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Matthieu 14.30

mais, voyant que le vent était fort, il eut peur et, comme il commençait à s'enfoncer, il s'écria : « Seigneur, sauve-moi ! »
Mais quand il remarqua combien le vent soufflait fort, il prit peur et, comme il commençait Ă  s’enfoncer, il s’écria : —Au secours ! Seigneur !
But when he saw that the wind was strong, he was afraid, and beginning to sink, he cried out, saying, "Lord, save me!"
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      2 Rois 6

      Psaumes 3

      Psaumes 69

      1

      La grande détresse de David. (Psaumes 69:1-12)
      Il implore le secours. (Psaumes 69:13-21)
      Il annonce les jugements de Dieu. (Psaumes 69:22-29)
      Il conclue dans la joie et l'adoration. (Psaumes 69:30-36)

      Nous devrions souvent prendre en considĂ©ration la Victime mentionnĂ©e ici, dans ce passage ; mĂ©diter Ă  quel point elle a souffert et nous revĂȘtir d'humilitĂ© devant le pĂ©chĂ©, Ă©tant convaincu de notre vulnĂ©rabilitĂ© face au danger, de façon Ă  ressentir plus de gratitude, d'amour, et Ă  vivre pour la gloire de Celui qui est mort pour notre salut. De lĂ  nous apprenons, quand nous sommes dans l'affliction, Ă  remettre notre Ăąme Ă  Dieu, afin de ne pas tomber dans le mĂ©contentement ou sombrer dans le dĂ©sespoir.

      David Ă©tait considĂ©rablement haï ; les termes peuvent encore mieux s'appliquer Ă  Christ. Dans un monde oĂč la faussetĂ© rĂšgne tant, nous ne devrions pas chercher Ă  frĂ©quenter ceux qui sont nos mauvais ennemis. Prenons soin de ne pas pratiquer le mal ; si nous le subissons toutefois, nous serons alors plus apte Ă  le supporter. Par la satisfaction que Christ Ă  offert Ă  Dieu, en lavant notre pĂ©chĂ© par Son sang, il a aboli notre sĂ©paration, il a payĂ© notre dette, souffert pour nos offenses.

      Nous pouvons mĂȘme plaider non coupable devant les accusations injustes des hommes, bien que, devant Dieu, nous devions reconnaĂźtre nous-mĂȘmes, mĂ©riter le chĂątiment prĂ©vu. Tous nos pĂ©chĂ©s naissent de notre folie. Ils sont tous commis aux yeux de Dieu. David se plaint du manque de cordialitĂ© de la part de ses amis et relations. Ce manque a Ă©tĂ© comblĂ© par Christ, celui qui a Ă©tĂ© trahi par ses frĂšres et abandonnĂ© par ses disciples.

      Christ n'a Ă©tĂ© que satisfaction pour nous, non seulement en nous plaçant conformes aux yeux de Dieu, mais aussi en subissant le plus grand des dĂ©shonneurs qui puisse ĂȘtre affligĂ© aux hommes.

      Ne perdons pas courage si notre zÚle pour la vérité, les préceptes et l'adoration de Dieu peuvent provoquer la moquerie chez certains, à la vue de notre séparation d'avec le monde.

      Psaumes 107

      Psaumes 116

      Lamentations 3

      55 La foi du prophĂšte finit par triompher : il conclut ce chapitre, le cƓur rempli d’espĂ©rance !

      La priĂšre est le « souffle » de l’homme rĂ©gĂ©nĂ©rĂ©, exprimant vers le ciel ses louanges et ses pensĂ©es reconnaissantes, pour les misĂ©ricordes divines ; elle prouve et entretient la vie spirituelle.

      L’Éternel fit taire toute crainte dans le cƓur du prophĂšte, Il l’apaisa par ces paroles : « Ne crains pas ». C'Ă©tait le langage de la GrĂące divine, le tĂ©moignage de la puissance de Son Esprit !

      Que reprĂ©sentent nos Ă©preuves, comparĂ©es Ă  celles subies par notre RĂ©dempteur ? Il dĂ©livre les Siens de toute peine, et revivifie Son Ă©glise, Ă  chaque persĂ©cution. Il sauve les croyants d’un salut parfait, alors que Ses ennemis finiront par pĂ©rir dans les tourments Ă©ternels.

      Jonas 2

      Matthieu 8

      Matthieu 14

      Matthieu 26

      69 Dans ce texte, le pĂ©chĂ© de Pierre est exposĂ© avec exactitude : les Écritures relatent fidĂšlement tous les Ă©vĂšnements !

      Une mauvaise compagnie incite Ă  pĂ©cher : ceux qui ne peuvent Ă©viter ce type de frĂ©quentation peuvent craindre d'ĂȘtre tentĂ©s et pris au piĂšge, comme Pierre. On s'Ă©chappe difficilement d'une telle compagnie, sans culpabilitĂ©, ni chagrin, voire les deux. Nous commettons une grande faute, quand Christ est pour nous un sujet d’opprobre, et que nous dissimulons aux autres notre connaissance de Sa Personne : en fait, nous sommes appelĂ©s Ă  tĂ©moigner, sinon nous renions le Seigneur...

      Le pĂ©chĂ© de Pierre a empirĂ©, au cours de cette soirĂ©e : l’apĂŽtre a chutĂ©, par surprise, Ă  l’inverse de Judas, qui avait agit avec prĂ©mĂ©ditation.

      La conscience doit ĂȘtre pour nous comme le chant du coq : elle nous rappelle les pĂ©chĂ©s que nous aurions pu oublier. Pierre a Ă©tĂ© ainsi amenĂ© Ă  chuter, afin qu’il minimise sa confiance en lui-mĂȘme, qu’il soit plus modeste, plus humble, compatissant, et utile pour le service des autres. Cet Ă©vĂ©nement est une bonne leçon pour les croyants qui suivirent, et si les incroyants, les pharisiens, et les hypocrites trĂ©buchent encore, ils sont en pĂ©ril...

      Nous ignorons, si nous Ă©tions laissĂ©s Ă  nous-mĂȘmes, comment nous agirions en de telles circonstances. Que celui qui pense « tenir ferme », fasse attention de ne pas tomber ! Soyons donc mĂ©fiants envers notre propre cƓur, et sachons compter totalement sur le Seigneur.

      Pierre pleura amĂšrement. La peine qu'on Ă©prouve pour avoir pĂ©chĂ© ne doit pas ĂȘtre superficielle, mais grande et profonde. Pierre, Ă©tant profondĂ©ment attristĂ© d’avoir abandonnĂ© Christ, ne L'a plus jamais renié ; mais il L'a confessĂ© souvent, face au danger. Une vĂ©ritable repentance se manifestera par deux Ă©lĂ©ments opposĂ©s : la GrĂące et l'engagement ; ce sera le signe que l’affliction de notre pĂ©chĂ© ne sera pas seulement superficielle, mais sincĂšre.

      Marc 14

      66 Pierre commença Ă  renier JĂ©sus, alors qu’il resta Ă  distance du MaĂźtre. Ceux qui Ă©prouvent une certaine timiditĂ© quant Ă  leur piĂ©tĂ©, commencent en fait Ă  renier Christ. Ceux qui pensent qu'il est hasardeux d'ĂȘtre en compagnie des disciples de Christ, risquant par lĂ  de souffrir pour Lui, trouveront encore plus dangereux de cĂŽtoyer Ses ennemis.

      Quand on admirait Christ et qu'on s'attroupait autour de Lui, Pierre affichait volontiers son attachement au Seigneur ; maintenant, alors que ce Dernier est abandonnĂ© et mĂ©prisĂ©, l’apĂŽtre prĂ©tend n’avoir aucune relation avec Lui... Observons nĂ©anmoins que la repentance de Pierre fĂ»t trĂšs rapide et sincĂšre !

      Que celui qui pense ĂȘtre debout, prenne garde de ne pas tomber, et que celui qui a chutĂ©, songe aux diffĂ©rents Ă©vĂšnements de ce texte : qu’il se remĂ©more ses propres offenses et revienne au Seigneur avec des pleurs et des supplications, cherchant Ă  ĂȘtre pardonnĂ© et relevĂ© par le Saint-Esprit !

      Luc 22

      54 La chute de Pierre consista Ă  renier Christ, en dĂ©mentant ĂȘtre Son disciple ; Ă©tant dans l’embarras et en danger il a dĂ©savouĂ© son Seigneur.

      Celui qui a menti une fois, est fortement tentĂ© de recommencer et cĂ©der Ă  ce pĂ©chĂ©, mĂȘme en cherchant Ă  lutter contre, c'est comme permettre Ă  un courant d'eau de s’infiltrer dans une faille.

      Lors de ce reniement, le Seigneur s'est retournĂ© et a regardĂ© Pierre. 1. Il s’agissait d’un regard triste. JĂ©sus s'est retournĂ© et a regardĂ© Son disciple, comme pour lui dire : « vraiment, tu ne me connais pas, Pierre » ? 2. Ce regard Ă©tait sans doute une rĂ©primande. Songeons Ă  ce type de regard du Seigneur, lorsque nous avons pĂ©chĂ©... 3. C'Ă©tait un regard dĂ©sapprobateur : « toi qui Ă©tais le premier Ă  confesser que j'Ă©tais le Fils de Dieu, et qui avais solennellement promis que jamais tu ne me dĂ©savouerais » ! 4. C'Ă©tait aussi un regard compatissant : « Pierre, comment vas-tu te relever de ta chute, si Je ne t'aide pas » ? 5. JĂ©sus regarda Pierre avec une certaine autoritĂ©, pour qu'il quitte ces lieux et s’examine lui-mĂȘme. 6. C'Ă©tait enfin un regard significatif : il indiquait Ă  Pierre que la GrĂące pouvait toucher son cƓur, pour lui permettre de se repentir.

      La Grñce divine Ɠuvre DANS et PAR la Parole de Dieu ; elle permet à cette Derniùre d’entrer dans le cƓur, de toucher la conscience, amenant ainsi l'ñme à se tourner vers Dieu, dans la joie !

      Christ regarda aussi les principaux sacrificateurs : Son regard n’a pas eu sur eux le mĂȘme impact que sur Pierre : le disciple a bĂ©nĂ©ficiĂ©, en plus, de la GrĂące divine qui accompagnait ce regard, ce qui l’a restauré !

      Jean 18

      2 Corinthiens 12

      7 Dans ce texte, l'apĂŽtre, compte tenu des visions et des rĂ©vĂ©lations qu'il avait reçues prĂ©cĂ©demment, fait Ă©tat de la mĂ©thode entreprise par Dieu, pour le garder en toute humilitĂ©, et le prĂ©venir de toute tentation de s’enorgueillir.

      Il ne nous est pas dit en quoi consistait cette « épine dans la chair » ; il s’agissait peut-ĂȘtre d’un grave problĂšme, ou d’une grande tentation... Mais Dieu accorde souvent le bien par le biais de la souffrance : les reproches que peuvent nous adresser nos adversaires nous aident Ă  nous garder de toute fiertĂ©. Si Dieu nous aime, Il nous Ă©vitera d'ĂȘtre exaltĂ© au-delĂ  de toute mesure ; les fardeaux de toute nature sont ordonnĂ©s pour combattre la fiertĂ© spirituelle.

      Le texte nous dĂ©clare que cette « épine dans la chair » a Ă©tĂ© envoyĂ©e, Ă  titre malĂ©fique, par un ange de Satan ; mais Dieu, Celui qui a permis d’éprouver l’apĂŽtre, l'a « remaniĂ©e », pour devenir finalement le bien de Paul.

      La priĂšre est un « onguent » pour chaque plaie, un remĂšde pour chaque maladie ; quand nous sommes affligĂ©s par des « épines » dans la chair, nous devons nous consacrer Ă  la priĂšre. Si une rĂ©ponse n'est pas accordĂ©e dans l’immĂ©diat, ou peu aprĂšs, continuons Ă  prier !

      Les Ă©preuves nous sont envoyĂ©es par la Providence pour nous apprendre Ă  prier ; si elles persistent, c’est dans le but de nous apprendre Ă  poursuivre cette priĂšre. Quoique Dieu accepte la priĂšre de la foi, Il n'accorde pas toujours ce qui est demandé : alors qu'Il exauce parfois dans le courroux, Il refuse aussi dans Son Amour. Quand le Seigneur n’éloigne pas de nous les problĂšmes, ni les tentations, Il nous accorde cependant Sa grĂące toute suffisante, de sorte que nous n'avons aucune raison de nous plaindre ! La GrĂące manifeste la clĂ©mence de Dieu Ă  notre Ă©gard ; c'est suffisant pour nous Ă©clairer, nous animer, nous fortifier et nous rĂ©conforter dans les dĂ©tresses et les afflictions.

      La force du Seigneur est parfaitement adaptée à notre faiblesse. Sa Grùce est ainsi manifestée et magnifiée ! Quand nous nous sentons faibles, c'est alors que nous sommes forts, dans la Grùce de notre Seigneur Jésus-Christ ; quand nous ressentons vraiment cette faiblesse, allons à Christ, pour recevoir Sa force et découvrir cette abondance divine, de Puissance et de Grùce !

      2 Timothée 4

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