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1 Corinthiens 13.2

Je peux avoir le don de parler au nom de Dieu, je peux comprendre tous les mystères et posséder toute la connaissance. Je peux avoir une foi assez grande pour déplacer les montagnes. Mais si je n’aime pas les autres, je ne suis rien !
Et quand j'aurais le don de prophétie, que je connaîtrais tous les mystères, [et que j'aurais] toute sorte de science ; et quand j'aurais toute la foi [qu'on puisse avoir], en sorte que je transportasse les montagnes, si je n'ai pas la charité, je ne suis rien.
Je pourrais transmettre des messages reçus de Dieu, posséder toute la connaissance et comprendre tous les mystères, je pourrais avoir la foi capable de déplacer des montagnes, si je n’ai pas d’amour, je ne suis rien.
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    • Nombres 24

      15 Balaam, animé par l'Esprit de prophétie, prédit la prospérité et la domination du peuple d'Israël. Le personnage se vante d'avoir enfin les yeux ouverts ! Autrefois, on appelait les prophètes, des voyants.

      Beaucoup entendent la Parole sans y prêter attention ni discerner la présence divine. Balaam connaissait la pensée du Très Haut. Un homme peut très bien connaître la pensée de Dieu, tout en étant, par désobéissance, dépourvu de Sa grâce. Balaam appelait l'Éternel « le Dieu Tout Puissant ». Personne, dans son entourage, ne pouvait à l'époque exprimer un plus grand respect envers Dieu, malgré le fait qu'il ne ressentait pas vis-à-vis de ce Dernier, une crainte ou un amour réels et que sa foi n'avait rien d'extraordinaire.

      Dans la mesure où un homme se rapproche des cieux, il peut s'en trouver très près, sans toutefois y être ! Cette prophétie décrit l'Éternel, qui se trouve être la « Couronne » et la « Gloire » du peuple d'Israël et plus tard, dans une certaine mesure, du roi David. Mais ce discours annonce également le côté merveilleux de notre Seigneur Jésus, le Messie promis.

      Balaam était en fait un mauvais homme : il voyait bien Christ, tout en restant éloigné de Dieu ; il ne le voyait pas comme Job, qui le discernait comme son Rédempteur personnel. Quand Jésus viendra sur les nuées, tout œil le verra ; mais beaucoup le verront comme cet homme riche, qui en enfer, voyait au loin Abraham. Christ sortira de Jacob et d'Israël, telle une Étoile et un Sceptre : l'Étoile représentera Sa Gloire et Son éclat, le Sceptre, toute Sa Puissance et Son Autorité. Christ sera le Roi, non seulement de Jacob et d'Israël, mais du monde entier ; tous seront alors gouvernés par Son Sceptre d'or, ou mis en pièces par Sa Verge de fer.

      Balaam prophétisa sur les Amalécites et les Kéniens, des peuples qu'il ne connaissait pas : même cachés dans le creux des rochers, ils ne pourront subsister, face à la Puissance de l'Éternel. Cette prophétie s'étend même jusqu'aux confins des civilisations Grecques et Romaines, annonçant les œuvres grandioses que l'Éternel accomplira avec ces nations. Ces événements seront si terribles que personne ne pourra en réchapper. Ceux qui survivront, seront comme arrachés du feu de la destruction. Que Dieu puisse nous préparer à supporter ces événements terrifiants !

      Au lieu de proférer des blasphèmes sur l'église, Balaam maudit d'abord Amalek, puis Rome, le dernier ennemi du peuple de Dieu. Non seulement Rome, dans son contexte païen, mais aussi dans la Papauté : l'antichrist et toutes les puissances qui l'entourent.

      Posons-nous cette question : est-ce que par nos connaissances, notre expérience ou notre profession, nous surpassons Balaam ? Aucune parole dite avec empressement, même dans la prédication ou la prière, ou sur la connaissance de la prophétie, n'est en fait différente ou supérieure aux vantardises de ceux qui se disent ennemis de Dieu et qui pratiquent l'injustice. La simple dépendance envers le Sang rédempteur, la Grâce qui nous sanctifie et la soumission à la Volonté divine, les efforts constants à glorifier Dieu et à aider Son peuple, ne sont peut-être pas des actes qui brillent par leur splendeur aux yeux du monde, mais qui sont en réalité des dons spirituels merveilleux, qui accompagnent notre salut. Aucun hypocrite n'est capable d'exercer de tels agissements. Le plus petit des croyants possède déjà un minimum de ces dons et aspire en fait, par la prière, à en posséder davantage.

      Matthieu 7

      Matthieu 13

      Matthieu 17

      Matthieu 21

      Marc 11

      Luc 17

      Romains 11

      Romains 16

      25 Une prédication claire, relative à Jésus-Christ, affermit les âmes. Notre rédemption et notre salut, en notre Seigneur Jésus-Christ, sont, sans controverse, un grand mystère de la piété. Cependant, béni soit Dieu, une grande partie de ce mystère nous a déjà été dévoilée, pour nous conduire vers le ciel, si du moins, nous ne négligeons pas obstinément l’offre d’un si grand salut.

      La vie et l'immortalité sont mis en lumière par l'Évangile, le « Soleil de Justice », qui s'est levé sur le monde. Les écrits que les prophètes nous ont laissés dans la Parole n'ont pas seulement clarifié le « mystère du temps de la Grâce », mais par leur intermédiaire, ce dernier a été connu de tous. En effet, Christ y offre le salut à toutes les nations. L'Évangile est révélé, non pour être un sujet de débats, mais pour le salut des âmes, Il agit par l’action du Seigneur.

      Les nations peuvent désormais avoir accès à la foi, grâce à la révélation apportée par la Parole et par la Grâce. L'homme déchu ne peut être accepté par Dieu que par l’intermédiaire du Seigneur Jésus. Nous ne pouvons que faire mention de Sa droiture ; Il est le Médiateur de toutes nos requêtes, de toutes nos louanges, aujourd’hui et éternellement !

      Nous souvenant que nous sommes appelés à l'obéissance, par la foi, et que chaque degré de sagesse acquis, ne provient que de Dieu, rendons-Lui gloire, en paroles et en actions, au travers de Jésus-Christ ! Ainsi, la Grâce de notre Seigneur pourra être avec nous, aux siècles des siècles !

      1 Corinthiens 4

      1

      Le véritable caractère des serviteurs de Dieu. (1 Corinthiens 4:1-6)
      Mise en garde contre ceux qui méprisent les apôtres. (1 Corinthiens 4:7-13)
      Paul demande l’estime des Corinthiens, étant leur père spirituel en Christ ; il expose son inquiétude à leur égard. (1 Corinthiens 4:14-21)

      Les apôtres n'étaient que de simples serviteurs de Christ, cependant, ils ne devaient pas être pour autant sous-estimés.

      Ils avaient une grande confiance dans le Seigneur, quant à leur ministère, ce qui était fort honorable. Paul s’inquiétait, à juste raison, de sa propre réputation ; il savait que celui qui cherchait principalement à plaire aux hommes, ne pouvait être en même temps, un fidèle serviteur de Christ.

      Il est très réconfortant de savoir qu'au ciel, les hommes ne seront pas nos juges. Ce n'est d’ailleurs pas en nous jugeant bien nous-mêmes, ou en cherchant à nous justifier, que nous trouverons notre salut, notre paix et la joie de notre cœur. Notre propre jugement ne doit pas reposer sur notre fidélité, ni sur nos propres œuvres : elles sont incapables de nous justifier. Le jour vient, où tous les péchés cachés des hommes seront mis au grand jour, tous les secrets de leur cœur seront dévoilés. Tout croyant calomnié sera alors justifié, et tout serviteur fidèle sera approuvé et récompensé par le Seigneur ! La Parole de Dieu est le meilleur fondement sur lequel nous pouvons baser nos jugements, pécheurs que nous sommes.

      L’orgueil est souvent à l’origine des querelles. La vanité contribue parfois à sous estimer ceux qui nous enseignent. Nous ne serons pas tentés de prendre inconsidérément partie pour l'un ou pour l’autre, si nous nous souvenons que nous sommes tous des « instruments » employés par Dieu, Celui qui nous a dotés de divers talents.

      1 Corinthiens 7

      1 Corinthiens 8

      1 Corinthiens 12

      1 Corinthiens 13

      1

      La nécessité et l’intérêt de posséder l'amour. (1 Corinthiens 13:1-3)
      L’excellence de l’amour, ses propriétés, ses effets. (1 Corinthiens 13:4-7)
      Sa durabilité et sa supériorité. (1 Corinthiens 13:8-13)

      La « voie par excellence », citée dans le dernier verset du chapitre précédent, ne concerne pas la charité, dans la signification habituelle du terme, (donner l’aumône), mais l'amour, au sens le plus complet : le véritable amour, pour Dieu et envers notre prochain.

      Sans cet amour, les dons le plus honorables ne nous sont d'aucun crédit, ils n'ont aucune valeur aux yeux de Dieu. Un esprit clair et compatissant reste sans valeur si l’on ne possède pas un cœur bienveillant et charitable. On peut avoir une main généreuse et prodigue, sans avoir un cœur libéral et charitable.

      Faire du bien aux autres ne nous sera guère profitable, si nous ne le réalisons pas d’abord, par amour pour Dieu, et ensuite, envers notre prochain. Si nous donnons tout ce que nous possédons, sans donner notre cœur à Dieu, cela ne nous sera d'aucun profit. Il en est de même avec les plus grandes souffrances, si nous restons éloignés du Seigneur.

      De nombreuses personnes se trompent en cherchant l'acceptation et la récompense de leurs bonnes œuvres : ce ne sont en fait que de vaines pensées, qui trahissent un cœur égoïste !

      1 Corinthiens 14

      1

      Le don de prophétie préféré à celui des langues. (1 Corinthiens 14:1-5)
      L'inutilité de parler dans des langues incomprises. (1 Corinthiens 14:6-14)
      Exhortations à adorer ce qui ne peut qu’être compris. (1 Corinthiens 14:15-25)
      Les désordres provenant d'une vantardise au sujet des dons reçus. (1 Corinthiens 14:26-33)
      Désordres provenant des femmes qui enseignent dans l'église. (1 Corinthiens 14:34-40)

      Ce texte distingue les divers dons de prophétie, expliquer l'Écriture, et parler en langues. Ce dernier don attire plus l'attention que la claire interprétation de l'Écriture ; il gratifie davantage la fierté, mais il remplit moins les desseins de la charité chrétienne ; de plus, il n’édifie pas l’âme. Ce qui ne peut être compris, ne peut en effet être édifiant...

      Aucun avantage ne peut être tiré du plus excellent discours, s'il est donné dans une langue que les auditeurs ne peuvent ni parler ni comprendre.

      Chaque talent ou don a une valeur proportionnelle à son utilité. Une prédication fervente et spirituelle, doit être soumise à une bonne compréhension, sinon les hommes mettront en disgrâce les vérités qui sont censées être annoncées.

      6 Même un apôtre ne peut pas édifier l’assemblée, s'il ne parle pas de façon à être compris par ses auditeurs. Il est complètement vain de prononcer des paroles qui n’ont aucune signification pour ceux qui les reçoivent. On ne peut donner d’avis critique à un discours, si ce dernier n'est pas compris : il n’y a alors aucune communication utile entre l’orateur et les auditeurs.

      Dans les assemblées chrétiennes, les services religieux doivent se dérouler de telle manière, que tous puissent y participer spirituellement, pour en tirer profit. On doit employer un langage clair et facilement compréhensible, lors d’un culte ou autre réunions de ce genre.

      Chaque véritable disciple de Christ recherchera prioritairement le bien des autres, avant le sien.

      1 Corinthiens 16

      2 Corinthiens 12

      11 Nous devons nous efforcer de garder une bonne réputation, celle dont jouissent les hommes pieux. Nous sommes particulièrement redevables à ceux qui nous ont accordés des bienfaits spirituels ; nous devons les considérer comme des « instruments » dans la main de Dieu, pleine de bonté à notre égard.

      Ce texte nous rapporte un exemple du comportement de l'apôtre et de ses intentions bienveillantes, à l’égard des Corinthiens ; ceci nous permet de voir le type parfait du fidèle serviteur de Dieu, au service de l'Évangile. La devise et le but de Paul, consistaient à exercer la bonté.

      Remarquons dans ce passage, la présence commune de plusieurs péchés parmi ceux qui professaient la piété. Les chutes et les méfaits abaissent un ministre de l'Évangile ; Dieu utilise parfois ce procédé pour humilier les orgueilleux.

      Ces différents versets montrent à quel point les « excès » de ces faux docteurs ont égaré leurs adeptes. Qu’il est douloureux de constater de tels maux parmi ceux qui enseignent l'Évangile ! Il en est hélas encore ainsi, comme ce fut le cas, trop souvent, du temps des apôtres...

      Galates 5

      16 Si nous prenons bien soin d'agir sous l’égide et la puissance de l'Esprit, bien que nous ne puissions pas être complètement libérés des diverses tentations et risques de corruption dus à notre nature corrompue, ces derniers ne pourront pas prévaloir sur nous.

      Les croyants sont engagés dans un véritable « conflit » : ils désirent vraiment que la Grâce puisse les conduire vers une victoire totale et rapide. Ceux qui désirent être véritablement conduits par le Saint-Esprit, ne sont plus sous le régime de la loi, avec les ordonnances qu’elle réclame, ni exposés à sa terrible malédiction. Leur haine du péché, et leurs désirs de sainteté, montrent qu'ils ont une part dans le salut offert par l'Évangile.

      Les œuvres de la chair sont nombreuses et manifestes. Les péchés qu’elles comportent ferment les « portes du ciel » aux hommes. Cependant, combien voit-on de personnes qui professent être chrétiennes, annonçant leur espérance pour le ciel, tout en vivant dans le péché !

      Le « fruit de l'Esprit », ou de la nature renouvelée que nous revêtons, est nommé dans ce texte. Comme l'apôtre avait nommé préalablement les œuvres de la chair, non seulement nuisibles à ceux qui les pratiquent, mais aussi pour leur entourage, de la même façon, dans ce texte, il remarque principalement le fruit de l'Esprit, qui tend à rendre les chrétiens heureux, à titre personnel, mais aussi sur le plan fraternel.

      Le fruit de l'Esprit montre clairement que de tels chrétiens sont menés par le Saint-Esprit. En décrivant les œuvres de la chair et le fruit de l'Esprit, il nous est enseigné ce que nous devons éviter, ce à quoi nous devons nous opposer, et ce que nous devons chérir et « cultiver » ; ce type de conduite doit être effectué avec un cœur sincère, conformément aux principes de la véritable vie chrétienne : le péché ne règne plus désormais dans notre corps mortel, nous ne devons plus lui céder quoi que ce soit, Romains 6:12, mais chercher à l’endiguer.

      Christ ne « possédera » jamais ceux qui veulent rester des « serviteurs » du péché. Il n'est pas suffisant que nous cessions de pratiquer le mal, nous devons aussi apprendre à faire le bien. La nature de nos conversations témoignera toujours des principes spirituels qui nous animent et nous gouvernent, Romains 8:5. Nous devons chercher sérieusement à mortifier les vaines actions de notre corps mortel, pour marcher en nouveauté de vie. Non pas en étant désireux des honneurs et de la gloire de ce monde, mais en n’excitant aucune provocation ni jalousie, et en cherchant à donner abondamment les bons fruits qui proviennent de la vie « en » Jésus-Christ, à la louange et à la gloire de Dieu !

      Galates 6

      Ephésiens 3

      Ephésiens 6

      19 L'Évangile était dans l’Ancien Testament un véritable mystère, jusqu'à ce qu'il soit révélé par Dieu ; le rôle des serviteurs de Dieu consiste désormais à annoncer cette « bonne nouvelle aux hommes ! »

      Les meilleurs, les plus éminents serviteurs de Dieu ont besoin du soutien des prières des croyants. Nous devons particulièrement prier pour ceux qui sont exposés à de grandes épreuves ou à des périls, dans leur ministère.

      « Que la paix et la charité, avec la foi, soient données aux frères. » Le terme paix comporte différentes significations : - La paix avec Dieu ; - La paix de la conscience ; - La paix parmi les croyants ; - La grâce de l'Esprit, qui produit la foi et l'amour.

      Paul désire tout cela pour ceux en qui la Grâce a déjà opéré. Toutes grâces et bénédictions parviennent aux enfants de Dieu par le biais de Jésus-Christ notre Seigneur. La grâce, c'est-à-dire, la faveur de Dieu, avec tous les biens spirituels et temporels qui en découlent, est avec tous ceux qui aiment notre Seigneur Jésus-Christ en toute sincérité ; avec eux seulement !

      Colossiens 1

      1 Timothée 3

      1 Jean 4

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