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Matthieu 26.26

Pendant qu'ils mangeaient, Jésus prit du pain ; et, aprÚs avoir rendu grùces, il le rompit, et le donna aux disciples, en disant : Prenez, mangez, ceci est mon corps.
Cette ordonnance du « repas du Seigneur » reprĂ©sente pour nous le repas de la PĂąque, par lequel nous commĂ©morons une dĂ©livrance bien plus grande que celle d'IsraĂ«l, fuyant alors, le pays d'Égypte.

« Prenez, mangez » ; acceptez de Christ ce qui vous est offert ; recevez l'expiation, l'approbation, la soumission à Sa Grùce et à Son autorité.

Une nourriture que l'on regarde uniquement, la contemplation d’un plat, aussi garni soit-il, ne nous nourriront pas ; il faut le consommer : il en est ainsi de la doctrine de Christ.

« Ceci est mon corps » ; il s’agit, de maniĂšre spirituelle, du corps de Christ. Nous partageons tous les bĂ©nĂ©fices du soleil : non pas qu’il soit disponible entre nos mains, mais par les rayons qu'il nous envoie ; de la mĂȘme maniĂšre, nous partageons la Personne de Christ, Ă©tant participant Ă  sa GrĂące, et aux fruits bĂ©nis que procure Son corps brisĂ©.

Le sang de Christ est représenté par le vin. Jésus a rendu grùces, pour nous enseigner à porter spirituellement notre regard vers Dieu, que ce soit pour le pain ou pour le vin. Jésus donna cette coupe aux disciples, avec un ordre : « buvez-en tous ».

Le pardon des pĂ©chĂ©s est une grande bĂ©nĂ©diction qui, dans le repas du Seigneur, est confĂ©rĂ©e Ă  tous les vĂ©ritables croyants ; ce pardon est d’ailleurs le fondement de toutes les autres bĂ©nĂ©dictions.

Pour conclure cette communion spirituelle, le Seigneur, en mentionnant le fruit de la vigne, assure Ă  Ses disciples qu’Il s’unira de nouveau avec eux, Ă  la fin des temps : « jusqu'au jour oĂč j'en boirai du nouveau avec vous », dit Il ; on peut interprĂ©ter ces paroles dans le sens oĂč le Seigneur JĂ©sus partagera avec les saints, les joies et les gloires de Son Royaume futur. Ce sera en fait le Royaume de son PĂšre ; le « vin de consolation » sera prĂ©sent, toujours nouveau.

Tandis que nous contemplons le corps brisĂ© de Christ, et Son sang versĂ© pour la rĂ©mission de nos pĂ©chĂ©s, rappelons-nous ce que la fĂȘte de la PĂąque Lui a coĂ»té : Il nous a littĂ©ralement donnĂ© « Sa chair Ă  manger » et « Son sang Ă  boire ».
Pendant qu'ils mangeaient, Jésus prit du pain et prononça la priÚre de bénédiction, puis il le rompit et le donna aux disciples en disant : « Prenez, mangez, ceci est mon corps. »

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      Ezéchiel 5

      5 La sentence qui s’abat sur JĂ©rusalem est vraiment redoutable ; l'expression qui la dĂ©crit, la rend encore plus terrible.

      Qui peut se tenir sous le regard de Dieu quand Il exprime Sa colĂšre ? Ceux qui vivent et qui meurent dans le pĂ©chĂ©, pĂ©riront en fait pour l’éternité ; un jour viendra oĂč le Seigneur perdra patience, en manifestant Sa colĂšre. Comment les personnes ou les Ă©glises, qui ne se soumettent aux statuts divins, pourront-ils Ă©chapper au sort malheureux, semblable Ă  celui de JĂ©rusalem ?

      Efforçons-nous d'honorer en toutes choses, la doctrine de notre Sauveur ! TÎt ou tard nous finirons par constater la véracité de la Parole de Dieu !

      Matthieu 14

      Matthieu 26

      26 Cette ordonnance du « repas du Seigneur » reprĂ©sente pour nous le repas de la PĂąque, par lequel nous commĂ©morons une dĂ©livrance bien plus grande que celle d'IsraĂ«l, fuyant alors, le pays d'Égypte.

      « Prenez, mangez » ; acceptez de Christ ce qui vous est offert ; recevez l'expiation, l'approbation, la soumission à Sa Grùce et à Son autorité.

      Une nourriture que l'on regarde uniquement, la contemplation d’un plat, aussi garni soit-il, ne nous nourriront pas ; il faut le consommer : il en est ainsi de la doctrine de Christ.

      « Ceci est mon corps » ; il s’agit, de maniĂšre spirituelle, du corps de Christ. Nous partageons tous les bĂ©nĂ©fices du soleil : non pas qu’il soit disponible entre nos mains, mais par les rayons qu'il nous envoie ; de la mĂȘme maniĂšre, nous partageons la Personne de Christ, Ă©tant participant Ă  sa GrĂące, et aux fruits bĂ©nis que procure Son corps brisĂ©.

      Le sang de Christ est représenté par le vin. Jésus a rendu grùces, pour nous enseigner à porter spirituellement notre regard vers Dieu, que ce soit pour le pain ou pour le vin. Jésus donna cette coupe aux disciples, avec un ordre : « buvez-en tous ».

      Le pardon des pĂ©chĂ©s est une grande bĂ©nĂ©diction qui, dans le repas du Seigneur, est confĂ©rĂ©e Ă  tous les vĂ©ritables croyants ; ce pardon est d’ailleurs le fondement de toutes les autres bĂ©nĂ©dictions.

      Pour conclure cette communion spirituelle, le Seigneur, en mentionnant le fruit de la vigne, assure Ă  Ses disciples qu’Il s’unira de nouveau avec eux, Ă  la fin des temps : « jusqu'au jour oĂč j'en boirai du nouveau avec vous », dit Il ; on peut interprĂ©ter ces paroles dans le sens oĂč le Seigneur JĂ©sus partagera avec les saints, les joies et les gloires de Son Royaume futur. Ce sera en fait le Royaume de son PĂšre ; le « vin de consolation » sera prĂ©sent, toujours nouveau.

      Tandis que nous contemplons le corps brisĂ© de Christ, et Son sang versĂ© pour la rĂ©mission de nos pĂ©chĂ©s, rappelons-nous ce que la fĂȘte de la PĂąque Lui a coĂ»té : Il nous a littĂ©ralement donnĂ© « Sa chair Ă  manger » et « Son sang Ă  boire ».

      Marc 6

      Marc 14

      22 Le repas du Seigneur est avant tout une nourriture spirituelle pour l'Ăąme : la quantitĂ© de pain et de vin que nous prenons est en fait relativement modeste, ces Ă©lĂ©ments n’étant qu’un symbole. Ce repas a Ă©tĂ© instituĂ© par notre MaĂźtre, afin que nous restions « forts », jusqu'Ă  Sa seconde venue. Nous devons le prendre avec reconnaissance et actions de grĂące : c’est un mĂ©morial de la mort de Christ. Son sang prĂ©cieux est mentionnĂ© plusieurs fois : il est le prix de notre rĂ©demption. Le sang de Christ, rĂ©pandu pour plusieurs, est vraiment suffisant pour sauver les pĂ©cheurs perdus qui se repentent !

      S’il a Ă©tĂ© rĂ©pandu pour beaucoup, pourquoi pas pour moi ? Ce sang a Ă©tĂ© le moyen qui nous a permis d’acquĂ©rir le salut, par la mort de Christ. Appliquons la doctrine de la croix Ă  nous-mĂȘmes : qu’elle soit une « nourriture » et un « breuvage » pour notre Ăąme, justifiant et rafraĂźchissant notre vie spirituelle ! Les joies que nous Ă©prouvons en prenant ce repas ici-bas sont les prĂ©mices et les « arrhes » de ce que nous vivrons dans les cieux. Tous ceux qui ont goĂ»tĂ© Ă  ces « dĂ©lices » spirituelles, dĂ©sirent vivement connaĂźtre celles qui seront Ă©ternelles ! Bien que le grand Berger subisse Ses souffrances en toute obĂ©issance, Ses disciples furent Ă©parpillĂ©s par le peu d’afflictions qu’ils durent supporter lors de Son arrestation.

      Combien sommes-nous enclins Ă  avoir une haute opinion de nous-mĂȘmes, et Ă  faire confiance Ă  notre cƓur ! Quelle lourde maladresse Pierre a commise, en rĂ©pondant de la sorte Ă  son MaĂźtre, sans crainte ni tremblement !

      Seigneur fais-moi la grùce de me garder de Te renier !

      Luc 22

      19 La Sainte CÚne, le « Repas du Seigneur », est une image commémorative de Christ, venu mourir ici-bas, pour nous délivrer du péché ; par cette ordonnance, Sa mort nous est rappelée d'une maniÚre particuliÚre, pour que nous en gardions le souvenir.

      Le brisement du corps de Christ, en tant que sacrifice pour effacer nos offenses, nous est remĂ©morĂ© par le pain qui est rompu. Rien ne peut ĂȘtre plus nourrissant et satisfaisant pour l'Ăąme, que cet « enseignement » de Christ, expiant ainsi notre pĂ©chĂ© et nous assurant du bĂ©nĂ©fice de cette expiation.

      Nous cĂ©lĂ©brons ce repas en souvenir de Celui qui l'a dĂ©jĂ  fait une premiĂšre fois, avant Sa mort ; nous cĂ©lĂ©brons cette commĂ©moration en nous joignant nous-mĂȘmes spirituellement Ă  Christ, dans une alliance Ă©ternelle.

      L'effusion du sang de Christ, par laquelle cette expiation a été faite, est représentée par le vin que nous prenons dans la coupe.

      Luc 24

      Jean 6

      47 L'avantage de la manne Ă©tait en quelque sorte limité : elle ne se rapportait qu’à cette vie terrestre ; « le pain de vie », quant Ă  lui, est excellent : l'homme qui s'en nourrit ne mourra jamais !

      Ce pain est la nature humaine de Christ, nature qu’Il revĂȘtit pour l'offrir au PĂšre, en tant que sacrifice pour les pĂ©chĂ©s du monde ; consommer ce pain, c’est acquĂ©rir tout ce qui appartient Ă  la vie et Ă  la piĂ©té ; cela concerne les pĂ©cheurs de toutes nations, qui se repentent et croient en JĂ©sus !

      52 La chair et le sang du fils de l'homme rĂ©vĂšlent le RĂ©dempteur, revĂȘtu de la nature humaine : Christ, en tant qu’homme, crucifiĂ©, avec la rĂ©demption opĂ©rĂ©e par ce sacrifice et tous les prĂ©cieux bienfaits qui en dĂ©coulent, le pardon du pĂ©chĂ©, notre adoption par Dieu, le chemin du trĂŽne de la GrĂące, les promesses de l'alliance et la vie Ă©ternelle !

      Tous ces bienfaits sont appelés « la chair et le sang de Christ », parce qu'ils sont acquis par Son corps rompu, et Son sang répandu. Cela représente également « la nourriture et la boisson spirituelles » de notre ùme. Manger cette chair et boire ce sang signifient croire en Christ.

      Par la foi, nous sommes participants de Christ et de Ses bienfaits. L'ùme qui reconnaßt sincÚrement son état déplorable et ses besoins, y trouve tout ce qui peut contribuer à calmer la conscience et engendrer une véritable sainteté dans le Rédempteur, « Dieu manifesté en chair ».

      MĂ©diter sur la croix de Christ, donne de la vie Ă  notre repentance, notre amour et notre reconnaissance envers Lui. Nous vivons en JĂ©sus, comme nos corps vivent, grĂące Ă  notre nourriture. Nous vivons en Lui, tels des membres qui subsistent, grĂące Ă  la tĂȘte, des branches grĂące aux racines : Ă©tant Lui-mĂȘme vivant, nous vivons aussi !

      Actes 2

      Actes 20

      7 Bien qu’à titre personnel, les disciples, lisaient, mĂ©ditaient, priaient, chantaient, maintenant ainsi leur communion avec Dieu, ils se rĂ©unissaient tous ensemble, pour adorer Dieu et pour renforcer leur communion fraternelle. Ils s’assemblaient le premier jour de la semaine, le jour du Seigneur.

      Le respect de ce premier jour doit ĂȘtre vraiment observĂ© par tous les enfants de Dieu. En rompant le pain, nous commĂ©morons d’une part, le corps de Christ, rompu pour nous, en sacrifice pour nos pĂ©chĂ©s, mais ce pain reprĂ©sente aussi une « nourriture spirituelle » et une fĂȘte pour notre Ăąme. DĂšs les premiers temps de l’église, il Ă©tait dĂ©jĂ  coutumier de cĂ©lĂ©brer la Sainte CĂšne, au jour du Seigneur, pour commĂ©morer la mort de Christ.

      Paul prĂȘcha dans l’assemblĂ©e de Troade. La prĂ©dication de l'Ă©vangile doit aller de pair avec les sacrements. Tous Ă©taient disposĂ©s Ă  entendre Paul, ce qu’il remarqua avec joie ; il poursuivit donc son discours jusqu'Ă  minuit. Il est vraiment mauvais de dormir quand la Parole de Dieu est prĂȘchĂ©e, cela rĂ©vĂšle manifestement un manque de respect Ă  Son Ă©gard. Nous devons faire notre possible pour prĂ©venir tout risque de somnolence au sein de l’église ; ne nous laissons pas aller, mais disposons notre cƓur pour qu’il soit rĂ©ceptif Ă  la prĂ©dication donnĂ©e, chassons le sommeil !

      Une infirmitĂ© doit attirer de la compassion, mais le mĂ©pris d’une exhortation spirituelle exige une certaine sĂ©vĂ©ritĂ©. La chute de ce jeune homme interrompit la prĂ©dication de l'apĂŽtre ; en fait, cet incident eut lieu pour confirmer cette derniĂšre. Eutychus a Ă©tĂ© ramenĂ© Ă  la vie. Comme les frĂšres ne savaient pas quand ils pourraient bĂ©nĂ©ficier de nouveau de la compagnie de Paul, ils lui demandĂšrent de prĂȘcher le plus possible, estimant qu'une nuit de sommeil perdue n'Ă©tait rien, face au bĂ©nĂ©fice tirĂ© de son enseignement.

      Qu’elles sont rares les heures de repos interrompues dans des buts de dĂ©votion ! Mais que de nuits passĂ©es dans de simples amusements ou des rĂ©jouissances coupables ! Qu’il est difficile de dĂ©velopper la vie spirituelle dans le cƓur de l'homme ! Les pratiques charnelles n’y fleurissent hĂ©las que trop...

      1 Corinthiens 10

      1 Corinthiens 11

      23 L'apÎtre décrit l'ordonnance sacrée de la cÚne, qui lui avait été révélée par le Seigneur. Les éléments visibles de la cÚne sont le pain et le vin. Quand on participe à ce repas, on mange du pain ; ce dernier « représente » le corps du Seigneur. Ceci expose clairement la pensée de l'apÎtre, qui excluait toute transformation de cette nourriture en chair.

      Matthieu nous rapporte que notre Seigneur a invitĂ© tous Ses disciples Ă  boire de la coupe, Matthieu 26:27, mentionnant par ce verset, qu'aucun croyant ne devait ĂȘtre privĂ© de la coupe. Ces Ă©lĂ©ments, le pain et le vin, reprĂ©sentent le corps brisĂ© et le sang versĂ© de Christ, avec tous les bienfaits qui dĂ©coulent pour nous, de Sa mort et de Son sacrifice.

      Notre Sauveur prit le pain et la coupe, rendit grĂąces et prĂ©senta ces Ă©lĂ©ments Ă  Ses disciples. Ces derniers n’avaient ensuite qu’à manger de ce pain et boire de cette coupe, en mĂ©moire de Christ. Ces actes visibles ne sont pas les plus importants, ils ne reprĂ©sentent pas toute la signification de cette sainte ordonnance. Ceux qui y participent, doivent considĂ©rer JĂ©sus en tant que Seigneur et MaĂźtre de leur Vie : ils peuvent s’approcher de Lui et vivre « en » Lui. Tels sont ici dĂ©crits, les buts de cette ordonnance.

      La cĂšne doit ĂȘtre prise en mĂ©moire de Christ, pour que nous gardions Ă  l’esprit qu'Il est mort pour nous et qu’Il intercĂšde pour nous, en vertu de Sa mort, Ă  la droite de Dieu. Il ne s’agit pas simplement de se souvenir de Christ, de Son Ɠuvre et de toutes Ses souffrances, mais de cĂ©lĂ©brer Ă©galement Sa GrĂące, nĂ©cessaire Ă  notre rĂ©demption.

      Nous dĂ©clarons par ce repas que la mort du Seigneur est Ă  la base de notre vie spirituelle, qu’elle est la source de tous nos rĂ©conforts et de notre espĂ©rance. Dans une telle dĂ©claration, nous glorifions Christ et tĂ©moignons de Sa mort, acceptant Son sacrifice comme rançon de nos pĂ©chĂ©s.

      Le repas du Seigneur n'est pas une ordonnance Ă©pisodique, il doit ĂȘtre pratiquĂ© rĂ©guliĂšrement. L'apĂŽtre souligne devant les Corinthiens, le danger de prendre ce repas de maniĂšre inconsidĂ©rĂ©e, ou en Ă©tant dans une situation de pĂ©chĂ©, tout en dĂ©clarant confirmer et renouveler l'alliance avec Dieu. Il n'y a aucun doute : cela engendre une grande culpabilitĂ©, et rend ceux qui agissent ainsi, redevables de jugements spirituels.

      Cela ne doit pas dĂ©courager les croyants « timides » de participer Ă  cette sainte ordonnance. Le Saint-Esprit n’a jamais voulu que ce texte soit transmis pour dissuader les vĂ©ritables chrĂ©tiens d’accomplir leur devoir en ce sens, bien que le diable les en ait parfois dissuadĂ©s.

      L'apĂŽtre s'adressait aux chrĂ©tiens, les avertissant de se mĂ©fier des jugements par lesquels Dieu punissait Ses serviteurs qui l'offensaient. Mais malgrĂ© ces chĂątiments, Dieu rappelle Sa MisĂ©ricorde : Il punit souvent ceux qu'Il aime. Il vaut mieux subir l’épreuve ici-bas, plutĂŽt que d'ĂȘtre spirituellement misĂ©rable, Ă  jamais...

      L'apĂŽtre indique quel est le devoir de ceux qui s’approchent de la table du Seigneur : un examen de conscience est essentiel pour participer correctement Ă  cette sainte ordonnance. Si nous prenons la peine de chercher au fond de nous-mĂȘmes tous nos manquements, pour les confesser Ă  Dieu, nous pourrons ainsi Ă©viter Ses jugements.

      L'apĂŽtre termine par une mise en garde relative aux irrĂ©gularitĂ©s dont les Corinthiens Ă©taient coupables, devant la table du Seigneur. Que chacun puisse considĂ©rer cet avertissement, de façon Ă  ne pas venir prĂ©senter un culte provocant devant Dieu, ce qui ne pourrait qu’attirer un jugement sĂ©vĂšre.

      Galates 4

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