pas incité à présumer de la miséricorde et des moyens divins. Dieu répond aux prières en nous enseignant à diriger nos affaires dans la droiture.

      Pour être en paix avec Ésaü, Jacob lui a envoyé un présent. Nous ne devons pas désespérer de nous réconcilier avec ceux qui sont fâchés contre nous.

      1 Rois 18

      2 Rois 19

      Matthieu 6

      9 Christ constatait qu'il était nécessaire d’indiquer à Ses disciples, comment prier et quel devait être communément le contenu de leur prière.

      Bien sûr, nous ne devons pas nous astreindre à utiliser exclusivement la prière mentionnée dans ce texte, mais il n'y a aucun doute qu'elle n’en reste pas moins est un très bon exemple. On y trouve beaucoup de richesse, en peu de mots ; c'est une prière tout à fait acceptable par Dieu, si nous « mesurons » vraiment ces propos et si elle n'est pas inlassablement répétée machinalement.

      Dans cette prière, nous trouvons six requêtes : les trois premières sont expressément relatives à Dieu et à Sa grandeur, alors que les trois dernières concernent nos inquiétudes, qu’elles soient temporelles ou spirituelles. Cette prière nous apprend à chercher d'abord le Royaume de Dieu et Sa Justice, toutes choses nous seront ensuite octroyées. Après avoir abordé les sujets de la Gloire, du Royaume et de la Volonté de Dieu, le contenu de cette prière concerne le nécessaire et le réconfort relatifs à notre vie ici-bas.

      Chaque parole comporte un enseignement spécifique : - Nous demandons du pain : cela nous apprend à exercer la sobriété et la modération ; il nous faut ne demander que le pain qu’il nous faut, pas celui qui pourrait nous être superflu.

      - Cette demande de nourriture nous enseigne à respecter l'honnêteté dans le travail : nous n’avons pas à demander le pain des autres, ni celui du mensonge, Proverbes 20:17, ni celui de la paresse, Proverbes 31:27, mais celui qui est obtenu honnêtement. - Nous demandons notre pain quotidien : ceci nous enseigne à dépendre constamment de la Providence divine. - Nous demandons à Dieu qu’Il nous donne cette nourriture ; pas qu'Il nous la vende, ni qu'Il nous la prête, mais vraiment qu'Il nous la donne. Les plus grands hommes sont redevables de la Miséricorde divine, pour leur pain quotidien ! - Nous prions en ces termes : « donne-nous ». Le « nous » signifie qu’il nous faut avoir compassion pour le pauvre, mais aussi, que nous devons prier en famille. - Nous prions que Dieu nous donne cela « aujourd'hui » ; cette formule nous apprend à renouveler journellement les désirs de notre âme envers Dieu, comme nous satisfaisons les besoins quotidiens de notre corps.

      Tandis que la journée s’écoule, nous devons prier notre Père céleste, en songeant que s’il serait bien difficile d’avoir une journée sans nourriture, il en serait de même sans la prière.

      Ce texte nous enseigne à détester et à fuir le péché ; alors que nous espérons en la Miséricorde divine, « méfions-nous » de nous-mêmes, comptons sur la Providence et la Grâce de Dieu pour nous protéger du péché, pour être prêts à résister au tentateur, et ne pas devenir une occasion de chute pour les autres.

      Ce texte comporte aussi une promesse : « car si vous pardonnez aux hommes leurs fautes, votre Père céleste vous pardonnera aussi à vous ». Nous devons pardonner, comme nous espérons être pardonnés. Ceux qui désirent bénéficier de la Grâce divine, doivent témoigner de la miséricorde envers leurs frères. Christ est venu dans le monde en tant que grand Pacificateur, pour nous réconcilier, non seulement avec Dieu, mais les uns avec les autres !

      Matthieu 7

      7 La prière est le moyen approprié pour obtenir ce don nous avons besoin. Priez ; priez souvent ; que cela puisse être une véritable « vocation », faites-le avec sérieux, avec ferveur. Demandez, comme le ferait un mendiant, faisant l’aumône, ou un voyageur, demandant son chemin. Cherchez, comme si vous aviez perdu quelque chose de valeur, comme un marchand cherchant des perles précieuses.

      Frappez, comme le fait à la porte, celui qui désire entrer dans la maison. Le péché a fermé et verrouillé la « porte » spirituelle, devant nous ; par la prière nous frappons à cette porte pour demander d’entrer !

      Quel que soit le sujet que vous abordiez par la prière, selon la promesse divine, il vous sera répondu favorablement, si Dieu constate que cela vous convient parfaitement ; que voulez-vous avoir de plus ?

      Ces recommandations s'appliquent à tous ceux qui prient de tout cœur ; celui qui « demande », reçoit, qu'il soit Juif ou Gentil, jeune ou âgé, riche ou pauvre, haut placé ou de condition humble, maître ou serviteur, savant ou illettré, tous sont de la même façon, les bienvenus devant le trône de la Grâce, s'ils s’en approchent avec foi.

      Ces vérités sont imagées par une comparaison avec des parents, montrant leur empressement à donner à leurs enfants ce qu'ils demandent. Certains parents, par sottise, sont souvent trop indulgents, mais Dieu, quant à Lui, est parfaitement sage ! Il sait ce dont nous avons besoin, ce que nous désirons, et ce qui nous convient parfaitement.

      Puissions-nous ne jamais supposer que notre Père céleste nous propose de prier, en refusant de nous entendre, ou qu'Il puisse nous octroyer, ce qui pourrait nous être nuisible.

      Jean 3

      Jean 15

      Jean 16

      23 Quand on adresse une requête au Père, cela démontre nos besoins, en termes de bénédictions et de demandes spirituelles, étant convaincus que seul le Père peut y répondre.

      Prier au Nom de Christ, c'est reconnaître notre indignité à recevoir la moindre faveur divine ; cela montre aussi une totale dépendance de Sa Personne : Il est le Seigneur de notre Justice !

      Notre Seigneur avait parlé jusqu'ici sous forme de courtes déclarations, lourdes de sens, ou au moyen de paraboles, pas toujours bien comprises par les disciples ; mais après Sa résurrection Jésus s'exerça à leur enseigner tout ce qui était apparenté au Père : le chemin pour Le connaître, grâce à l’intercession de Son Fils.

      La fréquence avec laquelle notre Seigneur nous recommande de présenter nos prières, en Son nom, montre que la grande finalité de la « médiation » qu’Il opère avec le Père, consiste à nous sensibiliser profondément quant à notre culpabilité ; cela souligne également le mérite et la puissance de Sa mort, grâce à laquelle, nous avons accès à Dieu.

      Souvenons-nous toujours de nous adresser au Père, « au Nom de Christ », ou de nous adresser au Fils, en tant que Dieu demeurant dans la nature humaine, réconciliant le monde avec Lui-même ; ces prières, adressées à deux personnes qui semblent différentes sont en fait la même chose : le Père et le Fils ne font qu’un !

      Ephésiens 1

      1 Thessaloniciens 3

      11 La prière est un véritable culte spirituel, et toute adoration ne doit être due qu'à Dieu. La prière doit être adressée à Dieu, notre Père. Elle ne doit pas seulement l’être au Nom de Christ, mais « offerte » à Lui-même, notre Seigneur et notre Sauveur.

      Sachons reconnaître Dieu dans toutes nos voies et Il dirigera notre marche. L'amour mutuel est exigé chez tous les chrétiens. L’amour vient de Dieu, accomplissant les ordonnances de l'Évangile, comme celles de la loi.

      Les influences de l'Esprit sont nécessaires à notre croissance dans la Grâce ; le chemin pour les obtenir est la prière. La sainteté est exigée pour tous ceux qui doivent aller au ciel ; nous devons agir pour ne pas contredire la profession que nous faisons de la sainteté. Le Seigneur Jésus reviendra dans Sa gloire ; Ses saints viendront avec Lui !

      Son excellence comme Sa sainteté seront manifestes ; sans ces éléments dans le cœur, nul ne pourra éviter la condamnation.

      2 Thessaloniciens 1

      2 Thessaloniciens 2

      16 Nous pouvons et nous devons adresser nos prières, non seulement à Dieu le Père, par le biais de notre Seigneur Jésus-Christ, mais aussi à ce Dernier.

      Nous devons prier Dieu, au Nom de Christ, car Il est non seulement Son Père, mais il est également notre Père, en Son Fils. L'amour de Dieu, en Jésus-Christ, est à l’origine de tout le bien dont nous disposons ou pouvons espérer. Nous pouvons compter sur les différentes consolations que peut nous envoyer le ciel, car les saints placent toute leur confiance en la Grâce. Cette grâce et la Miséricorde divine sont les fondements de l’espérance des enfants de Dieu ; ils ne se confient nullement dans leur propre valeur, voire leurs éventuels mérites.

      Plus nous prenons plaisir à lire la Parole de Dieu, à contempler Ses œuvres et Ses voies, plus nous serons aptes à progresser dans notre cheminement spirituel. Mais si nous vacillons dans la foi, assaillis par les doutes, si nous hésitons à accomplir notre devoir, il n'est pas étonnant que nous soyons « étrangers » aux joies de la piété...

      Jacques 4

      1 Jean 1

      2 Jean 1

      12 L'apôtre Jean reporte de nombreux points qui seront traités lors d’un futur entretien avec certaines personnes.

      La plume et l'encre étaient utilisées à l’époque pour fortifier et réconforter les autres, mais le fait de voir directement les personnes était bien plus efficace ! La communion des saints doit être maintenue par tous les moyens ; elle doit tendre à la joie mutuelle.

      Dans la communion fraternelle, nous trouvons une grande part de notre joie présente, et nous pouvons en attendre toute félicité spirituelle éternelle !

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