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Quelques philosophes épicuriens et stoïciens se mirent à parler avec lui. Les uns disaient : « Que veut dire ce discoureur ? » D'autres, parce qu'il annonçait Jésus et la résurrection, disaient : « Il semble qu'il annonce des divinités étrangÚres. »
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Or tous les Athéniens et les étrangers qui résidaient là ne passaient leur temps qu'à dire ou à écouter les derniÚres nouveautés.
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Ils se vantent d'ĂȘtre sages, mais ils sont devenus fous,
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Cet avantage est grand de toute maniĂšre. Tout d'abord, câest Ă eux que les paroles rĂ©vĂ©lĂ©es de Dieu ont Ă©tĂ© confiĂ©es.
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Du reste, il est écrit : Je ferai disparaßtre la sagesse des sages et j'anéantirai l'intelligence des intelligents.
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OĂč est le sage ? OĂč est le spĂ©cialiste de la loi ? OĂč est le discoureur de lâĂšre actuelle ? Dieu n'a-t-il pas convaincu de folie la sagesse de ce monde ?
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Puisque à travers cette sagesse le monde n'a pas connu Dieu en voyant sa sagesse, il a plu à Dieu de sauver les croyants à travers la folie de la prédication.
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Les Juifs demandent un signe miraculeux et les Grecs recherchent la sagesse.
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Or nous, nous prĂȘchons un Messie crucifiĂ©, scandale pour les Juifs et folie pour les non-Juifs,
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C'est pourtant bien une sagesse que nous enseignons parmi les hommes mûrs, mais une sagesse qui n'est pas de ce temps ni des chefs de ce temps, qui sont voués à la destruction.
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car la sagesse de ce monde est une folie devant Dieu. En effet, il est écrit : Il prend les sages à leur propre ruse.
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Faites attention : que personne ne vous prenne au piÚge par la philosophie, par des tromperies sans fondement qui s'appuient sur la tradition des hommes, sur les principes élémentaires qui régissent le monde, et non sur Christ.
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Que personne, par son goĂ»t dâune fausse humilitĂ© et du culte des anges, ne vous prive de la victoire. PlongĂ© dans ses visions, un tel homme est sans raison enflĂ© dâorgueil sous lâeffet de ses pensĂ©es tout humaines,
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Aussi sommes-nous fiers de vous dans les Eglises de Dieu à cause de votre persévérance et de votre foi au milieu de toutes les persécutions et les difficultés que vous supportez.
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Ainsi donc, frĂšres et sĆurs, tenez ferme et retenez les enseignements que nous vous avons transmis, soit oralement, soit par notre lettre.
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et de ne pas s'attacher Ă des fables et des gĂ©nĂ©alogies sans fin, qui produisent des controverses au lieu de servir le projet de Dieu qui sâaccomplit dans la foi.
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Certains se sont écartés de cette ligne et se sont égarés dans des discours creux.
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VoilĂ ce qui est conforme au glorieux Evangile du Dieu bienheureux tel quâil m'a Ă©tĂ© confiĂ©.
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Rejette les contes profanes de vieilles femmes. Exerce-toi plutÎt à la piété.
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il est aveuglĂ© par lâorgueil, il ne sait rien, il a la maladie des controverses et des querelles de mots. C'est de lĂ que naissent les jalousies, les disputes, les calomnies, les mauvais soupçons,
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les discussions violentes entre des hommes à l'intelligence corrompue, privés de la vérité, qui croient que la piété est une source de profit. [Eloigne-toi de telles personnes. ]
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Quant à toi, homme de Dieu, fuis ces choses et recherche la justice, la piété, la foi, l'amour, la persévérance, la douceur.
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de garder le commandement reçu en vivant sans tache et sans reproche jusqu'à l'apparition de notre Seigneur Jésus-Christ.
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Cher TimothĂ©e, garde le dĂ©pĂŽt qui tâa Ă©tĂ© confiĂ©, Ă©vite les bavardages profanes et les objections de la pseudo-connaissance.
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VoilĂ pourquoi jâendure ces souffrances, mais je n'en ai pas honte, car je sais en qui j'ai cru et je suis persuadĂ© qu'il a la puissance de garder le dĂ©pĂŽt quâil mâa confiĂ© jusqu'Ă ce jour-lĂ .
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Prends pour modÚle les saines paroles que tu as entendues de moi, dans la foi et l'amour qui sont en Jésus-Christ.
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GrĂące au Saint-Esprit qui habite en nous, garde le beau dĂ©pĂŽt qui tâa Ă©tĂ© confiĂ©.
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Toi donc, mon enfant, fortifie-toi dans la grùce qui est en Jésus-Christ.
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Evite les bavardages profanes, car ceux qui sây livrent avanceront toujours plus dans l'impiĂ©tĂ©
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Quant Ă toi, tiens ferme dans ce que tu as appris et reconnu comme certain, sachant de qui tu l'as appris.
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Depuis ton enfance, tu connais les saintes Ecritures qui peuvent te rendre sage en vue du salut par la foi en Jésus-Christ.
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Toute lâEcriture est inspirĂ©e de Dieu et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice,
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A Tite, mon véritable enfant dans la foi qui nous est commune : que la grùce, [la compassion] et la paix te soient données de la part de Dieu le PÚre et [du Seigneur] Jésus-Christ notre Sauveur !
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attachĂ© Ă la parole digne de confiance telle qu'elle a Ă©tĂ© enseignĂ©e, afin d'ĂȘtre capable Ă la fois d'encourager les autres par la saine doctrine et de rĂ©futer les contradicteurs.
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et qu'ils ne s'attachent pas à des fables juives et à des commandements émis par des hommes qui se détournent de la vérité.
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Mais les folles spéculations, les généalogies, les disputes, les conflits relatifs à la loi, évite-les, car ils sont nuisibles et sans valeur.
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Rappelle-toi donc comment tu as accepté et entendu la parole, garde-la et repens-toi. Si tu ne restes pas vigilant, je viendrai comme un voleur, sans que tu saches à quelle heure je viendrai te surprendre.
La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
Grec : "Les antithÚses d'une connaissance au nom menteur." C'est par ces mots que Paul désigne plus directement ces discours vains et profanes. (Comparer 1Timothée 1.6)
Déjà alors les faux docteurs se vantaient d'une science (gnosis) qui, au second siÚcle, leur valut le nom de gnostiques, les connaisseurs, les savants, par opposition aux simples croyants.
Au moyen de ces antithÚses ou contradictions qu'ils prétendaient trouver dans les objets de la foi, ils pensaient embarrasser les fidÚles dans des difficultés dont leur science seule pouvait fournir la solution.
D'autres interprĂštes voient dans ces antithĂšses simplement les principes ou doctrines que ces hommes opposaient aux principes et aux doctrines de l'Evangile.
Ce terme aurait été choisi parce que cette opposition se serait manifestée par une polémique pour laquelle on employait le langage de l'école. Quoi qu'il en soit, le fondement de la foi qu'ils disaient vouloir conserver leur échappait entiÚrement. (1Timothée 6.21) Cette triste expérience des premiers temps s'est renouvelée à travers tous les ùges, et jusqu'à nos jours.
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