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13
Quant à ceux qui rejettent Dieu ils gardent leur colère,
ils ne crient pas à l’aide quand Dieu les lie de chaînes.
19
Le *Fils de l’homme est venu, il mange et boit, et l’on dit : « Cet homme ne pense qu’à faire bonne chère et à boire du vin, il est l’ami des *collecteurs d’impôts et des pécheurs notoires. » Et cependant, la sagesse de Dieu se fait reconnaître comme telle par les œuvres qu’elle accomplit.
31
C’est pourquoi je vous avertis : tout péché, tout *blasphème sera pardonné aux hommes mais pas le blasphème contre le Saint-Esprit.
32
Si quelqu’un s’oppose au *Fils de l’homme, il lui sera pardonné ; mais si quelqu’un s’oppose au Saint-Esprit, il ne recevra pas le pardon, ni dans la vie présente ni dans le monde à venir.
55
N’est-il pas le fils du charpentier ? N’est-il pas le fils de Marie, et le frère de *Jacques, de Joseph, de Simon et de Jude !
29
Mais si quelqu’un blasphème contre l’Esprit Saint, il ne lui sera jamais pardonné : il portera éternellement la charge de ce péché.
30
il recevra cent fois plus dès à présent : des maisons, des frères, des sœurs, des mères, des enfants, des terres, avec des persécutions ; et, dans le monde à venir, la vie éternelle.
34
Le *Fils de l’homme est venu, il mange et boit, et vous vous écriez : « Cet homme ne pense qu’à faire bonne chère et à boire du vin, il est l’ami des collecteurs d’impôts et des pécheurs notoires. »
10
Si quelqu’un dit du mal du Fils de l’homme, il lui sera pardonné ; mais pour celui qui aura *blasphémé contre l’Esprit Saint il n’y aura pas de pardon.
23
Du séjour des morts, où il souffrait cruellement, il leva les yeux et aperçut, très loin, Abraham, et Lazare à côté de lui.
24
Alors il s’écria :
« Abraham, mon père, aie pitié de moi ! Envoie donc Lazare, qu’il trempe le bout de son doigt dans l’eau et me rafraîchisse la langue, car je souffre horriblement dans ces flammes. »
25
Mais Abraham lui répondit :
« Mon fils, souviens-toi de combien de bonnes choses tu as joui pendant ta vie, tandis que Lazare n’a connu que des malheurs. A présent, ici, c’est lui qui est consolé, tandis que toi, tu es dans les tourments.
26
De plus, il y a maintenant un immense abîme entre nous et vous et, même si on le voulait, on ne pourrait ni le franchir pour aller d’ici vers vous, ni le traverser pour venir de chez vous ici. »
34
Jésus leur dit :
—Dans le monde présent, hommes et femmes se marient.
35
Mais ceux qui seront jugés dignes de ressusciter d’entre les morts pour faire partie du monde à venir, ne se marieront plus.
34
Jésus pria :
—Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font.
Les soldats se partagèrent ses vêtements en les tirant au sort.
12
Dans la foule, les discussions allaient bon train à son sujet. Les uns disaient :
—C’est quelqu’un de bien.
—Pas du tout, répondaient les autres : il trompe tout le monde.
39
En disant cela, il faisait allusion à l’Esprit que devaient recevoir plus tard ceux qui croiraient en lui. En effet, à ce moment-là, l’Esprit n’avait pas encore été donné parce que Jésus n’était pas encore entré dans sa gloire.
52
—Es-tu, toi aussi, de la Galilée ? lui répondirent-ils. Consulte les Ecritures, et tu verras qu’aucun *prophète ne sort de la Galilée.
[
14
Oui, vous avez renié celui qui est saint et juste. A sa place, vous avez demandé comme faveur la libération d’un meurtrier.
15
Ainsi vous avez fait mourir l’auteur de la vie. Mais Dieu l’a ressuscité des morts : nous en sommes témoins.
19
Maintenant donc, *changez et tournez-vous vers Dieu pour qu’il efface vos péchés.
9
Pour moi donc, j’ai d’abord pensé que je devais m’opposer par tous les moyens au nom de Jésus de *Nazareth.
10
C’est ce que j’ai fait à Jérusalem : j’ai jeté en prison, en vertu des pouvoirs que j’avais reçus des chefs des *prêtres, un grand nombre de ceux qui appartenaient à Dieu et, lorsqu’il s’agissait de les condamner, j’ai voté leur mise à mort.
11
Je passais d’une *synagogue à l’autre pour les faire punir et essayer de les contraindre à renier leur foi ; dans l’excès de ma fureur, j’allais les traquer jusque dans les villes étrangères.
21
Là, le Christ est placé bien au-dessus de toute Autorité, de toute Puissance, de toute Domination et de toute Souveraineté : au-dessus de tout nom qui puisse être cité, non seulement dans le monde présent, mais aussi dans le monde à venir.
13
moi qui, autrefois, l’ai offensé, persécuté et insulté. Mais il a eu pitié de moi car j’agissais par ignorance, puisque je n’avais pas la foi.
15
La parole que voici est certaine, elle mérite d’être reçue sans réserve : « Jésus-Christ est venu dans ce monde pour *sauver des pécheurs. » Je suis, pour ma part, l’exemple-type d’entre eux.
12
Elle nous éduque et nous amène à nous détourner de tout mépris de Dieu et à rejeter les passions des gens de ce monde. Ainsi nous pourrons mener, dans le temps présent, une vie équilibrée, juste et pleine de respect pour Dieu,
4
En effet, ceux qui ont été une fois éclairés, qui ont goûté au don du ciel, qui ont eu part au Saint-Esprit,
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qui ont expérimenté combien la Parole de Dieu est bienfaisante et fait l’expérience des forces du monde à venir
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et qui, pourtant, se sont détournés de la foi, ne peuvent être amenés de nouveau à changer d’attitude, car ils crucifient le Fils de Dieu, pour leur propre compte, et le déshonorent publiquement.
26
En effet, si, après avoir reçu la connaissance de la vérité, nous vivons délibérément dans le péché, il ne reste plus pour nous de sacrifice pour les péchés.
27
La seule perspective est alors l’attente terrifiante du jugement et le feu ardent qui consumera tous ceux qui se révoltent contre Dieu.
28
Celui qui désobéit à la *Loi de *Moïse est mis à mort sans pitié, si deux ou trois témoins déposent contre lui.
29
A votre avis, si quelqu’un couvre de mépris le Fils de Dieu, s’il considère comme sans valeur le sang de l’*alliance, par lequel il a été *purifié, s’il outrage le Saint-Esprit, qui nous transmet la grâce divine, ne pensez-vous pas qu’il mérite un châtiment plus sévère encore ?
Quelle est donc la différence que Jésus établit entre le blasphème contre lui, le fils de l'homme, et le blasphème contre l'Esprit-Saint, qui ne sera point pardonné ?
Cette différence tient essentiellement au degré de connaissance que l'homme a des choses divines, selon que Dieu s'est manifesté à lui plus ou moins directement et personnellement. Ainsi, dans le cas actuel, les pharisiens (verset 24, voir sur cette secte Matthieu 3.7 note) avaient méconnu le Fils de Dieu sous sa forme de serviteur parce qu'ils étaient incapables moralement de comprendre sa parole ; ils avaient blasphémé contre le fils de l'homme en prenant parti contre lui, en détournant les foules de le suivre et en cherchant les moyens de le faire périr, (Matthieu 9.3,11 ; 12.2,10,14)
Ce péché, quelle qu'en fût la culpabilité, pouvait leur être pardonné, à cause de leur ignorance. Luc 23.34.
Mais ici comme dans la circonstance rapportée Matthieu 9.32-34, ils vont plus loin dans leur endurcissement. En attribuant au démon des œuvres si évidemment accomplies par l'Esprit de Dieu, (verset 28) ils péchaient contre leur propre conviction et contre une manifestation divine plus directe que la simple présence de Jésus.
Le Sauveur n'affirme pas positivement qu'ils ont blasphémé l'Esprit-Saint et qu'il n'y a plus pour eux aucun espoir ; mais le principe absolu qu'il exprime doit les faire réfléchir et leur inspirer la crainte d'avoir atteint la dernière limite de la possibilité du salut.
Qu'ils fassent un pas de plus, qu'ils résistent à un nouveau degré de lumière, de conviction intérieure produit par l'Esprit de Dieu dans leur conscience, et ils auront volontairement commis un suicide moral qui rend impossible toute action de Dieu sur leur âme. C'est là ce que l'apôtre Jean nomme "le péché à la mort," (1Jean 5.16,17) parce qu'il est déjà la mort.
Ainsi, le pardon est rendu impossible non par une détermination de la volonté de Dieu, mais par le fait de la volonté et de l'endurcissement de l'homme. D'où il résulte, d'une part, que jamais aucun homme ne peut dire d'un autre qu'il a commis ce péché, ne connaissant pas son cœur ; et d 'autre part, que toute conscience angoissée par la crainte de l'avoir commis, peut se rassurer par là même, parce que le caractère distinctif de cet état d'âme, c'est l'endurcissement et la résistance volontaire à l'Esprit de Dieu.
- Ce siècle, c'est l'économie présente, s'étendant jusqu'au retour de Christ pour le jugement ; celui qui est à venir, c'est l'éternité après le jugement. Ni dans l'un, ni dans l'autre, c'est-à-dire jamais c'est le mot qui se trouve dans Marc 3.29.
Luc, qui rapporte cet avertissement dans des circonstances différentes Luc 12.10, dit simplement : "Ne sera point pardonné."
- On a souvent conclu de cette dernière parole : ni dans le siècle à venir, qu'en général le pardon est encore possible au delà de la vie présente. C'est une question importante, que l'exégèse n'a pas à examiner ici.