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19
Le Fils de l’homme vient, il mange et boit comme tout le monde, et vous vous écriez : « Voyez-moi ça, il ne pense qu’à faire bonne chère et à boire du vin, il est l’ami des truands et des vauriens » ! Et cependant, les œuvres que la sagesse (divine) a faites lui ont rendu justice.
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C’est pourquoi je vous avertis : n’importe quel péché, n’importe quelle injure faite à Dieu pourra être pardonné aux hommes, mais si quelqu’un fait injure au Saint-Esprit, cela ne lui sera pas pardonné.
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Si quelqu’un contredit le Fils de l’homme, il recevra le pardon, mais si quelqu’un contredit (la conviction intérieure que lui donne) l’Esprit saint, cela ne lui sera pas pardonné, ni dans la vie présente ni dans le monde à venir. —
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C’est bien le fils du charpentier ! Marie n’est-elle pas sa mère ? Ses frères sont bien Jacques, Joseph, Simon et Jude !
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Mais si quelqu’un insulte l’Esprit saint, il ne sera jamais pardonné : la peine de son péché demeurera éternellement sur lui.
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sans recevoir cent fois plus à partir de maintenant, même pendant cette vie : maisons, frères, sœurs, enfants et terres – avec des persécutions en surplus – et dans l’âge à venir, la vie éternelle.
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Le Fils de l’homme vient, il mange et boit comme tout le monde, et vous vous écriez : « Voyez-moi ça ! Il ne pense qu’à faire bonne chère et à boire du vin ; il est ami avec les collecteurs d’impôts et les pécheurs notoires ».
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Si quelqu’un prend position contre le Fils de l’homme, s’il dit du mal de lui, cela lui sera pardonné, mais celui qui aura blasphémé contre l’Esprit saint n’obtiendra jamais de pardon.
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Du fond du séjour des morts, où il souffrait cruellement, il leva les yeux et aperçut, de très loin, Abraham, et Lazare tout à côté de lui.
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Alors, il s’écria : — Abraham, mon père, aie pitié de moi ! Envoie donc Lazare, qu’il trempe le bout de son doigt dans l’eau et me rafraîchisse la langue, car je souffre horriblement dans ces flammes.
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Mais Abraham répondit : — Mon fils, souviens-toi de combien de bonnes choses tu as joui pendant ta vie ; tu as eu ta part de bonheur, tandis que Lazare était dans la misère. À présent, ici, c’est lui qui est consolé, tandis que toi, tu es dans les tourments.
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D’ailleurs, il y a maintenant un immense abîme entre nous et vous, si bien qu’il serait impossible, même si on le voulait, soit d’aller d’ici vers vous, soit de venir de votre côté jusqu’à nous. —
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Jésus leur répondit : — Ici-bas, on prend femme ou mari.
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Mais ceux qui seront jugés dignes de parvenir à la résurrection d’entre les morts, pour faire partie du monde à venir, ne se marieront plus et ne seront plus donnés en mariage,
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Jésus pria : — Mon Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font. Les soldats firent des lots avec ses vêtements et les tirèrent au sort.
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Dans la foule, il n’était question que de lui, les discussions allaient bon train entre les divers groupes : — C’est quelqu’un de bien, prétendaient les uns. — Pas du tout, soutenaient les autres, il trompe les gens.
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En disant cela, il faisait allusion à l’Esprit que devaient recevoir plus tard ceux qui croiraient en lui. En effet, à ce moment-là, l’Esprit n’avait pas encore été donné parce que Jésus n’était pas encore entré dans sa gloire.
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Ah, toi aussi, tu deviens galiléiste ! lui répliquèrent-ils. Étudie donc un peu les Écritures, informe-toi et tu verras que jamais un prophète n’est sorti de la Galilée.
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Oui, vous avez repoussé celui qui était saint et juste. À sa place, vous avez réclamé comme une faveur la libération d’un assassin.
15
Ainsi vous avez fait mourir l’auteur, le Maître de la vie. Mais Dieu l’a ressuscité des morts. Nous sommes ici pour en témoigner.
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Maintenant donc, changez et tournez-vous vers Dieu pour qu’il efface vos péchés.
9
Il est vrai que, moi aussi, j’ai d’abord cru qu’il fallait m’opposer de toutes mes forces à la cause de Jésus de Nazareth. J’étais convaincu qu’il était de mon devoir de combattre ce nom énergiquement et par tous les moyens.
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Et c’est ce que j’ai fait : à Jérusalem, je me suis procuré des pleins pouvoirs auprès des grands-prêtres ; j’ai personnellement fait jeter en prison un grand nombre de disciples de ce Jésus et, lorsqu’il s’agissait de les condamner, j’ai voté leur mise à mort.
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Combien de fois ai-je couru d’une synagogue à l’autre pour les dépister et les faire punir ! J’essayais de les amener, par la violence, à renier leur foi : j’étais si fanatique et si furieux contre eux que j’allais les traquer jusqu’au-delà des frontières de mon pays, dans les villes étrangères.
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C’est là que le Christ règne à présent, élevé par Dieu bien au-dessus de toutes les autorités, toutes les puissances, les dominations et les souverainetés. Dieu lui a donné un titre qui surpasse toutes les dignités pouvant être attribuées dans les mondes présents et futurs.
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Moi qui, autrefois, avais blasphémé (son nom), persécuté (ses disciples), attaqué (son Église), j’ai fait l’expérience de sa miséricorde parce que j’étais sincère, j’agissais par ignorance, n’ayant pas encore la foi.
15
Ah ! comme elle est vraie cette parole, comme elle est importante et digne d’être acceptée sans réserve par tous les hommes : « Le Christ Jésus est venu dans ce monde pour sauver des pécheurs » ! Je suis, pour ma part, le premier d’entre eux, et c’est bien pour cela qu’il a eu pitié de moi.
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Elle veut nous éduquer et nous amener à nous détourner de tout mépris de Dieu, à rejeter les passions et les convoitises des gens de ce monde, et à renoncer à la course aux plaisirs. Elle nous enseigne à vivre dans le temps présent avec sagesse, réserve et maîtrise de soi, en toute intégrité et honorabilité devant Dieu.
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(En effet, il y a des responsabilités dont nous devons tenir compte.) Si des hommes ont été une fois éclairés par la lumière (d’en haut), s’ils ont goûté aux dons du ciel, s’ils ont eu part au Saint-Esprit,
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s’ils ont senti combien la parole de Dieu était bonne et bienfaisante et s’ils ont connu par expérience les richesses et les forces merveilleuses du monde à venir,
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si, malgré tout cela, ils se sont détournés de la foi et sont retombés dans leur ancienne vie, il est impossible de les amener de nouveau à changer d’attitude car, au fond, ils sont en train de crucifier le Fils de Dieu pour leur propre compte et de le déshonorer publiquement.
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Si, après avoir connu et accepté la vérité, nous l’abandonnons délibérément pour continuer à pécher, il n’existe plus de sacrifice pour effacer ce péché.
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Notre seule perspective est alors l’attente terrifiante du jugement de Dieu et du feu ardent qui consumera tous ceux qui se dressent contre lui.
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Rappelez-vous : celui qui désobéit volontairement à la loi de Moïse est impitoyablement mis à mort si deux ou trois témoins déposent contre lui.
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Si quelqu’un méprise le Fils de Dieu, s’il considère comme sans valeur le sang qui a scellé l’alliance avec Dieu, le sang par lequel il a été lavé de ses péchés, s’il offense le Saint-Esprit, porteur de la grâce divine, ne pensez-vous pas qu’il mérite un châtiment encore plus sévère ?
Quelle est donc la différence que Jésus établit entre le blasphème contre lui, le fils de l'homme, et le blasphème contre l'Esprit-Saint, qui ne sera point pardonné ?
Cette différence tient essentiellement au degré de connaissance que l'homme a des choses divines, selon que Dieu s'est manifesté à lui plus ou moins directement et personnellement. Ainsi, dans le cas actuel, les pharisiens (verset 24, voir sur cette secte Matthieu 3.7 note) avaient méconnu le Fils de Dieu sous sa forme de serviteur parce qu'ils étaient incapables moralement de comprendre sa parole ; ils avaient blasphémé contre le fils de l'homme en prenant parti contre lui, en détournant les foules de le suivre et en cherchant les moyens de le faire périr, (Matthieu 9.3,11 ; 12.2,10,14)
Ce péché, quelle qu'en fût la culpabilité, pouvait leur être pardonné, à cause de leur ignorance. Luc 23.34.
Mais ici comme dans la circonstance rapportée Matthieu 9.32-34, ils vont plus loin dans leur endurcissement. En attribuant au démon des œuvres si évidemment accomplies par l'Esprit de Dieu, (verset 28) ils péchaient contre leur propre conviction et contre une manifestation divine plus directe que la simple présence de Jésus.
Le Sauveur n'affirme pas positivement qu'ils ont blasphémé l'Esprit-Saint et qu'il n'y a plus pour eux aucun espoir ; mais le principe absolu qu'il exprime doit les faire réfléchir et leur inspirer la crainte d'avoir atteint la dernière limite de la possibilité du salut.
Qu'ils fassent un pas de plus, qu'ils résistent à un nouveau degré de lumière, de conviction intérieure produit par l'Esprit de Dieu dans leur conscience, et ils auront volontairement commis un suicide moral qui rend impossible toute action de Dieu sur leur âme. C'est là ce que l'apôtre Jean nomme "le péché à la mort," (1Jean 5.16,17) parce qu'il est déjà la mort.
Ainsi, le pardon est rendu impossible non par une détermination de la volonté de Dieu, mais par le fait de la volonté et de l'endurcissement de l'homme. D'où il résulte, d'une part, que jamais aucun homme ne peut dire d'un autre qu'il a commis ce péché, ne connaissant pas son cœur ; et d 'autre part, que toute conscience angoissée par la crainte de l'avoir commis, peut se rassurer par là même, parce que le caractère distinctif de cet état d'âme, c'est l'endurcissement et la résistance volontaire à l'Esprit de Dieu.
- Ce siècle, c'est l'économie présente, s'étendant jusqu'au retour de Christ pour le jugement ; celui qui est à venir, c'est l'éternité après le jugement. Ni dans l'un, ni dans l'autre, c'est-à-dire jamais c'est le mot qui se trouve dans Marc 3.29.
Luc, qui rapporte cet avertissement dans des circonstances différentes Luc 12.10, dit simplement : "Ne sera point pardonné."
- On a souvent conclu de cette dernière parole : ni dans le siècle à venir, qu'en général le pardon est encore possible au delà de la vie présente. C'est une question importante, que l'exégèse n'a pas à examiner ici.