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Luc 14.23

Le maütre dit alors au serviteur : ‘Va sur les chemins et le long des haies, et ceux que tu trouveras, oblige-les à entrer, afin que ma maison soit remplie.
Et le maßtre dit au serviteur : va dans les chemins et le long des haies, et [ceux que tu trouveras], contrains-les d'entrer, afin que ma maison soit remplie.
« Eh bien, lui dit le maßtre, va sur les chemins, le long des haies, fais en sorte que les gens viennent, pour que ma maison soit pleine.
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      GenĂšse 19

      Psaumes 98

      Psaumes 110

      EsaĂŻe 11

      10 Quand l'Ă©vangile sera librement prĂȘchĂ©, sans aucune limitation, les Gentils chercheront alors JĂ©sus-Christ, en tant que Seigneur et Sauveur, afin de trouver du repos pour leur Ăąme.

      Quand le temps marquĂ© par l'Éternel, pour affranchir Son peuple, sera arrivĂ©, les « montagnes de l'opposition » deviendront alors devant Lui, de simples plaines ! Dieu peut rapidement transformer des jours sombres en jours glorieux. Et tandis que nous attendons que le Seigneur rassemble le « peuple Ă©lu » et la totalitĂ© des « Gentils », pour les faire entrer en toute plĂ©nitude, dans Son Ă©glise, quand tous seront unis dans Son Amour, nous, les rachetĂ©s, pourront alors « marcher » ensemble, dans la saintetĂ©.

      Sachons bĂ©nĂ©ficier de la MisĂ©ricorde de notre Seigneur JĂ©sus-Christ, pour la vie Ă©ternelle ; portons nos regards vers Lui, afin d'ĂȘtre prĂȘts Ă  passer victorieusement l'Ă©preuve de la mort, ce « fleuve » qui sĂ©pare la terre, du monde Ă©ternel.

      EsaĂŻe 19

      EsaĂŻe 27

      EsaĂŻe 49

      EsaĂŻe 66

      Zacharie 14

      8 Certains exĂ©gĂštes pensent que les eaux vives qui sortent de la ville de JĂ©rusalem (verset huit,) font rĂ©fĂ©rence Ă  l'Évangile, qui commencera Ă  ĂȘtre diffusĂ© ouvertement.

      Ni l'Évangile, ni la GrĂące, ni les bĂ©nĂ©dictions de l'Esprit qui rĂšgnent dans le cƓur des croyants, ne peuvent ĂȘtre vains, quelle que soit la force des persĂ©cutions Ă©ventuelles, des tempĂȘtes ou des calamitĂ©s spirituelles.

      Ce texte annonce de terribles jugements ; ils seront envoyĂ©s sur ceux qui voudraient s'opposer Ă  l'Ă©tablissement des Juifs sur leur propre terre. Jusqu'oĂč peut-on les interprĂ©ter littĂ©ralement ? Seuls les Ă©vĂ©nements futurs le dĂ©termineront...

      La colÚre acharnée et la méchanceté qui dressent les hommes les uns contre les autres sont les tristes manifestations de l'hostilité qui rÚgne parmi ceux vivent délibérément dans le péché.

      MĂȘmes les anges ou d’autres crĂ©atures similaires, souffrent Ă©galement du pĂ©chĂ© de l'homme, avec tous les tourments que cela engendre. C'est la raison pour laquelle Dieu a manifestĂ© de tout temps, et mĂȘme dans le futur, Sa haine envers le pĂ©chĂ©.

      Malachie 1

      Matthieu 21

      Matthieu 22

      Matthieu 28

      Luc 14

      Luc 24

      Actes 9

      Actes 10

      44 Le Saint-Esprit se rĂ©pandit sur les « Gentils » ; ensuite, ceux-ci furent baptisĂ©s, pour confirmer leur foi ; Il s’est rĂ©pandu sur ces hommes avant qu'ils ne soient baptisĂ©s, pour bien montrer que Dieu ne s’arrĂȘte pas Ă  des signes extĂ©rieurs.

      Le Saint-Esprit est venu sur ceux qui n'Ă©taient, ni circoncis ni baptisĂ©s ; en fait c’est l'Esprit qui vivifie, la chair n’est d’aucune utilitĂ©. Ces hommes glorifiĂšrent Dieu, et parlĂšrent autour d’eux de Christ et des bienfaits de la rĂ©demption. Quel que soit le don spirituel qui nous est octroyĂ©, nous devons nous en servir pour honorer Dieu.

      Les Juifs croyants présents furent étonnés que le don du Saint-Esprit ait été répandu également sur les Païens. Par de mauvais préjugés, nous avons parfois certaines difficultés à comprendre les voies de la Providence divine et de la Grùce.

      Comme ces hommes furent baptisĂ©s de maniĂšre indiscutable par le Saint-Esprit, Pierre en conclut que l'on ne pouvait pas leur refuser le baptĂȘme d'eau : celui-ci leur a donc Ă©tĂ© administrĂ©. Cet exemple est instructif : nous est-il possible de nier la manifestation Ă©vidente de l’Esprit, chez certains ? Ceux qui ont une vĂ©ritable relation avec Christ, ne peuvent qu’en dĂ©sirer davantage Ă  ce sujet. MĂȘme ceux qui ont dĂ©jĂ  reçu le Saint-Esprit, doivent ressentir un besoin quotidien de mieux connaĂźtre la VĂ©ritĂ©.

      Actes 11

      19 Les premiers prĂ©dicateurs de l'Évangile Ă  Antioche, ont Ă©tĂ© dispersĂ©s de JĂ©rusalem par la persĂ©cution, de sorte que tout ce qui a Ă©tĂ© fait dans l'intention de blesser l'Ă©glise, a en rĂ©alitĂ©, ƓuvrĂ© pour son bien : le courroux de l'homme contribuait Ă  glorifier Dieu !

      Que doivent prĂȘcher les serviteurs de Dieu, sinon Christ, Celui qui a Ă©tĂ© crucifiĂ© puis glorifiĂ© ensuite ? La prĂ©dication mentionnĂ©e dans ce texte Ă©tait accompagnĂ©e de la Puissance divine. La main du Seigneur Ă©tait sur ces nouveaux convertis, pour apporter la Bonne Nouvelle aux hommes ; ils ne pouvaient prĂȘcher dans l’immĂ©diat, qu'en public. Beaucoup crurent en ce tĂ©moignage ; ils furent convaincus par la VĂ©ritĂ© qui Ă©manait de l'Évangile. Ils se dĂ©tournĂšrent de leur chemin insouciant et charnel, pour se consacrer Ă  une vie sainte, cĂ©leste et spirituelle. Ils cessĂšrent d'adorer Dieu lors des cĂ©rĂ©monies formelles, pour L'adorer en Esprit et en VĂ©ritĂ©. Ils se tournĂšrent vers le Seigneur JĂ©sus, qui dĂ©sormais Ă©tait tout pour eux.

      Telle Ă©tait l'Ɠuvre de la conversion qui s’opĂ©rait dans leur cƓur ; il devrait en ĂȘtre de mĂȘme pour chacun de nous. Cette conversion Ă©tait le fruit de leur foi ; tous ceux qui croient sincĂšrement en Christ se tourneront vers Lui. Lorsque le Seigneur JĂ©sus est prĂȘchĂ© en toute simplicitĂ©, selon l'Écriture, tout concoure au succĂšs de cette prĂ©dication ; lorsque les pĂ©cheurs sont amenĂ©s au Seigneur, ils se consacrent Ă  la pratique du bien, ils possĂšdent une foi fervente, ils sont remplis du Saint-Esprit, et se rĂ©jouissent de la GrĂące de Dieu qui leur est accordĂ©e.

      La foi de Barnabas Ă©tait remarquable : il Ă©tait rempli de la GrĂące de Dieu et en portait les fruits, il Ɠuvrait par amour !

      Actes 13

      Actes 16

      Actes 18

      Actes 22

      22 Tant que Paul fit le rĂ©cit de sa conversion aux Juifs, ceux-ci l’écoutĂšrent, mais lorsqu'il mentionna qu'il avait Ă©tĂ© envoyĂ© vers les PaĂŻens, ce fut si contraire Ă  tous leurs prĂ©jugĂ©s nationaux, qu'ils ne voulurent pas en entendre davantage.

      La conduite frĂ©nĂ©tique des Juifs Ă©tonna l'officier romain, qui supposait que Paul avait commis un grand crime. L’apĂŽtre dut alors plaider son privilĂšge de citoyennetĂ© romaine, par laquelle il Ă©tait exemptĂ© de toutes Ă©preuves corporelles ou chĂątiments destinĂ©s Ă  le forcer d’avouer sa culpabilitĂ©. La maniĂšre avec laquelle il s'exprima montre d’ailleurs clairement la paix et la sĂ©rĂ©nitĂ© d'esprit dont il Ă©tait animĂ©.

      Du fait que Paul était Juif et soumis à une certaine offense, l'officier romain le questionna pour savoir comment il avait obtenu sa citoyenneté romaine, précieuse distinction ; l'apÎtre lui répondit que c'était uniquement, par sa naissance.

      Sachons apprĂ©cier cette libertĂ© sous laquelle sont nĂ©s tous les enfants de Dieu ! LibertĂ© qu'aucune somme d'argent, mĂȘme consĂ©quente, ne peut acheter pour ceux qui ne sont pas rĂ©gĂ©nĂ©rĂ©s par le sang de Christ. Cette parole de Paul, relative Ă  sa citoyennetĂ©, mit fin Ă  ses ennuis.

      Beaucoup de personnes sont gardĂ©s des mauvaises pratiques par la crainte des hommes, alors que celle de Dieu ne les impressionne nullement. L'apĂŽtre entama sa phrase salutaire simplement : « vous est-il permis » ? Il savait que le Dieu qu'il servait, le soutiendrait dans toutes les souffrances provoquĂ©es par Son nom. La piĂ©tĂ© de l’apĂŽtre le conduisait Ă  Ă©viter, dans la mesure du possible, toute dĂ©rive de langage. Il ne s'est jamais Ă©cartĂ© de sa route, oĂč il discernait la croix de son divin MaĂźtre ; il n’a poursuivi aucun but inutile.

      Actes 26

      Actes 28

      Romains 10

      18 Les Juifs ne savaient-ils pas que les paĂŻens Ă©taient destinĂ©s Ă  ĂȘtre conquis Ă©galement par l’Évangile ? Le peuple d’IsraĂ«l pouvait trĂšs bien le savoir, par MoĂŻse et ÉsaĂŻe.

      ÉsaĂŻe parle clairement de la GrĂące et des faveurs divines, prĂ©sentĂ©es aux paĂŻens ; n’y avons-nous pas droit ? Dieu n'a-t-il pas commencĂ© dans l'Amour, et ne s'est Il pas fait connaĂźtre Ă  nous, alors que nous ne Lui demandions rien ? La trĂšs grande patience de Dieu envers les pĂ©cheurs qui Le provoquent, est merveilleuse ! Le temps de la patience divine est appelĂ© Ă  durer « tout un jour » ; Sa lumiĂšre brille durant ce laps de temps : elle convient pour le travail comme pour les loisirs ; mais elle est limitĂ©e, Ă  la durĂ©e de ce « jour » : il y aura finalement une nuit pour clore le tout.

      La patience de Dieu culpabilise davantage l'homme qui dĂ©sobĂ©it. Nous pouvons ĂȘtre Ă©tonnĂ©s par la grandeur de la MisĂ©ricorde de divine : Sa bontĂ© de ne peut ĂȘtre dĂ©passĂ©e par la mĂ©chancetĂ© de l'homme ; nous pouvons rĂ©flĂ©chir Ă©galement Ă  la durĂ©e pendant laquelle cette mĂ©chanceté sĂ©vit ici-bas : la bontĂ© de Dieu n’aura qu’un temps...

      Il y a lieu de se rĂ©jouir, en songeant Ă  la diffusion du message de la GrĂące Ă  des millions de personnes, par le biais de l’annonce rĂ©pandue par l’Évangile !

      Romains 11

      Romains 15

      1 Corinthiens 9

      2 Corinthiens 5

      2 Corinthiens 6

      1

      L'apĂŽtre, et ses compagnons d'Ɠuvre, prouvent leur fidĂ©litĂ© dans le ministĂšre en Christ, par leur vie et leur conduite dĂ©nuĂ©es de tout reproche. (2 Corinthiens 6:1-10)
      Par affection pour eux, il se soucie qu'ils n'aient pas de rapport avec les incrédules et les idolùtres. (2 Corinthiens 6:11-18)

      L'Évangile est une parole pleine de GrĂące qui retentit dans nos oreilles. L'annonce de la bonne nouvelle est celle de la RĂ©demption, c’est la possibilitĂ© de recevoir l'offre de la GrĂące et du Salut : le temps prĂ©sent est le moment propice pour accepter cette offre ! Demain ne nous appartient pas : nous ne savons pas de quoi il sera fait, ni oĂč nous serons...

      Nous vivons en ce moment sous la dispensation de la GrĂące ; soyons vigilants, ne nĂ©gligeons pas ce fait ! Ceux qui annoncent simplement l'Évangile devraient se considĂ©rer comme des serviteurs de Dieu ; ils devraient agir en tant que tels, en toutes circonstances !

      L'apÎtre appliquait ces principes, avec beaucoup de patience dans ses afflictions, en appliquant les merveilleux préceptes de la Parole, dans un esprit de service.

      Ici-bas, les croyants ont besoin de la GrĂące divine, avec les armes spirituelles qui les protĂšgent de toute tentation, de façon Ă  recevoir, sans aucune susceptibilitĂ©, les observations de leur entourage ; ils doivent supporter patiemment les Ă©ventuels reproches. Ils ne dĂ©tiennent rien d’eux-mĂȘmes, mais possĂšdent toutes choses « en » Christ !

      De telles diffĂ©rences avec le monde caractĂ©risent la vie d'un chrĂ©tien, et c'est Ă  travers ces diverses conditions et multiples rapports avec les autres, que se trace notre chemin vers le ciel ; veillons Ă  ce que toutes nos Ɠuvres soient approuvĂ©es par Dieu.

      Quand l'Évangile est prĂȘchĂ© avec fidĂ©litĂ©, et totalement acceptĂ©, Il relĂšve toute condition humaine, mĂȘme celle des plus dĂ©munis ; ils Ă©pargnent ainsi l’énergie qu’ils dĂ©pensaient auparavant en vain, et emploient diligemment leur temps Ă  des fins utiles. Ils rentabilisent leur temps et croissent spirituellement ; ils deviennent alors « riches » ici-bas, en comparaison avec leur ancien Ă©tat coupable, Ă©tat de dĂ©bauche dans lequel ils vivaient, avant qu'ils n'avaient reçu l'Évangile !

      Ephésiens 2

      11 Christ et Son alliance sont la fondation de toute l’espĂ©rance des chrĂ©tiens. Nous trouvons dans ce texte une triste et terrible description des incirconcis ; en fait, qui est capable de sortir de lui-mĂȘme d’une telle situation ?

      En rĂ©alitĂ©, cette description reprĂ©sentait vĂ©ritablement l’état de nombreuses personnes baptisĂ©es dans le nom de Christ. Qui peut, sans trembler, considĂ©rer rĂ©ellement la misĂšre d'une personne sĂ©parĂ©e pour toujours du peuple de Dieu, retranchĂ©e du « corps de Christ », interdite de l'alliance de la promesse divine, n'ayant aucune espĂ©rance, aucun Sauveur, aucun Dieu, sauf Celui de la Vengeance, et ce, pour l’éternité ? En bref, n’avoir aucune part avec Christ !

      Quel chrĂ©tien vĂ©ritable peut entendre ce genre de propos sans en ĂȘtre horrifié ? Le salut est loin du mĂ©chant ; mais Dieu est une Aide, proche de Son peuple, Ă  cause des souffrances et de la mort de Christ !

      14 JĂ©sus-Christ a apportĂ© la Paix, par son propre sacrifice ; dans tous les sens du terme, Christ Ă©tait la Paix pour les ÉphĂ©siens : Il en Ă©tait l'auteur, le centre, et la substance, Il unissait les Juifs croyants Ă  l’Église.

      À travers la personne, le sacrifice, et la mĂ©diation de Christ, les pĂ©cheurs peuvent dĂ©sormais s’approcher de Dieu, leur PĂšre ; ils sont amenĂ©s en Sa prĂ©sence, ils peuvent lui offrir leur adoration et se placer Ă  Son service, sous l'enseignement du Saint-Esprit, qui ne fait « qu’un » avec le PĂšre et le Fils.

      Christ, par Son sacrifice, nous a donnĂ© la possibilitĂ© de pouvoir venir Ă  Dieu ; l'Esprit motive notre cƓur pour nous approcher du Seigneur, Il nous donne la force pour venir Ă  Lui, et donc la grĂące de pouvoir ensuite servir notre Dieu !

      19 L'Église est comparĂ©e Ă  une ville, dont chaque pĂ©cheur converti est le citoyen. Elle est Ă©galement comparĂ©e Ă  une maison, oĂč chaque pĂ©cheur converti est un membre d’une mĂȘme famille ; il est Ă  la fois serviteur et enfant de Dieu, au sein de Sa maison. L'Ă©glise est aussi comparĂ©e Ă  un Ă©difice, dont le fondement repose sur la doctrine de Christ ; il a Ă©tĂ© d’abord Ă©difiĂ© par les prophĂštes de l'Ancien Testament, puis par les apĂŽtres du Nouveau.

      Dieu demeure maintenant dans le cƓur de tous les croyants ; ils deviennent ainsi le « temple » du Seigneur, par le biais de l'Ɠuvre du Saint-Esprit bĂ©ni.

      Demandons-nous si notre espĂ©rance repose rĂ©ellement sur Christ, sur la doctrine de Sa Parole ? Sommes-nous consacrĂ©s Ă  Dieu, composons-nous vraiment Son « saint temple », Ă  travers Christ ? Sommes-nous une « habitation de Dieu », par l'Esprit, sommes-nous spirituellement disposĂ©s Ă  Le servir, portons-nous avec puissance les fruits de l'Esprit ? Prenons bien soin de ne pas chagriner ce Dernier, le Consolateur. DĂ©sirons Sa prĂ©sence pleine de GrĂące, et l’influence qu’Il exerce en notre cƓur.

      Cherchons à accomplir le devoir qu’Il nous dicte, à la gloire de Dieu !

      Colossiens 1

      2 Timothée 4

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