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4
Le cœur pervers s’éloignera de moi ; je ne veux pas connaître le méchant.
32
car l'Eternel a horreur de l'homme perverti, mais il est un ami pour les hommes droits.
13
Craindre l'Eternel, c'est détester le mal. L'arrogance, l'orgueil, la voie du mal et la bouche perverse, voilà ce que je déteste.
32
Les lèvres du juste connaissent la grâce, et la bouche des méchants la perversité.
20
Ceux dont le cœur est perverti font horreur à l'Eternel, mais les hommes intègres dans leur conduite lui sont agréables.
1
Moi Paul, je vous adresse un appel par la douceur et la bonté de Christ, moi qui suis humble quand je suis parmi vous mais plein de hardiesse envers vous quand je suis loin :
22
Mais le fruit de l'Esprit, c'est l'amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bienveillance, la foi, la douceur, la maîtrise de soi.
5
Esclaves, obéissez à vos maîtres terrestres avec crainte et profond respect, avec sincérité de cœur, comme à Christ.
6
Ne le faites pas seulement sous leurs yeux, comme le feraient des êtres désireux de plaire aux hommes, mais obéissez comme des serviteurs de Christ qui font de tout leur cœur la volonté de Dieu.
7
Servez-les avec bonne volonté, comme si vous serviez le Seigneur et non des hommes,
22
Esclaves, obéissez en tout à vos maîtres terrestres, et pas seulement sous leurs yeux, comme le feraient des êtres désireux de plaire aux hommes, mais avec sincérité de cœur, dans la crainte de Dieu.
23
Tout ce que vous faites, faites-le de tout votre cœur, comme pour le Seigneur et non pour des hommes,
24
sachant que vous recevrez du Seigneur un héritage pour récompense. [En effet, ] le Seigneur que vous servez, c’est Christ.
25
Mais celui qui agit injustement recevra le salaire de son injustice, et il n'y a pas de favoritisme.
1
Que tous ceux qui vivent sous la contrainte de l'esclavage considèrent leurs maîtres comme dignes d'un plein respect, afin que le nom de Dieu et sa doctrine ne soient pas calomniés.
2
Quant à ceux qui ont des maîtres croyants, ils ne doivent pas les mépriser sous prétexte qu'ils sont des frères, mais les servir d'autant mieux que ce sont des croyants et des bien-aimés qui bénéficient de leurs services. Enseigne ces choses et recommande-les.
3
Si quelqu'un enseigne une autre doctrine et ne s'attache pas aux saines paroles de notre Seigneur Jésus-Christ et à l'enseignement qui est conforme à la piété,
9
Encourage les esclaves à se soumettre à leurs maîtres, à leur être agréables en tout, à ne pas les contredire
10
ni commettre le moindre vol, mais à se montrer toujours dignes de confiance, afin d’honorer pleinement la doctrine de Dieu notre Sauveur.
2
de ne calomnier personne, d'être pacifiques, conciliants, pleins de douceur envers tous les hommes.
17
La sagesse d'en haut est tout d'abord pure, ensuite porteuse de paix, douce, conciliante, pleine de compassion et de bons fruits, elle est sans parti pris et sans hypocrisie.
18
Serviteurs, soumettez-vous avec le plus grand respect à vos maîtres, non seulement à ceux qui font preuve de bonté et de douceur, mais aussi à ceux qui ont l’esprit pervers,
Domestiques, traduction littérale, ceux qui appartiennent à la maison, à la famille ; désignation plus douce et plus honorable que le terme "d'esclave," qui se lit dans des exhortations analogues (Ephésiens 6.5 ; Colossiens 3.22)
En toute crainte de Dieu, comme verset 19 le montre.
Mauvais, grec courbés, obliques, qui ne sont pas droits ; au sens moral : pervers, méchants. Le même mot se trouve Actes 2.40,Philippiens 2.15.
La traduction courante : d'un caractère difficile, ne se justifie pas d'après l'usage des écrivains grecs.
Dans ses rapports avec les hommes, le chrétien ne mesure pas l'accomplissement de ses devoirs à la manière dont les autres s'acquittent des leurs envers lui. Il agit par des motifs infiniment supérieurs à cette réciprocité, par des motifs invariables de leur nature. (versets 13,16,19 ; voir surtout Colossiens 3.23)
Ces serviteurs devaient rester soumis, non seulement envers les maîtres qui manifestaient une autorité raisonnable, mais également envers ceux qui étaient durs et sévères, se fâchant injustement.
La sévérité coupable d'un maître, vis-à-vis de son serviteur, ne justifie pas un mauvais comportement de la part de ce dernier ; un serviteur est destiné à accomplir son devoir, même si le maître est « pointilleux » et pervers. De leur côté, les maîtres doivent être bons et doux envers leurs domestiques et leurs subordonnés.
Quelle gloire, ou quelle distinction y a-t-il, pour ceux qui professent être chrétiens, d'être patients quand ils sont corrigés pour leurs fautes ? Mais lorsqu'ils se sont bien conduits, tout en ayant été maltraités par des maîtres païens orgueilleux et emportés, ayant tout supporté, sans plaintes, ni pensées de vengeance, tout en persévérant dans leur devoir, ceci sera accepté favorablement par Dieu, dans Sa Grâce.
La mort de Christ a été considérée par Dieu, non seulement comme un exemple de patience et de souffrance, mais par elle, Il a porté nos péchés ; Il en a subi le châtiment, et a de cette façon, satisfait la Justice divine. Par cet acte, Christ a « effacé » nos fautes. Les « fruits » des souffrances de Christ sont la mort au péché, et une nouvelle vie, dans la sainteté et la justice ; ces deux derniers éléments témoignent de la puissance de la mort et la résurrection de Christ, pour notre justification ; Christ a été meurtri et crucifié pour nos péchés ; par les marques des coups de fouet, lors de Son arrestation, les maladies de notre âme ont été guéries !
L’homme, dans son péché et sa misère, avance délibérément vers l'égarement ; il erre, loin du pâturage, du Berger, et du troupeau, s'exposant à des dangers sans nombre. La conversion lui permet de retrouver le bon chemin et de bénéficier de la Grâce divine. Le pécheur repenti retourne ainsi à vers le bon Berger, vers Christ. Les impies, avant leur conversion, sont égarés en permanence ; leur vie est une constante erreur.