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Luc 3.2

in the high priesthood of Annas and Caiaphas, the word of God came to John, the son of Zacharias, in the wilderness.
et du temps 1909 des souverains sacrificateurs 749 Anne 452 et 2532 Caïphe 2533, — la parole 4487 de Dieu 2316 fut adressée 1096 5633 à 1909 Jean 2491, fils 5207 de Zacharie 2197, dans 1722 le désert 2048.
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      Esaïe 40

      Jérémie 1

      Jérémie 2

      1

      Dieu fait des remontrances à Son peuple. (Jérémie 2:1-8)
      La révolte de ce dernier doit servir d'exemple. (Jérémie 2:9-13)
      Les fautes sont à l'origine des souffrances. (Jérémie 2:14-19)
      Les péchés de Juda. (Jérémie 2:20-28)
      La fausse assurance de ce dernier. (Jérémie 2:29-37)

      Ceux qui commencent bien spirituellement, mais qui ne persévèrent pas, seront en toute justice, réprimandés : leurs bons engagements et leurs promesses pieuses, leur seront rappelés. Généralement, ceux qui abandonnent la piété, s'opposent davantage à elle que ceux qui ne l'ont jamais connue. Par cette attitude, ils ne méritent aucune excuse.

      Israël, le « peuple spirituel » de l'Éternel, doit respecter ses engagements : même dans la traversée du désert de ce monde, si dangereuse pour l'âme, il doit toujours rester un modèle de conduite exemplaire. Beaucoup de personnes, hélas, qui ont par le passé, semblé se consacrer au Seigneur, finissent par suivre leur propre voie, aggravant ainsi leurs crimes !

      Prenons garde à ne pas perdre notre ardeur et notre zèle pour Dieu, dans notre parcours ici-bas.

      Ezéchiel 1

      Osée 1

      1

      On suppose qu'Osée faisait partie du peuple d'Israël. Il a vécu et a prophétisé pendant une longue période. L'objet de ces prédictions paraît être de détecter, de réprouver et de convaincre la nation juive et en particulier les Israélites, des péchés commis et de leur idolâtrie. Le royaume était également très corrompu. L'auteur invite néanmoins le peuple à la repentance, avec des promesses de miséricorde ; il prédit la bonne nouvelle de la future restauration des Israélites et des Juifs ainsi que leur conversion finale au Christianisme.

      L'idolâtrie honteuse des dix tribus est représentée sous forme imagée. (\\# Os 1:1-7\\)
      L'appel des Gentils, et l'unité d'Israël et de Juda, sous le regard de Christ. (\\# Os 1:8-11\\)

      Bien qu'Israël soit prospère, Osée, avec audace, avertit le peuple pour les péchés commis, il prédit sa destruction.

      Les hommes ne doivent pas être encouragés dans la pratique de leurs péchés, même s'ils prospèrent ici-bas ; ils ne pourront guère continuer, même s'ils persistent dans ce sens. Le prophète doit montrer aux enfants d'Israël leur péché. Il doit leur signifier à quel point cela est excessif et honteux. Leur idolâtrie était bien le péché qui leur était reproché. Donner à d'autres la gloire qui doit revenir à Dieu seul est pour Lui une injure et un affront ; c'est semblable à la frustration d'un mari dont la femme irait vers un étranger.

      Le Seigneur, sans aucun doute, a de bonnes raisons de donner de telles instructions au prophète ; cela présente une image touchante de la bonté et de la patience infinies de Dieu vis-à-vis de la perversité et de l'ingratitude d'Israël.

      Nous devrions être vraiment touchés et sensibilisés par la perversité des autres, qui met à l'épreuve la patience de l'Esprit divin, et qui Le peine. Soyons prêts à supporter la croix que le Seigneur place devant nous. Le prophète se doit de souligner, par les noms qu'il donne à ses enfants, la ruine du peuple. Il prédit, par le nom de son premier enfant, la chute de la famille royale : « appelle-le Jizreel », ce qui signifie dispersion. Il prédit, dans le nom du deuxième enfant, l'abandon de la nation, par Dieu ; Lo-Ruchama, « Le mal aimé », ou « celui qui n'a pas obtenu miséricorde ». Dieu a révélé sa grande miséricorde mais Israël a abusé de cette faveur. L'état de péché a fait refuser la clémence divine, pour Israël, le peuple de Dieu.

      Si la grâce est refusée, aucune autre miséricorde ne peut être escomptée. Bien que certains persistent dans leur incrédulité, Dieu préservera son église dans ce monde jusqu'à la fin du temps qu'Il a décrété. Notre salut ne tient qu'à la miséricorde divine, notre propre mérite n'entre pas en ligne de compte. Ce salut est certain, Dieu en est l'Auteur ; nul ne pourra empêcher cette œuvre divine !

      Jonas 1

      1

      Jonas était natif de Galilée, 2Rois 14:25. Sa délivrance miraculeuse du poisson fait de lui un type de notre Seigneur béni, qui en fait mention, afin de montrer la véracité du récit.

      Tous les événements démontrent facilement la Toute Puissance de l'Auteur, Celui qui garde les Siens. Ce livre nous résume, au travers de l'exemple des gens de Ninive combien la patience et la longanimité de Dieu sont grandes envers les pécheurs. Un contraste saisissant est mis en évidence, entre la bonté, la miséricorde de Dieu, et la rébellion, l'impatience, la maussaderie de ses serviteurs.

      Ceux qui connaissent bien leur propre cœur le comprendront mieux !

      * Jonas, envoyé à Ninive, s'enfuit à Tarsis. (Jon 1:1-3) Il est stoppé par la tempête. (Jon 1:4-7) Sa conversation avec les marins. (Jon 1:8-12) Il est jeté à la mer, et miraculeusement gardé. (Jon 1:13-17)

      Jon 1:1-3 Il est triste de penser à l'ampleur du péché dans les grandes villes. La méchanceté, comme celle des gens de Ninive, est un affront audacieux et manifeste envers Dieu. Jonas doit aller immédiatement à Ninive, et là il doit crier contre leur méchanceté. Or Jonas ne veut pas y aller.

      Il est probable que peu d'entre nous n’auraient même pas essayé de refuser une telle mission. La Providence sembla lui donner une opportunité de s'esquiver ; nous pouvons nous écarter du chemin de notre devoir et rencontrer cependant un vent favorable.

      Le chemin aisé n'est pas toujours le bon. Remarquez ce que deviennent les meilleurs des hommes, quand Dieu les abandonne à eux-mêmes ! Ce que nous avons vraiment besoin, quand la Parole du Seigneur sonde notre cœur, c’est d'avoir Son Esprit en nous, de façon à nous amener à l'obéissance !

      Michée 1

      1

      Michée commença son ministère, afin de soutenir celui d'Ésaïe, et de confirmer les prophéties de ce dernier, tout en invitant les pécheurs à la repentance, face aux Jugements divins menaçants et à la Miséricorde promise. Un passage vraiment remarquable, Mic 5:1-15, contient un bref résumé des prophéties relatives au Messie.

      La colère de Dieu contre Israël, (Mic 1:1-7)
      contre Jérusalem et les autres villes ; Les vaines actions de ces dernières. (Mic 1:8-16)

      Nous voyons dans ce texte que la terre entière est mobilisée, avec tout ce qu'elle contient, pour entendre le prophète. La Sainteté divine n’aura aucune indulgence envers les faux docteurs. Aucun homme, fut-il réfugié au sommet des montagnes, ou au plus profond des vallées, ne pourra se protéger, qu’il s’agisse de lui-même ou de son pays, des Jugements de l’Éternel.

      Si le péché règne sur le peuple de Dieu, ce Dernier ne l’épargnera pas ; l’iniquité est vraiment intolérable à Ses yeux ; elle couvre de honte Ses enfants.

      Quand nous ressentons la « douleur vive » que procure le péché, il nous incombe de chercher l’origine précise de cette souffrance. Ceux qui occupent de hauts rangs sont les plus exposés aux « maladies spirituelles ». Les vices des chefs et des dirigeants, seront punis de manière exemplaire. Le châtiment est le salaire du péché.

      Ce que les enfants d’Israël ont accordé aux idoles, ne prospérera jamais ni ne pourra leur occasionner un quelconque bien. Ce qui est acquis malhonnêtement, par la convoitise, mènera inéluctablement à la perte...

      Sophonie 1

      1

      Le prophète Sophonie incite à la repentance ; il prédit la destruction des ennemis des Juifs, et réconforte les personnes pieuses parmi les enfants d’Israël avec des promesses de bénédictions : la restauration de leur nation et la prospérité de l'église, dans les derniers jours.

      Menaces à l’encontre les pécheurs. (Sophonie 1:1-6)
      Les menaces se précisent. (Sophonie 1:7-13)
      Détresse due aux jugements à venir. (Sophonie 1:14-18)

      Le prophète Sophonie annonce la ruine prochaine des pécheurs, une ruine complète ainsi que leur destruction par le Tout-puissant.

      Les serviteurs de Dieu proclament unanimement : il n'y a pas de paix pour les méchants... Les expressions de ce texte sont imagées, montrant la désolation générale devant survenir ; le pays n'aura plus d'habitants. Les pécheurs, les idolâtres, seront consumés, comme ceux qui adorent à la fois l'Éternel et les idoles ou ceux qui jurent à la fois par le Seigneur et par Moloch.

      Ceux qui pensent pouvoir partager leurs affections et leur adoration entre les idoles et Dieu, ne seront pas acceptés par ce dernier : qu'y-a-t-il en effet de commun entre la lumière et les ténèbres ? Si Satan n’a qu’une moitié de notre adoration, il saisira tout et le Seigneur n'aura rien.

      La négligence d’une âme envers Dieu démontre son impiété et son mépris. Puissions-nous ne jamais être parmi ceux qui retournent à la ruine, mais au contraire, demeurer parmi ceux qui croient au salut de l'âme, par Jésus-Christ notre Sauveur !

      Matthieu 3

      1

      Jean baptiste : sa prédication, sa manière de vivre, et sa pratique du baptême. (Matthieu 3:1-6)
      Jean blâme les Pharisiens et les Sadducéens. (Matthieu 3:7-12)
      Le baptême de Jésus. (Matthieu 3:13-17)

      Après Malachie il n'y eut aucun prophète jusqu'à la venue de Jean baptiste. Il parut d'abord dans le désert de Judée. Ce n'était pas un lieu inhabité, mais une partie du pays à faible densité de population, comportant relativement peu de constructions.

      Aucun lieu n'est trop éloigné pour que nous ne puissions y recevoir « les visites » de la Grâce Divine. La doctrine prêchée par Jean était celle de la repentance : « Repentez-vous », disait-il. Le terme repentir utilisé ici, implique une modification totale de l’esprit, un changement dans le jugement, l'humeur, et les affections, une meilleure disposition de l'âme.

      Considérez vos voies, changez votre mentalité d’esprit : vous êtes dans la mauvaise direction ; remettez-vous en question, et prenez le bon chemin. Les véritables repentants n’ont pas la même opinion de Dieu et de Christ, du péché et de la sainteté, que les hommes de ce monde. Le changement de l'esprit produit un changement de parcours. C'est la repentance qui résulte de l'évangile, qui se produit en regardant à Christ, en ressentant Son Amour, avec l’espérance d’obtenir Son pardon.

      Il y a un grand encouragement à connaître le repentir : repentez-vous, car vos péchés seront ainsi pardonnés. Retournez à Dieu, dans la voie du devoir, et Lui, par le biais de Christ, retournera à vous, dans le chemin de la Miséricorde. Il est encore essentiel de nous repentir et de nous humilier pour préparer le chemin du Seigneur, comme à cette époque. Il y a beaucoup à parcourir pour qu'une âme trouve son chemin vers Christ, et rien n'est plus nécessaire que le constat du péché, et la conviction que nous ne pouvons pas être sauvés par notre propre justice.

      Les voies du péché et de Satan sont tortueuses ; par contre, pour préparer le chemin qui mène à Christ, les voies suivies doivent être bien droites, Heb 12:13. Ceux dont le rôle est d'appeler les autres, à pleurer sur leur péché, en le mortifiant, doivent eux-mêmes avoir une vie exemplaire, une vie de désintéressement et de mépris du monde.

      En donnant cet exemple aux autres, Jean a « préparé le chemin » pour Christ. Beaucoup sont venus au baptême de Jean, mais peu ont gardé la profession de foi qu'ils avaient faite.

      Il peut y avoir de nombreux auditeurs empressés, et cependant peu de croyants véritables. La curiosité, et l'amour pour la nouveauté, ainsi que la variété, peuvent conduire un grand nombre de personnes à assister à une bonne prédication ; elles peuvent être touchées pendant quelque temps, mais sans y être jamais assujettis à la puissance de cette prédication.

      Ceux qui admettaient la doctrine de Jean témoignaient de leur repentir, en confessant leurs péchés. Seuls ceux qui sont amenés, dans le chagrin et la honte, à admettre leur culpabilité, sont prêts à recevoir Jésus-Christ comme leur « Justice ». Les bienfaits du Royaume des cieux, maintenant proche, ont été scellés sur eux par le baptême. Jean les « lavait » avec de l'eau, (image de la purification divine) de de toutes leurs iniquités, exprimant de cette façon que par leur nature et leurs actes, tous étaient pollués, et qu'en tant que tels, ils ne pouvaient pas être admis parmi le peuple de Dieu, à moins d'avoir lavé leurs péchés dans la « source » que Christ devait ouvrir, Zacharie 13:1.

      7 Le rôle de la prédication est de mettre en application la doctrine divine : tel était le but de l’exhortation de Jean.

      Les Pharisiens se souciaient d’abord d’observer et de respecter le côté apparent de la piété, en négligeant les points les plus importants de la loi morale, et la signification spirituelle de leurs cérémonies légales. Certains d'entre eux étaient de détestables hypocrites, faisant de leurs prétentions à la sainteté, une parure inique.

      Les sadducéens avaient une démarche tout à fait opposée, niant l'existence des esprits et d’une vie spirituelle future. Ils étaient à cette époque et dans ce pays, des « infidèles » méprisables.

      Il y a inéluctablement une colère divine à venir. Chacun devrait chercher à la fuir. Dieu, qui ne prend aucun plaisir à notre ruine, nous a avertis à ce sujet ; Il nous prévient par Sa Parole, par Ses serviteurs, ainsi que par le biais de notre conscience. Ceux qui se disent désolés par le constat de leurs péchés, et qui cependant, persistent dans leurs voies, ne sont pas dignes d’être appelés des repentants, et n’ont de ce fait aucun privilège spirituel. Le véritable repentant est humble et abaissé à ses propres yeux, reconnaissant pour la moindre miséricorde qui lui est accordée, patient lors des afflictions sévères, vigilant contre toute apparence de péché, appliqué dans son devoir, et charitable quant aux jugements de son prochain.

      Ce texte énonce une parole de prudence : ne pas se baser aveuglément sur des privilèges extérieurs acquis. Nous courons un grand danger quand nos cœurs tentent d’étouffer toute conviction de péché, en mettant de côté la Puissance révélatrice de la Parole de Dieu. On trouve de nombreuses personnes, qui, en se fiant abusivement sur les honneurs et les avantages que peuvent avoir les membres d'une église, sont en fait bien loin du ciel...

      Ce texte contient une terrible menace à l’encontre de l'insouciant et de celui qui se croit faussement en sécurité. Nos cœurs corrompus ne peuvent, par nature, produire du bon fruit, à moins que l'Esprit régénérateur de Christ ne greffe en eux la perfection de la Parole de Dieu. Tout arbre, même le plus haut, le plus majestueux ou le plus verdoyant, qui ne produit pas de bon fruit, à savoir celui de la repentance, sera abattu et jeté dans le feu de la colère divine, l’endroit le plus propice pour recevoir les « plantes stériles » : à quoi d'autre pourrait-il servir ? S'il ne fournit aucun fruit, il sera un parfait combustible !

      Jean annonce la venue de Christ, le rôle et les desseins de ce Dernier : cet avènement était imminent.

      Notre comportement et notre apparence extérieure, ne peuvent aucunement nous rendre purs. Nulle ordonnance, quel qu’en soit l’auteur ou le mode, ne peut suppléer au besoin du baptême du Saint-Esprit et de feu. Seul le pouvoir purificateur du Saint-Esprit peut produire cette pureté de cœur et ces « saintes affections » qui accompagnent le salut ! C'est Christ qui baptise de l’Esprit Saint. C'est ce qu'Il a fait ne manière extraordinaire envers les apôtres, Actes 2:4. C'est ce qu'Il fait aussi dans les grâces et les réconforts octroyés par l'Esprit, à ceux qui le Lui demandent, Luc 11:13, Jean 7:38,39, Actes 11:16.

      Observons ici que l'église des « Gentils » est « l'aire de battage » de Christ, Esa 21:10. Les véritables croyants sont comme le blé : substantiel, utile, et précieux ; les hypocrites sont comme une balle de paille : légers et vides, inutiles et sans valeur, emportés au loin par le moindre souffle ; le monde est constitué de « bons » et de « mauvais », tous dans le même cheminement ; un jour viendra, malgré tout, où le blé et la paille seront séparés...

      Le dernier jugement sera un jour remarquable : les saints et les pécheurs seront séparés pour toujours. Dans le ciel, les saints seront rassemblés, ils ne seront plus jamais disséminés ; ils seront en sécurité, loin de tout danger, séparés de leurs voisins corrompus et esclaves de leurs vaines convoitises.

      L'enfer est un feu inextinguible ; il sera certainement la « part » et la punition des hypocrites et des impies.

      La vie et la mort, le bien et le mal, sont placés devant nous : selon notre conduite ici-bas, « dans le champ », nous serons alors étendus sur « l'aire de battage ».

      Matthieu 11

      7 Dans ce texte, les propos de Christ, relatifs à Jean, n'étaient pas que des éloges envers ce dernier, mais devaient également servir à l’édification du peuple.

      Ceux qui étudient la Parole de Dieu sont appelés à partager l’enseignement spirituel qu’ils ont acquis. Peut-on estimer qu’une fois prêché, un sermon peut être oublié ? En fait, ce n’est que le point de départ de notre méditation personnelle à son sujet !

      Jean était un homme d’une grande humilité, il était « mort » aux fastes du monde et aux plaisirs des sens. Toute personne doit garder une apparence conforme à son caractère et à sa situation. Jean était un homme plein de bonté, mais cependant, il n’était pas parfait ; c'est pourquoi le plus petit dans le royaume des cieux était plus grand que lui : en effet, le plus petit dans les cieux connaît mieux les âmes, aime plus, loue davantage Dieu, et reçoit plus de Lui, que ne pourrait faire le plus « grand » de ce monde.

      Mais par « Royaume des cieux », il faut plutôt comprendre dans ce texte, « Royaume de Grâce », à savoir la dispensation de l'évangile, dans sa puissance et sa pureté. Combien avons-nous de bonnes raisons d'être reconnaissants d'avoir notre place préparée dans le Royaume des cieux, avec tous les avantages que cela comporte, comme la Lumière et l'Amour !

      Des multitudes avaient été interpellées par le ministère de Jean, plusieurs étaient devenus ses disciples. Ces hommes s’étaient efforcé d’obtenir une place dans le Royaume divin, convaincus que par nature, ils n'en avaient ni le droit, ni le titre, n’étant pour ainsi dire que des intrus.

      Ceci nous montre la ferveur, l'ardeur, et le zèle spirituels qui sont exigés de tous par le Seigneur. Le « moi » doit être renié ; les penchants, l’aspect et le tempérament de notre esprit doivent être changés. Ceux qui montreront un intérêt entier pour le salut merveilleux de Christ, l'obtiendront totalement, car il n’est pas du tout inaccessible, ni dépourvu de bénédiction.

      Tout ce qui concerne Dieu provoque une certaine anxiété au commun des mortels. Le Seigneur n'exige pas plus de nous, que le bon usage des facultés qu'il nous a accordées. Les âmes restent dans l’ignorance, parce qu'elles ne cherchent pas à connaître l’Évangile !

      Matthieu 26

      Marc 1

      Luc 1

      Luc 3

      15 Jean-Baptiste nia être lui-même le Christ, mais il confirma au peuple, l’arrivée prochaine du Messie, promis et attendu depuis longtemps. Il ne pouvait pour l’instant qu’exhorter son auditoire à se repentir et assurer le pardon qui en découlerait ; il ne pouvait cependant nullement leur conférer personnellement une quelconque rémission des péchés.

      Cela nous amène à témoigner avec force de Christ, tout en nous « effaçant » nous-mêmes. Jean ne pouvait pas faire plus que de baptiser d'eau, pour bien montrer au peuple qu’il devait se purifier et être assaini ; Christ quant à Lui, allait venir bientôt pour baptiser du Saint-Esprit ; Il est capable d’accorder l'Esprit, d’assainir et de purifier le cœur : Il agit comme le fait, de manière imagée, l'eau qui nettoie toute impureté visible, mais aussi comme du feu qui élimine les scories cachées, pour en faire ressortir le métal fondu, prêt à être coulé dans un nouveau moule.

      Jean était un prédicateur rempli d'affection envers ses semblables ; il implorait, il prêchait avec insistance la repentance à ses auditeurs. C’était en fait un prédicateur de « terrain » ; il éveillait et conduisait chacun à confesser ses péchés. C’était aussi un prédicateur populaire ; il s'adressait à chaque individu selon ses capacités. C’était un véritable évangéliste : dans toutes ses exhortations, il conduisait son auditoire vers Christ.

      Quand nous insistons devant les autres, sur l’accomplissement du devoir, nous devons en fait les diriger vers le Seigneur, pour qu’ils bénéficient à la fois de Sa Justice et de Sa Puissance. Jean-Baptiste prêchait sans restriction : il ne craignait pas de déclarer l’entité des ordonnances divines. Hélas un arrêt brutal mit fin à sa prédication, alors qu’elle était au plus fort de son efficacité : Hérode ayant été blâmé par l’apôtre, pour ses nombreux dérèglements, le fit enfermer en prison.

      Ceux qui blessent les fidèles serviteurs de Dieu, chargent davantage la culpabilité de leurs péchés...

      Jean 1

      Jean 11

      Jean 18

      13 Simon Pierre a renié son Maître. Des détails divers ont été notés dans les Évangiles.

      La naissance du péché est semblable à de l'eau qui commence à s'infiltrer partout. Le mensonge est un péché très grave ; celui qui commence à mentir a besoin d'un autre mensonge pour étayer le premier, suivi d'encore un autre...

      Si nous sommes confrontés à ce danger, nous avons l’espérance que Dieu nous aidera, ce qui nous incitera à L'honorer ; si nous cédons à la tentation du mensonge, nous pouvons craindre que Dieu nous laisse dans notre honte.

      Pendant l'interrogatoire de Jésus, rien n'est mentionné à propos des miracles qu’Il accomplit précédemment, miracles qui prouvèrent qu’Il avait fait tant de bien, et qui démontrent la véracité de Sa doctrine. Quand les ennemis de Christ s’opposent à Sa vérité, ils s’aveuglent obstinément contre cette dernière.

      Jésus appelle ceux qui veulent L'entendre. La doctrine de Christ convient parfaitement à tous ceux qui la connaissent ; ceux qui saisissent la Vérité du Seigneur témoignent de Sa véracité.

      Les différentes blessures qu’on peut nous infliger ne doivent jamais nous faire réagir outre mesure. Christ a répondu calmement à l'homme qui L'a frappé : c'est ainsi que nous devons agir !

      Actes 4

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