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Frères et sœurs, je ne veux pas vous laisser ignorer que nos ancêtres ont tous été sous la nuée et qu’ils ont tous passé à travers la mer ;
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En ce qui concerne les réalités spirituelles, je ne veux pas, frères et sœurs, que vous soyez dans l'ignorance.
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Il y a diversité de dons, mais le même Esprit ;
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diversité de services, mais le même Seigneur ;
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diversité d'actes, mais le même Dieu qui accomplit tout en tous.
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Or, à chacun la manifestation de l'Esprit est donnée pour le bien de tous.
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En effet, à l'un est donnée par l'Esprit une parole de sagesse ; à un autre une parole de connaissance, selon le même Esprit ;
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à un autre la foi, par le même Esprit ; à un autre des dons de guérisons, par le même Esprit ;
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à un autre la possibilité de faire des miracles ; à un autre la prophétie ; à un autre le discernement des esprits ; à un autre diverses langues ; à un autre l'interprétation des langues.
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Mais toutes ces choses, c’est un seul et même Esprit qui les accomplit, en les distribuant à chacun en particulier comme il le veut.
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Recherchez l'amour. Aspirez aussi aux dons spirituels, mais surtout à la prophétie.
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En effet, celui qui parle en langue ne parle pas aux hommes mais à Dieu, car personne ne le comprend, et c'est en esprit qu'il dit des paroles mystérieuses.
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Celui qui prophétise, au contraire, parle aux hommes, les édifie, les encourage, les réconforte.
4
Celui qui parle en langue s'édifie lui-même, alors que celui qui prophétise édifie l'Eglise.
5
Je désire que vous parliez tous en langues, mais encore plus que vous prophétisiez. Celui qui prophétise est plus important que celui qui parle en langues, à moins que ce dernier n'interprète pour que l'Eglise reçoive une édification.
6
Et maintenant, frères et sœurs, en quoi vous serais-je utile si je venais chez vous en parlant en langues au lieu de vous apporter une parole de révélation, de connaissance, de prophétie ou d'enseignement ?
7
Si les objets inanimés qui rendent un son, comme une flûte ou une harpe, ne rendent pas des sons distincts, comment reconnaîtra-t-on la mélodie jouée sur eux ?
8
Et si la trompette rend un son confus, qui se préparera au combat ?
9
Il en va de même pour vous : si votre langue ne donne pas une parole intelligible, comment saura-t-on ce que vous dites ? En effet, vous parlerez en l'air.
10
Si nombreuses que puissent être les diverses langues dans le monde, aucune [d’entre elles] n'est dépourvue de signification.
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Si donc je ne connais pas le sens d’une langue, je serai un étranger pour celui qui parle, et celui qui parle sera un étranger pour moi.
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Vous de même, puisque vous aspirez aux dons spirituels, cherchez à posséder avec abondance ceux qui édifient l'Eglise !
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C'est pourquoi, que celui qui parle en langue prie afin de pouvoir interpréter.
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En effet, si je prie en langue, mon esprit est en prière, mais mon intelligence est stérile.
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Que faire donc ? Je prierai avec mon esprit, mais je prierai aussi avec mon intelligence ; je chanterai avec mon esprit, mais je chanterai aussi avec mon intelligence.
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En effet, si tu prononces une bénédiction avec ton esprit seulement, comment celui qui fait partie des simples auditeurs pourra-t-il répondre « Amen ! » à ta prière de reconnaissance, puisqu'il ne sait pas ce que tu dis ?
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Certes, tu prononces une belle prière de reconnaissance, mais l'autre n'est pas édifié.
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Je remercie [mon] Dieu de ce que je parle en langues plus que vous tous.
37
Si quelqu'un croit être prophète ou dirigé par l’Esprit, qu'il reconnaisse dans ce que je vous écris un commandement du Seigneur.
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En ce qui concerne la détresse que nous avons connue en Asie, nous ne voulons en effet pas vous laisser ignorer, frères et sœurs, que nous avons été accablés à l'extrême, au-delà de nos forces, au point que nous désespérions même de rester en vie.
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C'est lui qui a donné les uns comme apôtres, les autres comme prophètes, les autres comme évangélistes, les autres comme bergers et enseignants.
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Nous ne voulons pas, frères et sœurs, que vous soyez dans l'ignorance au sujet de ceux qui sont morts, afin que vous ne soyez pas dans la tristesse comme les autres, qui n'ont pas d'espérance.
8
Mais s’il y a une chose, bien-aimés, que vous ne devez pas oublier, c'est qu’aux yeux du Seigneur un jour est comme 1000 ans et 1000 ans sont comme un jour.
1 à 11 Les dons spirituels sont divers, mais tous produits pas le même Esprit.
Grec : "Touchant les spirituels." Il est évident par ce qui suit que le substantif sous-entendu c'est les dons et non les hommes (spirituels), comme on l'a prétendu.
L'apôtre consacre trois chapitres cet important sujet. (Ch. 12-14.)
"Cette partie de l'épître est sans contredit celle de tout le Nouveau Testament qui est le plus propre à faire revivre à nos yeux l'époque la plus remarquable de l'histoire, et à nous peindre ces premiers temps où la jeune Eglise commençait à étendre ses ailes dans l'humanité, et révélait son existence par les plus étonnants phénomènes. Au jour de la Pentecôte, la vie d'en haut s'était répandue comme un torrent sur les disciples du Seigneur. Le feu de l'Esprit de Dieu pénétra bientôt dans ces Eglises nouvellement nées, et produisit en ceux qui se placèrent sous son influence une profondeur de connaissance, une force de volonté, des transports de joie céleste inconnus à la terre, et dont l'éclat fut d'autant plus vif que ces Eglises apostoliques étaient entourées des profondes ténèbres du paganisme. Dans leur première et surabondante effusion, dans leur première lutte contre les puissances du monde et du mal, les dons de l'Esprit se manifestèrent par des faits merveilleux que nul ne pouvait expliquer selon les lois ordinaires de la nature. La puissance divine, par laquelle Christ avait agi sur le monde visible, semblait s'être répandue sur son Eglise entière ! Ces dons miraculeux de la jeune Eglise continuèrent à se produire, quoiqu'en diminuant par degrés, jusque vers la fin du IIIe siècle, c'est-à-dire jusqu'au temps où elle devint victorieuse du monde païen. C'est parmi les Grecs, et spécialement à Corinthe, que les dons de l'Esprit se manifestèrent avec le plus de puissance et de variété. Ils y parurent sous toutes les formes, (versets 8-10) dans leur ardente activité. Et comme plusieurs de ceux qui étaient doués de ces grâces si saintes en elles-mêmes, étaient loin encore d'une entière sanctification ; comme les penchants du vieil homme se mêlaient en eux aux dons de Dieu et en troublaient la pureté, il était difficile que l'exercice de ces dons ne fût pas accompagné de divers abus. C'est ce qui eut lieu particulièrement au sujet du don des langues, auquel les Corinthiens attachaient une valeur proportionnée à l'éclat qu'il faisait rejaillir sur ceux qui le possédaient. Afin de faire comprendre aux Corinthiens le vrai rapport du don des langues aux autres dons, l'apôtre jette d'abord un regard sur toutes ces manifestations de L'Esprit de Dieu : puis il montre, par l'analogie de l'organisme humain, que, dans l'Eglise de Dieu, tous les dons, malgré leur diversité, ont la même origine et le même but. (Chap. 12.) Il établit ensuite que ce qui couronne tous les dons, ce qui en fait la vraie valeur, ce qui doit les pénétrer d'une saveur divine, c'est l'amour. (Chap. 13.) Enfin il développe, sur le don des langues, les principes qui doivent en diriger l'emploi. (Chap. 14.)" Olshausen.
La variété et l'usage des dons spirituels. (1 Corinthiens 12:1-11)
Les dons spirituels sont des pouvoirs extraordinaires accordés aux chrétiens dès les premiers temps de l’église, pour convaincre les non-croyants et répandre l'Évangile.Dans le corps humain, chaque membre a sa place et son usage. (1 Corinthiens 12:12-26)
Ceci s’applique à l'Église. (1 Corinthiens 12:27-30)
Ce qu’il y a de plus excellent que les dons spirituels. (1 Corinthiens 12:31)
Les dons et les grâces sont de nature tout à fait différente. Les deux ont été octroyés librement par Dieu. La Grâce est accordée pour le salut de celui qui la possède. Les dons servent au bienfait et au salut des autres ; il peut y avoir abondance de dons, avec une dispensation modeste de la grâce.
Les dons extraordinaires du Saint-Esprit ont été octroyés dans certaines assemblées, comme celle des Corinthiens, dépourvus alors d’une réelle piété et d’amour fraternel authentique. Tels des païens, ils n'avaient pas vraiment été influencés par l'Esprit de Christ...
Personne ne peut appeler Christ « Seigneur », et prétendre Lui appartenir, sans posséder la foi que peut accorder le Saint-Esprit. Nul ne peut croire en son cœur que Jésus est le Christ, si ce n'est par le Saint-Esprit.
Il y a divers dons dans l’assemblée, diverses fonctions à remplir, provenant d'un même Dieu, d'un même Seigneur, d'un même Esprit : le Père, le Fils, et le Saint-Esprit, à l'origine de toutes bénédictions spirituelles. Personne ne peut disposer de ces dons à titre personnel. Plus un chrétien mettra ses dons à la disposition des autres, plus il tirera de ces derniers un bénéficie spirituel.
Les dons mentionnés dans ce texte sont en parfaite harmonie avec la doctrine chrétienne, comme par exemple, la connaissance de certains mystères de la Parole, ou une véritable aptitude à donner d’excellents conseils. On trouve également dans ce texte, le don de guérison, celui d'accomplir des miracles, d'expliquer l'Écriture, par un don particulier de l'Esprit, la capacité de parler et d’interpréter des langues...
Si nous avons une certaine connaissance de la Vérité, ou la moindre possibilité de La faire connaître, nous devons en donner toute la gloire à Dieu. Plus les dons sont importants, plus son détenteur est exposé à certaines tentations, plus il doit posséder la Grâce, nécessaire à son humilité et à sa spiritualité ; cette personne pourra être confrontée à de nombreuses expériences douloureuses, voire humiliantes.
Nous n'avons aucune raison de nous glorifier des dons qui nous sont octroyés, ni de mépriser ceux qui n'en ont pas.