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Romains 6.17

Mais que Dieu soit remercié : alors que vous étiez esclaves du péché, vous avez obéi de tout cœur au modèle d'enseignement auquel vous avez été confiés.
Mais grâce à Dieu, après avoir été esclaves du péché, vous avez obéi de cœur à la règle de doctrine qui vous a été transmise.
Mais grâces soient rendues à Dieu de ce que, après avoir été esclaves du péché, vous avez obéi de coeur à la règle de doctrine dans laquelle vous avez été instruits.
Mais Dieu soit loué : vous qui étiez auparavant esclaves du péché, vous avez maintenant obéi de tout votre cœur au modèle présenté par l’enseignement que vous avez reçu.
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    • 1 Chroniques 29

      Esdras 7

      27 Esdras bénit Dieu pour deux raisons :

      - Pour Son dessein de rétablir le temple. Si la bonté émane de notre cœur, ou de celui de notre entourage, nous devons reconnaître qu'elle ne peut provenir que de Dieu, et en conséquence, nous devons Le remercier ; c'est Lui qui œuvre en nous, désirant nous voir pratiquer le bien. - Pour Son encouragement : « Dieu a étendu Sa bonté sur moi ». Esdras était un homme courageux ; il ne s'attribuait pas cette qualité, mais à La main de Dieu, qui le dirigeait. Si Dieu nous « donne la main », nous serons alors audacieux et joyeux ! S'il lâche cette même main, c'est alors que nous deviendrons vulnérables.

      Dans tout ce que nous pouvons accomplir pour Dieu et pour ceux qui nous entourent, le Seigneur seul doit en recevoir toute la gloire !

      Psaumes 18

      Matthieu 11

      25 Il convient aux enfants d'être reconnaissants envers leurs parents : quand nous nous approchons de Dieu, en tant que fils, nous devons nous souvenir qu'Il est aussi le Seigneur du ciel et de la terre, ce qui nous oblige à venir à Lui avec vénération. Il est le Seigneur souverain en toutes choses ! Approchons-nous cependant de Lui avec confiance, car Il est Celui qui est capable de nous défendre du mal, et de nous procurer tout bien.

      Dans ce texte, notre Seigneur béni a ajouté une déclaration remarquable : le Père a livré entre les mains de Christ, tout pouvoir, toute autorité, et tout jugement. Nous sommes redevables envers le Seigneur, pour toute révélation sur la Volonté et l’Amour du Père, éléments immuables depuis le péché originel d’Adam.

      Notre Sauveur invite tous ceux qui sont fatigués et lourdement chargés de venir à Lui. Tous les hommes, en quelque sorte, sont dans cet état : ils se chargent de vaines occupations, en vue d’obtenir richesses et honneurs ; ils se consacrent à des labeurs infructueux, à la poursuite des plaisirs ; « l'esclave de Satan », avec toutes ses convoitises, est ce qui est le plus répandu ici-bas. Ceux qui œuvrent en vue d’instaurer leur propre justice, le font en vain. En fait, le pécheur convaincu est lourdement chargé par le fardeau de sa culpabilité et de sa peur du jugement, face à la Sainteté divine ; le croyant, lorsqu’il est tenté et affligé, est également soumis a divers fardeaux et peines.

      Christ invite chacun à venir à Lui, pour le repos de l'âme. Il est le Seul qui puisse faire ce genre d’invitation ; les hommes viennent à Lui quand, ressentant leur culpabilité et leur misère, et croyant que Son amour et Sa Puissance peuvent les aider, Le cherchent, dans une fervente prière.

      Tels sont le devoir et l'intérêt des pécheurs, fatigués et chargés : venir à Jésus-Christ ! C’est l'appel de l'évangile : quiconque veut venir au Seigneur, qu'il vienne ! Tous ceux qui s’approcheront ainsi, recevront le repos, en tant que don de Christ, et obtiendront la paix et le réconfort en leur cœur.

      Mais en venant à Lui, ils doivent prendre Son joug, et se soumettre à Son autorité. Ils doivent tout apprendre de Lui, en particulier l'obéissance. Jésus accepte celui qui est disposé à Le servir, même s’il est encore imparfait pour accomplir cette tâche. C'est auprès de Christ, que nous pouvons trouver le repos pour notre âme, uniquement en Lui. Nous ne devons pas craindre Son joug. Ses commandements sont saints, justes, et bons.

      Le Seigneur exige le désintéressement, et expose Ses enfants à diverses difficultés, mais tout cela est abondamment récompensé, même en ce monde, par une paix et une joie intérieures. Ce joug est placé par Jésus, avec amour. Les soutiens divers qu'Il nous offre sont si puissants, Ses encouragements si appropriés, et Ses consolations si efficaces, pour accomplir notre devoir, que nous pouvons vraiment dire qu’il s’agit d’un « joug agréable et doux ». Le chemin du devoir est en quelque sorte, celui du repos !

      Les vérités que Christ nous enseigne sont telles, que nous pouvons les appliquer sans risque pour notre âme : telle est la Miséricorde du Rédempteur ! Pourquoi le pécheur fatigué et accablé chercherait-il le repos ailleurs ?

      Approchons-nous de Jésus chaque jour, pour être délivrés de la colère divine, de notre culpabilité, du péché et de Satan, de tous nos soucis, de nos peurs et de nos peines. Mais cette obéissance volontaire est loin d'être aisée et facile à atteindre : elle représente un lourd fardeau. C'est en vain que nous pourrons nous approcher de Jésus « avec nos lèvres », si notre cœur est loin de Lui.

      Venez donc à Jésus, afin de trouver le repos pour votre âme !

      Actes 11

      Actes 28

      Romains 1

      8 Nous devons manifester de l'amour envers nos amis, non seulement en priant pour eux, mais aussi, en remerciant Dieu pour l’affection qu’ils nous témoignent.

      Dans nos buts comme dans nos différents désirs, rappelons-nous de prononcer cette phrase : « Si Dieu le veut », \\# Jacques 4:15\\. Notre parcours ici-bas dépend de la Volonté divine. Nous devons partager en toute libéralité avec notre prochain, la joie spirituelle que Dieu nous a accordée, nous réjouissant particulièrement dans cette communion avec nos frères dans la foi.

      Si nous sommes rachetés par le sang de Christ, et convertis par Sa Grâce, nous devenons les Siens ; par égards envers le Seigneur, nous devons pratiquer tout le bien possible envers tous les hommes.

      De tels services font partie de notre devoir spirituel !

      Romains 2

      Romains 6

      Romains 15

      Romains 16

      1 Corinthiens 1

      1 Corinthiens 6

      9 Dans ce texte, les Corinthiens sont mis en garde contre les nombreux péchés, dont ils étaient autrefois coupables. Le réquisitoire de Paul, sur ce sujet, est très virulent, si nous considérons qu’il était adressé à des personnes fières de leur sagesse et de leurs connaissances.

      Toute perversité est un péché ; tout péché qui demeure, étant commis délibérément et sans repentir, ferme la porte du Royaume des cieux. Ne vous y trompez pas : beaucoup de personnes sont très enclines à se vanter de pouvoir vivre dans le péché, tout en étant « mortes en Christ », annonçant avec arrogance, pouvoir cependant aller au ciel. Nous ne pouvons pas espérer vivre « selon la chair », et jouir plus tard, de la vie éternelle.

      Paul rappelle aux Corinthiens, quels ont été les changements que l'Évangile et la Grâce de Dieu ont opéré sur eux. Le sang de Christ, et la purification de la régénération, peuvent effacer toute culpabilité. Notre justification est due à la souffrance et au mérite de Christ ; notre sanctification provient de l'œuvre du Saint-Esprit ; toutes deux vont de pair. Tous les sanctifiés, aux yeux du Seigneur, le sont par Sa Grâce !

      2 Corinthiens 2

      2 Corinthiens 10

      Ephésiens 1

      Ephésiens 2

      Philippiens 1

      Colossiens 1

      1 Thessaloniciens 1

      1 Thessaloniciens 3

      2 Thessaloniciens 1

      1 Timothée 1

      2 Timothée 1

      Tite 3

      Philémon 1

      Hébreux 5

      Hébreux 11

      8 Nous sommes souvent appelés à détacher nos liens qui nous lient au monde, à perdre nos intérêts et nos commodités d’ici-bas. Si nous sommes les « héritiers de la foi d'Abraham », nous obéirons et irons de l'avant, bien que nous ne sachions pas ce qui nous attend ; nous emprunterons alors le chemin du devoir, espérant fermement l'accomplissement des promesses de Dieu.

      L'épreuve de la foi d'Abraham consistait simplement à obéir totalement à l'appel de Dieu. Sara reçut la « promesse » comme étant celle de Dieu ; étant ainsi convaincue, elle estima avec assurance que non seulement, ce Dernier pouvait, exécuter cette promesse, mais qu’Il le ferait.

      Beaucoup de personnes, auxquelles Dieu a fait des promesses, ne reçoivent pas immédiatement ce qui leur a été promis. La foi peut faire patienter, en vue de bénédictions lointaines, comme les voir s’accomplir très rapidement ; elle peut se réjouir en ces bénédictions, bien que nous soyons « qu'étrangers » ici-bas : la demeure des saints (ou des pèlerins) se trouve en effet dans le ciel ! Par la foi, ces derniers sont vainqueurs sur l’anxiété que peut provoquer la mort, ils sont prêts à dire « au revoir » à ce monde, à toutes ses plaisir comme à toutes ses souffrances.

      Les coupables qui ont été jadis véritablement sauvés et appelés vers le Royaume céleste, n'ont aucunement l'envie de revenir en ce monde. Tous les croyants authentiques aspirent à l'héritage céleste ; plus leur foi est déterminée, plus ils sont fervents de cœur ! Malgré les dégâts qu’ont pu occasionner leurs péchés, et la pauvreté de leur condition spirituelle, Dieu n'a pas honte d'être appelé LEUR Dieu ; telle est Sa Miséricorde et Son Amour envers eux. Que les rachetés n'aient jamais honte d'être appelés Son peuple, ni de faire partie de ceux qui sont tant méprisés ici-bas ! Par dessus tout, qu'ils veillent à ce qu'ils ne soient l’objet d’aucune honte ni d’aucun reproche envers leur Dieu.

      L'épreuve et l'acte de foi les plus grands, cités dans la Parole, se retrouvent dans l'offrande qu'a faite Abraham, avec son fils Isaac, Ge 22:2. Dans ce texte, chaque terme retrace une épreuve.

      Notre devoir consiste à distinguer et à dissiper nos doutes éventuels et nos craintes, en regardant, comme l’a fait Abraham, à la Toute-puissance divine. La meilleure façon d’apprécier tout ce que nous possédons est de tout remettre à Dieu ; Il continuera alors à nous octroyer ce qu’il y a de meilleur.

      Considérons quelle a été notre obéissance à Dieu, lorsque qu’Il nous a appelés à des actes de bien moindre envergure que ceux qui sont cités dans ce texte. Avons-nous abandonné tout ce que nous avions, totalement persuadés que le Seigneur compenserait toutes nos pertes, et nous bénirait par Ses dispensations, même celles qui pourraient nous paraître les plus affligeantes ?

      1 Pierre 1

      1 Pierre 2

      1 Pierre 3

      1

      Les devoirs des épouses et des maris. (1 Pierre 3:1-7)
      Les chrétiens exhortés à la bonne entente. (1 Pierre 3:8-13)
      Exhortés à la patience, sous les persécutions, à cause de la justice, comme Christ, qui a souffert patiemment. (1 Pierre 3:14-22)

      Une épouse doit être soumise à son mari, même si ce dernier n'obéit pas à la Parole.

      Nous voyons quotidiennement à quel point les hommes impies surveillent avec attention les faits et gestes de ceux qui professent la piété. Il n’est pas interdit à une femme de porter une parure, mais c'est le fait d’afficher de la vanité et d’en souligner la grande valeur qui est péché.

      Ceux qui manifestent leur piété doivent prendre soin que tout leur comportement réponde à leur confession. Bien peu de personnes témoignent d’une juste mesure pour ces deux nécessités de la vie courante : la nourriture et le vêtement ! À moins que la pauvreté les en empêche vraiment, de nombreuses personnes dans notre entourage, désirent faire des acquisitions qui sont au delà de leur nécessaire.

      Beaucoup exposent une certaine modestie de par leur attitude, plutôt que par leur réelle humilité ; certains ne sont guère limités matériellement, mais dépensent leur temps et leur argent dans de vaines bagatelles.

      L'apôtre conseille aux femmes chrétiennes, de revêtir une parure incorruptible, qui embellit l'âme : les grâces du Saint-Esprit. Cette « parure » sera vraiment utile pour ménager les affections et gagner l'estime d'un mari, et sera plus efficace que les divers ornements, vêtements à la mode, ou qu’un tempérament querelleur.

      Les chrétiens doivent accomplir leurs devoirs mutuels, d'un esprit bien disposé, et dans l'obéissance aux commandements divins. Les épouses doivent être soumises à leur mari, non dans la crainte, ou la servilité, mais par le désir de bien faire et de plaire à Dieu. Le devoir du mari envers son épouse implique le respect qui lui est dû, en maintenant son autorité, en la protégeant, et en plaçant sa confiance en elle. Ils sont tous deux héritiers de toutes les bénédictions de cette vie et de l’avenir, et doivent vivre pacifiquement l'un avec l'autre.

      La prière doit adoucir leur conversation. Et il n'est pas suffisant qu'ils prient en famille, mais le mari et l'épouse doivent prier d’une part ensemble, et d’autre part avec leurs enfants. Ceux qui sont habitués à cette pratique de la prière en commun, trouvent en cette dernière une telle douceur qu'ils ne seront pas entravés plus tard à ce sujet. Pour pouvoir beaucoup prier, il faut vivre dans la sainteté, et réciproquement !

      1 Pierre 4

      2 Jean 1

      4 Il est bon d'être formé de bonne heure à la piété ; les enfants sont des bien-aimés au sein d’une famille, quand leurs parents veillent sur eux avec soin.

      Ce fut une grande joie pour l'apôtre de pouvoir constater que ces enfants marchaient dans les pas de leurs parents, prêts à diffuser l'Évangile, à leur tour. Puisse Dieu vraiment bénir de telles familles et faire que beaucoup puissent imiter leur exemple. Qu’il est agréable de constater un tel contraste avec le grand nombre de parents qui, hélas, ont répandu le mépris de la piété, l'infidélité et le vice parmi leurs enfants !

      Notre « marche spirituelle » est droite et notre conversation authentique, lorsque nous nous conduisons conformément à l’enseignement de la Parole de Dieu.

      Le commandement d'amour fraternel, parmi les chrétiens, peut être considéré comme « moderne », par rapport à ce qui était déclaré à l’origine, par Christ, notre Seigneur ; en fait, dans son fondement, c'est un principe biblique ancien. Cet amour est également bénéfique pour notre âme, lorsque nous obéissons aux commandements divins. La prévoyance de régression spirituelle, aussi bien que d'autres apostasies, ont poussé l'apôtre à exalter toujours et vivement l’amour.

      3 Jean 1

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