Bénédiction
Tu jouis alors du travail de tes mains, tu es heureux, tu prospères. Psaume 128:2
Les bénédictions de ceux qui craignent Dieu.
- Seuls les saints sont réellement heureux. Il est vain de simuler une certaine crainte de Dieu si nous n'avons pas conscience de la droiture absolue qu'il faut avoir vis-à-vis de Ses préceptes. Béni soit celui qui craint le Seigneur, quelle que soit sa position ici-bas, riche ou pauvre. Si tu Le crains et si tu marches dans Ses voies, tout ira bien pour toi dans ce monde et tu auras la meilleure part dans l'éternité. Par la bénédiction divine, les hommes pieux disposent d'un gagne-pain honnête. Il y a ici une double promesse : ils auront une tâche à faire, car l'oisiveté, c'est la misère et le manque d'aisance ; de plus, ils auront force et santé, c'est-à-dire la volonté d'action. Ils ne profiteront pas du labeur des autres. C'est à la fois une grâce et un devoir, de pouvoir, en toute tranquillité, travailler et manger de son propre pain. Ils pourront jouir de leur gain. Cette crainte du Seigneur et ce cheminement dans Ses sentiers sont les seuls critères qui peuvent rendre une personne heureuse, quels que soient les aléas de la vie. Cela donne une vie familiale d'une richesse et d'une qualité incomparables.Ceux qui craignent Dieu auront toutes les bonnes choses promises par Dieu, ils jouiront des requêtes qu'ils auront faites dans leurs prières. Un homme pieux peut se réjouir en voyant ses petits enfants ; il en est de même pour la paix sur Israël.
Chaque véritable croyant se réjouit de voir l'église prospérer. Plus tard, il verra encore de plus grandes choses, dans la paix éternelle et dans le repos que Dieu réserve à Israël.
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Tu mangeras le fruit du travail... Ce qui ne signifie pas, comme on pourrait le croire : vivre de son travail, sans être obligé de recourir à l'assistance d'autrui. Pour les Hébreux, le contraire de manger le fruit de son travail c'est le voir manger par d'autres, et c'est là un malheur et une punition divine mentionnés très souvent dans l'Ecriture (Lévitique 26.16 ; Deutéronome 28.38, etc.) (Bovet). Le Psaume 127 rappelait que Dieu peut combler de biens celui qu'il aime pendant son sommeil. L'hôte accueilli dans la maison rappelle à celui qui vient de parler ainsi que, dans le cas présent, il y a eu travail persévérant, dans la crainte de Dieu.